Avis : Cashback - Page 8

Un excellent film mélangeant les genre, c'est à la fois une comédie, une comédie romantique et un film fantastique. De très bonnes idées avec une superbe morale, des touches d'humour à mourir de rire et des acteurs très bons. Presque devenu culte pour moi ce Cashback!

j'avais une apréhension avant de voir le film a cause de l'affiche raccoleuse mais en fait il est géniale. la vie dans un centre commercial comme on ne la jamais vue. on se laisse envouté par l'histoire et les personnages qui nous font rire, de la peine et du plaisir à voir évolué durant 1h30. l'esthétique du film est très bien travaillé. un pure moment de bonheur et surement la révélation de l'année 2007.

Je suis tombé sur ce film par hasard et ce fut une très agréable surprise. Je conçois que le ton utilisé puisse rebuter certaines personnes. Pour ma part, j'ai été particulièrement accroché par l'atmosphère, la bande son est excellente, il y a des scènes vraiment hilarantes. Bref un bon moment.

Cashback sent dés le début le premier film du réalisateur,une réalisation inédite qui montre ses influences,une voix-off interessante qui porte bien le film.Hélas,on se rend compte vite que ce n'est que du revu sous une autre forme,une comédie romantique de plus mais avec un charme stylé et un acteur principal qui a du potentiel.

L'histoire d'un photographe qui trouve que le temps va trop vite ou trop lentement, et qui a trouvé sa manière de l'apprivoiser, l'arrêt sur image.
Encore un film de 2005 qui ressort seulement maintenant, ça commence à faire beaucoup cette année. Merci encore à la clairvoyance des distributeurs !
"Eternal sunshine of the spotless mind" étant désormais avec "Sur la route de Madison" mon étalon du film d'amour de caractère, je suis heureusement surpris que d'autres s'y attaquent. Cette fois ci, c'est du côté post ado et non trentenaire branché ou quinquagénaire.
Le problème encore une fois, c'est le positionnement marketing et la culture (ou l'âge) des critiques établis. Cette affiche racoleuse ne parle que d'un côté finalement anecdotique du script (mais pas des images !) et les critiques ont décidément bien du mal à se souvenir de leur années d'études. Un peu comme Gondry, un peu comme moi qui sort des Arts Décos de Paris, on se retrouve facilement dans l'humour potache et même parfois franchement graveleux d'un photographe anglais qui s'est sans doute frotté à la création picturale, vu comment il en parle bien.
Donc, on s'amuse franchement, à la djeuns attitude, mais toujours avec du sérieux et de l'intelligence, on n'est pas chez Michaël Youn ni dans "American Pie 26".
C'est un humour connoté 2000, avec des choses très contemporaines dans lesquelles on se retrouve comme dans notre quotidien. Sans parler de cette manière très bien montée de parler des tabous de notre société à la fois puritaine et hypocrite. Quand on passe 3 ans à dessiner des femmes et des hommes nus, on a une autre approche moins sombre de la sexualité.
La belle musique, tranquillement branchée mais aussi classique, la caméra et les effets d'arrêts sur images sympathiquement réussi, mais surtout le jeu, à la fois contemporain, et simple.
Il reste ces prises de vue, un homme qui aime les femmes sait les photographier, mais il sait aussi les filmer, malgré les éclairages industriels, à part la scène de la poussière, c'est quand même beau.
On échappe totalement au film d'auteur chiant et aux plans fixes, réussite sans faille de la part d'un professionnel de l'image sur papier.
En dehors des trentenaires urbains, on peut imaginer que les romantiques et les théoriciens de l'art plastiques trouveront aussi leur compte dans ce joli petit film qui flirte parfaitement avec la laide réalité et la beauté magique.

Film très agréable, esthétiquement beau avec des effets de style très intéressants valorisés par de superbes dialogues. Mais si on est complètement sous le charme durant les 45 premières minutes, Cashback traîne ensuite en longueur faute d'un scénario un peu vide.

De la beauté à l'état pur. La femme est représentée ici avec tant de grace et de pureté que rien que la scéne dans le supermarché ou Ben dessine toute les femmes nues est un concentré brut d'émotion. L'ambiance y est, les acteurs sont impressionnants d'humanité, la bande son en total accord avec le film en lui même et on se prend à réver d'avoir le même don que le héros.

Ahh! "Cashback" de Sean Ellis confirme à quel point le cinéma britannique est séduisant!
Cashback est un véritable hymne à la beauté féminine, une thérapie pour les déboires sentimentaux, une ode au temps qui passe, à la simplicité et à l'amour qui se trouve là, juste sous nos yeux.
Sean Biggerstaff (Olivier Dubois, dans Harry Potter), est très convainquant dans son rôle du jeune torturé! Je vois plus de talent en lui que dans Gaspard Ulliel...Enfin,la BO ne fait qu'embellir un premier film des plus réussis pour Sean Ellis!

Maigre est la poésie de la subjectivité. Pourtant cette recherche de la beauté, en toute innocence, et grâce au pouvoir de l'instant figé, est somme toute très enrichissante et logique. J'avais admiré le court-métrage du même nom ne prenant que le cadre de ce qui se passait dans le supermarché. D'ailleurs ce sont les passages les plus réussis. Je trouve le sujet limité et en même cette limitation fait que le sujet et sa plastique soit bien traitée. Dommage que la niaiserie ait pris le dessus en finalité car c'est justement l'amour qui amenuit le talent... ou le révèle - en tous cas il s'agit d'un abêtissement. Cela aurait été intéressant d'approfondir ces instants figés.

Un très léger, a la fois déjanté est instructif. très bon film au scénario original.

Cashback est une fantaisie légère et très distrayante, style british. On pense à la série "red stick on your collar"; c'est un étudiant des beaux arts qui cherche à dépasser un chagrin d'amour, source d'une totale insomnie, en travaillant de nuit dans un supermarché. Il rencontrera des personnalités fantaisistes (galerie de portraits désopilants) et l'amour(emilia Fox)...Ô temps suspend ton vol...

Cashback, sous ses allures de réflexion philosophique, n'est qu'un ordinaire teen movie, enrobé de belles phrases et d'effets visuels. Il manque au long métrage de Sean Ellis, une maturité évidente autant sur la forme que sur le fond. Il étire son unique bonne idée (réflexion sur la notion d'instant, sur l'ennui et le temps qui passe) de manière grossière et répétitive. Une bonne trouvaille ne fait pas tout un film! Il assène au spectateur des dialogues creux - et qui se veulent profonds- et ponctue son film de blagues potaches aussi vulgaires que puériles.
En ce qui concerne la mise en scène, et malgré quelques jolis moments, le réalisateur brasse également du vide, répétant encore et encore ses mêmes effets de style. Sans compter que sous couvert d'une pseudo réflexion sur le rapport entre un peintre et ses modèles (féminins) et sur l'art en général, le film réduit la femme à des seins et des fesses. Très fin. Etrangement surestimé, Cashback cache sa vacuité et son manque d'imagination (sur la durée) derrière une esthétique certes singulière mais vaine. Reste deux ou trois bonnes blagues par ci, par là et des comédiens, plutôt convaincants. Malheureusement, la déception est à la hauteur de l'attente: énorme.

Bon je suis un peu dessus vu l'idée de base il y avait matière à faire un chef d'oeuvre.
Le début est sublime le personnage principal devient insomniaque et ne dort plus,donc sa vie est allongé de 8 heures.
Bref le film est magique,le personnage principal est très touchant,il peut stoppait le temps. Il y a beaucoup de tendresse et de poésie,la BO colle parfaitement,la réalisation est très bonne,les acteurs sont tous très bons. Mais on aurait aimait un film plus long et que l'humour apporte vraiment quelque chose à l'histoire. Bref le film est une invitation à prendre son temps pour ne pas perdre de vue des choses qu'on ne pourrait pas voir en allant trop vite.

Film poétique sur la beauté et l'amour des femmes. La réalisation est bonne et assez originale, ce qui rend le film différent de ce qui peut se faire habituellement. A voir.

"Cashback" est une œuvre très personnelle car le réalisateur aborde une histoire finalement très simple voire dépourvue d'intérêt, mais c'est cette façon à lui de voir les choses qui en fait un film à part et donc bien différent de ceux qui en font trop de manière réaliste. A découvrir.