Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
JamesDomb
82 abonnés
1 061 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Le roman le plus controversé de Fleming. Moore endosse le Walter PPK avec brio , interprète Bond à sa manière et le film est sans temps mort , original. Jane Seymour est sublime. Séquence de bateau dans le bayou sublime. Et puis l'humour commence à apparaitre...
J'ai trouvé que c'était l'épisode le plus ennuyeux de la série. Le film et l'intrigue s'étire en longueur et manque de rythme. Il y a un peu d'humour mais franchement ça ne vaut pas Sean Connery.
Un bon James Bond. Changement d'acteur dans ce 9eme opus Roger Moore incarne correctement notre agent britannique préféré.Les acteurs sont bons et les scènes d'actions aussi. La musique est excellente.A voir pour tout les fans de la saga.
Le plus mauvais James Bond que j'ai vus, et surement que je verrais jamais! Les scènes d'action sont nuls, le sénario nul, les gadgets (1seul, une montre) nuls. Et le mec qui explose d'air sans aucune goutte de sang, ca m'a troop fait rire. A ne pas voir...
Premier bond avec roger moore et belle réussite et avec une séduisante james bond girl il faut le souligner.Toujours aussi bien réalisé que les autres films de bond,on ne peut que resté cloitré devant le téléviseur sans voir passer le temps a voir le film.
Roger Moore n'est pas mon James Bond préféré, loin de là. Vivre et laisser mourir est trop long et assez ennuyeux. Oh il y a certaines scènes qui brisent l'ennuie de temps en temps (James qui marche sur des crocodiles ou une petite (toute petite) scène en deltaplane et la course poursuite en hors bord). Le début est déjà un peu...bizarre (le sacrifice vaudou avec le serpent et le cortège funèbre qui part en vrille). Pour l'humour de Roger Moore euh...bof. La fin est ridicule (Kananga qui explose comme un ballon mdr). On regrette Sean Connery au final. Heureusement le générique est génial!
On ne se lasse pas des péripéties de l'agent secret le plus lucratif de tous les temps. Et même si parfois les séquences deviennent burlesques. James Bond will return
Ce n'est pas un James Bond mineur, c'est un James Bond complètement raté ! Entre une interminable poursuite en hors-bord filmée avec les pieds, un scénario indigent et un Roger Moore qui se cherche un peu dans le personnage de 007, la catastrophe est quasi absolue. Pire, il y a des fautes de goûts, comme ce personnage de shérif américain idiot et lourdingue, à des années lumières de l'esprit classe et cool revendiquée par la série. Rien à sauver donc, à part le décolleté de Jane Seymour, un gag rigolo avec un divan, et deux méchants seconds couteaux (le gros qui parle tout bas et l'autre au crochet métallique à la place du bras) d'ailleurs sous-exploités. Sean Connery a quitté le navire, et la série entamait son doux et long mais réel déclin, interrompu heureusement par les excellents Casino Royale et Skyfall.
Premier James Bond que tourna Roger Moore, "Vivre et laisser mourir" est un opus assez efficace au niveau de sa mise en scène. L’agent 007 est d’abord envoyé à New-York, et notamment dans le quartier de Harlem, après la mort suspecte de trois agents britanniques. L’histoire est somme toute sympathique, mais je dois avouer que ce sont les séquences se déroulant aux Caraïbes et en Floride qui m’auront le plus plu. Certaines séquences s’avèrent assez marquantes comme en témoigne celle avec les crocodiles ou encore la course poursuite en bateau. On notera aussi la présence de la mignonne et débutante Jane Seymour, d’un générique qui ne manque pas d’élégance (le fait qu’il y ait la superbe chanson de Paul McCartney "Live and let die" doit y être pour quelque chose) et d’un Yaphet Kotto tout à son aise dans le rôle du méchant Dr Kananga. Par contre, je reste une fois de plus assez réservé sur la prestation de Roger Moore qui ne me convainc pas vraiment dans le rôle principal.
James Bond est donc incarné pour la première fois par Roger Moore. Le fond de l'histoire manque clairement de densité mais le scénario est assez bien troussé pour nous le faire oublier. Le méchant manque un peu d'envergure mais ses deux seconds couteaux compensent, l'homme crochet en impose même si son crochet manque de réalisme, et le gourou est aussi magnétique que psychopathe. On peut par contre tomber dans le risible avec le shérif rednek un peu trop caricatural, comme le serpent en caoutchouc et surtout la mort du dictateur-narcotrafiquant beaucoup trop surréaliste. Néanmoins, pour un début Roger Moore assure et offre une alternative tout aussi séducteur mais avec un flegme british plus prononcé et un brin d'autodérision qui ne fait pas de mal. Le récit aurait pu laisser plus de place au vaudou encore mais le charme opère. Site : Selenie
Le 8e volet de la série - le premier pour Roger Moore -pas fou, mais divertissant, grâce à quelques scènes très réussies (comme celle du pont aux crocodiles) et évidemment la BO entêtante de McCartney.
1er volet pour Roger Moore et il s'en sort vachement bien !! Du charisme, un bon jeu d'acteur et du charme comme tout bon James Bond !! J'ai apprécié l'ambiance générale du film avec des lieux intéressant !! Les scènes d'actions sont une nouvelle fois réussi avec pas mal d'explosions et de castagnes !! La BO accompagne bien l'ensemble !! A noter une jeune Jane Seymour juste magnifique en Bond Girl !!
Premier James Bond sous l'ère Roger Moore et pour ma part, c'est loin d'ètre le meilleur en terme de qualité !! Réalisé en 1973 par Guy Hamilton, qui a pourtant signé "Goldfinger" qui est l'un des meilleurs de la saga, signe un épisode sous le signe de l'humour qui est cher à son acteur principal mais moins glamour que l'était avec Sean Connery précédemment. Les roles de méchants sont attribués à des comédiens noirs et ils font pales figures à cette épisode, Hitchcock disait "Meilleur est le méchant, meilleur est le film" et c'est pas le cas ici. Cependant, j'ai trouvé Roger Moore excellent en James Bond avec son humour et sa classe trépident. Jane Seymour, la future héroine de la série "Docteur Quinn, femme médecin", incarne une Bond Girl charmante avec ses cartes de tarots et dont c'était son premier role au cinéma. La dernière demi-heure sauve ce long métrage avec action et gadgets bien filmée. Il y a aussi l'une des plus célèbres chansons de Paul Mc Cartney qui la reprendra souvent dans ses concerts, "Live and let die".
Un James Bond old school récréatif. A l'heure des blockbusters épileptiques actuels, c'est un plaisir particulier de revoir ces vieux films d'action au montage à l'ancienne. Tout est plus lent et moins efficace à l'image de la scène de visite du magasin voodoo où rien ou presque ne se passe. De ce rythme se dégage néanmoins un charme certain nourri de jazz, de tarot divinatoire, de communauté black, de bayou et de voodoo. Pour ma part j'ai surtout apprécié ce "Live and Let die" pour les gadgets désuets, la sublime Jane Seymour et surtout Roger Moore, sa classe et sa voix suave so british distillant des jeux de mots avec une expression espiègle. Quoique le machisme de cet opus n'est pas total, le film ploie sous un "male gaze" appuyé en phase avec son époque. Les scènes d'actions sont souvent longues et chiantes (cette poursuite en bateau) quand elles ne frôlent pas le ridicule (James qui bondit de crocodiles en caïmans). On a aussi droit au méchant caricatural et ses invraisemblables plans machiavéliques pour tuer notre héros jusqu'à un duel final franchement nanardesque. Un divertissement agréable quoique un peu longuet.