Mon compte
    Uniformes et jupon court
    Note moyenne
    3,8
    107 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Uniformes et jupon court ?

    20 critiques spectateurs

    5
    1 critique
    4
    10 critiques
    3
    6 critiques
    2
    3 critiques
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Benjamin A
    Benjamin A

    647 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 avril 2014
    Deuxième film de Billy Wilder huit ans après "Mauvaise Graine" et premier film américain, "Uniformes et Jupon Court" nous fait suivre Susan Appelgate qui, dégoutée par la vie New-yorkaise, prend la décision de retourner dans son Iowa natale, mais n'ayant pas assez d'argents pour payer la totalité du voyage, elle se déguise en petite fille pour bénéficier d'un tarif réduit.

    Comme il le fera plus tard dans le génial "Certains l'aiment chaud", il aborde le thème du travestissement à travers une comédie légère, marrante, subtile et sophistiqué. Le déroulement est convaincant et nous captive, Wilder nous propose divers rebondissements souvent bien pensée et parfois même surprenant, notamment lorsqu'on arrive dans l'école militaire et malgré tout, il maintient aussi du suspense tout le long. La galerie de personnages est géniale, attachante et très bien écrite, que ce soit bien évidemment Susan, qui se retrouve tout le long face à des situations inattendus et qui s'en sortira comme elle pourra, le major Kirby, militaire au grand cœur, sa relation amoureuse, la soeur de cette dernière ou encore les jeunes du régiment de l'école militaire, ils sont tous bien réussi. Puis il n'y a aucune faute de rythmes et aucune fausse note, à aucun moment cette comédie ne perd de l'intérêt et se révèle brillante, attachante et charmante de bout en bout. La réalisation de Billy Wilder est impeccable, jamais trop lourde et laissant la vedette à ses personnages.
    D'ailleurs, ils sont merveilleusement interprétés et c'est l'une des grandes réussites du film. Ginger Rogers est fabuleuse et pétillante et Ray Milland nous montre une fois de plus qu'il est un des acteurs les plus doués de sa génération, il est excellent dans un rôle plutôt difficile et fera encore plus fort trois ans plus tard dans "Le Poison", toujours de Billy Wilder.

    Décidément, j'ai énormément de mal à résister au cinéma de Billy Wilder, surement mon cinéaste fétiche avec Hitchcock, il nous livre là une excellente comédie, sans aucune fausse note ou faute de rythmes, très bien écrite, réalisé et emmené par de très bons acteurs et en particulier Ginger Rogers et Ray Milland.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2008
    Dans son tout premier film américain, Billy Wilder développe des thèmes qui utilisera de façon plus abouti dans ses films suivants (notamment la tromperie par le travestissement !). Comme ce sera le cas pour ses autres comédies, celle-ci a un scénario plutôt léger, avec de nombreux rebondissements et des personnages savamment croqués, le tout saupoudré d'un peu de subversivité. Les interprétations de Ginger Rogers, bizarrement convaincante et attirante en "jeune fille de 12 ans", et de Ray Milland sont remarquables. En bref, une comédie comme Billy Wilder les aimait et comme n'importe quelle personne sensée et intelligente se doit de les aimer.
    landofshit0
    landofshit0

    248 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2014
    On retrouve dans ce second film Billy Wilder tous les rouages de ce que sera le cinéma de Wilder. Uniformes et jupon court,rappelle boulevard du crépuscule pour le désabusement de son personnage et évidement certain l'aiment chaud. L’héroïne se fait passer pour quelqu’un d'autre;là c'est une enfant de 12 ans. Le film est une sympathique comédie même si la finesse qu'apporte Wilder à ces situtations n'est pas toujours présent ici,mais il a deja un sacré sens du tempo de la comédie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    (VIDEO) C'est gentillet, mignon, plaisant si l'on veut, mais très très loin d'être un grand film.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Premier film de Billy Wilder! Et le moins que l'on puisse dire c'est que "The Major and the Minor" (1942) est un premier essai particulièrement audacieux pour l'èpoque! C'est explosif en terme d'interprètation, de situations et de dialogues! Son histoire, rocambolesque à souhait, devient une comèdie aux mille et une pèripèties auxquelles on succombe avec rires et dèlices! Une invitation à quitter le train train quotidien pour un martini sec et un billet retour! Et Ginger Rogers en lolita de douze ans ? Quel pouvoir de sèduction! Ray Milland, excellent, joue le jeu du gradè avec un coeur d'or! La prestation de Diana Lynn, une jolie ètudiante en biologie, vaut ègalement le dètour! Qu'importe les sujets qu'ils abordent (le harcèlement sexuel entre-autres) si on a la drôlerie qu'anime une Rogers au sommet avec l'intelligence d'un Wilder! En somme un grand classique mèconnu, construit, ècrit et rèalisè comme une comèdie sophistiquèe à la Lubitsch! Et dire que c'est un premier long-mètrage et que tous ces uniformes et jupon court finissent par dèborder en crise de fou rire, homèrique et dèvastateur, en particulier les scènes dans le compartiment du train ou avec les jeunes troufions...
    velocio
    velocio

    1 163 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2020
    En fait, on trouve déjà dans "Uniformes et jupon court", son premier film américain, ce qui deviendra un des thèmes préférés de Billy Wilder, le travestissement qui permet d’obtenir quelque chose ou d’échapper à un danger. Présent aussi les thèmes de la machination et de la sexualité. Il est clair que, dès son premier film US, Billy Wilder a pris le parti de s’amuser avec le code Hays, toujours d’actualité dans le cinéma américain de l’époque, et cela le pousse à faire preuve d’imagination pour être toujours au plus près des limites de ce code de production. Tant mieux pour nous, finalement ! Quant au rythme, comme c’était presque toujours le cas dans le cinéma américain de l’époque et comme cela a continué dans le cinéma de Billy Wilder, il est particulièrement enlevé, tant au niveau du montage des images que dans le débit des dialogues. Pas du tout le temps de s’ennuyer. Et puis, maintenant, une question importante : une femme de 24 ans qui est sans cesse harcelée par des hommes et qui, une fois travestie en jeune adolescente de 12 ans, continue d’être harcelée par des adolescents guère plus âgés, comment se situe "Uniformes et jupon court" par rapport à la cause féministe ? Certes, l’image des femmes donnée par Pamela n’est pas très reluisante, certes, on sent bien que le mariage est, de toute façon, la seule issue valable pour une femme, mais la dénonciation du harcèlement que subissent les femmes de la part de la gent masculine, qu’elles aient 24 ans ou 12 ans, c’est quand même un très bon point. Mais, après tout, c’est à vous de vous faire une opinion !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2021
    Passons rapidement sur cette comédie vraiment datée et franchement ridicule. Je vois pas en quoi elle ressemble à une fille de 12 ans et les rencontres sont tout aussi niaises que le titre.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 804 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2012
    En voici un film très réjouissant, drôle, amusant, plaisant, et ceci grâce à la belle Ginger Rogers (même s'il faudrait être fou pour croire qu'elle a 12 ans), mais surtout grâce à un beau petit scénario, qui, très bien écrit arrive à créer des situations drôles, et surtout très fraiches. C'est un film qui transpire le bonheur à chaque instant. Wilder arrive à sublimer des situations cocasses au possible et semble avoir goût pour la tromperie, se faire passer pour quelqu'un d'autre… et ceci pour notre plus grand plaisir, comment ne pas se régaler ? Tout est là, humour, amour, mais surtout c'est très bien fait, s'il n'y a pas 10 gags à la minute, on privilégie la qualité à la quantité. Après j'aurai peut-être un léger reproche à faire au film sur la toute fin, disons que je n'ai pas senti ce soulagement que peut procurer ce genre de fin, comme c'était par exemple le cas dans embrasse moi, idiot ! La fin n'a pas forcément fonctionné pour moi, et puis je trouve qu'elle se casse un peu la tête pour rien.
    Mais ça reste un détail tant le reste du film est bon, voir cette petite fille perdue dans une école militaire pleine de jeunes mâles prêt à tout pour profiter d'elle, le tout dans une parodie d'ambiance militaire poussée jusqu'à l'absurde, c'est délicieusement ridicule.
    Vraiment très plaisant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mai 2018
    Quand il passe à la réalisation en 1942 avec "Uniformes et jupon court", Billy Wilder est depuis neuf ans un scénariste reconnu à Hollywood. Son tandem avec Charles Brackett fait les beaux jours de la Paramount avec "La huitième femme de Barbe bleue" et "Ninotchka" d'Ernst Lubitsch. Mais l'énergie que porte en lui Billy Wilder le voit très vite être frustré de devoir se contenter du difficile mais surtout ingrat travail d'écriture. Dès que l'occasion lui est donnée, il passe donc derrière la caméra. Il avait déjà goûté à l'exercice lors de son court passage en France en 1934 où il avait dirigé Danièle Darrieux dans "Mauvaise graine". Influencé par ses travaux pour le maitre incontesté qu'était alors Lubitsch, il reste dans ce même registre de la comédie pour "Uniformes et jupon court". Adaptant avec son comparse une pièce d'Edward Childs Carpenter, il propose une histoire qui laisse libre cours au tempérament irrévérencieux et un brin provocateur que l'on retrouvera tout au long de sa filmographie aussi bien dans les comédies que dans les drames. Il s'agit ici d'aborder de la plus espiègle des façons ni plus ni moins le thème de la pédophilie tout en passant entre les fourches caudines de l'intransigeant code Hayes. Pour ce faire, Wilder a l'excellente idée de faire appel à Ginger Rogers, l'inoubliable partenaire de Fred Astaire dont on oublie un peu trop souvent qu'elle était aussi une merveilleuse actrice. Toujours audacieux, Wilder lui fait jouer une jeune femme de 23 ans alors qu'elle en a déjà 31 et qu'elle devra faire croire tout au long du film qu'elle n'en n'a que 12 ! Venue tenter sa chance à New York en provenance de son Iowa natal, Susan Appelgate découvre tout au long de ses courtes expériences professionnelles que l'essentiel de son temps et de son énergie dans la mégapole sera consacré à éviter les agressions masculines. Son déguisement de circonstances en mineure pour s'offrir un billet de train demi-tarif pour renter chez elle est bien l'affirmation que seul le retour à un âge prépubère pourra apporter à Susan un peu de répit. Sa rencontre fortuite avec le major Kirby (Ray Milland) de retour dans son école militaire où il doit contracter un mariage avec la fille du directeur va lui faire comprendre que dans certains milieux l'âge ne protège en rien. Les sous-entendus du scénario qui paraissent très souvent évidents sont habilement déjoués par Wilder grâce à l'âge réel de Susan qui absout la confusion des jeunes aspirants y compris celle encore plus troublante du major Kirby joué par un Ray Milland excellent dont la parenté d'expressions avec Roger Moore est assez confondante. Wilder se délecte et nous avec de tous les gags que lui permet ce quiproquo osé car en réalité fort peu crédible. On reconnait ici la marque d'un très grand réalisateur qui parviendra en permanence à marier sa réalisation avec ses prétentions scénaristiques. On s'amuse donc beaucoup à la vue de cette farce d'équilibriste qu'aucune fausse note ne vient gâcher. Le tout nouveau metteur en scène promettait beaucoup, il n'a pas déçu.
    Maqroll
    Maqroll

    131 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2010
    Deuxième film de Billy Wilder, son premier américain puisque le premier, Mauvaise graine avait été réalisé en France, The Major and the Minor (dont le titre anglais rend bien mieux compte que son homologue français du caractère subversif du propos) est une comédie d’allure conventionnelle cachant - comme souvent chez Wilder - un brûlot à ne pas mettre entre toutes les mains. Comme d’habitude, c’est de sexe qu’il s’agit, et plus précisément (ô comble de l’horreur de nos jours où le mot « pédophilie » est sur toutes les lèvres), rien moins que les amours d’un adulte, militaire de surcroît (The Major, au double sens du terme) et d’une fillette de douze ans (The Minor). Bien sûr, pour que la morale soit sauve et le Code Hays prétendument respecté, nous savons depuis le début que la gamine n’en est pas une, mais une adulte déguisée. Son statut supposé lui permet tout de même de dormir dans le même compartiment de chemin de fer qu’un homme (ce qui n’est pas sans nous évoquer le mémorable New York Miami, Frank Capra étant lui même très habile dans l’art subtil du contournement dudit Code Hays)… Bref, voici une comédie savoureuse et piquante, servie par une Ginger Rogers pleine de charme avec nattes et jupe plissée et un Ray Milland qui délaisse momentanément les films noirs pour nous montrer l’étendue de son registre et l’éclectisme de son talent. La mise en scène est redoutable d’efficacité, la direction d’acteurs impeccable et le scénario aux petits oignons… Un film à découvrir et à déguster sans retard.
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2012
    Première réalisation après de nombreux scénarios à succès, ce méconnu "Uniformes et jupon court" est un vrai petit bijou de comédie américaine. Billy Wilder réalise une comédie hilarante, parfois burlesque, qui frôle la perfection. Ginger Rogers, en femme enfant, est parfaite. Ray Milland est au diapason. Wilder enchaîne les quiproquos et les scènes comiques de situation avec brio. Seul petit bémol, la fin cornélienne qui colle à son époque, mobilisation de l'Amérique dans la Seconde Guerre mondiale oblige. Génial !
    il_Ricordo
    il_Ricordo

    94 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2012
    The Major and the minor est le premier film de Billy Wilder seul et, comme il le fera toujours en tant que scénariste, c'est lui qui l'a co-écrit. Certes, on n'est pas encore dans les chefs-d'oeuvres de maturité du maître, mais il s'agit véritablement d'une plongée dans l'univers de Wilder, avec ses quiproquos désopilants, ses dialogues irrésistibles et ses personnages doubles-jeux malgré eux.
    Ginger Rogers joue à merveille ses rôles de fillette-jeune fille/femme - mère/ grand-mère, et se joue avec plaisir de tous les naïfs qu'elle croise, à commencer par Ray Milland. On est transporté de fil en aiguille depuis New-York dans un train pour l'Iowa, et puis dans un camp de militaires aux allures de camp scouts, avec des plaisanteries et des pirouettes typiques de Wilder.
    Billy Wilder, habitué des scénarios sophistiqués, assure d'emblée de jeu une mise en scène solide, même si elle n'a pas été reconnue avant Le Poison. Pourtant, son génie crève les yeux, et c'est toujours avec délice qu'on peut revoir ses premières, qui ne sont pas même effacées par les plus grands succès de Wilder.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2017
    L'un des tout premiers films de Billy Wilder – son premier long-métrage américain – Uniformes et jupons courts (The major and the minor dans son titre original) est une farce pleine de vie qui nous fait souvent sourire, et même souvent rire. Pourtant, l'histoire de cette jeune femme contrainte de se faire passer, suite à un enchaînement de circonstances, pour une jeune fille de douze ans, n'est pas sans évoquer par moment l'atmosphère trouble d'une œuvre telle que Lolita. Sans choquer la censure de l'époque... Une vraie réussite.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2008
    Deuxième film réalisé par le grand Billy Wilder, "Uniformes et jupon courts" s'avère un quasi-modèle de comédie sophistiquée. Wilder semble déja poser toutes les bases du genre, et ce avec une aisance et un talent à la limite du déconcertant. On ne peut que se réjouir de ce ton chaleureux, percutant, souvent très drôle trouvé par Wilder qui peut également s'appuyer la plupart du temps sur des dialogues frais et vraiment très ingénieux. On pourra alors toujours dire que la comédie apparaît un peu facile du fait du caractère des personnages un peu trop bloqués sur leurs positions ainsi que quelques petites clichés (la fausse amoureuse intéressé par l'argent), cela n'enlève en rien notre plaisir de découverte et et de plaisir quant à un univers qui nous est en général peu familier. En effet, le milieu militaire est lui aussi exploité au mieux et nous réjouit d'autant plus que les situations sont souvent très bien trouvés. Enfin, Ginger Rogers et Ray Milland forment un duo hétérogène éclatant et participent grandement à cette fort bonne comédie et ce bien bon moment de cinéma en général. Une réussite.
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2015
    Premier essai de Wlider sur le sol américain, le film est techniquement très bien réalisé avec une photographie magnifique, malheureusement le scénario est bancal. Après un très bon début, ça commence à se gâter avec la rencontre entre Rodgers et Milland (malgré une très bonne scène), puis avec l'arrivée dans le camp militaire, ça devient franchement n'importe quoi avec une intrigue pauvre et une ribambelle d'insupportables cadets têtes à claques, d'autant que la fin n'offre aucune surprise. Ray Milland étant transparent, on retiendra néanmoins la remarquable performance de Ginger Rodgers ainsi que la présence de la très jolie Rita Johnson. Le résultat est moyen, dommage l’ambiguïté du thème aurait mérité un meilleur traitement mais nous étions en 1942 à la veille de l'entrée en guerre des Etats-Unis…
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top