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    Little Odessa
    Note moyenne
    3,8
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    176 critiques spectateurs

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    kray
    kray

    45 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2010
    Bons débuts pour james gray qui impose d'emblée sa griffe. Tim roth y est franchement époustouflant.
    Alain D.
    Alain D.

    494 abonnés 3 205 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2015
    Scénariste des bons ”Blood Ties”(2013) et de La ”Nuit nous appartient”(2007), James Gray, primé Lion d'argent comme meilleur réalisateur, est également scénariste de cet excellent thriller noir évoquant l’histoire d’une famille d’origine russe émigrée a New York. Une histoire dramatique, émouvante et très bien mise en scène. Un casting prodigieux avec le charismatique Tim Roth qui réalise une superbe prestation dans le rôle de Joshua Shapira, le fils prodigue tueur à gage. Il est entouré d’Edward Furlong qui campe Reuben sont jeune frère, Maximilian Schell et Vanessa Redgrave sont ses parents.
    Le pitch : Joshua Shapira, tueur à gages, se rend à Brooklyn pour exécuter un contrat. Il retourne dans le quartier de son enfance ou il n’est pas forcement le bien venu...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 mars 2014
    Joshua Shapira, un tueur à gage, est contraint de revenir dans le quartier où il a passé son enfance, Little Odessa, afin d'exécuter un contrat... "Little Odessa" de James Gray est un polar à l'atmosphère lourde et glaçante. On observe des rapports complexes entre le personnage principal et les membres de sa famille, très bien exploités. Un léger manque de rythme se fait ressentir par moment, mais rien d'alarmant; on peut facilement passer outre ce détail grâce, notamment, à une bonne interprétation de la part des acteurs. Un bon film donc, vu une fois de plus sur Arte, qui m'a donné envie de connaître davantage la filmographie de James Gray.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 avril 2014
    Visiblement influencé par Scorcese le réalisateur crée une ambiance intéressante avec du bon Tim Roth, et le encore prometteur à cette époque Edward Furlong. La fin arrive tout même bien séchement nous laissant un goût d'inachevé. Il semble que James Gray manque d'épaisseur ses autres films le confirme.
    Santu2b
    Santu2b

    215 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 décembre 2009
    Le milieu des années 90 vit l'apparition d'un cinéaste plutôt discret (puisqu'il n'a réalisé seulement quatre films en plus de quinze ans !) mais régulièrement plébiscité par les critiques français en la personne de James Gray. Ce dernier nous livre donc en 1995 son premier long-métrage "Little Odessa ; un sombre et glauque polar mettant en scène Tim Roth dans la peau d'un tueur à gage revenant exercer dans le douloureux quartier de son enfance. Un polar glauque disais-je car Gray a su d'emblée donner une forme à son film ; une ambiance nocturne, un style brut, souvent oppressant, un tantinet lourd parfois il est vrai mais dans l'ensemble assez concluant. Honnête oeuvre, "Little Odessa" est cependant décevant dans la mesure ou jamais il ne délie une seule parcelle d'émotion. Le long-métrage est en fait l'égal de Tim Roth et de son personnage : beau sans être tout a fait marquant, bon mais constamment froid. Gray possède un grand sens du rythme, cela est indéniable. Quel dommage alors qu'il n'ait su orner, enrober son film de cette touche émotionelle qui aurait élevé ce dernier à un autre rang que celui de bon premier essai. Divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 juillet 2007
    A la rigueur urbain, mais ce polar n’est résolument pas noir et n’a en aucun cas la puissance de réinventer ou de rendre hommage à ce genre. Pénible, point barre.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 février 2009
    Un homme traverse la rue, sort une arme et tire à bout portant avant de repartir par où il est venu. Ainsi commence, non sans vigueur, «Little Odessa» (USA, 1994), le premier long-métrage de James Gray. Cette introduction mensongère laisse présumer une violence expéditive et un climat brutal. La suite repose davantage sur des émotions intimes et interroge le rapport fraternel dans le cadre d’une banlieue sensible de New-York. Cette place que se partagent la fureur et l’intimité, et qui se révèle à la base du cinéma de Gray, instaure une double identité à l’œuvre, la faisant tantôt énergique, tantôt mélancolique. Les paysages enneigés et moribonds rappellent les décors délabrés de l’ex-U.R.S.S. Fils de parents russes, Gray considère la famille comme une institution aliénante et à la fois intimement rassurante. Le rapport tendu qu’entretient Joshua, de retour dans son quartier natal, avec ses parents est symptomatique de la figure relationnelle en action dans le cinéma de Gray. Dès son premier film, apparaissent les grandes figures de son œuvre, ce serait la marque des plus grands auteurs, paraît-il. Or le style qu’emploie Gray pour traiter du thème qui lui est cher, encore et toujours, renvoie à une économie des moyens narratifs et esthétiques, à une lisibilité immédiate des signes, à tout ce qui correspondant à un certain classicisme du cinéma. Le défaut de Gray, d’ores et déjà observable dans «Little Odessa», provient de son manque patent à imposer à l’échelle d’un film une puissance (quelque soit sa nature). Pour cette raison, ce premier long-métrage se taille une envergure mineure et témoigne d’une d’ambition limitée, bien que l’issu des personnages soit profondément dramatique. Les capacités d’Hollywood et du cinéma indépendant américain (le film est produit par la New Line) sont telles que de grandes fulgurances sont possibles. Or Gray préfère un tempo moins brutal, moins vif, de quoi démentir l’introduction de «Little Odessa».
    TanTylash
    TanTylash

    7 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 juillet 2010
    Drame sordide, lent, glauque et sans aucun intérêt.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    62 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 janvier 2013
    Ce premier long-métrage de James Gray tourne déjà autour de son thème fétiche, à savoir l’éclatement d'une famille et les choix qui en découlent.
    Les points intéressants du script, et du film, se situent dans les relations compliquées qui unissent les membres de cette famille. L'intrigue, desservie par un rythme plutôt lent et une mise en scène statique, est très faible et ne parvient jamais à captiver, mis à part le final qui est assez réussi. C'est un peu le gros défaut du réalisateur, ne jamais réussir à un imposer une force et une puissance incontestable à ses œuvres.
    Les personnages eux, sont tous très froids et ne transmettent que peu d'émotions si bien qu'il est difficile d'éprouver envers eux quoi que ce soit.
    On peut noter que Gray s'améliorera grandement dans ses prochains films côté réalisation, qui, il faut avouer, est ici assez hésitante et finalement sans saveur, usant notamment de lourds zooms.
    lolohap
    lolohap

    4 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2014
    Apparemment, "Little Odessa" est un film culte qui a lancé James Gray à l'époque ... Tant mieux pour lui car si j'avais été le seul juge, ce film serait resté à se place, c'est à dire moyen, sans plus.
    Le sujet et le cadre sont intéressant, mais le rythme est trop mou et les personnages dégagent très peu d'émotion, difficile de s'identifier et de vibrer avec eux. On regarde par curiosité pour savoir la fin, mais on ne ressent rien ou très peu.
    Bref, décevant, comme beaucoup de film encensé par les experts du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 août 2010
    Bien chiant, bien mou, ce film est tout simplement ennuyeux, mais touchant.
    Serge Riaboukine
    Serge Riaboukine

    42 abonnés 946 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 septembre 2009
    Le premier film de J. Gray ne m'a pas plu... J'avoue même avoir coupé après les trois quarts du film. J'ai quand même tenté "The yards" mais pas mieux...
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    53 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2014
    Un film noir bien maîtrisé et qui fait la part belle à ses personnages. Comme d'habitude avec James Gray, la mise en scène est un vrai délice. Le cinéaste filme Brooklyn avec une grâce et une finesse incroyable, il met en place une ambiance à la fois intimiste et noire qui parvient à nous immerger totalement dans cette histoire. Le tout reste assez classique, mais c'est fait sans chichi et surtout dans le respect absolu des personnages. On s'attache bien vite à eux, malgré leur côté sombre et on se demande à chaque instant ce qui va se passer. Bref, un film réussi, sans non plus qu'on puisse crier au génie.
    gregbox51
    gregbox51

    28 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 décembre 2013
    Bienvenue dans un univers glauque, froid, noir où tout n'est que tristesse, malheur et désillusion. Idéal pour égayer un long dimanche après-midi pluvieux....
    Plume231
    Plume231

    3 479 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2014
    Premier film d'un jeune cinéaste d'ores et déjà prometteur (ouais, je sais que c'est facile d'écrire ça près de vingt ans après mais sincèrement, en toute franchise, le contraire aurait été étonnant !!!) de seulement 24 ans car "Little Odessa" démontre déjà un style réaliste qui tend au pessimisme le plus sombre, un talent indéniable pour décrire des individualités mais aussi toute une communauté à travers ces dernières, un scénario aux allures de tragédie grecque et puis une direction d'acteurs formidable. Et puis bien sûr il y a New York...
    Bref déjà tout James Gray dans ce premier long de James Gray, qui n'oublie jamais de faire du vrai cinéma, ne se cachant pas uniquement derrière les autres grandes qualités du film en donnant un véritable travail de mise en scène technique inspiré. Les séquences d'exécution, froides, efficaces, concises mais terriblement mémorables en sont les plus beaux (ce n'est pas le terme le plus approprié disons beau dans une notion de tragique !!!) exemples.
    Une oeuvre profonde et puissante, un premier film qui est un premier coup de maître...
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