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    Naissance des pieuvres
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    296 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mars 2009
    Sur un sujet délicat, ce film est véritablement sensible et émouvant. L'interprétation, pleine de retenue, de fraîcheur et de pudeur, est remarquable car elle contribue à donner un réalisme poignant à ces histoires d'amour croisées. Une réussite qui n'est pas sans rappeler "Fucking Amal".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 décembre 2013
    La réalisatrice nous fait découvrir les premières expériences amoureuses et ses déboires au travers de 3 personnages à la personnalité différente.. Ce film est touchant et le titre illustre bien ce que l'amour peut nous faire ressentir. Un remous continuel dans notre ventre associé à l'image de ces danseuses de natation synchronisé..
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 décembre 2008
    A l'instar d'un lost in translation, "la naissance des pieuvres" parvient à donner de la consistance au moment sans dialogue. Ce qui rend le film profondément dramatique et juste.
    Les performances d'actrices des deux protagonistes sont quasi-parfaites. Du talent, du talent, du talent.
    En parlant de talent: Para One, l'auteur de la bande son, avec ses tonalités venues d'ailleurs ajoute une ambiance particulièrement pesante et mystérieuse, qui étoffe encore plus le nombre d'adjectifs qui pourraient qualifier ce film. Un pour tous, et tous Para One.
    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2014
    On ne peut pas dire que Céline Sciamma ne sache pas faire preuve d'une belle maîtrise technique. Les séquences de natation synchronisée et même celles colorées qui se déroulent en discothèque sont là pour le prouver visuellement.
    Et on ne peut pas non plus dire que l'ensemble est entièrement dénué d'émotion car les trois jeunes actrices principales, toutes les trois justes et convaincantes, sont heureusement là pour en insuffler.
    Mais reste qu'en tant qu'ancienne bonne élève de la Fémis qui se respecte, Céline Sciamma ne peut pas s'empêcher de faire dans l'auteurisme pseudo-intello qui fait que très vite le film nage (sans mauvais jeu de mots !!!) dans la vacuité.
    C'est dommage car Sciamma est une réalisatrice qui m'apparaît valoir beaucoup mieux que cela vu la manière dont elle maîtrise la technique et vu la manière dont elle dirige ses actrices. Si au lieu de faire dans l'intellectualisme le plus creux en incrustant de nombreuses scènes inutiles et vides, elle avait approfondi son histoire et ses personnages on n'aurait pu avoir affaire à quelque chose de très très bon.
    Malheureusement, globalement les tentacules s'agitent dans le vide.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    tout d'abord, j'ai apprécié ce film puisqu'il est extrêmement bien desservit par les trois protagonistes, je trouve que l'univers aquatique colle parfaitement au moment de l'adolescence ou la jeune fille se noie dans des problèmes nouveaux notamment en songeant a la perte de son innocence, a comprendre ces désirs . Les adolescent(e)s en générale (le grand bleu) ont un lien fort avec l'eau, car la femme perd les eau avant d'accoucher, l'embryon est dans une poche d'eau et pourtant nous sommes des terriens, solitaires souvent confrontés a des désirs obscures (l'homosexualité est traité sans tabou). J'ai contrairement aux autres trouvé la musique en adéquation avec le thème et le rythme et la présence entièrement dédié a la femme m'a plutôt emballé même si je dois bien reconnaitre que les hommes sont bien décriés .. Le film, pour ma part, m'a fait songer a Bilitis d'Hamilton .. quelques déceptions sur l'absence de folie de ces jeunes, qui sont très conventionnelle, poussant a bout les stereotypes.
    Benito G
    Benito G

    583 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2010
    L'idée de base, bien que mainte fois utilisé ; semblé cic traité habilement. Certe, le film ne tombe pas dans le teenage movie habituel. Mais malheureusement, bien que le jeu des acteurs soient des plus juste. On se retrouve face à une histroie grand interet réel. On est bien au coeur de la jeunesse féminine, loin des parents ; des garçons... Mais le tout semble traité de façon assez plate. Tant au niveau des dialogues, que de la réalisation globale. Certains moments sont efficaces et montre la réalité des choses (même si l'on ne peut s'empêcher d'assister à certains cliché du genre...^^)., mais l'ensemble est beaucoup trop lent, sobre... pour attirer, faire entrer le spectateur au coeur de cette univers. Ou le spectateur aurait du se sentir comme issu de ce groupe (comme s'il appartenait à ce groupe de fille), mais il ne fait qu'observer avec des tendances à zapper un peu le truc. Non pas que le jeu soit nul, mais le manque d"action", de moment de pur émotion comme cela aurait pu être le cas. Beaucoup trop banal et trop plat pour en faire un réel film. On comprend qu'il ait passé inaperçu. DOmmage car traiter un sujet délicat de cette façon (sobriété de rigueur, contrairement ou habituellement la vulgaire et le sexe font la premiere page^^), n'était pas une mince à faire et ici ; c'est presque bon. Mais il manque une réelle histoire, de l'émotion... On se sent trop éloigné de ce groupe pour être touché. Bref, ce film m'a plus ennuyé qu'autre chose (et encore je ne parle pas des dialogues...). Une idée de base pourtant bonne, mais le reste partirait preque plus en documentaire qu'en film. On est loin de se sentir transporter, ou même touché. Tanpis, on devra encore rester fasse à des réalisations qui traitant de l'adoslescence, frôle le ridicule en s'abaissant à de l'humour potache et des gags de même envergure ; faute de savoir ou non ; traiter un sujet difficile si on veut qu'il soit traiter correctement et qu'il ne soit pas une simple comédie pour ados. Ici, ouf ; ce n'est pas le cas. MAis le tout est bien trop plat, trop sobre ; pour en devenir interessant (les bases étaient pourtant bonne, encore une fois dommage).
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2023
    Le premier long-métrage de Céline Sciamma, sorti en 2007, aborde les émois sentimentaux à l’âge de l’adolescence. Ce sujet, maintes fois évoqué au cinéma, présente ici pour seul intérêt de décrire l’ambiguïté de l’orientation sexuelle de trois jeunes filles. Pour le reste, il n’y a pas grand-chose à retenir. Le récit, basé le plus souvent sur des silences et des regards, ne contient que des émotions aseptisées. La distribution (même si elle permet de révéler Adèle Haenel) reste également peu crédible avec des actrices de 18 ans censées représenter des gamines de 15 ans. Ainsi, malgré l’évidente sincérité du propos, le spectateur est maintenu à l’écart des contradictions vécues par ces demoiselles. Bref, du cinéma d’auteur engagé mais sans magie.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2023
    Marie, jeune fille introvertie, s’éprend d’amitié pour Floriane, aussi bien détestée qu’enviée auprès des autres jeunes filles de son âge. C’est dans le secret des vestiaires de la piscine municipale que leurs destins vont se croiser et faire naitre le désir…

    Deux mois seulement après le premier long-métrage de Lola Doillon (Et toi, t'es sur qui ? - 2007), c’est au tour de Céline Sciamma (Tomboy - 2011) de réaliser elle-aussi son premier long-métrage. Leurs points communs ? Ils ont été tous les deux présentés lors du 60ème Festival de Cannes, dans la section Un Certain Regard et tous les deux abordent pour thème principal l’adolescence (à travers la découverte du corps et l’apprentissage de la sexualité).

    Avec Naissance des pieuvres (2007), la réalisatrice (de 27ans) dresse le portrait de trois jeunes filles en pleine adolescence. Marie (Pauline Acquart) l’observatrice boudeuse, Anne (Louise Blachère) la bonne copine rondelette & Floriane (Adèle Haenel) la nageuse aguicheuse. Toutes les trois cherchent l’amour avec un grand A, attendent leur première fois avec impatience ou se cherchent tout simplement une bonne copine.

    Céline Sciamma nous entraîne dans leurs aventures, au grès de plusieurs passages mélancoliques, touchants ou rêveurs, comme la scène qui se passe dans une piscine municipale où a lieu un spectacle de natation synchronisée.

    Un premier film qui en dit long sur les talents de cette cinéaste en herbe. Céline Sciamma parvient avec beaucoup de sincérité et de sensibilité, à mettre en lumière les premiers émois adolescents, le tout, empreint d’une B.O électrique et envoûtante, que l’on doit à Jean-Baptiste de Laubier (Para One).

    (critique rédigée en 2011, réactualisée en 2023)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Akamaru
    Akamaru

    2 801 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 septembre 2008
    Une chronique adolescente pudique et réaliste.Voilà ce qu'est "Naissance des pieuvres".La réalisatrice Céline Sciamma propose un angle de vue inédit sur l'émergence des premiers désirs et des émois amoureux.Tout en non-dits et souffrance intérieure.3 adolescentes de 15 ans en relation avec le monde aquatique,métaphore des bouleversements intérieurs.Marie,l'admiratrice timide et passionnée qui découvre son homosexualité.Floriane,la reine de la natation,distante,qui se ment à elle-mème.Et Anne,la femme-enfant complexée et attachante.Le monde autour d'elles n'existe pas.Elles sont dans leurs bulles,d'ou sont exclus les garçons et les parents.Beaucoup de longueurs,mais les ados se reconnaitront dans cette première oeuvre.Et Pauline Acquart,dont c'est le premier role,a une grande carrière devant elle...
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 233 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2023
    La pieuvre c’est l’envahissement de nos entrailles par le désir suite à une rencontre. Céline Sciamma en fait un premier film troublant et original – tant au scénario qu’au point de vue technique – sur l’éveil brouillon à la sexualité et les relations ambigües de trois gamines très différentes et très libres (il n’y a pas trace d’un quelconque parent). Il y a celle qui plaît, la taiseuse et la maladroite. Toutes trois paumées, chacune à leur façon – et toutes trois excellemment castées. Le tout sur fond de danse aquatique. La mise en scène est maîtrisée, malgré une ou deux scènes dont on aurait pu se passer.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2007
    Du film sur l’adolescent, le cinéma français en a récemment été très productif : «Et toi, t’es sur qui ?» (2007) de L. Doillon, «Hellphone» (2007) de J. Huth, «Meurtrières» (2006) de P. Grandperret, etc… «Naissance des pieuvres» (France, 2007) de Céline Sciamma pourrait être un de ceux là. Le film de Sciamma, scénariste de formation, se concentre sur l’intimisme de la relation d’un trio davantage que sur la véritable analyse de l’adolescence féminine. Le trio se compose d’une fille charnue pratiquant avec maladresse la natation synchronisé, d’une jolie fille à la mine arrogante, et une troisième, amie avec les deux séparément et garrot du film. De la naissance, il y a la création (du moins la métamorphose) de la troisième fille, qui est premièrement davantage à l’image de la fille potelée puis «se transforme» en la deuxième fille. Il y a également la découverte de sa son homosexualité. Sur ce point sensible, Sciamma reste d’ailleurs évasif, non par fausse pudeur mais par respect pour la délicatesse du sentiment naissant. Des pieuvres, il y a cette idée de flexibilité. Les trois adolescentes sont en effet sujets à de vifs renversements émotionnels. Tantôt fille amoureuse et puérile, tantôt fucking friend malgré elle pour la première fille ; tantôt fille facile et froide, tantôt amie sincère et attirée pour la deuxième. La troisième reliant les deux personnages incarne le plus aisément la métamorphose opéré par le film. Axés sur les accointances, les fils qui relient les personnages forment la toile du film. Car plus que l’intrigue, l’esthétique des plans se voit aussi axé, comme géométrisé, les lignes s’entrecroisant comme les imbroglios de la pieuvre. De la naissance de ces pieuvres, adolescentes mutant, s’ouvre une étrange conclusion qui semble renouer la boucle, remettre en place la hiérarchie de départ. Comme une pieuvre en alerte qui changerait de couleur, le film est cet instant de l’alerte où l’émoi de l’adolescence interpelle les palettes de nos sentiments.
    Guiciné
    Guiciné

    127 abonnés 1 205 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 août 2007
    Film décevant par son scénario vraiment mince, par le manque de joliesse et de gràce qu'auraient pu nous offrir les actrices et surtout par un côté malsain qui transparait. La mise en scène manque de rythme et certains plans sont vraiment trop long. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 juillet 2011
    Bof je vais pas m'éterniser sur le sujet .. je n'aime pas aimé. J'ai trouvée cela ennuyeux, je me suis même demandé si je n'allais pas couper avant la fin, j'ai vraiment pas accroché.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 mars 2013
    Ce film manque vraiment de rythme. On espère, on espère, mais finalement rien ne vient à la fin et le film se finit finalement en « queue de poisson »… Déception.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 août 2007
    "Naissance des pieuvres" est un film terriblement long et ennuyeux. Une étoile destinée à l'héroïne, qui joue à la perfection. Sinon, un film sans intérêt. Vraiment.
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