Derniers Avis : Quantum Of Solace - Page 30

Un James Bond plus réaliste que jamais. On oublie les gadgets, à notre plus grand dommage, et on voit ce personnage dont la mort de sa "girl" du précédent volet pèse sur la conscience. On est plongé dès le début dans l'action, un peu trop d'action, on a affaire à un James Bond plus révolutionnaire, ce qui a pu déplaire les fans inconditionnels de ce monument du cinéma. On attend la suite !

Quantum Of Solace : Ce film qui veut marcher sur les pas de ses prédécesseurs classiques du genre réussit dans le sens où le scénario est resté le même : je n'en dirais pas plus. Ca nous bombarde d'explosions, de scènes d'actions à l'esthétisme excellente, et c'est ce qui fait le charme de ce film. A part ça, rien, que dalle. On retrouve un James Bond qui a à peine change - oui maintenant, il est blond - et qui se veut crédible mais manquant cruellement de charisme, c'est sûr, il ne vaut pas ses prédécesseurs.

Un film qui n'égalera pas le précédent volet de la saga James Bond, mais qui par son rythme et le jeu de Daniel Craig notamment, se savoure parfaitement. On retrouve malgré tout des scènes à la "James Bond", que seul notre héros so british peut nous réserver !

Après Casino Royale, on s'attendait à un nouvel opus très fort... toutefois l'intrigue est très compliquée à comprendre, et quand on l'a compris on peut remarquer sa grande légèreté.
En conclusion: décevant!

Bien que peu orthodoxe en la matière, Casino Royale avait pour le moins réussi son coup en modernisant la mythique licence d’espionnage, confortée par l’arrivée d’un superbe Daniel Craig en 007 ; il y avait donc de quoi espérer beaucoup concernant Quantum of Solace, d’autant qu’il s’agissait là de la toute première suite (directe) à un long-métrage bondien, de façon à accentuer encore plus la rupture précédemment amorcée… mais là où l’opus dirigé par Martin Campbell s’était avéré grandiose dans son ensemble, de quoi convaincre les plus sceptiques, ce 22e volet confié aux bons soins de Marc Forster en aura déçu plus d’un, et ce non sans raisons. Pour autant Quantum of Solace est dans mon cas un petit plaisir coupable, car bien que le trouvant effectivement inférieur à son illustre aîné, ce dernier constitue un divertissement détonnant et une suite somme toute correcte ; celle-ci démarre d’ailleurs sur les chapeaux de roues, au gré d’une course-poursuite automobile haletante… à laquelle succède une autre pédestre, musclée comme pas deux. Sacrée mise en bouche donc, et bien que l’on note une mise en scène parfois brouillonne, on comprend que ce James Bond ne va pas prendre de pincettes ; à ceci près que Quantum of Solace tombe finalement dans l’excès de violence, il y a un réel surplus d’action l’éloignant définitivement de l’élégance de Casino Royale, ce qui est bien dommage. Cela tient aussi du fait qu’à la romance succède ici une vengeance implacable, et que cette dernière colle moins à l’allure inflexible et intouchable distillée par Daniel Craig, toutefois excellent ; l’approfondissement du personnage se révèle donc bien moins probant qu’attendu, et que dire de la fausse James Bond Girl Camille, qui bien que campé par la plaisante Olga Kurylenko n’égale en rien le charme comme la dimension scénaristique d’une Vesper Lynd. A l’image d’une trame pourtant bonne, fort d’une organisation Quantum mystérieuse et coriace (qui donne lieu à une représentation de la Tosca jubilatoire), le tout se trouve sabordé en partie par d’un côté le trop-plein d’action, et de l’autre une galerie de protagonistes peu convaincants… à la tête de laquelle se trouve un Dominic Greene plutôt fade, le frenchie Mathieu Almaric paraissant plus blasé qu’autre chose ; le final est ainsi aussi explosif que poussif, heureusement que l’épilogue vient conclure de façon cohérente et logique une intrigue de base prenante, faisant par la même occasion de Quantum of Solace une suite étonnamment savoureuse. En résumé il est indéniable que ce James Bond est le plus faible de l’ère Craig, mais il ne s’agit pas là d’un fiasco total, oh que non : il subsiste une trame réussie, endiablée et dynamique à souhait, et un divertissement d’action grisant. Daniel Craig sauve donc les meubles, et le plus grand défaut du film s’avère d’être au final peu bondien dans son essence, au contraire d’un Casino Royale qui était parvenu à concilier modernité originale et codes propres à 007…

une vrai deception moi qui avait aimer casino la sai a chier

Ce n'est pas un mauvais film en soit mais il a la mauvaise idée d'arriver après un impressionnant Casino Royale. La mise en scène n'est pas maîtrisés, les scènes d'actions à la Jason Bourne deviennent presque épileptiques et tout ce qui faisait que Casino Royale était une réussite a disparu, dommage.

Dans Casino Royale, Martin Campbell avait parfaitement réussi à combiner action, scénario, suspense et nouveau James Bond ; le Bond-Craig, plus bad-ass que d'ordinaire. En bref, son reboot c'était du très bon. Qu'en est-il de ce Quantum of Solace ?

Et bien c'est beaucoup moins satisfaisant. Premier gros point noir que l'on constate dès les deux premières minutes ; l'action est tout simplement illisible et épileptique. Et ce sera le cas durant tout le film. Mais ce n'est finalement qu'une conséquence du fait que la mise en scène soit terriblement bateau. Première conclusion ; Forster n'avait définitivement pas la carrure pour réaliser un James Bond.
Ensuite, on remarque assez vite que le film cache ses nombreuses faiblesses scénaristiques derrière des dialogues à rallonge et que la psychologie de Bond est assez éclipsée. Pourtant, Daniel Craig a toujours autant de gueule et de prestance. Mais de ce point de vue là, lui ainsi que Judi Dench devaient se sentir bien seuls. En effet, le rôle de méchant psychotique ne convient pas réellement à Mathieu Amalric et Olga Kurylenko est une James Bond Girl bien décevante comparée à la sublime Eva Green. En plus d'être bien moins jolie (c'est subjectif bien évidemment, je serais plus Gemma Arterton pour le coup), son histoire fait pâle figure à côté de celle de l'énigmatique Vesper.

Gardons cependant en tête la scène de l'opéra, brillant pour le coup par son aspect espionnage et infiltration, ainsi que quelques thèmes musicaux intéressants.
En bref, Quantum of Solace est un film d'action qui, sans être terriblement mauvais, se révèle bien banal à côté du très bon Casino Royale. Espérons que Sam Mendes saura redonner de l'intérêt à tout cela avec son Skyfall.

Véritable succession des scènes d'actions très impressionnantes dans la première partie du film et l'histoire en prend un coup. Ensuite le scénario prend de l'ampleur et revient un peu dans la tradition bondienne. Un opus violent mais qui contient un méchant charismatique et une fin énorme.

Difficile de passer après Casino Royale, sorte d’incarnation parfaite de tous les ingrédients chers aux fans de James Bond, porteé par un nouvel acteur qui avait été acclamé à juste titre après son choix très décrié. Et donc Quantum of Solace a été vite annoncé comme très décevant à sa sortie.
Disons le tout de suite, c’est très excessif. Quantum of Solace revient à une forme de film d’action plus pure que le détour du Casino Royale, et de ce coté là, on est bien servi : plusieurs scènes sont largement au niveau de l’ambition naturelle d’un James Bond, et très efficacement réalisée : l’introduction, évidemment, la poursuite à Sienne, ou encore la judicieuse scène de l’Opéra.
Pour les à coté, certes, ce James Bond là fuit l’humour et l’ironie. Mais pour moi il se rattrape par deux points forts : premièrement, l’étonnante Olga Kurylenko, génialement désérotisée, ce qui en fait pour moi de son personnage la meilleure jamesbond girl récente après Eva Green. Et puis le propos géopolitique, très audacieux (et certainement pas compris par 95% des spectateurs), qui dénonce la très moche « guerre de l’eau et du gaz » en Amérique Latine, c’est à dire les méthodes de l’impérialisme américain. Le Spectre peut donc ici, être, ambiguïté brillante, désigner les services américains. Saluons au passage Mathieu Amalric, qui signe une belle prestation.
Voilà, ce n’est pas un grand James Bond, mais pour moi il est dans la bonne moyenne, voire un peu au dessus.

Suite de Casino Royale, Daniel Craig excelle une nouvelle fois en James Bond. Très bonne histoire encore une fois. Un nouveau souffle pour James Bond.

un james bond décevant. Lent et ennuyeux. Ils avaient mis la barre très haute avec casino royale, ils n'ont pas réussi a la frôler.

Dans la lignée de Casino Royale - tant au niveau de l'intrigue qu'a celui de la déception qu'il m'a procuré -, Quantum of Solace est un bon film d'action, mais pas un bon James Bond, et c'est la où le bât blesse ... et encore, si Casino Royale faisait gagner la série en profondeur, Quantum of Solace ne parvient pas à faire aussi bonne impression, et l'histoire est mal articulée. Que reste-il alors, quand on ne peut déplorer l'absence de tout ce qui fait le charme de la série ? Pas grand chose, et en vérité juste de quoi donner 2 étoiles et demi ...

Bon James Bond, effets spéciaux et cascades plutôt incroyables, mais les premières scènes d'actions justement ne sont pas bien filmés, la caméra bouge énormément, ce qui rend la situation confuse. Malgré ça, un bon divertissement.

Je n'ai jamais été fan de James Bond, alors ce film n'arrangera pas les choses. Etant le premier de tous que je vois en entier, j'en suis ressorti avec le sentiment d'avoir vu seulement de jolies images avec des explosions, des pistolets et de belles femmes partout. Ainsi que de l'action mal filmée. Le pire reste Daniel Craig. Il affiche une totale absence d'expression qui reste pénible. Il conduit un avion qui va se crasher ? c'est comme s'il était tranquillement allongé dans son fauteuil. Et jamais un sourire. Heureusement que ses blagues nous sortent un peu de la monotonie. Gemma Artenton est ici juste pour son corps et faire office de conquête amoureuse pour Bond. Mathieu Almaric est le seul bon acteur du film. Son rôle de méchant lui va superbement bien. Mais à quoi bon ? l'intérêt du film s'est déjà écroulé. Si un autre se fait, ça se fera sans moi.