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Kana57
30 abonnés
888 critiques
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2,5
Publiée le 23 novembre 2020
Revu Quantum Of Solace je le trouve moins bien que Casino Royale pourtant la suite directe du Film mais avec une réalisation Épileptique sa gâche tout le plaisir dommage c'est pas totalement mauvais mais sa reste un Film oubliable ⭐⭐
Les James Bond ne sont généralement pas crédibles mais celui-ci est grotesque : scénario débile, scènes d'action stroboscopées qui font mal aux yeux (on a droit à toutes les locomotions : voiture, jambes, bateau, avion, parachute), musique assourdissante etc. Tous les poncifs de la franchise sans le charme et l'efficacité de Casino Royale. Suite ratée.
Cette suite de casino royale est un cran en dessous du fait d'une scénario moins approfondi et prenant, de cascades moins impressionnante. Logique que l'on peut faire une comparaison surtout lorsqu'on lance ce film comme une suite. Néanmoins la réalisation reste comme tour James bond de grande qualité.
La stratégie du film d’action ultra-vitaminé à la sauce « Die Hard », « Mission impossible » et « Jason Bourne » avec un Daniel Craig bodybuildé et impassible ayant permis à « Casino Royale » de décrocher le jackpot, le couvert est remis deux ans plus tard. Le budget est largement augmenté, laissant peut-être espérer aux producteurs une magique règle de trois. Eon Productions va quelque peu déchanter, « Quantum of Solace » n’arrivant pas à égaler les recettes du premier James Bond de l’ère Daniel Craig. Le scénario toujours écrit par le tandem Neal Purvis/Robert Wade soutenu par Paul Haggis joue quasiment la même partition. Daniel Craig a pris quelques muscles supplémentaires et raidi encore son jeu. Il faut dire qu’il a affaire en la personne de Mathieu Amalric à un méchant particulièrement visqueux mais malheureusement frisant souvent le ridicule. Pour assombrir encore un peu l’humeur d’un 007 qui n’en n’avait pas besoin,spoiler: le scénario l’a lesté d’un chagrin inconsolable hérité du dernier épisode après qu’il a assisté à la mort de la belle Eva Green qui l’avait pourtant trahi . Encore une fois, l’action menée à la vitesse d’un TGV lancé à grande vitesse passe très vite au second plan n’offrant d’autre choix au spectateur que de se réjouir des cascades numérisées d’un Jspoiler: ames Bond dénué de toute humanité, n’hésitant pas à balancer son meilleur ami (Giancarlo Giannini) mort dans ses bras dans une poubelle d’une rue malfamée de La Paz . Comme diraient certains : « Imagine-t-on Roger Moore … ?». La critique sera cette fois-ci assez sévère. Jean-Baptiste Thoret grand spécialiste du cinéma américain des années 1970 à nos jours ira même jusqu’à renommer le film « Quantum of Supplice », comparant la vision du film à une douche glacée. Tout est dit. Heureusement, quatre ans plus tard le très talentueux Sam Mendès viendra remettre un peu de talent et surtout de créativité dans une saga prenant une vilaine tournure.
Après un excellent Casino Royale, on redescend très vite de l'échelle avec ce Quantum of Solace. Ce film manque cruellement de punch et de saveur, probablement dû à une intrigue faiblarde et peu pertinente. Un manque de tension et d'enjeu. On n'a pas l'impression de regarder un James Bond mais un film d'espionnage lambda. Ce n'est pas une coïncidence si ce film dure ~40 minutes de moins que les autres opus de la phase Daniel Craig et paradoxalement le film qui est le plus long et dur à regarder. Bien sûr ce film reste regardable et est plutôt un bon divertissement, mais j'ai pas trouvé l'identité 007. On dirait que ce Quantum of Solace est là par défaut.
La saga retombe dans ses torts avec ce volet, beaucoup trop cliché d'espionnage et d'action. Le scénario est décousu et les personnages survolés. Enfin, la réalisation est épuisante, les scènes d'action donnant lieu à un montage saccadé où les plans changent toutes les secondes. Illisible.
Clairement le moins bon des James bond avec Daniel Craig. Trop d'action, histoire simple et en même temps très alambiquée et mise en scèneClairement le moins bon des James bond avec Daniel Craig. Trop d'action, histoire simple et en même temps très alambiquée et mise en scène épileptique qui fatigue assez vite des les 5 premières minutes du film. Après Mathieu Amalric est un choix évident de méchant de James Bond et l'action bien que opulante permet malgré tous ses défauts de passer le temps sans avoir à regarder sa montre. Mais rien de transcendant loin de là. épileptique qui fatigue assez vite des les 5 premières minutes du film. Après Mathieu Amalric est un choix évident de méchant de James Bond et l'action bien que opulante permet malgré tous ses défauts de passer le temps sans avoir à regarder sa montre. Mais rien de transcendant loin de là.
Dans la série, « ca démarre fort puis ça ne tient pas la route » ou dans le genre « le scénariste a été remplacé avant la fin de son oeuvre », je vous présente Quantum of Solace ! Le début en Italie est vraiment passionnant puis le film faiblit, faiblit, faiblit jusqu'à un final lénifiant. Malheureusement, James Bond a perdu son humour (j'espère d'ailleurs que les acteurs incarnant James Bond ne sont pas payés à la ligne de dialogue, sinon pour Daniel Craig, cela serait le minimum syndical !) et souffre trop de la comparaison avec un autre JB : Bourne, Jason Bourne : le héros de la trilogie adaptée des romans de Robert Ludlum. Mention spéciale quand même pour la deuxième James Bond Girl, Gemma Arterton, qui campe l'agent Fields. Son charme est inversement proportionnel à la profondeur de son personnage, comme Caterina Murino avant elle dans le précédent opus de la série A ce propos, « Casino Royale », bien qu'imparfait (cf. ma critique sur ce site), avait marqué un certain renouveau de la série. « Quantum of Solace » prouve que ce renouveau n'a pas fait long feu. C'était mieux avant (époques Roger Moore & Sean Connery) ! J'avais été enthousiasmé par une précédente oeuvre du même réalisateur, Marc Forster, quand celui-ci avait davantage d'idées à véhiculer à travers ses oeuvres. Cela s'appelait « A L'Ombre de la Haine » (Monster's Ball, 2002) et autant je me rappelle encore de ce film 6 ans après, autant je ne suis pas certain que je me souviendrais de « Quantum of Solace » dans le même laps de temps.
Un second Bond avec Daniel Craig qui est la suite directe de Casino Royal. Daniel Craig est à l'aise, il est violent, froid, humour noir, mais toujours incontrôlable. Un volet qui a misé davantage sur l'action que sur le scénario. Un peu décevant comparé au précédent, mais il demeure efficace. Surtout le dénouement final.
Franchement bon et efficace, un cran en-dessous de l'excellent Casino Royale, certes, mais toujours pertinent, divertissant et captivant. On nous sert ici de supers cascades, de l'action comme on l'aime. QUANTUM OF SOLACE est un bon opus de la saga 007, je ne suis pas déçue.
Un film d'action correcte mais le plus mauvais James Bon de Craig. En comparaison aux autres épisodes celui-ci est nettement inférieur. Dès le départ le générique et la course poursuite ne sont pas terrible la ou James Bond à toujours exceller. Les nouveaux personnages sont tous oubliable et le film n'a pas l'élégance des autres volets celui-ci fait plus action et explosions. On ne passe pas un mauvais moment devant le film mais il faut partit de tout ces blockbusters d'action générique. La seul scène que j'ai trouvé digne d'un Bond est celle de l'opéra.
Trop d'actions, trop rapide, on ne prend pas assez le temps de nous accrocher au film. C'est dommage car Daniel Craig est à mon goût l'un des tous meilleurs James Bond mais son personnage n'est pas travaillé. L'histoire n'est pas mauvaise mais trop d'incohérences et de situations improbables...
Ce n'est pas le meilleur film de la franchise mais c'est un solide film d'action. Plus court que d'habitude (1h45), il est la suite directe de Casino Royale. Très rythmé il enchaîne les scènes d'action, emmené par un Daniel Craig au sommet de sa forme.
Quantum of Solace est le moins bon des James Bond sous l'ère Craig pour moi. Après un excellent Casino Royale, le film déçoit forcément. La raison première, bien sûr, c'est que les attentes sont hautes vues les qualités de l'opus précédent. On retrouve Bond presque là où on l'a laissé des Casino Royale. Et, dès la scène d'intro, on voit l'un des gros problèmes du film: ça va trop vite. Il y a beaucoup trop de cuts dans les scènes d'action et on s'y perd. Surtout que ça ne s'arrête presque jamais. Le film aurait gagné en qualité en prenant plus son temps, d'autant qu'il est plutôt court pour un James Bond. Si on retrouve plusieurs personnages de l'opus précédent, et ça fait plaisir, la majorité des personnages introduits dans le film ne sont pas à la hauteur car souvent peu développés. A commencer par celui de Almaric qui est plutôt ridicule et ce n'est pas le jeu d'acteur qui va le sauver. Au-delà de son personnage, c'est Quantum, le groupe dont il fait parti, qui intéresse vraiment. Pour ce qui est des James Bon girl, Gemma Atterton ne fait pas une longue apparition, et c'est dommage. Olga Kurylenko, par contre, a un personnage très présent. Son histoire à la fin prend presque même le dessus sur celle de James Bond et c'est plutôt dommage. spoiler: Surtout qu'au final, le problème de l'organisation Quantum n'est pas réglé.