Derniers Avis : Anaconda, le prédateur - Page 2

Ce film a été très très nul, aucune action c’est à s’endormir debout je le déconseille très fortement et ne fait pas peur du tout

Je lui donne 1/2 étoile pour le charisme de Jennifer Lopez, 1 étoile pour le charme de Jennifer Lopez. La vérité le reste du film, lui, ne sert à rien !

Petite série b que j'ai plutôt aimé. Dans la catégorie bestiaire tueur,voici l'anaconda un peu trop gros peut être pour être tout à fait réaliste j'avoue...
Jennifer Lopez , sublime chanteuse et actrice non dénuée de talent, donne la réplique à un Jon Voight retors et vicieux.
Bref, voilà notre équipe dans la jungle et les eaux troubles a la recherche du fameux serpent, plutôt asocial et qui aime pas qu'on vienne l'emmerder. Ils auraient dû lui fiche la paix,mais non.
En découle donc la succession des victimes du serpent géant, du bon gars au méchant Voight.
Happy end oblige,ce film est a ranger au rang des films de série b divertissantes a défaut d'innover dans le genre...

Dans le genre "hou la bébête, qu’elle est méchante", « Anaconda » fait dans le pathétique, tout juste sauver par... ben, heu... rien en fait..., ni personne d’ailleurs. Pour appuyer ce dernier propos, Il faut bien reconnaître que Jon Voight n’a jamais été aussi mauvais qu’ici.

Le film que j'aime regarder tout en sachant que quasiment rien est bon dedans. Les effets spéciaux, les acteurs, scénario etc... le genre de film que je regarde quand je m'ennuie ou que je suis fatiguer

Le principal (voire l'unique) intérêt de ce film réside au niveau du tee-shirt mouillé de J-Lo. Le scénario est lamentable, les personnages tous caricaturaux (particulièrement celui de Jon Voigt, grand méchant très très fort et très très méchant, et on ne sait pas bien pourquoi), quant aux effets spéciaux, ils sont ridicules au possible. Seulement, ce film est si mauvais qu'on en rigole et qu'on en arrive à passer un bon moment (ou presque) si on est d'humeur.

Je l'avais adoré à l'époque mais il faut dire que maintenant il a pris un sacré coup de vieux !
Jennifer Lopez est une très bonne actrice

Ce film, réalisé par Luis Llosa et sorti en 1997, n'est vraiment pas terrible. Enfin étant donné la très mauvaise réputation du film et de la quadrilogie en général, je ne m'attendais pas à grand film mais j'étais malgré tout assez curieux de le voir ! Ce n'est donc finalement pas la grande catastrophe à laquelle je m'attendais et même si ce n'est clairement pas un bon film, il n'en est pas non plus complètement mauvais. C'est ici l'histoire d'un groupe de jeunes qui s'aventure sur le fleuve amazonien avec un étrange chasseur d'anaconda, dans le but de réaliser un documentaire. Bon évidemment, le film s'appelle "Anaconda" donc on se doute bien qu'à un moment donné, ils vont être confrontés au monstre. Enfin, si j'ose la comparaison avec "Les Dents de la mer", nous avons également ici une représentation monstrueuse d'un animal qui est très exagérée puisqu'elle est fausse, tout simplement. Enfin c'est ici encore plus exagéré qu'avec le requin de Spielberg puisque le reptile est doté de caractères physiques n’existant tout simplement pas dans la réalité et on peut dire qu'ici, le trait est très forcé ! Enfin ce n'est malgré tout pas le plus gros défaut du film, nous avons certes un serpent aux capacités irréalistes mais, dans un sens, cela ne choque au final pas vraiment puisque cela rentre bien dans les critères de ce genre de production. Pour en revenir au scénario, il n'est, sans surprises, pas vraiment original et surtout très convenu (la fin est d'ailleurs assez débile) et nous présente d'ailleurs deux méchants, l'anaconda mais également spoiler: le chasseur
mais dont l'un est plus débile que l'autre (je vous laisse deviner lequel). Pour rester sur les personnages, ils sont d'ailleurs très clichés et assez mal écrits, nous connaissons d'emblée l'issue de l'histoire et qui sortira vivant de cette aventure. Les effets spéciaux sont quant à eux très mauvais, surtout en ce qui concerne l'anaconda réalisé par ordinateur. Du côté des acteurs, nous avons pourtant un casting assez sympa avec notamment Jennifer Lopez, Ice Cube, Owen Wilson et Jonathan Hyde qui ne jouent pas trop mal, Jon Voight le plus souvent ridicule, Eric Stoltz qui ne sert à rien et puis Danny Trejo dans une scène d'intro pas trop mal. "Anaconda, le prédateur" n'est donc dans l'ensemble vraiment pas terrible mais il peut être à limite divertissant.

Anaconda est une série Z en puissance. Ce mauvais pastiche de Les Dents de la mer est à appréhender au 42e degré. Dans l’autre cas ce ne sera qu’un supplice d’une heure trente durant lequel les effets spéciaux piqueront les yeux et où Jon Voight signera sa pire performance.

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Je trouve les critiques bien injustes...Evidemment Anaconda n'est pas une merveille en terme de scénario, les personnages sont archétypaux et j'aurais bien aimé voir un peu plus l'Amazonie...Mais ce film a quand même des atouts significatifs à faire valoir, et notamment les serpents que j'ai trouvés impressionnants, avec aussi diverses explications en ce qui concerne leur comportement, par exemple leur interaction avec leurs proies. Bien sûr ça vaut ce que ça vaut: ce ne sont sans doute pas les explications que ne donnerait un naturaliste!. La musique est bien faite, mention spéciale à la flûte de pan à la fin...Donc une série B devant laquelle passer un bon moment mais certainement pas une série Z (pour voir une série Z il faut voir ses successeurs).

Non mais, c’est sérieux ? ! Voilà en quelques mots le sentiment éprouvé après le visionnage de cette série Z ratée où presque tout prête à rire, involontairement malheureusement. Le casting est affligeant, on savait que J-Lo n’était pas une grande actrice et elle le confirme encore…tout comme Ice Cube, nettement pas au niveau. Seul Jon Voight s’en sort honorablement, même s’il est mal exploité. Le scénario est, comment dire, inexistant, l’idée étant de faire mourir un par un tous les protagonistes dans des situations souvent ridicules, par la faute du gros méchant serpent. Et quel serpent ? Sans être un incollable des anacondas, j’ai quand même l’impression que la bestiole est un peu exagérée, de par sa taille, sa grosseur, sa longueur, son intelligence… Après, on aurait pu pardonner toutes ces erreurs si le film ne s’était autant pris au sérieux et si, au moins, les effets spéciaux étaient au niveau des attentes...ce qui n'est pas le cas. Dommage car l’idée de l’anaconda tueur qui rode au fond des eaux aurait pu donner un bien meilleur résultat, si elle avait été un peu mieux exploitée.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Le magnifique navet au air venu de « l’étrange créature du lac noir » d’Amazonie, si ce n’est que dans cette version 1997, prenant la forme d’un gros serpent surdimensionnée, enrouler de son long corps puis étouffer sa proie jusqu’à mort s’en suive, le repas était appétissant pour le carnivore. En ouverture de scène, les présentations tremblantes par monsieur « Old El Paso », pauvre première victime de la fiction, le méchant Jon Voight finit par faire un clin d’œil mortuaire dans cette série B assumé, la poupée des premiers rôles, Jenny « Pépé » Lopez, la latina joue brésilienne.

Luis Llosa aime la jungle. Après Sniper en 1993, il y retourne quatre ans plus tard pour un film de monstres, un film sur les serpents. Un anaconda plus précisément. Et mine de rien, Llosa ne se refuse rien. Un tournage dans la moiteur d'une forêt brésilienne et une distribution aux petits oignons : Eric Stoltz, le rappeur Ice Cube, Owen Wilson, Danny Trejo, Jennifer Lopez et Jon Voight. Un Jon Voight à la grimace haineuse suscitant plus l'hilarité que la peur et que je soupçonne de s'être beaucoup amusé en chasseur de reptiles prêt à tout pour ramener un serpent géant au bercail. Encore faut-il parvenir à le capturer...On commence avec une mise en bouche : guêpes, phacochère, singe. L'anaconda n'interviendra qu'à la fin en boss final pour se régaler de ces aventuriers préférant allégrement se jeter à l'eau pour un oui ou pour un non plutôt que d'allier leurs forces (en fait, ils sont plus efficaces à deux qu'en groupe). Avec la magie des effets spéciaux, et leur âge aussi, chaque exécution entraîne un rire nerveux de la part du spectateur. Ne l'ayant pas vu à l'époque, peut-être qu'en se mettant en configuration "année 1997", ça faisait son petit effet. Je n'en sais rien. Vu sa pluie de nomination aux Razzie Awards, j'ai ma petite idée sur la question. Et si dans L'Expert, précédent film de Llosa, on voyait la plastique de Sharon Stone sous la douche, on ne verra rien de celle de J.Lo. Désolé.

Bienvenue dans la jungle amazonienne où la végétation luxuriante n'a pour but que de cacher les monstres qu'elle nourrit, monstres qui ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Anaconda, le prédateur a le mérite - on ne l'espérait plus - de s'écarter du schéma imposé depuis Les Dents de la mer pour proposer une réflexion sur le pouvoir que tire l'homme de la nature qu'il exploite avidement. L' anthropologue et son équipe sont confrontés à un braconnier fasciné par les serpents et par la gloire que les plus gros spécimens peuvent garantir, trouvent en somme un monstre bien plus inquiétant que l'anaconda qu'ils traquent délibérément ; pourtant, ils ne semblent guère plus professionnels que cet individu, superficiels et gorgés d'ethnocentrisme. Deux couples flirtent, un homme joue au golf. La découverte finale du peuple ne dure que quelques instants, laissant présager la même exploitation des hôtes venus au secours des naufragés comme ce fut le cas quelques jours auparavant lorsque Jon Voight appelait à l'aide. Le propos se double d'une mise en scène efficace quoique brutale dans la première partie ; la réalisation de Llosa consacre les prédateurs par des plans iconiques non sur-découpés rendant les scènes d'action lisibles. Les effets visuels sont d'une qualité incroyable : le serpent terrifie par son animation plus vraie que nature, rythmée par la belle composition musicale de Randy Edelman. Les acteurs livrent de bonnes prestations avec, en tête, le délicieusement horrible Jon Voight dont le clin d'œil final amuse autant qu'il glace d'effroi. Anaconda, le prédateur s'avère être un très bon film, honnête et trépidant, à l'atmosphère poisseuse et étouffante.