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    L'espion qui m'aimait
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    234 critiques spectateurs

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    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2015
    Je ne suis pas un gros fan de l'ère Connery, mais j'avais bien aimé On ne vit que deux fois, qui sortait un peu du lot. Lorsque j'ai vu que le réalisateur, Lewis Gilbert, revenait à la réalisation pour L'Espion qui m'aimait, j'ai été sceptique, parce que l'ascenseur de qualité des différents opus de Guy Hamilton fait peur. Heureusement, il semblerait que Gilbert fasse correctement son travail, quand il ne s'agit pas de faire une suite commerciale (Moonraker c'est toi que je regarde). Le film a son lot d'éléments exagérés, mais contrairement à d'autres épisodes ça passe, ils sont suffisamment espacés et on appuie pas dessus lourdement. L'antagoniste veut recréer l'Atlantide ? J'ai envie d'y croire, parce qu'il est fasciné par les poissons au point de garder des requins chez lui et parce qu'il a construit une maison-usine submersible digne des grands méchants de dessin animés. Jaws a l'air niais ? Cela colle bien à sa carrure de colosse et sa maladresse parfois dévastatrice. L'ambiance est bon enfant sans pour autant virer dans le débile complet. Cette fois ci James Bond est affublé d'une acolyte intéressante : Anya Amasova, une espionne russe. On apprend au début du film que Bond a tué son amant lors d'une précédnte mission. A partir de cette information, on devine aisément l'évolution de la relation des deux protagonistes. C'est très convenu, mais il y a un jeu de confiance qui s'installe, chaque agent devant coopérer avec l'autre alors que leur pays sont censés être ennemis. C'est plutôt bien orchestré, le long-métrage n'hésitant pas à se moquer de cette situation. Je salue d'ailleurs la volonté de ranger les Russes du côté des gentils pour une fois, surtout en pleine Guerre Froide (c'était avant Ronald Reagan, mais quand même). L'Espion qui m'aimait est un épisode solide et prenant. Le meilleur de Moore selon certains, on verra si le futur leur donne raison.
    Anthony Stark
    Anthony Stark

    53 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2015
    Il faut dire que je n'ai pas encore vu un excellent Bond avec Moore. Même si ce dernier joue toujours aussi bien, j'en attendais beaucoup plus de ce nouveau volet que tout le monde qualifiait comme l'un des meilleurs James Bond. Le scénario est assez simple et la musique est quasiment absente! Le générique est bon mais il est loin d'être l'un des meilleurs. La Bond girl dans cet opus est l'une des plus sexy mais aussi l'une des plus intéressantes de tous les James Bond. Elle forme un excellent duo avec Roger Moore qui marche du tonnerre! Quand à Requin...Je le trouve un peu ridicule. Considéré comme l'un des meilleurs ennemi de James Bond, je regrette mais le géant quasi invincible pour on ne sait quelle raison et avec ses dents en acier affreusement kitch n'est pas crédible un instant. Je préférait largement Christopher Lee dans "l'homme au pistolet d'or". Certains effets spéciaux ont bien vieillis, d'autre beaucoup moins... Bref, un James Bond honorable mais pour ma part, il ne fait pas du tout parti de mes James Bond préférés...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 mai 2015
    L'espion qui m'aimait est pour beaucoup le meilleur James Bond de Roger Moore, et je ne peux qu'être d'accord avec eux. Ce James Bond n'apporte pas grand chose d'original par rapport aux autres, mais il fait bien son boulot et reste très divertissant, avec de bonnes scènes d'action, un humour meilleur que dans les opus précédents, et un Roger Moore beaucoup plus professionnel et moins guignol que d'habitude (cf la scène de l'interrogatoire sur le toit, qui relève même presque du sadisme) sans oublier une Bond girl intéressante, qui sert enfin à quelque chose (en plus d'être jolie), ce qui change des potiches habituelles, même si pour moi son côté agent soviétique aurait dû être plus poussé (la fin la décrédibilise totalement, c'est dommage, elle aurait dû essayer de tuer Bond). Mais ce qui apporte la grosse nouveauté du film, c'est Requin, un bad guy imposant, charismatique, effrayant et increvable, interprété par le regretté Richard Kiel. Ce mec est pour moi le meilleur ennemi que James Bond ait jamais affronté (grands méchants et sidekicks confondus). J'ai regretté un peu le classicisme du grand méchant, qui n'est au final qu'un vieux mégalo cruel, comme Blofeld ou Drax dans Moonraker.
    Un bon James Bond agréable, même si ça casse pas des briques non plus.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2020
    Assurément l’un des sommets de la franchise mais surtout le meilleur James Bond avec Roger Moore. A noter cependant que cette mission présente certaines similitudes avec celle de «on ne vit que deux fois» également réalisée d’ailleurs par Lewis Gilbert. Suite à la disparition d’un sous-marin nucléaire, les agences des services secrets britanniques et soviétiques s’unissent via leurs plus vaillants agents pour contrecarrer les plans d’un diabolique amateur du monde aquatique. Richement écrite, l’histoire de «l’Espion qui m’Aimait», tout comme sa mise en scène, se veut brillante, agrémentée d’efficaces et spectaculaires séquences d’actions. Un pré-générique vertigineux, une voiture amphibie mythique, de l'humour et des décors grandioses ainsi qu’un excellent casting, de la très belle Barbara Bach à Curd Jürgens, sans oublier Richard Kiel dans le rôle mémorable de "Jaws". Un must.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 avril 2015
    Un James Bond mythique. Un scénario bien construit avec de somptueux décor. C'est dans ce Bond qu'on voit pour la première fois Requin le célèbre tueur à la machoire d'acier. De plus c'est également celui ci où la Lotus sous marine fait son apparition. Un très bon James Bond et Roger Moore est vraiment top et arrive à nous faire oublier Sean Connery.
    vivilenono
    vivilenono

    31 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2015
    Rien à ajouter.
    tout y est, musique, casting, scénario, en bref un des meilleurs James Bond
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 mars 2015
    Un bon épisode de la saga James Bond. Roger Moore interprète avec classe l'agent secret Britannique. Barbara Bach est sublime dans son rôle d'espionne Soviétique. Cürd Jurgens dans le rôle du maléfique Stromberg est également très convaincant. Mais c'est Richard Kiel qui reste le plus mémorable dans ce film avec son interprétation du redoutable tueur aux mâchoires d'acier Jaws. La magnifique Lotus avec son lot de gadgets n'a rien à envier à l'Aston Martin. Le film comporte des scènes d'actions rythmées. Pour ma part, le meilleur épisode avec Roger Moore.
    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2015
    La poursuite à ski est incroyable, surtout quand on sait ce qu'il aurait pu arriver au cascadeur avec le ski et le parachute ! Excellente musique classique chez le méchant mais ENCORE des requins ?! Sans doute un incontournable, car le personnage du "requin" parmi les méchants est sans doute mon préféré. Il a curieusement un côté sympathique tout en étant effrayant. J'adore son sourire. L'agent triple X et bien trouvée car assez stoïque, content de voir qu'elle fait le poids aux côté de JB. La lotus, rien à redire. Idem pour le side-car, original. Bref, un JB avec de bonnes répliques, des méchants charismatiques et robustes pour certains, j'ai passé un excellent moment et ai bien aimé l'intrigue.
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2014
    Un excellent James Bond. Le scénario est simpliste mais très efficace. Si la poursuite en voiture amphibie constitue un point un peu faible, le reste est excellent et notamment toute la partie finale sur le pétrolier qui est passionnante. Curt Jurgens campe un méchant assez moyen (il est quand même loin derrière Michel Lonsdale ou Christopher Lee). Barbara Bach est ses décolletés plongeant s'en sort très bien, les trop courtes apparitions de Caroline Munro sont tout à fait sympathiques et l'humour n'est pas absent spoiler: (on n'est pas près d'oublier Roger Moore, accrochant un panneau "Hors service" sur un cadavre tout frais)
    Benjamin A
    Benjamin A

    647 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2014
    Dixième mission pour l'agent Bond, "The Spy who loved me" nous entraîne dans une aventure où bloc de l'ouest et bloc de l'est font bataille commune pour retrouver des sous-marins nucléaires disparus.

    Il aura donc fallu attendre le troisième opus avec Roger Moore pour que j'apprécie enfin un de ses James Bond. Passé quelques problèmes de productions ainsi que l'arrivé de Lewis Gilbert derrière la caméra, le britannique nous entraîne dans une aventure efficace et palpitante où l'on voyage entre Egypte, Bahamas, profondeur de l'océan ou encore Autriche.

    Efficace, "L'espion qui m'aimait" joue parfois la carte de la surenchère mais une surenchère bien maîtrisée et jamais lourde (même si les touches d'humours laissent vraiment à désirer par moments mais ça s'améliore vis-à-vis de l'opus précédent) et on peut apprécier les différents gadgets et surtout les paysages, plus ou moins exotique, qu'il met très bien en valeur. Les morceaux de bravoure ne manquent pas, allant de la scène d'introduction et ses cascades de ski jusqu'à celle finale en passant par certaines séquences sous-marines.

    La réussite vient aussi de ses personnages avec un duo de méchants mégalos à souhait et réussi (notamment le requin) qui fait face à un duo anglo-soviétique charismatique et plaisant à suivre, signe d'une détente et d'un message pacifique. Barbara Bach est magnifique et prête ses formes à une James Bond girl bien travaillée et qui n'a rien des potiches qui ont marqué les deux premiers Bond de Roger Moore. Quant à ce dernier, si ce n'est pas encore parfait, il porte plutôt bien le costume de Bond et en face de lui, Curd Jürgens apporte sa présence au méchant.

    Un opus réussi qui nous emmène dans divers endroits du monde et bénéficiant de personnages réussis et d'une réalisation efficace et maîtrisée signée Lewis Gilbert.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    Après les pathétiques "vivre et laisser mourir" et "l'homme au pistolet d'or", celui-ci signe une reprise en main énergique de la série au point où Sean Connery l'avait laissée. Ouf, 007 n'est pas mort et renoue avec ses fondamentaux : un acteur cool enfin à l'aise dans son rôle, une James Bond girl à la plastique sympa (et nettement moins potiche que d'habitude), des scènes d'action maîtrisées, un méchant (Requin) très bien trouvé, une nouvelle voiture bourrée de gadgets, des dialogues un peu moins tartes... L'espion qui m'aimait est sans doute le meilleur de la série avec Roger Moore.
    Top of the World
    Top of the World

    54 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2014
    "L'espion qui m'aimait" contient beaucoup d'éléments d'un "James Bond movie" classique et efficace: des gadgets ingénieux, des décors sophistiqués, une James Bond girl séduisante (au rôle plus étoffé que la moyenne), un méchant diabolique et des scènes d'action plutôt inventives. Malheureusement, Roger Moore peine à assumer ces dernières. L'acteur, à l'aise dans la séduction, ne dispose pas d'un registre assez physique. Et le personnage culte de Requin est finalement assez décevant, son extrême bêtise le rendant trop peu inquiétant. Un épisode assez représentatif de la série en somme: souffrant de quelques imperfections mais globalement divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 octobre 2014
    Ça commence fort, le spectateur est tout de suite mis dans le bain par l'annonce de deux sous-marins nucléaires disparus. Si Lewis n'a pas réalisé de véritables chefs-d'œuvre, il a le mérite d'entrer dans le bain tout de suite a contrario des deux opus précédents (Vivre et laisser mourir et L'Homme au pistolet d'or) tournés par Guy Hamilton qui ne m'avaient pas emballé. Je retrouve cette fois, le vrai James Bond avec un Roger Moore preste et élégant. Albert Broccoli s'est séparé de Harry Saltzman, son co-producteur et a retrouvé sa liberté d'action laissant courir l'imagination du scénariste, ce qui donne un film tout en mouvement. De plus, si l'on retrouve les membres habituels du service, M le chef, Q le monsieur gadgets, et Moneypenny, la fidèle secrétaire di MI6 interprétée par Loïs Maxwell, qui perd de sa fraicheur mais est toujours aussi pimpante, Lewis Gilbert s'est adjoint les services de deux acteurs que l'on retrouve dans maintes productions : Curd Jurgens et surtout Richard Kiel dont le rôle de Requin immortalisera le personnage. Broccoli a fourni des moyens importants à Lewis Gilbert, ce qui a permis de réaliser un film à grand spectacle d'une grande qualité. Les décors sont somptueux, l'action est omniprésente, les sites naturels ravissent les yeux, les scènes en extérieur valent le déplacement, les cascades et les effets spéciaux sont particulièrement réussis. James Bond et l'agent Anya Amasova rivalisent de malice et de complicité pour notre plus grand plaisir. "The Spy Who Loved Me" est l'un des meilleurs James Bond qui soit.
    Edouard L.
    Edouard L.

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    Un James Bond unique où il rencontre son équivalent féminin! Passionnant et à voir absolument!
    L'Infernaute de l'Apocalypse
    L'Infernaute de l'Apocalypse

    37 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Dixième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond. Pour cette dixième aventure James Bond doit faire équipe avec un agent des services secrets soviétique, Anya Amasova alias XXX, car en effet deux sous-marins, l’un britannique et l’autre soviétique, ont mystérieusement disparus. Les agents 007 et XXX doivent à tout prix retrouver ces deux sous-marins car tout deux transportaient des missiles nucléaires et si quelqu’un s’avérait a s’en servir, l’avenir de la planète serait menacé. Une aventure palpitante et explosive commence. L’Espion qui m’Aimait marque la troisième apparition de Roger Moore dans le rôle de l’espion 007 et dans son meilleur film de James Bond car en effet L’Espion qui m’Aimait est un chef d’œuvre du genre, le genre James Bond. C’est un chef d’œuvre car l’histoire est parfaite avec pour idée générale de sauver le monde, 007 a du pain sur la planche. L’histoire est menée sans temps mort et enchaine péripéties et morceaux de bravoure dans des scènes d’action explosives. Le spectateur ne sera certainement pas dessus car le film en possède plein: il y a d’abord une superbe séquence pré-générique dans des montagnes enneigées où Bond est poursuivit par des tueurs soviétiques dans une poursuite géniale et qui se clôt par le saut d’une immense falaise où 007 déploie son parachute à l’effigie de l’Union Jack, il y a également de nombreuses bagarres avec un grand méchant culte de la série, Requin, des bagarres dans des temples égyptiens, dans un train, et dans le repère du méchant. Ensuite le film nous propose une spectaculaire course poursuite à voiture avec 007 et XXX, où Bond conduit une Lotus Esprit et est poursuivie, dans l’ordre par une moto avec un missile qui détruit un camion, ensuite par des voitures où Requin tire sur eux, par un hélicoptère piloter par une sublime créature et la course finira sous l’eau car la Lotus Esprit a la particularité de se transformer en voiture sous-marine et nos deux héros seront poursuivies par des hommes grenouilles et par des engins aquatique. Enfin il y a le moment explosif du film, il s’agit de la bataille entre les hommes de Stromberg et les prisonniers que Bond a libérés dans son immense navire, le Liparus, qui sert à stocker les sous-marins volés. Nous avons un affrontement épique avec des explosions, des morts, des fusillades, et la destruction du Liparus, une longue séquence d’action jouissive et il y a aussi le face à face entre Bond et Stromberg, le combat entre Bond et Requin (encore!) et la destruction de l’Atlantis, la base de Stromberg. En résumé L’Espion qui m’Aimait est un film explosif et le premier Bond avec Roger Moore où les scènes d’action sont originales et inventives. Maintenant parlons des acteurs: Roger Moore est vraiment un excellent acteur et un excellent James Bond également, il s’est approprié le personnage et est sérieux tout en balançant des répliques cultes comme: « -Les femmes aux volants! », une fille: « -Mais James! J’ai besoin de toi! », lui: « -L’Angleterre aussi! » ou « -J’ai peut être mal jugé Stromberg, un homme qui possède un Dom Pérignon cuvée 53 n’est pas complètement mauvais. » et encore « -Quand on est en Egypte, il faut se livrer à une visite approfondie de ses trésors. », « -J’ai déjà mangé mais je crois que je n’ai pas eu de dessert » dit-il en embrassant une séduisante femme. Roger Moore est vraiment hilarant quand il dit des répliques de ce genre. Ensuite la Bond Girl, Anya Amasova alias XXX, jouée par la sublime Barbara Bach, une des plus belle James Bond Girl de la série, et enfin les méchants oui car il y en a deux méchants dans L’Espion qui m’Aimait, d’abord le principal, Karl Stromberg joué par le très bon Curd Jürgens, un des meilleurs méchant de la série et l’autre c’est bien sur l’homme de main Requin joué par l’immense Richard Kiel qui interprète ce tueur au dents d’acier redoutable qui ne dit pas un mot, le personnage le plus culte de la série qui a la particularité de s’en prendre plein la tronche, par exemple lors de la séquence dans le temple égyptien Requin soulève une grosse pierre et la laisse tomber… sur son pied et la douleur ce lis sur son visage de manière comique. L’Espion qui m’Aimait possède également une magnifique chanson de générique, Nobody Does it Better chantée par Carly Simons, une des plus belles chansons de la série, et le film fait également le clin d’œil au film de David Lean, Lawrence d’Arabie car quand Bond et Amasova sont dans le désert on peut entendre la musique de ce chef d’œuvre en fond musical, on sait pas ce que sa vient faire là mais c’est fun. L’Espion qui m’Aimait est sans doute un des meilleurs Bond de la série avec son intrigue excellente, ses scènes d’action démentes et ses personnages géniaux. L’hère Moore atteint son sommet.
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