Derniers Avis sur Suicide Kings

Sur des dialogues et situations très drôles, le scénario est semblable à Cluedo, démontrer la vrai machination, avec ses rebondissements. Le grand Christopher Walken, tient à lui seul, le film, étant attachée sur un siège, tout le long durant, il ne lui reste que la parole, pour monter de jeunes loup, un entourage d'ami pour récupérer une fille kidnappée, les uns contre les autres. Un excellent polar, sous estimé.

En regardant ce film je m'attendais à voir un thriller néo-noir avec du suspense et de l'originalité. Malheureusement ce que nous obtenons est un film policier sans originalité et inutilement alambiqué qui tente d'être un film de Quentin Tarantino. En le regardant on a l'impression de regarder un remake de Reservoir Dogs avec une touche de Pulp Fiction ce qui n'est pas pour me plaire détestant ces deux films. Les cinq personnages principaux sont impliqués dans un enlèvement qui tourne mal puis il y a une légère intrigue non linéaire. Les personnages sont sous-développés même Christopher Walken qui est le centre de la scène semble quelque peu sous construit. Suicide Kings est décevant même avec son casting brillant et son investissement en matière de suspense ce film ne parvient pas à proposer quoi que ce soit d'original...

Une bande d'étudiants issus de familles riches kidnappe un gangster notoire. Leur objectif : le forcer à les aider, car la propre sœur de l'un d'entre a été elle-même kidnappée ! Film méconnu et sorti dans l'indifférence générale en 1998, "Suicide Kings" n'est pourtant pas inintéressant. La mise en scène est parfois maladroite (par moment on ignore si on doit rire ou prendre l'histoire au sérieux...), et les personnages ne sont pas toujours très malins, ce qui n'aide pas forcément à rentrer dans l'intrigue. Mais rapidement, le huis-clos fonctionne grâce aux dialogues et aux situations, les acteurs sont convaincants (en particulier Christopher Walken en mafieux qui parvient à tenir et tête et manipuler les jeunes gens), et l'histoire se laisse suivre sans mal. Divertissant.

Suicide Kings est à son mieux lorsque Walken est présent à l'écran. Le film se concentre sur un groupe de riches diplômés d'université qui kidnappe un patron de la mafia etc...Ce film était simplement sous-développé et il allait dans tous les sens. Le réalisateur a essayé de donner au spectateur beaucoup trop d'éléments à la fois. Même un casting comme celui-ci n'a pas pu sauver le film d'être un raté et j'ai été très déçu de ce que j'ai vu. Je pense que l'intrigue était très intéressante, mais il manquait quelque chose pour vraiment en faire un film hors concours. Le résultat final est un film médiocre et qui a gaspillé du talent à l'écran. Si le scénario et la mise en scène avaient été plus "travaillées", alors peut-être que le résultat aurait été bien meilleur et le film aurait vraiment été intéressant à regarder. En fait, c'était une histoire ennuyeuse. Christopher Walken est un grand acteur mais même lui n'a pas pu sauver ce film...

Un Christopher Walken excellent par contre le casting des jeunes acteurs apparaît beaucoup moins bon. Leur niveau est certes homogène mais ils ne cassent pas des briques. Le scénario propose quelques bonnes idées mais il contient des incohérences et il aurait pu être mieux ficelé. Un film pas désagréable mais largement perfectible.

Bof ! Rien de bien passionnant. Scénario faiblard, acteurs pas top (même Christopher Walken n'est pas convaincant même si on sent qu'il fait tout ce qu'il peut pour rattraper le jeu gnangnan de la bande...). C'est mou, prévisible... Bref; pas un navet, pas un chef-d'oeuvre, juste un film DVD moyen qui ne me marquera pas.

Ok, alors en fait, le film est juste aussi bon qu'il paraît mauvais. C'est juste super jouissif.
Christopher Walken crève une fois de plus l'écran et emmène tout son petit monde où il veut, chose d'autant plus difficile qu'il passe la totalité du film attaché à une chaise
(à un flash-back prêt, kitshissime à souhait, une tuerie, années discos et cheveux de deux mètres de long sont de sortie

Ce huis-clos lorgne évidemment sur réservoir-dog, c'est même presque un hommage, tout y'est
(film super manly, dialogues über crus, flash-backs, que des gangsters et autres portes flingues, dialogues totalement décalés mêlés à une violence subite et punchlines mortelles: un dé-li-cieux cocktail)
Mais il ne suffit pas d'imiter un style pour se l'aproprier. Ce qui peut sembler une faiblesse devient une force à partir du moment où le réalisateur ne fait pas que reprendre des codes pour rendre une bonne copie,
mais ou il prend des risques en appuyant son style pour servir un scénario vraiment efficace (l'histoire est vraiment bonne et originale) et qui justifie ainsi ce choix tarantinesque.

Ce qui semble de premier abord un film étudiant bon pour M6 les dimanches après-midi est en fait une vraie réussite, un tour de force avec une histoire en béton qui prend en haleine, des acteurs plus que convaincants
- et je ne parle pas QUE du brillant Walken, tout ce petit monde tire son épingle du jeu.

En bref, un SUSHI-GIRL like (les deux films ont en plus en commun un acteur lui aussi atypique: Henry Thomas, le petit de E.T.) très bon, atypique, avec ses quelques défauts (réservoir-dog n'en était pas moins dépourvu) qu'il faut encourager et qui fait bon voir dans cette époque où l'on débourse
des centaines de millions de dollars en super-production sans saveurs pour délaisser ce genre de pépite qui doit avoisiner les 10 000 dollars de budget mais qui possède un VRAI scénar intéressant avec des acteurs convaincants.

Un vrai bon huis-clos ovniesque. C'est rare. C'est bon. C'est goûtu. Enjoy

Un film bluffant méritant bien mieux que le mépris qui lui a été infligé à sa sortie. Certes il y a quelques vilaines longueurs, mais grosso modo c'est assez bien fait, Christopher Walken domine la distribution mais les seconds rôles sont plutôt bons (le personnage jouant Lobo est pas mal trouvé). Construit comme un jeu de poker menteur, le film nous berne jusqu'à la fin. Un bon spectacle bien jouissif

Ce film a été un gros bide à sa sortie, et pourtant il y a un petit quelque chose qui retient l'attention.... peut-être le scénario qui est un peu fouillé avec des rebondissements quoique déjà vu, peut-être la tension assez bien rendue, peut-être la galerie de personnages..... ce film mériterait un bon remake avec juste une réalisation plus dynamique et un montage moins ennuyeux..... bref, étrange de vouloir un remake et pourtant c'est ce à quoi l'on pense à la fin......

Un thriller bien léger ! "Suicide kings" ne surprendra pas, ne serait-ce qu'une seconde. Il y a beau avoir l'excellent Christopher Walken, l'ennui se prononcera très rapidement dans cette faible réalisation au suspens inexistant.

Un film bancal que parvient pas à sauver Christopher Walken. Les autres acteurs sont assez mauvais, et le scénario assez moyen. Dommage, il y avait matière à faire mieux.

Bon petit film à rebondissements avec un casting impeccable.

Petite comédie sympathique, dans la lignée de "petits meurtres entre amis", "le dernier souper", "arnaque crime et botanique", "ladykillers", enfin peut être pas au même niveau que certains des titres cités.

Film des années 90 qui tente veinement de se placer dans la veine Tarantino/Scorsese, "Suicide Kings" n'a aucun intêret et c'est pour ça qu'il est oublié. Que peut on dire si ce n'est que l'histoire est mal fignolé , prévisible, visuellement laid et désuet que les personnages sont sans saveurs ? Et ce n'est pas Christopher Walken qui vient sauver la chose. A noter la présence de Leonard de la série "The big bang theory". Sitôt vu sitôt oublié.

Une comédie policière prenante et singulière. On se délecte des dialogues en match de ping-pong et de ces personnages variés. L'occasion de confronter la nouvelle génération d'acteurs (Sean Patrick Flannery, Jeremy Sisto, Henry Thomas) à l'ancienne qui tient bien son rang avec Christopher Walken en parrain classieux et Denis Leary excellent en homme de main fétichiste des bottes et amoureux de son flingue. C'est un film trop méconnu qui pourtant ne manque ni d'originalité ni d'énergie. On est pas dans le potache de "Mafia blues" ni dans le sérieux du "Parrain", le film joue avec malice de son propre "genre".