Avis : Brüno - Page 10

J'avais mais alors détester Borat, je trouvais ce film nul à souhait. Donc quand on voit les critiques "Ceux qui ont aimer Borat aimeront Brüno" j'ai eu un peu peur. En fin de compte ce film est délirant, super oser (-12 ????) Et franchement respect a Sacha Baron Cohen. Un film bourré de gags salace, mais tellement drôle, ou l'ont voit le genre typique de l'américain bobof. Un film vraiment très original et super bien joué.

Interdit aux moins de 12 ans ? Mais qu'est ce qui arrive à la censure ? Ils ne se rendent pas compte à quel point cette oeuvre est provocante ? Mais à part ça, Brüno est un regard sur l'homosexualité tellement appuyé qu'il sépare immédiatement la salle en deux camps : ceux qui rient et ceux qui sortent. Car derrière sa volonté de mettre les gens face à leur préjugés, il y a aussi un traitement au premier degré du thème par l'étalage complaisant de ces mêmes préjugés (qui du coup ne peuvent pas vraiment être défendus par qui que ce soit). Au moins, la vulgarité omniprésente nous fait tout de suite prendre l'objet au second degré, et ça passe alors très bien. Si le film ne va nulle part, il aura au moins réussi à nous faire rire un bon coup sur des thèmes relativement "démagogiquement incorrects" sans pour autant initier une prise de conscience sur le statut homosexuel en société. Reste des moments de bravoures fantastiques.

Après "Borat", Sache Baron Cohen explose carrément les limites du bon goût avec ce film jouissif et hillarant, qui montre une Amérique intolérante, abrutie et homophobe. Peu importe que les gags soient truqués ou authentiques, on se marre comme des bossus ! Encore ! Encore !

J'ai fait une séance d'abdo pendant 1h18 tellement j'ai ri ! Mais attention, pour cela il faut être ouvert d'esprit et s'attendre à être choqué. De ce côté là, on est servit : on ne cesse de dire "il est complément malade" ou "il va se faire tuer !". Car, en effet, l'acteur a mis en danger sa vie à plusieurs reprises au nom de l'humour et du second degré et dépasse allègrement les limites, bien plus encore que dans Borat qui était déjà un modèle du genre ! Mais n'est-ce pas là ce qui fait l'intérêt de ce film et qui nous fait rire ?

On a encore jamais vu un film pareil, Bruno nous fait passer d'un fou rire à un sentiment de gêne, en effet Sacha va loin, trop loin comme la scène où Bruno embrasse voir plus avec son assistant sur une scène de catch, on assiste à toute la méchanceté de ceux qui assistent, on a vraiment mal au cœur, mais cela fait tout de même du bien de voir un film no limite.

Après le surprenant, drôle et inclassable Borat, Sacha Baron Cohen nous revient donc avec ce Brüno qui répond aux mêmes principes : créer un personnage extrême, hors-normes et caricatural, et le confronter à des mondes qui s'opposent à lui. Arrivant après une promo tous azimuts et surtout après Borat, il est clair que Brüno ne répond pas à l'attente suscitée. Cela n'est pas forcément dû au fait que les scènes scénarisées semblent plus nombreuses que celles prises sur le vif, mais plutôt à une moindre prise de risque du comédien et du réalisateur. Certes, le personnage de Brüno est plutôt trash, irrévérencieux et non politiquement correct (voir notamment les scènes au Proche-Orient) mais il semble que son créateur et interprète ait cette fois-ci moins bien exploité les situations, provoquées ou fortuites, auxquelles il se trouve confronté. On rit malgré tout bien souvent et quelques scènes valent à elles seules le déplacement, avec pour point d'orgue pipe, anulingus et doigtage virtuels à destination de l'un des membres "défunt" de Milli Vanilli... Si l'homophobie bien présente du peuple américain (et mondial) est bien évidemment montrée du doigt, on peut regretter que le film n'aille pas encore plus loin dans ce sens. Les scènes avec les "guérisseurs de gays" tout autant homophobes que misogynes méritaient par exemple un développement plus approfondi. Une déception donc, même si le talent et le culot déployés par Sacha Baron Cohen apportent à nouveau un vrai courant d'air (pas toujours frais !) dans le monde codifié de la comédie.

Navrant, vulgaire, insultant pour les homosexuels......Que dire de plus? si que la salle riait à cet "humour" de caniveau

Sacha Baron Cohen, toujours aussi culotté, ose tout pour nous faire rire mais aussi nous montrer la connerie américaine (des parents prêts à tout faire faire à leur enfant, des hétéros qui ne jurent que par Jésus...). Les situations sont hilarantes mais pour moi, la sauce prend moins que "Borat". Mais ça reste une excellente comédie. Baron Cohen finira mal avec ces conneries...

Oh shit !! Il revient, le retour de Sacha Baron Cohen dans un rôle encore plus barré et provocant que le précédent. C'est une fois de plus poussé à l'extrême, et ici, c'est les homosexuels qui en prendront pour leur grade (à voir comment va réagir cette communauté...). En tout cas, la scène choc de sodomie à gogo avec les multiples accessoires qui se termine en porte bouteille m'a littéralement plié, c'est tellement déjanté que ça en deviendra mémorable. Au-delà de ça, on aura affaire aux habituelles aventures délirantes de Sacha Baron Cohen (ou SBC pour les intimes), acteur qui aime les rôles provocateurs. "Brüno", pour son humour hardcore, détend bien l'oignon...c'est le moins qu'on puisse dire.

Après son 'Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan' en 2006, Larry Charles revient trois ans plus tard, avec 'Brüno'. Et c'est une fois plus notre roi de la provoc qui s'y colle pour interprété ce rôle de journaliste homosexuel autrichien, qui dit roi de la provoc dit bien sûr Sacha Baron Cohen ! Et une fois de plus donc, il n'y va pas de main morte, et cette fois çi il y va très fort, extremment provocateur, choquant et déjanté !
Malheureusement, je trouve qu'il va trop loin, tellement loin qu'au final c'est même parfois assez ridicule. Alors que dans Borat, il assume (tout comme Brüno) mais ça ne devient jamais lassant et toutes les situations sont égal, ça ne va jamais trop loin, ou pas assez, tout est bien maitrisé. Dans Brüno ça part quelques fois en vrille, c'est parfois n'importe quoi, d'autres fois à mourir de rire .. Au final c'est très inégal. Et j'ai étais beaucoup déçu, car je m'attendais à un nouveau choc à la Borat.
Avec Brüno, j'ai trouvé ça purement provocateur, et beaucoup trop commerciales.
Bien sur, j'ai quand même apprécié le film, ça ne m'a pas empeché de me fendre la poire plusieurs fois.
Je suis ressortit à moitié convaincu quoi.

J'avais bien aimé Ali G, j'avais bien aimé Borat, mais Bruno c'est trop ! l'humour gras est encore pire que borat, seule l'humour normal que l'on voit 2,3 fois dans le film ce laisse regarder sinon c'est beaucoup trop gras ! on voit des pénnis, des seins etc... c'est beaucoup trop ! seule le début sans sexe est bien. Vers la fin j'ai arété, ça commencer vraiment à partir en live !

Evoquer ou utiliser une idée n'a jamais rien de dérangeant en soi, bien au contraire. La façon de la traiter, si. On pourra parler des heures de pornographie, du moment qu'on ne la banalise pas. Brüno utilise le porno chico-actuel mais montre des parties génitales. Là, personnellement, cela me déplaît. Je n'ai pas demandé à voir une verge ou deviner un clitoris en regardant un film présent comme comique ou satirique, ou sans avertissement. Faites la part des choses: la limite étroite à ne pas dépasser. Par ailleurs, le film n'atteint pas un vaste domaine de questionnement ou de réflexion, c'est juste une accumulation de mises en situations scabreuses, et précisons-le avec joie, toutes réjouissantes! Seule la mince limite à ne pas dépasser est franchie, celle faute de quoi on verse dans la simple vulgarité sans portée. A part cet écueil réellement regrettable pour un film qui ose et qui est différent, celui-là même qui devrait se transcender par l'exemplarité, Brüno ravit par des moments de franches rigolades.

Un des films les plus drôles que j'ai vu. Le film est , comme "Borat" un mélange de fiction et de réalité. Le seul souci, c'est qu'on ne sait pas quels sont les scènes réelles et celles qui ne le sont pas, ce qui a un petit côté frustrant. Pour autant, on s'éclate et on s'étonne devant un tel personnage et son entourage. Génial !

C'est dangereusement idiot et souvent drôle. Ce Borat 2 ose plus, va plus loin dans la provocation et le trash, toute en conservant sa force de dénonciation. Tout n'est pas réussit, il y a beaucoup de déchets, mais rien que la scène d'ultimate fight sur l'air de Titanic
vaut la peine qu'on s'y attarde.

Moins drôle que Borat, Bruno reste quand même une très bonne critique de l'homophobie et du monde de la mode. Sacha Baron Cohen part vraiment loin, pousse la vulgarité très loin avec les scènes de sexe "non censurés". A voir si on n'est pas trop exigeant ou trop sérieux.