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    Domicile conjugal
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    55 critiques spectateurs

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    ORHVETKTA
    ORHVETKTA

    42 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 novembre 2022
    Histoire d'un jeune couple qui passe sous le scalpel d'un Truffaut qui signe là un film drôle et envoutant. L'acteur Jean Pierre Léaud, joue à merveille le rôle du jeune père de famille désabusé en quête d'inspiration pour écrire un premier roman.
    Napoléon
    Napoléon

    115 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mai 2022
    Un troisième épisode ennuyant. Le rythme est absent, le scénario totalement absent, pas de surprises ni de rebondissements permettant de rester capter à l'écran, on voit juste Antoine Doinel vivre sa vie de couple. Le néant.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2022
    « Domicile Conjugal », 4ème film de la saga « Antoine Doinel », est sorti en 1970 soit 2 ans après « Baisers volés ». Le film débute sur les jambes et le violon de Christine qui fait ses courses et qui à 2 reprises dira « Non pas Mademoiselle, Madame ! ». Le couple Antoine (Jean Pierre Léaud) et Christine (Claude Jade) s’est installé dans un petit appartement donnant sur une cour intérieure très animée. Antoine est « coloriste » de fleurs et Christine donne des cours de violon (cf. la scène où Antoine réussit habilement à récupérer l’argent de la mère d’une jeune prodige qui oublie de payer, Antoine ayant été averti par la Marseillaise jouée par sa femme). Le couple dîne toujours régulièrement chez les parents de Christine (Daniel Ceccaldi et Claire Duhamel) mais la lune de miel est passée et malgré la naissance d’Alphonse que Christine voulait appeler Guylain mais « ça fait velours ». Une certaine tension apparaît qui explosera après qu’Antoine ait fait la connaissance de l’énigmatique Kyoko (Mademoiselle Hiroko) à son nouveau travail où il pilote par télécommande des maquettes de bateaux pour une société américaine … avec la célèbre scène où Christine se déguise en geisha lorsque qu’elle découvre qu’elle est trompée via des petits mots glissés dans un bouquet de tulipes offert par Kyoko à Antoine. Mais Kyoko ne faisant que sourire sans parler, Antoine sera excédé et durant un repas au restaurant il appellera Christine au téléphone 3 fois pour lui dire son désarroi, Kyoko de le laisser alors en plan avec un superbe petit mot écrit en Japonais « Va te faire foutre ».
    Ce film où on ne voit pas trop Paris avec sa tour Eiffel et les pigeons (le mariage « enferme » le couple ?), est moins « jouissif » que « Baisers volés » avec une impression de déjà vu … car François Truffaut se fait un malin plaisir à reprendre des éléments de son précédent film : la scène du baiser dans la cave ; un ancien collègue d’Antoine de SOS dépannage vient réparer la télé d’un voisin de la cour qui ne sort plus tant « que Pétain ne sera pas enterré à Verdun » ; un homme mystérieux qui habite dans la même cour ; le copain Jacques qui tape régulièrement de l’argent à Antoine … mais tout ceci fait le charme de ce film. A noter un nouvel hommage à Laurel et Hardy à propos des seins de Christine, à Jacques Tati/Mr Hulot sur le quai d’un métro et à Jean Eustache (à qui Antoine téléphone pour lui annoncer qu’il a un petit garçon). Le film est plus « littéraire » et bien sûr Antoine qui écrit un roman, proclame qu’Alphonse sera un grand écrivain : « Ce que Napoléon a fait par l'épée, tu le feras par la plume ». Les dialogues sont ciselés : « Je ne suis pas une apparition mais une femme » dit Christine en écho à une phrase d’Antoine concernant Mme Tabard, ou « La couleur jaune (d’un petit canard apporté par les parents de Christine pour Alphonse) n’est pas sans lui déplaire ». En fait 2 phrases traduisent toute la difficulté de leur relation : « Tu étais ma fille, ma petite sœur, ma mère » dit Antoine et Christine de répondre « J’aurais aimée être aussi ta femme ». Antoine avouera à Christine qu’il l’a aimée pour son côté sage anglais et qu’il l’appelait « Peggy sage » et inversement Christine dira à sa voisine de palier après leur rupture « J’ai été maladroite car j’avais peur » ! Mais Antoine et Christine se rabibocheront et la dernière scène reprend une des toutes premières scènes où le voisin de palier excédé d’attendre son épouse, jette son manteau et son sac dans l’escalier, cette épouse dira alors à son mari « Maintenant, ils s’aiment vraiment ! ».
    Un film à voir absolument après « Baisers volés » pour en comprendre toute la subtilité.
    Seb Rillette
    Seb Rillette

    6 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    . L histoire est plaisante mais pas passionnante. C est peut être le seul défaut du film. C est un film littéraire s intéressant à la vie d un couple et ses à côtés. Les acteurs principaux et secondaires sont tous excellents. C est plus une pièce de théâtre filmé qu un film. Malheureusement je ne suis pas rentré dedans, restant plutôt spectateur., comme si c était un documentaire sur la petite bourgeoisie des années70. Voir ce film en 2021 rend un peu nostalgique (pleine emploi.... )C est mon premier truffaut. A voir
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    Est ce qu’une bonne mise en scène suffit à faire un bon film? Après avoir vu « domicile conjugal » je dirais non. Car oui dans ce troisième épisode de vie et mœurs d’Antoine Doinel Truffaut emmène bien ses scènes mais son histoire est tellement banale que le film ne décolle vraiment jamais. Après l’ado attardé et geignard de baisers volés son alter ego à l’écran s’est transformé en mec banal, blasé jeune père de famille et qui trompe sa femme de manière minable. On va suivre une galerie de personnages légèrement décalés mais pas suffisamment pour éveiller vraiment l’intérêt. C’est vraiment une chronique de la banalité quasiment aussi ennuyante que le métier de Doinel payé pour piloter des maquettes de bateaux sur un plan d’eau artificiel. Moins pénible à suivre que le second opus, je n’irais pas jusqu’à dire que c’est mauvais, mais ça ne m’a suscité que peu d’intérêt.
    Fabien S.
    Fabien S.

    456 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Un très bon film de François Truffaut pour l'époque. Un bijou de cinéma avec Jean-Pierre Leaud et Claude Jade.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juin 2021
    Une grande partie de l'action du film se déroule dans le quartier d'Antoine et de Christine. Un ensemble d'immeubles d'habitation dont les fenêtres et les portes donnent sur une cour commune. C'est une petite communauté turbulente dont les personnages par leur turbulence et leur tempérament colérique rappellent vaguement un film de Fellini. Dans ce quartier le film enchante mais nous sommes ensuite amenés à en sortir et à entrer dans une intrigue regrettable impliquant un autre emploi sans avenir pour Antoine et une liaison ennuyeuse. Antoine et Christine ancrent le film est ils sont ennuyeux. Leaud est toujours aussi insipide alors qu'il réalise qu'il aime profondément Christine même si son désir est touchant et douloureux on s'en fiche. Les deux parties du film à l'intérieur et à l'extérieur du mariage sont incongrues tous comme la mise en scène de Truffaut...
    Hulufo
    Hulufo

    6 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2021
    Fièvre bucolique. Cigarette dans l'escalier. Charisme aux couleurs pâles et intenses. "Domicile conjugual" donnera à Woody Allen, matière à penser...
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2021
    Chronique légère et burlesque du passage à l'âge adulte dans laquelle Antoine Doisnel goûte à présent aux joies du mariage ! Et ça promet !
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2023
    Avec ce troisième long-métrage de François Truffaut mettant en scène le personnage d’Antoine Doinel, on a le droit à une histoire sensible sur l’usure de l’amour au sein d’un jeune couple (Jean-Pierre Léaud et Claude Jade). Réalisé en 1970, ce film se compose d’une multitude de scènes où les émotions et l’humour s’entremêlent. Contrairement à « Baisers volés », qui possédait de nombreux passages inutiles, ici tous les moments sont justes et servent une histoire remplie de références. A noter, la première apparition sur grand écran de Philippe Léotard. Bref, une œuvre touchante du fait de sa simplicité.
    Célineso91
    Célineso91

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2020
    Très bon film de François Truffaut, suite de Baisers Volés, mais pour moi pas à sa hauteur malgré une histoire bien construite et une belle réalisation.
    Alasky
    Alasky

    284 abonnés 3 081 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2020
    J'ai adoré le jeu d'acteurs, excellent. Domicile conjugal est un film sincère, tendre, et encore actuel 50 ans après sa réalisation. Pas incontournable, comporte quelques longueurs, mais reste très agréable à visionner quand même.
    Jérôme S
    Jérôme S

    1 abonné 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Nous revoilà pour le 4e épisode des aventures d'Antoine Doinel poser et papa d'un petit garçon on peut se dire que enfin Antoine a trouvé le calme et le cadre d'une famille qui lui faisait défaut mais c'était sans compter l'arrivée d'une autre femme qui va tout chamboulé. Un nouvel épisode qui est dans la lignée des précédents. Toujours la même mise en scène aussi bien pensé par François Truffaut qui sait nous mener dans son histoire.
    Shawn777
    Shawn777

    459 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2020
    Ce troisième long-métrage mettant en scène les aventures d'Antoine Doinel, toujours réalisé par François Truffaut et sorti en 1970, n'est pas mal mais sans plus. Contrairement aux deux autres (je précise que je n'ai pas vu le court-métrage "Antoine et Colette"), j'ai ici eu un peu plus de mal à accrocher, jugeant l'histoire moins intéressante. Alors bien-sûr, ce n'est qu'un avis subjectif qui n'engage donc que moi. Nous retrouvons donc Antoine qui a épousé Christine, rencontré dans le précédent opus, et le couple va goûter à la vie conjugale, comme le titre du film l'indique. Je n'ai peut-être pas trop accroché car j'attendais beaucoup de ce film, j'en ai donc été déçu. Ayant apprécier les deux premiers opus, je m'attendais à apprécier celui-ci de la même manière, surtout que le film aborde ici un sujet qui me passionne, celui du couple. Malheureusement, je trouve que ce couple en question n'est pas assez représenté ou enfin en tout cas, qu'il est assez vite expédié, n'ayant pas du tout accroché sur la dernière partie de l'histoire. Les relations humaines et sociales sont pourtant toujours aussi passionnantes car elles sont emprunt d'un certain réalisme (nous avons parfois l'impression d'être devant un épisode de "Strip-Tease"). J'ai également beaucoup aimé la réalisation. Du côté des acteurs, nous retrouvons Jean-Pierre Léaud avec lequel j'ai toujours un peu de mal au niveau du jeu et puis Claude Jade, Hiroko Matsumoto etc. qui jouent bien. "Domicile conjugal" est donc loin d'être un mauvais film mais il ne m'a en tout cas pas plus emballé que ça.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2020
    Antoine Doinel (J-P Léaud) s'est donc marié. Avec Christine (Claude Jade), bien sûr. Antoine au quotidien en couple, Antoine au travail (un petit job marginal : coloriste pour fleuriste, puis, sur un malentendu, technicien dans une entreprise hydraulique US), Antoine père (d'un petit Alphonse), Antoine et ses voisins, Antoine saisi par la frénésie de l'exotisme (avec une Mlle Butterfly, rencontrée au boulot), Antoine séparé, Antoine lassé (de sa Butterfly - moins naïve et amoureuse que le modèle de Puccini, cependant...), Antoine revenu.... Les saynètes s'enchaînent, croquées avec vivacité et malice, poétiquement mises en scène... La manière et le rythme truffaldiens, uniques... à savourer dans ce 3e volet (1970) des aventures de son double AD, "Domicile conjugal".
    Toujours un plaisir de gourmet !
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