Derniers Avis : The Broken - Page 7

Je met une étoile seulement parce que le suspens m'a tenu en haleine pendant les 3/4 du film. En revanche niveau sénario, finalement le tout n'aboutit à rien... Aucune explication du pourquoi? On se serait attendu à un revirement ou à une chute plus effrayante, tel une invasion de double ou quoi que ce soit d'autre ! Pourquoi eux? Pourquoi cette famille précisément? Pourquoi ils tuent au lieu de juste s'échapper et faire leur vie? Il n'y a pas de fin. La seule chose que j'ai cru comprendre c'est le dernier plan ou le visage est illuminé de la lumière du soleil qui contraste avec la pièce noir dans laquelle se trouve les doubles... est-ce seulement un passage de l'ombre à la lumière? Et pourquoi une fois qu'elle comprend elle perd sa sensibilité ?! A part le suspens qui focntionne, la chute laisse sur ses interrogations.

Pendant les 2 premiers tiers du film, le spectateur assiste à une histoire mystérieuse et pleine de suspense laissant entrevoir un dénouement hors du commun. Qui sont ces créatures qui sortent des miroirs pour imiter les personnes qui s'y regardent ? Et puis... patatras : une fin bâclée, sans la moindre explication sur ses fameux dédoublements? On se sent vraiment floué. Avis aux propriétaires de Jeep Cherokee : ils seront satisfaits d'assister une bonne dizaine de fois au même crash de ce véhicule et sous des angles différents !

Décidément, je ne suis pas faîte pour ce genre de film. Déjà, Shyamalan me laisse sans réaction, mais là c'est encore pire... Pourtant,j'adore les acteurs qui jouent dans ce film, mais le scénario est totalement incohérent... Il reste de belles images, pictoralement superbes... mais bon on est au ciné pas dans une exposition de tableaux!

Nul. Aucun interet, véritable perte de temps. Autant j'ai adoré CASHBACK Autant celui là m'a soulé au plus haut point.

Un film plutôt réussi car tout en mêlant les ficelles classiques des films d'angoisse, le style dépouillé, l'esthétisme et l'impression de calme relatif donne du poids et tranche avec d'autres films de cette catégoris nettement plus orientés "horreur".
Cependant, ce film reprend deux concepts déjà abordés dans 2 autres films : le peuple des ténèbres (film limite série B mais très correct) et le récent Mirror avec Kiefer Sutherland (un peu plus "hollywoodien").
Dommage pour Ellis, il arrive un peu tard... .

Après le très prometteur premier film de Sean Ellis, Cashback, innovant, beau, drôle et envoutant, j'attendais donc avec impatience son nouvel opus. La déception est à la hauteur de l'attente : très grande. Autant il avait su créer et mettre en scène une ambiance particulière la première fois, autant là c'est complètement raté. C'est tout sauf passionnant. On s'ennuie ferme de la première à la dernière minute. C'est lent, aucun rythme, aucune tension, aucun suspens, rien n'est vraiment expliqué, ça se termine en queue de poisson, totalement incompréhensible. Ça ne fait pas peur, encore moins frissonner et on se fout un peu de ce qui arrive à cette pauvre héroïne. Avec plein de référence éhontées, de David Lynch à L'invasion des profanateurs (et ses multiples remakes) et j'en passe...Le scénario est donc très léger alors que la mise en scène en fait des tonnes et se donne des airs pompeux et prétentieux alors que le tout est vide. La seule chose réussie est comme dans Cashback la photo, qui est très belle. La musique en rajoute des tonnes et souligne les effets qui n'en n'ont pas vraiment besoin. L'interprétation est figée, comme le reste du film d'ailleurs. Même l'excellent Richard Jenkins (The visitor, Burn after reading) a du mal à s'en sortir, tout comme Melvil Poupaud encore à l'affiche d'un film anglo-saxon. Après un premier prometteur et un deuxième raté, on dira que Sean Ellis reste dans la moyenne. Cela augmente donc l'attente pour un troisième. En espérant qu'il s'éloigne des errances de ce The broken très décevant.

Nulle, archis nulle,pas de scenario,a oublier vite....

Décidemment, Sean Ellis a le chic pour réaliser des longs-métrages dont les sujets colleraient beaucoup mieux pour des courts. Après l'inachevé "Cashback", oeuvre originale mais ratée, qui avait au moins pour utilité de dévoiler une nature de réalisateur à la forte personnalité plastique, et dont l'idée était étirée au maximum sans jamais pouvoir décoller de son format typique de court-métrage, il tente son entrée dans le domaine du film d'épouvante fantastique et psychologique. Moins convaincant que son précédent film, toujours aussi foutraque dans sa manière de mélanger tout et n'importe quoi dans un scénario qui aurait gagné en minimalisme, et bien trop souvent consacré à la répétition instantanée de nombreuses scènes (l'accident de voiture est vu sous environ dix angles différents!), Sean Ellis tente tant bien que mal d'imprimer à son oeuvre cette audace un peu acharnée se retournant vite en une prétention artistique ayant pour seul but d'atteindre le statut d'oeuvre culte et novatrice. Pourtant "The broken" est loin d'être mauvais ; le film fonctionne sur l'inégalité, l'instabilité de la réussite, la demi-teinte horrifique. A la fois le travail sur le son est très impressionnant, et à la fois les bourdonnements empestent et gaspillent les potentielles frayeurs visuelles, les renvoyant au rang d'effet chic et choc (voire toc). Un film d'épouvante est généralement réussi quand il n'a pas besoin de faire appel à une musique d'ambiance ou figurant la psychologie et le décor ; ici la bouillie sonore achève d'emblée le puissant impact esthétique du film sur le spectateur, et ce malgré l'inventivité des décybels et des prises de sons, et l'énorme travail de précision. En général dans "The broken", oeuvre qu'il faut reconnaître comme très décevante, l'inégalité se joue entre chaque scène. Il n'y a pas de partie moins bonne qu'une autre, simplement aux très mauvaises séquences se succèdent les meilleures, parfois époustouflantes et dérangeantes, comme cette immense scèn

Il suffit de voir le premier film de Sean Ellis, Cashback, pour savoir qu'on ne va pas voir The broken dans le même état d'esprit qu'un film fantastique classique. Sean Ellis sait créer les ambiances et instaure un climat pesant qui va crescendo. The broken est une expérience sensorielle, un jeu de textures, un labyrinthe, une métaphore sur la perception de notre image renvoyée par nos miroirs. Un film qui hante après la projection. Mention spéciale à la troublante Lena Headey.

Au début je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre en allant voir ce film. Je me suis basé sur l'affiche: fort intéressante et sur le speech de présentation.
Quelle déception a été par contre de voir et de supporter ce film très lent.
Ce film a copié tout les films de miroirs des 3 dernières années, sans vraiment apporter quelque chose de nouveau. On ne sais pas pourquoi ça arrive, ni comment et quel finalité il y a derrières cette "invasion" des doubles.
Je donne une étoile pour le côté visuel du film, ce qui n'empêche que le scénario est totalement raté.

L’idée de départ est assez confuse, on ne saurait dire où commence vraiment le mystère et l’intrigue, dont celle-ci apparaît bien vite superficielle car THE BROKEN est dépourvu d’un véritable scénario. Sean Ellis fait malheureusement de son œuvre prétentieusement alambiquée un exercice de style où tout sonne quasiment faux, le jeu des acteurs entre autre (un Melvil Poupaud bien navrant relayé au titre d’acteur frenchy exporté) et la répétition incessantes de scènes fades, archi déjà-vues se succédant les unes après les autres sans apporter un minimum de réponses aux multiples hypothèses suggérées. En bref, THE BROKEN suscite à peine la curiosité, une curiosité bien éphémère qui laisse plus que sceptique quant à la cohérence de l’œuvre. Quelques belles images et de beaux plans ne comblent pas ici le vide scénaristique du film qui plus est probablement trop ambitieux.

Le scénario signé de Sean Ellis est un jeu de miroirs qui, au premier abord, ne semblent avoir que peu à refléter, ou alors qui n’ait déjà été exploité. Pourtant Ellis parvient à suffisamment décomplexer son scénario, au moyen notamment de références appuyées aux plus grands maitres du suspense de l’histoire du cinéma (Hitchcock, Amenabar, Kubrick, De Palma, Argento,…), pour réduire au maximum l’impression de déjà-vu et de clichés. Non exempt de lieux communs ou de situations attendues, dans THE BROKEN, Sean Ellis pèche par ambition autant que par admiration pour le cinéma. Cela dit, il serait bien hypocrite de reprocher ses maladresses à quelqu’un qui, tel un ami, nous offre une telle complicité. Au final, son scénario ne fonctionne pas trop mal, il tient bien sur la durée, particulièrement avec une fin ambiguë qui réinvite le spectateur à y regarder de plus près la prochaine fois. C’est sans compter sur son sens plastique impeccable et sans égal, presque magique, avec lequel il nous avait déjà éblouis avec "Cashback", créant cette fois pour THE BROKEN une ambiance frigorifiée, à la photographie d’un sombre éclatant. Du côté des acteurs, dommage que Melvil Poupaud apparaissent comme le simple acteur français exporté lorsqu’il s’agit d’un rôle d’envergure après ses petites parties de plaisir où il n’avait pas à se prendre au sérieux comme "Broken English" ou "Speed Racer". THE BROKEN, sans la réflexion sur les apparences et la perception visuelle, ainsi que la beauté plastique, n’est réduit qu’à un divertissement fantastique sans trop de surprise, tout de même un brin décevant.

Mais quelle nullité !!!
Ce film est lent... le scénario est inexistant... et les dialogues frôlent le néant...
Le réalisateur use et abuse des silences, de la musique sensée vous mettre la tension et des flashbacks...
En gros, on comprend rien... On attends que sa decolle a chaque instant et... rien...
La seule scène "horrifique" (qui arrive au bout d'une heure) fait rire tellement c'est ridicule...
Et la fin... ben il y en a pas...
Bref, un sous "Mirrors" qui n'a qu'un seul but... vous assoupir...

Si Sean Ellis avait époustouflé un public quasi-unanime avec son magnifique Cashback, il n'apporte malheureusement ici que de l'ennui. Il faut dire que tout est grandement raté dans ce deuxième long-métrage pourtant intrigant : la réalisation est lente et sans panache, le jeu d'acteur est considérablement plat (Melvil Poupaud est tout bonnement une erreur de casting), les effets spéciaux sont d'un grotesque et en particulier la scène de l'accident, risible au possible... De plus, beaucoup de scènes ne servent strictement à rien comme les médecins, le psychiatre, celle dans le métro et j'en passe... En fait, tout le film repose sur le néant ! Ainsi, The Broken s'apparente plus à un court-métrage auquel le réalisateur aurait filmé de nombreuses scènes supplémentaires pour combler son scénario creux et pompeux. En effet, entre le plafond qui suinte comme dans Dark Water, le meurtre sous la douche qui est une référence directe à Psychose et les miroirs copiés d'Into the Mirror, Sean Ellis a vu son inspiration tomber bien bas... Au final, sans poésie aucune, sans effets de style majestueux, (quasiment) sans musique et avec un twist déconcertant de classicisme, The Broken est un ratage intégral, une énième tentative de s'essayer aux films de fantômes typés asiatiques - encore une fois sans succès, et une grosse déception pour le metteur en scène anglais dont l'avenir semblait prometteur.

Seré je le seul a aimé ce petit bijou sombre et tragique qui crée une œuvre personnelle et terriblement efficace ?Sean Ellis réussit là où, il y a quelques mois, le film d’Alexandre Aja avait échoué .On détecte chez Sean Ellis, dont le sens visuel donne lieu à des « peintures filmées avec une photographie tre soigné et froide avec une ambiance de plus en plus pesante se ménage tout de même quelques scènes horrifiques du plus bel effet.Les cadrages nous donne un style lugubre, poétique par intermittence et une lourdeur de melancolie qui donne froid dans le dos .Les effets sont saisisant avec quelque scenes bien gores avec un twist final renversant.Ce film nous emerveille par les craintes et les sentiment des ses pratagonistes qui ne s identifi plus face a leur image donné par ces miroirs. Un monde d identité completement ambigu qui restra dans les annales des fils sensorielles et innovateur.