Avis : Mamma Mia! - Page 7

Quelle joie de vivre! Meryl Streep emmène tout son petit monde dans ce film endiablé. J'ai beaucoup ri aux facéties de ses copines, à la tête de hippi de ses "ex" et me suis émerveillée devant le décor paradisiaque. Mais surtout, on sort de ce film avec une sacrée envie de danser et de chanter!
Un excellent remède à la morosité...

évidemment, si l'on est fan du groupe Abba, la moitié du chemin est parcouru. à côté, une comédie chantée, dansée, colorée et énergique dans le cadre agréable des îles grecques fait le reste. même si le casting est prestigieux, le scénario est toutefois basique, mièvre et débordant de bons sentiments!

J'adore tous les genres du cinéma à part les comédies musicales et Mamma Mia ! est l'exception qui conforme la règle. J'ai bien aimé et ceci grâce à deux éléments : La musique d'Abba faite de tubes dansant dès qu'on entend les notes et la prestation high level de Meryl Streep qui comme à son habitude transperce l'écran. Même si les second rôles sont bons aussi, Meryl Streep est clairement au dessus dès qu'elle appartient à l'écran. L'histoire est un peu banal (la recherche de son véritable père). La photo du film est travaillée, on se croirait sur une ile grecque maillot, tong et serviette au bras.

Film entraîant, surtout si on aime ABBA ! On chante du début à la fin.
Rien que la scène où elle retrouve ses amours d'enfance prouve qu'elle est toujours une grande actrice.

Adaptation cinématographique de la comédie musicale s'inspirant des titres du groupe Abba portant le même titre, Mamma Mia ! est un très bon long-métrage réalisé par Phyllida Lloyd. L'histoire se déroule sur une île grecque et nous fait suivre une jeune fille qui va se marier dans l’hôtel tenu par sa mère. Seulement, ignorant qui est son père dues aux nombreuses fréquentations de sa maman à l'époque, elle va inviter à son mariage trois hommes soupçonnés d'être les géniteurs. Ce scénario est plaisant à suivre pendant l'heure quarante-cinq proposée, grâce à la façon dont est amené ce récit. Comédie musicale oblige, on passe constamment d'une scène classique à une scène chantée. D'ailleurs, les chansons sont malicieusement intégrés via des transitions bien pensées et leurs paroles raisonnent parfaitement avec l'intrigue. Tout cela se déroule dans une ambiance joyeuse et estivale, dans laquelle s'amusent des personnages appréciables, interprétés par un casting rempli d’énergie, qui prend du plaisir et cela se ressent. Amanda Seyfried et Meryl Streep sont rayonnantes et très bien entourées par Christine Baranski et Julie Walters qui jouent ses deux amies rigolotes. Les trois prétendants au titre de paternel sont eux assurés par Pierce Brosnan, Colin Firth et Stellan Skarsgård. Tous ces individus forment un groupe en symbiose qui dégage une joie communicative à travers leurs échanges drôles mais qui savent aussi être plus touchants. L'ensemble est très bien réalisé par Phyllida Lloyd, dont la mise en scène se veut créative et amusante. Elle est soutenue par une photographie lumineuse grâce au cadre idyllique et coloré servant de décor. Un décor très bien exploité pour laisser place aux nombreuses chorégraphies. L'aspect visuel invite clairement au dépaysement et donne envie de plonger dans l'écran, quand la généreuse b.o. composée de nombreux tubes du groupe Abba donne elle envie de bouger. Cette fête à ciel ouvert au rythme effréné, qui use légèrement sur la longueur, se conclut sur une fin sans grande surprise mais tout de même satisfaisante. Au final, Mamma Mia ! est un peu redondant et trop fourni mais donne le sourire et nous invite à passer un moment chaleureux en chansons.

Faire connaissance à vingt ans avec ses trois pères potentiels, et que ce soit l'occasion de partager la joie de vivre, en voilà une belle idée ! Les chorégraphies respirent l'énergie joyeuse. Meryl Streep chante décidément très bien. Pierce Brosnan ne craint pas le ridicule. La musique d'Abba est toujours aussi entraînante plus de quarante ans après avoir été écrite. Un film dont on sort avec le sourire aux lèvres.

Une comédie musicale très réussie. Je ne suis pas fan de ce genre mais ce film m'a vraiment bien plu. Le scénario est sympa, les musiques donnent la pêche et le casting est royal. Un film feel good qui met de bonne humeur et donne envie de danser. Et en bonus les décors paradisiaques des îles grecques.

J'avais 15 ans lorsque Abba a gagné l'€urovision 1974 et, avec Boney M, ce groupe a totalement révolutionné l'univers musical.
Abba fait partie intégrante de mon histoire !!
Les personnes de ma génération qui ont grandi, danser, et chanter avec Abba ne peuvent que trouver ce film merveilleux.
C'est une bouffée de fraîcheur... de souvenirs... d'émotions... c'est joyeux... c'est coloré... c'est gai... c'est bon et ça fait du bien.... beaucoup de bien.
Le casting est fabuleux, Meryl Streep est sensationnelle, Julie Walters, Christine Baranski, Amanda Seyfried et TOUS les autres sont formidables !!
J'adore j'adore j'adore j'adore.

C'est kitsch, c'est camp, c'est ABBA. Cette comédie, adaptée de la comédie musicale du même titre, réalisée par Phyllida Lloyd et sortie en 2008 avait donc tout pour me plaire. Et la première partie du film est plutôt sympathique. Même si je n'apprécie pas trop les comédies musicales qui mettent toujours un peu mal à l'aise, celle-ci est différente car, encore une fois, les personnages chantent du ABBA. Toute l'intrigue est donc construite autour de divers morceaux du groupe et ça tient étonnamment plutôt bien la route. En effet, je m'attendais plutôt à une série de numéros chantés et dansés avec une pseudo histoire derrière pour faire passer la pilule. Mais nous avons au contraire une histoire avec une véritable intrigue, alors qui n'est certes pas exceptionnelle non plus mais qui a le mérite d'exister. Ne sachant pas qui est son père, Sophie invite trois ex-copains de sa mère pour l'emmener à l'autel le jour de son mariage. Voilà, c'est aussi simple que ça mais du coup, on a toujours cette quête de recherche du vrai père qui fait continuellement avancer l'intrigue, entre deux/trois numéros chantés et dansés donc. Mais ça fait avancer l'intrigue jusqu'à un certain point seulement. J'ai en effet trouvé la seconde partie assez décevante qui là, pour le coup, tente de sauver les meubles avec diverses sous-intrigues, des romances un peu cheap etc. qui ne sont clairement là que pour justifier les morceaux d'ABBA. Du coup, on s’ennuie un peu surtout que le film devient terriblement prévisible. En revanche, j'ai beaucoup apprécié la mise en scène qui met justement en avant ce côté camp dans ses couleurs criardes et encore une fois son côté parfois grotesque, kitsch et très théâtral. Concernant le casting, nous avons du beau monde dont Meryl Streep, Pierce Brosnan, Amanda Seyfried, Colin Forth et Stellan Skarsgård qui jouent très bien. "Mamma Mia !" est donc un film qui n'est pas désagréable mais qui déçoit et surtout ennui sur sa fin.

Des chansons d’Abba hurlées dans nos oreilles pendant près de deux heures, par des comédiens aux portes de l’hystérie : tel est le programme de “Mamma Mia !”, catastrophe de fin d’été dont l’ampleur dépasse l’entendement. Car, même sans s’attendre à un nouveau chef-d’œuvre de la comédie musicale sur grand écran, il semblait quasiment impossible que la réunion, sur la même pellicule, de tubes du groupe suédois et d’acteurs aussi prestigieux que Meryl Streep, Pierce Brosnan ou Colin Firth, tourne à ce point au fiasco. Force est donc de reconnaître que Phyllida Lloyd (qui a pourtant dirigé le spectacle à Broadway) réussit ici l’un des exploits les plus involontaires de l’année (sauf si le but recherché était que nos tympas crient “grâce” avant la dernière bobine). Si l’on peut s’abstenir de tout commentaire vis-à-vis de l’histoire (une jeune fille, sur le point de se marier, invite ses trois pères potentiels à la noce, afin de découvrir lequel est le bon), qui n’est qu’un prétexte pour caler le plus de titres possibles, difficile, en revanche, de ne pas tiquer face à leur lancement à la va-comme-j’te-pousse la chansonnette, ou à la pauvreté des numéros musicaux qui suivent. Kitschs, mal filmés et ridicules, ces derniers laissent un temps penser que nous sommes face à une parodie. Impression rapidement court-circuitée par les tartines de niaiserie que l’on nous inflige, et nous font comprendre que tout est (hélas) à prendre au premier degré. Nombreux seront donc les spectateurs qui déclareront forfait devant ce Waterloo cinématographique, qui donne envie de lancer des SOS, et laissera plus d’un fan du quatuor abba-tu.

Comment dire...je suis certainement pas le cœur de cible de cette petite comédie guimauve donc inutile de s'étendre...le public féminin et jeune semble avoir plus apprécié.

616 millions de dollars de recettes pour un budget de 52 millions de dollars, c'est ce que l'on peut appeler un large succès. Et c'est mérité. Pourtant, ce film a divisé. Pourquoi ?

Parce que l'on ne s'attaque pas à un monument de la culture comme Abba en toute impunité. Il faut s'attendre à se prendre un retour de volet d'une partie du public qui attendra toujours plus et toujours mieux.

La présence au générique de la moitié des membres du groupe a pu rassurer. Et le fait que ce soit l'adaptation cinématographique d'un classique de Broadway laissait entrevoir que l'histoire avait déjà été éprouvée sur des milliers et des milliers de spectateurs.

Alors c'est sans surprise que l'on peut aujourd'hui affirmer que l'oeuvre fonctionne, et qu'elle fonctionne même très bien. Les chansons d'Abba se fondent à la perfection dans le scénario de "Mamma Mia !". C'en est presque à croire qu'elles ont été écrites pour le film !

Mais ce qui se dégage de l'ensemble et qui m'a le plus emballé, c'est une énergie et une bonne humeur communicatrice. Les stars qui poussent la chansonnette et qui dansent s'amusent véritablement devant l'écran, cela crève les yeux. Ils sont là pour se faire plaisir et de cette manière, ils donnent plaisir au spectateur.

Bien sûr, tout n'est pas rose : le personnage principal (joué par Amanda Seyfried) est niais et un peu sot. Certains rebondissements relèvent aussi parfois de la ficelle scénaristique. Et l'ensemble est un peu "bigger than life". Mais cela fait partie du charme de cette comédie musicale : c'est du pur Broadway et il faut l'accepter.

Du moment que j'en ai eu plein les mirettes avec ces magnifiques décors grecs, plein les oreilles avec ces chansons et plein les zygomatiques avec des personnages drôles et hauts-en-couleur, je suis satisfait.

En tout cas, ce film m'a suffisamment emballé pour que j'ai envie de regarder sa suite très prochainement.

Ce n’est pas un film mais plutôt un bonheur avec une formidable Meryl Streep pleine d’énergie et de force qui sait transmettre sa passion. Le casting est extraordinaire ainsi que le décor. Les chansons sont parfaitement choisie et hyper entraînantes. Un film culte !

Mamma mia est une comédie musicale déjantée qui assume ce parti pris, sans jamais verser dans la loufoquerie extrême. Les acteurs sont excellents et le trio des trois anciennes copines fonctionne à merveille. La reprise instrumentale des titres de ABBA est une réussite musicale totale. Le chant des acteurs est inégal, mais on s'en fiche ! Notamment Pierce Brosnan : quel plaisir de voir un ancien James Bond prendre le contre-pied de son image en s'essayant maladroitement à l’exercice. On en retient surtout la vitalité des scènes, le rythme effréné du film, et aussi quelque réels moment d'émotion grâce à des actrices (surtout Meryl Streep) qui savent parfaitement passer du rire aux larmes. Réelle bonne surprise que ce film. On regrettera juste le happy end traditionnel, mais qui reste finalement assez cohérent avec l'ensemble.

C'est de ma faute aussi...ça m'apprendra à lire les affiches jusqu'au bout ! l'info essentielle ici c'était pas Pierce Brosnan et Colin Firth mais "musique d'Abba" ! évidemment, le concept peut être sympa à la base, mais encore faut-il être compatible avec la guimauve disco des Suédois. Ah, et puis Meryl Streep sur le retour qui en fait des tonnes, franchement... Qu' il est loin le temps de l'actrice fine et délicate de Manhattan, Kramer contre Kramer ou Out of Africa.