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    L'Incroyable Alligator
    Note moyenne
    2,6
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    18 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 décembre 2011
    Ce film d'horreur des années 80 n'est pas aussi réussi que celui de Jaws. On sent l'influence de ce dernier et la volonté de vouloir réexploiter le filon. Les scènes gore sont relativement tendues mais le scénario est truffé de clichés et tous les personnages sont architypés. Donc rien de nouveau malheureusement dans ce film de genre qui s'accompagne d'une réalisation très standard. Film de série B ou navet ? Je vous laisse faire votre choix selon votre sensibilité.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 183 abonnés 7 233 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2011
    Des films mettant en scène des alligators s'attaquant à des humains, il en existe un nombre conséquent et L'Incroyable Alligator (1982) n'est pas le genre de film à vouloir se différencier de ses prédécesseurs. Très largement influencé (voir copié) sur le célèbre Les Dents de la Mer (1975), le film de Lewis Teague se distingue pour la seule et unique raison que l'intrigue principale se déroule dans les égouts d'une grande ville et non dans une jungle tropicale comme c'est généralement le cas.
    Se basant sur la célèbre légende urbaine qui voudrait que des alligators vivent dans les égouts de New-York, on retrouve donc notre sac à main ambulant au coeur d'une jungle urbaine. Le tout étant plombé par une intrigue très simpliste, on ne pourra pas non plus se rabattre sur les dialogues, reste les acteurs qui tentent se qu'ils peuvent pour sauver les meubles (Robert Forster & Henry Silva). Une Série B relativement gore pour l'époque mais qui a pris quelques rides, d'autant plus que le thème a depuis été maintes et maintes fois abordés.
    Pour la petite anecdote, une suite à vue le jour, intitulée Alligator 2 : La Mutation (1991) et quant à Lewis Teague, on lui doit un autre film toujours dans le même registre avec Cujo (1983) où un Saint-Bernard enragé s'attaque à une mère et son fils.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 juin 2022
    Le long métrage de Lewis Teague fait l’erreur, comme nombre de productions mettant en scène des animaux mangeurs d’hommes, de tout miser sur sa créature, au demeurant fort réussie. Les conséquences sont connues, et s’appliquent ici : écriture rudimentaire des protagonistes qui ne nous permettent pas de nous attacher, et donc de nous investir dans un récit convenu et répétitif qui souffre de ventres mous ; indifférence à l’égard d’une intrigue qui renvoie des impressions de déjà-vu, absence de mystère véritable autour du monstre dont la naissance est dévoilée en générique d’ouverture. Les apparitions de l’alligator souffrent d’ailleurs d’une musique singée sur celle de Jaws (Steven Spielberg, 1975), ainsi que d’une suite de plans furtifs qui cachent mal les astuces techniques pour faire avancer le reptile. Beaucoup d’invraisemblances dans les réactions humaines, notamment lors d’une séquence de mariage, achèvent de décrédibiliser un film moyen, rehaussé par son goût pour l’horreur et ses scènes d’attaques certes impressionnantes.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    667 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    Réalisé au début des années 80 par Lewis Teague ( futur réalisateur de "Cujo" ), ce film d'horreur, certes imparfait, possède tout de même quelques atouts à son actif.
    La mise en scène fait dans une certaine efficacité - notamment en ce qui concerne les séquences où l'alligator prend un malin plaisir à attaquer ses proies -, l'histoire sur fond d'écologie est bien appréciable et l'alligator est plutôt réussi. L'ensemble fait donc que l'on passe un moment somme toute très divertissant.
    Mais bon, comme je l'ai écrit plus haut tout n'est pas parfait non plus. La BO s'avère bien peu flippante, les effets gores ont prit un petit coup de vieux et le casting est tout de même assez médiocre.
    Pas le must donc, mais c'est tout de même un long métrage à découvrir.
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2012
    Je pensais voir un gros nanar bien lourd et idiot mais ce n'est pas le cas. Cela reste un film de série b. mais pas si mal fait que ça. Une histoire et scénario qui tiennent plus ou moins la route et une mise en scène simple mais pas ridicule. Une seule scène est nul c'est l'attaque de l'alligator pendant le mariage.
    moonboots
    moonboots

    46 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2011
    une série B plaisante et assez comique, qui emprunte beaucoup et à sa manière à Jaws, sorti quelques années plus tôt...
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 981 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2012
    Y a t-il un Jack l'èventreur dans cette ville de Chicago ? Pas vraiment...il est à "croquer" cet alligator de Lewis Teague, futur rèalisateur de "Cujo" et de "The Jewel of the Nile", qui signe ici une petite sèrie B trash et parfois drôle! Un alligator à qui on attribue plusieurs morts dans les fosses d'ècoulement! il faut le voir dèmolir une limousine avec sa queue fouettante qui en laissera plus d'un sur le carreau avec côtè casting, Robert Forster en flic, Robin Riker en herpètologiste, Henry Silva qui se contente ici de faire son numèro de drague à une belle journaliste et même Sydney Lassick , l'inoubliable monsieur Cheswick dans "One Flew Over the Cuckoo's Nest" qui joue un vendeur en animalerie! Derrière un scènario banal, une rèalisation efficace avec quelques scènes gores (le mariage en plein air dans le final) qui raviront les amateurs du genre...
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2014
    Vu au cinéma lors de sa sortie; Très efficace sur le plan de la mise en scène (ce qui n'est guère une surprise de la part d'un Lewis Teague rarement décevant) et très intelligent dans l'exploitation de l'idée qui est faite de ce Jawslike; Car la force du film vient précisément de ce qu'elle exploite une légende urbaine (ce put être d'ailleurs le bon titre pour le film). Et c'est l'immersion progressive de l'horreur dans le quotidien d 'un grande ville qui nous la rend aussi familière; On commence ainsi dans les sous-sols scabreux de la capitale américaine pour achever la course folle du monstre dans une ^piscine lors d'une garden party mémorable dans les beaux quartiers...Ne vous attardez pas sur le titre qui peut refroidir et décourager, Lewis Teague réussit (comme il le fit avec Cujo) avec peu de moyens à nous emporter dan cette histoire horrifique qui reste en mémoire.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 088 abonnés 4 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2013
    L’incroyable alligator est un petit film de monstre qui commence à dater maintenant, mais qui s’en tire assez honorablement.
    L’interprétation est moyenne, mais dans l’ensemble plutôt bonne. Les acteurs principaux (dont Robert Forster en tête), sont convaincants et crédibles. Leurs personnages sont aussi dotés d’un certain relief, même s’il y a quelques grands classiques. C’est le cas de Marisa Kendall, interprétée par Robin Riker, qui n’est autre que la scientifique de service. Ce n’est pas vraiment imaginatif.
    Le scénario de son coté se base sur un mythe, celui des sauriens dans les égouts. Quant on voit les films de crocodiles (et d’alligator ca va sans dire) de ces trente dernières années, on se rend compte que cette idée n’a pas vraiment été exploitée, et du coup Alligator conserve un effet d’originalité certain. Il faut souligner son courage d’ailleurs de faire se dérouler cette histoire en pleine ville, lorsqu’en général les réalisateurs préfèrent se faciliter les choses avec des coins de campagne. Alligator maitrise bien son affaire, et la réaction par rapport au problème est réaliste. C’est intelligemment conduit, et même s’il y a par moment quelques baisses de rythme, dans l’ensemble l’histoire se suit avec plaisir.
    Teague livre aussi une bonne mise en scène. Son principal défi était de masquer le manque de budget évident de la production, et il y parvient bien. Les scènes d’attaques du crocodile sont distribuées avec parcimonie, mais sont globalement très efficaces, avec une mention particulière pour celle dans la rue. La caméra du réalisateur circule aussi avec aisance dans les égouts, faisant monter un certain suspens et une belle tension. La photographie n’a rien de particulier mais n’est pas non plus déplorable. Elle fait son âge, mais après tout Jaws aussi, et comme la très grosse majorité des films qui ont plus de trente ans (il y a des plus jeunes qui font plus vieux !). Les décors sont ceux d’un film à 1.5 millions qui a beaucoup donné sur ses effets spéciaux, donc il ne faut pas s’attendre à des miracles. Les fx par contre eux sont très réussis. Franchement à une époque où il n’y avait pas d’image de synthèse, et avec un budget ric-rac, Alligator est assez impressionnant. Certes le monstre apparait assez sobrement, mais lorsqu’il sort des égouts et se dévoile en entier, il en jette. La scène d’attaque de la garden-party vaut aussi son pesant de cacahuètes. Dans l’ensemble il m’a paru très réaliste, et les effets se sont à peine émoussés. Teague, il faut le rappeler, fait un travail de mise en scène splendide dans ces moments là pour gommer au mieux l’effet cheap qui pourrait survenir. Les effets horrifiques sont réduits, mais il y a quelques surprises bienvenues. Musicalement par contre, une bande un peu stressante manque à l’appel.
    Si vous aimez les films de monstre et qu’un film des années 80 ne vous fait pas peur, ma foi Alligator est pour vous. Ce n’est pas le meilleur dans son genre, mais il est honnête et ne se moque franchement pas du spectateur. Certes il est fauché, certes il n’a pas de star, mais il fait beaucoup avec peu, et c’est louable. Il y a de très bons moments, et à l’heure où l’on parle des dérivent liées aux nouveaux animaux de compagnies, Alligator trouve un écho préventif finalement très sympathique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mars 2009
    27 ans que ce film est sorti, et il fait encore son petit effet. Excellent, gore, parfois rigolo, c'est un film de crocodilien correct et bien réalisé.
    LaVieLaVraie
    LaVieLaVraie

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mai 2023
    Le film est d'une rare débilité. Il faut neanmoins admettre que la réalisation de L.T est assez bonne. Le réalisateur sait ðécouper son film pour rendre les scènes attrayantes et efficaces. Le montage est parfois audacieux à tel point que les effets spéciaux basiques passent encore dans certaines scènes, quarante ans après leur fabrication. Par contre les animaux sont présentés comme des objets tout le long du film. Pas d'émotion témoignée à leur égard. L'alligator du titre est un monstre par la faute des hommes. Mais il sera juste présenté comme un monstre et Basta. Pour l'anecdote j'ai remarqué que la bande originale du film a été mixée avec des enregistrements récupérés de la série twilight zone. Sinon, que dire si ce n'est d'éviter de perdre son temps avec ne nanar.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 809 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2011
    Arte n'a pas totalement abandonné sa programmation de série B à des heures impossibles (contrairement à ce que je croyais), on a sous Piranha, qui était lui même un sous Jaws, pas trop mal fait, parfois bien ridicule, pas trop ennuyant, ça passe donc pour un moment de rigolade.
    defleppard
    defleppard

    305 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 avril 2011
    L'incroyable navet......................................................
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2023
    C’est, bien sûr, un film de genre dans la lignée de « Tarentula » (1955) de Jack Arnold, « Les dents de la mer » (1975) de Steven Spielberg, « Orca » (1977) de Michael Anderson, « Piranhas » (1978) de Joe Dante, ou « Razorback » (1985) de Russel Mulcahy, tout restant sobre dans la violence, évitant le gore et l’accumulation de scènes sanglantes gratuites. C’est aussi un film politique, dénonçant la collusion du maire (de Chicago) avec le chef de la police (qui dépend de sa réélection) ainsi qu’avec le directeur du laboratoire pharmaceutique Slade spoiler: (qui fait des recherches sur une hormone de croissance à partir d’expérimentations sur des chiens volés
    ), la presse à scandales (faisant feu de tout bois) et l’exploitation commerciale de tout fait divers (vendeurs de gadgets en forme d’alligator). Le film est politiquement incorrect avec une critique de la famille américaine ( spoiler: parents bêtement autoritaires, enfants laissés à eux-mêmes, à tel point que certains n'hésitent pas à pousser, comme punition, dans la piscine un des leurs, piscine où se trouve l’alligator géant, carnage pendant le mariage de la fille du patron du laboratoire Slade avec l’un des chercheurs
    ) et ne se prend pas au sérieux avec son humour, malgré les situations dramatiques. Pour mémoire, le film a été tourné à Los Angeles (et non dans le Wisconsin), les égouts et déversoirs faisant penser à ceux du film « Le point de non-retour » (1967) de John Boorman.
    cylon86
    cylon86

    2 258 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2012
    Un film avec un alligator géant partant de la vieille légende selon laquelle les bébés de cette espèce jetés dans les toilettes finissent dans les toilettes est une bonne idée en soi. La mauvaise idée c'est que Lewis Teague en tire un film sans âme, une petite série B qui ne vaut aujourd'hui que par le charme de ses effets spéciaux d'antan. La mise en scène et le scénario reprennent à outrance le modèle du genre qu'est "Les dents de la mer") et ce jusqu'à la musique. On reconnaîtra qu'il y a de bons moments gores pour l'époque mais sans suspense, un film comme ça perd de sa superbe. Reste Robert Forster, affrontant avec courage un alligator géant aussi bien que sa calvitie naissante.
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