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vivaBFG
10 abonnés
1 135 critiques
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3,5
Publiée le 20 avril 2024
A n'en pas douter, ce 9ème opus reprend la même recette que les 8 précédents. Néanmoins, le scénario est intéressant et nous capte facilement, les effets spéciaux pour certains se sont nettement améliorés, mais quelques efforts restent à faire. Les décors sont bien trouvés, et les maquillages toujours au top.Il est évident que les acteurs sont toujours aussi bons et impliqués. A voir par les amateurs de science fiction, et les fans de cette saga.
Une petite nation de quelques individus qui doivent s'exiler au profit d'un plus grand nombre de personnes. C'est là tout le sujet de ce film qui rappelle curieusement l'invasion des occidentaux sur les terres amérindiennes. C'est le second long métrage Star Trek réalisé par Jonathan Frakes, qui interprète aussi le célèbre Will Riker. Un très beau film, plein de courage et d'humanité. Le seul défaut est la présence d’effets spéciaux médiocres pour l'époque.
Star Trek : Insurrection ou l'épisode le plus sous-estimé de toute la saga. Considéré comme le plus mauvais avec The Final Frontier, cette histoire de Ba'Ku n'a pas vraiment emporté l'adhésion du public, encore moins celle de la critique à sa sortie en 1998. L'histoire est celle des Ba'Ku, donc, peuple ayant investi une planète aux propriétés naturelles plus qu'alléchantes, puisqu'elle permet aux êtres vivants de se régénérer, et donc permet l'immortalité, ce que la fédération, pour la première fois dévoilant son "dark side" en espionnant ce petit peuple dans le but d'intégrer de les déplacer et de prendre possession du lieu afin d'y mener un projet scientifique faussement altruiste, ils s'allient donc aux ennemis des Ba'Ku, des rebelles sanguinaires avide de vengeance, leur histoire étant intimement liée à celles des habitants pacifiques ayant renié toute technologie au profit d'un mode de vie simple et proche de la nature. Picard va aider ces habitants, tombera amoureux, découvrira les bienfaits de cette planète, expérimentera l'éveil et prendra position contre la fédération. Les personnages sont encore une fois au centre de ce neuvième opus, les liens unissant Jean-Luc et la belle Anij permettent un joli bain de fraîcheur dans ce monde de brutes, on visitera de jolis décors, dont un hologramme qui sera l'objet technologique et narratif du film le mieux exploité de la saga, notamment lors d'un twist surprenant. Bref, même s'il ne s'agit pas d'un chef-d'oeuvre, j'admets avoir pris un certain plaisir en visionnant ce Star Trek: Insurrection, dernier film de qualité avant le très mauvais Nemesis et le formidable reboot de JJ. Abrams onze ans plus tard. Jonathan Frakes a signé ici une certaine continuité artistique avec First Contact, sans atteindre des cimes mirobolantes toutefois. A noter la quatrième partition de Jerry Goldsmith après un First Contact famboyant pour la saga. Il signe un des plus beaux thèmes.
« spoiler: Quand le temps semblait s'arrêter, et qu'on pouvait presque vivre, dans ce moment-là. »
Même si “Insurrection” spoiler: ressemble plus à un long épisode télévisé qu'à un long métrage , il est tout sauf décevant.
La mise en scène habile de Jonathan Frakes, les effets spéciaux spatiaux convaincants, la performance remarquable de F. Murray Abraham – entre autres – et la merveilleuse bande originale composée par Jerry Goldsmith sont autant d'éléments dignes d'éloges, qui constituent les principaux atouts de ce film agréable à regarder.
Jonathan Frakes continue de prouver qu'il sait faire un Star Trek avec ce second film qu'il réalise. L'ensemble est très bon, se suit avec intérêt, mais possède un poit faible de base, c'est le type de Star Trek dont le scénario de base est celui auquel il aurait largement suffi d'être un gros épisode de la série en 2 parties, et pas un film. Ce n'est pas le seul film qui présente cette faiblesse, mais les fans de Star Trek préfèrent les films qui marquent des tournants, des ruptures dans la continuité de l'Univers Star Trek (la fin de conflits avec les Klingons, avec les Romuliens, les premiers contacts entre Terre et Vulcain...) plutôt qu'une histoire qui aurait pu être n'importe quelle autre. Toujours est-il, quel plaisir d'embarquer dans l'Enterprise avec Picard et sa superbe et "très valorisante" petite coiffe diplomatique pour aller danser le mambo avec une horrible petite extra-terrestre !!!
C'est seulement après 10 minutes de film qu'on se rend compte que Star Trek insurrection ne possède pas de scénario.En effet,les gentils découvrent une planète de bisounours,et on apprend après que cette planète est super et que les méchants veulent s'en emparer.Ainsi on peut assister par la suite ,à tous les moments d'humour pour gosses, avec des dialogues émotionnels vus et revus dans toutes les séries américaines. Par contre,quand il s'agit d'expliquer l'univers de Star trek, la c'est un tout nouveau language que personne ne peut comprendre(ex:antichambre).Ajoutant à ça,les costumes et le maquillage des personnages qui font un peu pitié,et les décors des planètes.Cepandant les images dans l'univers restent agréable. Bref Star Trek met en place un scénario bidon pour montrer de l'action avec les moyens des années 50.
Si la saga cinématographique Star Trek n'a qu'un seul défaut, c'est l'inégalité de ses épisodes (qualité en dents de scie), le très bon succédant au moyen et inversement. Malheureusement, c'est encore le cas ici puisque ce successeur de l'étonnant Premier Contact ne l'égale pas en terme d'efficacité (c'est pourtant le même Jonathan Frakes à la réalisation). La faute à un scénario parfois brouillon (surtout vers la fin) et un peu trop facile. A vouloir faire trop grand public, on a peut-être oublié un peu de "l'esprit Star Trek" en route...
Un film sympatoche drole avec de belles musiques de Goldsmith et des effets speciaux plutot moyen. Je ne comprend pas l'intrigue. Pourquoi les So'na adoptent la technologie avec des armes faisant partie de la federation spatiale alors que leur vraie famille les Ba'ku s'en desinteressent pour mener une vie longue et prospere.