Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 12 octobre 2008
Je n'arrive pas à croire les critiques! Ce film est un navet! Ormis peneloppe et Johanson il n'y a rien, il ne se passe rien! Les scènes sont longues on sourit à peine! SVP n'allez pas le voir!!
Quelle merveilleuse sensation de liberté,que d'oser, laisser en plan Vicky Christina & Co & leurs problèmes d' intellos, empétrés dans leur libido de bourges névrosés, à la W.Allen of course !?,APRES UNE HEURE DE PROJECTION . Mettre un terme à l'ennui, s'autoriser le mépris vis à vis d'une critique dithyrambique de la presse ! SORTIR ! Retrouver dehors la température, merveilleusement douce, & la lumière radieuse de ce début d'automne. OUF! Grand Merci à Monsieur Woody Allen, son cinéma atteint désormais une telle insignifiance qu'il nous permet de retrouver le plaisir de nous surprendre à dire : "je m'en moque "; au prix d'une place de cinéma, certes, mais à chacun le sien. On l'apprécie d'autant , que ça n'arrive, que très rarement dans une vie de cinéphile. Heureusement !?
Troisième et dernière grande romance de 2008, «Vicky Cristina Barcelona» (Espagne/USA, 2008) de Woody Allen repose sur le même principe que «La frontière de l’aube» et «Two Lovers» : un homme est arraché entre une idylle conventionnelle et l’amour fou. Si la thématique devient mélodramatique chez Garrel et surtout Gray, elle est l’occasion chez Allen d’une fête des sentiments et des rages dignes de Lorca. Les nombreux fondus qui relient les champs contre champs permettent d’unir, dans un style poétique voire érotique, les visages et leurs désirs. L’union des deux êtres ne s’accomplit pas par le sexe mais par les syntagmes du cinéma. La petite lutte des intentions que se livrent les femmes pour l’amour du bel Antonio (Javier Bardem, masculin, viril et sensible) passent très peu par les dialogues. Pourtant fin dialoguiste, à en gorger ses films comme dans «Manhattan Murder Mystery», Woody Allen aspire à la sagesse et filme Barcelone comme la peinture de Goya, avec la même subtilité des traits et employant le même geste d’une fuite vers l’abstraction. Cette abstraction est conduite par, outre les fondus, des revirements continuels de situation. Entre Vicky, Cristina et Maria Elena, Antonio change d’amour et se déplace de femmes en femmes, non pas en les utilisant comme des corps jetables mais en distribuant ses sentiments dans une volonté de générosité. Chacune des trois femmes sont de même caractère, aimant tantôt Antonio, tantôt le méprisant, le haïssant indépendamment de ses sentiments à lui. Allen est, souvent à juste titre, loué pour la légèreté gracile de son cinéma. «Vicky Cristina Barcelona» atteint cette légèreté, aussi belle qu’une pointe d’Isadora Duncan. La limite à cette esthétique parnassienne est qu’elle situe Allen dans une tour d’ivoire qui l’aveugle des conditions bien prosaïques et miséreuses des hommes. Et s’il y a du Lorca chez Allen, ce n’est pas par la tragédie de son naturalisme mais plutôt par le drame des sentiments des personnages.
Tout ce que j'aime dans le cinéma se trouve dans Vicky Cristina Barcelona ! Des acteurs excellents, une narration très simple, des dialogues bien construits, un film intelligent et surtout une réalisation parfaite, au millimètre près. C'est le deuxième film que je vois de Woody Allen après Minuit à Paris que j'avais déjà adoré, et il va falloir que je suive sa filmographie de très près ! Tout n'est que bonheur dans ce chef d'oeuvre, la photographie est magnifique, Barcelone et Oviedo n'auront jamais étés aussi bien filmés. Woody Allen est tout simplement un génie !
je ne me suis jamais autant emmerdé devant un film, rien de drole, rien d'interessant, on s'emmerde, et la fin est pourri, un film a éviter. De Woody Allen, mieux vaut voir SCOOP ou MATCH POINT, car Vicky Cristina Barcelona est vraiment un navet.
Une vision aseptisée de l’Europe forme un écrin kitsch à une énième étude du sentiment amoureux par Woody Allen. Le pitch : mademoiselle-qui-va-se-marier-avec-le-type-bien-sous tout-rapport-succombe au peintre-charmeur-irrésistible-impétueux-et-beau-comme-un-astre comme y succombe plus tard sa copine ouverte-à-de-nouvelles-expériences-et-aventureuse. Relation qui se trouve pimentée par l’irruption de l’ex femme du Don Juan, Penelope Cruz, excellente dans son rôle de latin girl explosive dévorée par la passion (et particulièrement drôle). Le film ? Grosses ficelles, bla-bla éculé, portes ouvertes, lieux communs, clichés stocks comme : l’impossibilité du ménage à trois, le choix entre une vie rangée et la bohème, l’ennui de la bourgeoise vieillissante, le matérialisme américain face à l’authenticité européenne, etc… Des stéréotypes alignés comme les quilles du bowling ; pas complètement dénués de fondement comme tous les stéréotypes, mais des stéréotypes tout de même. Pas de strike, les boules dans la rigole ce soir. Une étoile pour Pénélope, deux éventuellement, on ne s'ennuie pas tout à fait.
"Vicky Christina Barcelona" est sans aucun doute le plus mauvais film de Woody Allen. Son film, à l'image de son peintre bohème espagnol joué avec flegme par Javier Bardem, est prétentieux jusqu'au ravissement. Le film est creux, et est rendu soporifique par des dialogues approximatifs malgré sa durée de 1h35. On se demande mème comment Woody Allen à pû saboter une telle histoire, lorsque l'on sait l'énorme potentiel que possédait cette relation quadrangulaire. (Cruz/Bardem/Johansonn/Hall) Oubliez totalement les dialogues souvent désopilants qui ont fait la "pate allenienne", puisque ce film lorgne vers des textes sans relief et sans verve, pour s'auto-enmurer dans une certaine médiocrité fortement revendiquée. Les échanges entre les protagonistes sont des plus ennuyeux, et Javier Bardem campe un peintre imbu de son sens créatif jusqu'à la parodie. Ce nombrilisme de l'artiste "bohème" auto-satisfait est visible lors de sa 1ère rencontre avec Scarlett Johansson et Rebecca Hall, où ce peintre prétentieux invite sans complexe, ces demoiselles à coucher avec lui, en ayant rien d'autre à offrir à ces dames que son auto-satisfaction et sa belle estime de lui-mème, ne parlant que de lui et de sa relation avec son ex-femme. Identiquement, Allen invite le spectateur à venir s'ennuyer devant son film en pensant que le seul label "film de Woody Allen", pourra donner de l'intérêt à un film très vide, "déco-toc" et se la jouant très mal "cinéma espagnol". Pour finir, la psychologie des personnages m'a fait beaucoup rire puisque le peintre/Bardem n'est autre qu'une sorte de représentation de Woody lui-mème, se permettant de nous parler de lui sans avoir l'air de le faire. Ce fait étant aggravé par l'un des thèmes du film très pompeux et souvent abordé en philo : l'art sert à "parler" de soi et est nourrit par un vécu tortueux. (voir la relation triangulaire Bardem/Johansson/Hall)
un film rafraîchissant, rajouté d'une belle réflexion sur les relations amoureuses et les questions/angoisses qui en découlent (sans tomber dnas le dramatique).
Splendide. Le thème de l'Amour est abordé sous de multiples facettes. Habituellement, on se dit souvent que "ce n'est qu'un film, ça ne peut pas être vrai!". Pourtant, ici on se retrouve facilement face au plaisir de rêver, l'ambiance du film ne cesse de nous bercer... Enfin bref, c'est un film incontournable de Woody Allen.
bin oui. il y a tout dans ce film. TOUT. et il fallait un réalisateur aussi essentiel, irremplaçable et sensible que woody allen pour le réaliser. les vieux films du maitre se bonifient avec le temps, comme le bon vin. les récentes productions ont toujours la maitrise de narration et la richesse de sens des anciens. pourvu qu'il dure, le bonhomme. donc voici un film qui nous parle, entre autre, de la bataille que se livre l'instinct contre l'intelllect dans le sentiment d'amour. comment certaines personnes prennent la chose avec légèreté, et d'autre avec souffrance, pulsion de mort (romantisme) selon qu'ils se définissent en tant que libres penseurs, artistes, ou attaché à des valeurs plus terre à terre, ce que certains appeleraient "responsable". existe-t-il une crise d'adolescence pour les libres penseurs ? faut-il choisir l'insatisfaction face à un amour atteint, ou bien l'errance dans une quête incertaine et sans fin déterminée ? change-t-on à partir de l'âge de 15 ans ? l'amour se dénoue-t-il aux antipodes de toute logique ? est-ce l'instinct qui le guide ? la notion de responsabilité a-t-elle lieu d'être ? si toutes ces questions capitales vous amusent ou vous travaillent, ce film est fait pour vous.
C'est en voyant cette toute petite chose qu'on comprend mieux pourquoi woody allen tourne autant! Il ne s'est vraiment pas trop fatigué le gaillard, un vaudeville sitcom insignifiant sous le soleil espagnol le tout sponsorisé par l'office du tourisme catalan, le choc des cultures chez ce bon vieux woody : les américains sont matérialistes et prévisibles et les européens latins sont des artistes au sang chaud, le rapport amoureux est en question également : est ce une question de raison de passion ? oui oui ça vole haut chez woody! Pas grand chose à sauver de ce truc très superficiel, agaçant et même sans aucun humour, en plus il nous colle sans arrêt une voix off (cela évite qu'il se creuse la tête et nous aussi), les deux américaines Rebecca Hall & Scarlett Johansson sont incroyablement fadasses, on sort seulement de ce ronron grâce aux quelques apparitions enlevées de Penelope Cruz, la seule chose un peu excitante du film.
Les derniers Woody Allen sont généralement réalisés sous l'égide de la paresse, et "Vicky Christina Barcelona" est un des meilleurs exemples de cette règle. Autant cette paresse est compensée par un certain charme pour "Minuit à Paris" ou encore "Whatever Works", autant là... Le cinéaste nous ressort encore une fois les archétypes des bobos frustrés mais ayant l'air d'avoir un compte en banque illimité qui visitent un pays européen, ici l'Espagne, de carte postale et qui vont se ressourcer momentanément, le tout sans la moindre once d'originalité et sur un rythme plat. Heureusement qu'il peut s'appuyer sur un beau casting, surtout Javier Bardem, (il faudrait m'expliquer tout de même pour l'Oscar du Second rôle pour Penélope Cruz, là je comprends pas !!!), qui donne une pincée d'intérêt à certaines séquences ; par contre Woody Allen réussit le grand exploit mais dans le mauvais sens du terme de ne pas rendre une relation lesbienne Scarlett Johansson-Penélope Cruz excitante. Clairement anecdotique.
Ha la brune américaine de ce film ! Quelle sensualité ! Ha la brune américaine de ce film ! Quelle sensualité ! Ha la brune américaine de ce film ! Quelle sensualité !