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    Aftermath
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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 juin 2013
    Gros caca bien sale et inutile, aucun intérêt à voir ces images. Juste de l'horreur (pour Aftermath) , un acteur qui baise un pseudo cadavre en résine molle et en faux sang, car apparemment éclaté lors d'un accident de la route. Les personnes qui élèvent ce truc au pinacle devraient essayer de chercher la vraie image de talent ; mais ce n'est pas dans ces courants là qu'ils trouveront la lumière.
    Un bon film pour ados crados...
    jamesluctor
    jamesluctor

    113 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2011
    Le point d'orgue à mes yeux de la trilogie de la mort. Malsain, déviant, la mort est filmée platement, posément. La lenteur des travelling est presque à l'image des corps en décomposition : rigides. Un soucis manique de la symétrie se retrouve dans de nombreux plans. Tout est impeccablement propre, à l'exception des cadavres, qui salissent peu à peu l'ensemble des tables d'opérations lorsque leurs organes sont retirés. Ces morts sont bafoués, violés, de la façon la plus dégradante qui soit, car entourée d'ordre et de propreté. Tout d'abord dégradation de leur intégrité physique, jusqu'au viol proprement hallucinant de Maria Arnau, véritablement réduite à l'état de tas de chair bonne à satisfaire les phantasmes du légiste. Jamais les morts n'ont été aussi déshumanisés. Un film qui tente d'humaniser les morts en montrant combien les vivants peuvent les mépriser, c'est un concept qui vaut à lui seul les cinq étoiles disponibles. La factures technique étant tout simplement parfaite (image excellente, éclairage magnifique, effets spéciaux invisibles (les cadavres sont hallucinants de crédibilité)...). Un chef d'oeuvre.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 085 abonnés 4 213 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2013
    Aftermath a une excellente réputation auprès des amateurs d’horreur, et celle-ci est justifiée. Nacho Cerda livre un court (moyen ?) métrage avec beaucoup de qualités. Celles-ci sont à vrai dire surtout formelles. La photographie notamment est de très bonne facture. Très soignée, elle mise beaucoup sur les éclairages crus, les effets de contrastes, de reflets, c’est d’une grande élégance. La mise en scène de Cerda est aussi d’une belle maitrise, avec un travail sur les plans (les gros plans notamment) qui fait plaisir à voir. C’est audacieux, il y a de la recherche, on sent que le réalisateur ne s’est pas contenté de prendre sa caméra et de filmer pépère son film en se contentant de miser sur les effets gores pour assurer à Aftermath une réputation. En effet c’est ce-dernier point qui est peut-être le plus réussis. Bon tout n’est pas parfait (le coup de « je referme la cage thoracique comme le dessus d’une malle ou d’un coffre » c’est assez bof), mais Aftermath commence à dater et ne devait pas avoir un gros budget. Aussi le résultat est dans l’ensemble bluffant, avec un réalisme très poussé. Ceux qui se sont chargé du boulot méritent des applaudissements nourris. Pour finir sur la forme, les quelques moments musicaux empruntés à un très célèbre compositeur (je laisse deviner !) sont bien choisis, mais il est regrettable qu’ils disparaissent lors des moments clés. C’était je trouve là la grande force de Nekromantik. Je ne peux m’empêcher d’ailleurs de comparer ce-dernier (surtout le 2 en fait) avec Aftermath (il traite grossièrement du même thème de la nécrophilie). Je pense que Cerda a commis une légère erreur en choisissant le format court non narratif, car même si du coup il est vrai, on a du gore et de la perversité, il n’arrive pas au niveau du travail de Buttgereit. Celui-ci s’était franchement décarcassé pour essayer de donner de l’ampleur à un sujet vraiment pas facile à aborder, et avait livré un travail d’une très grande audace et d’un très grand courage. C’était imparfait certes, et moins crédible en terme d’effets spéciaux que Aftermath, mais il y avait du volume, de l’épaisseur, et avec un sujet comme la nécrophilie, je trouve que cela était très méritant. Cerda va à la facilité sur le fond, et pour ma part seule la fin finalement donne de la consistance au reste. En gros on a un Guinea Pig avec un cadavre, et même si formellement c’est clairement au dessus, c’est regrettable de s’être emparer d’une thématique rare et courageuse pour l’exploiter de façon aussi basique. Un court métrage se doit avant tout d’être original par rapport à un long métrage, et non se contenter d’étendre sur une demi-heure, un passage de cinq minutes dans un long métrage. Cerda le fait certes bien, mais Aftermath reste surtout un bel album papier glacé, et pas grand-chose d’autre du coup. Un poil dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 janvier 2012
    C est vraiment un truc de malade ce court métrage...passionné des films d horreur j en ai déjà vu bcp mais là ça paraît tellement réel qu on se demande si il y a trucage. Alors oui c est complètement malsain et dérangé mais le réalisme et l impression de dégoût qu il dégage en fait pour moi le meilleur film de ce genre. Je me réjouis de voir les 2 autres courts de cette trilogie de la mort.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 décembre 2009
    J'espère que Cerda s'est fait psychanalysé depuis ou que sa daube a joué cet effet sur lui ... Doit pas être tout seul dans sa tête celui-la
    Sly_Ripley
    Sly_Ripley

    30 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 novembre 2008
    L'évocation est impressionnante. Un film d'une froideur terrifiante, qui repousse les limites du supportable. A ne surtout pas mettre entre toutes les mains. Les amateurs de gore y trouveront leur compte, mais attention, ce film n'est jamais dans l'excès et il n'essaye pas de vous montrer ce que vous voulez voir. Nacho Cerda joue admirablement avec les nerfs des spectateurs, et même les habitués et les amateurs n'en sortiront pas indemnes. On n'avait jamais rien vu d'aussi malsain depuis le "Flower of flesh and blood" de Hideshi Hino (1985). Mais malgré la cruauté de l'acte, on se surprend à trouver une certaine poésie dans l'esthétique chirurgicale des images, où chaque plan a été travaillé avec brio, et magnifiquement accompagnés par une musique baroque qui ne fait qu'ajouter des barreaux à l'échelle de l'insoutenable. En bref, Aftermath est clairement l'un des films les plus féroces jamais faits, et ceux qui pensent que Saw bat des records de violence doivent absolument se rendre compte de leur bévue.
    Félix F
    Félix F

    204 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2009
    A la limite du supportable, très gore et répugnant, les scènes sont extrêmes. C'est vraiment le pire film d'horreur que j'ai vu, d'une immondice que je préférerais oublier. Néanmoins c'est tellement oser et innovant que sa vaux 3 étoiles.
    necrid
    necrid

    19 abonnés 1 211 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2009
    Un court métrage intéressant et dérangeant qui s'attaque au milieu des morgues où l'on s'attarde aux charcutages des corps jusqu'à la nécrophilie de l'un des chirurgiens, le film est vraiment beau et les effets spéciaux sont très réussie avec une musique bien choisie. Difficile du juger un tel film qui reste une belle expérience mais dont on se demande le réel intérêt.
    ZOGAROK
    ZOGAROK

    13 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2011
    3sur5 Dans une morgue : travail de déballage et récupérage d'organes sous toutes ses formes. La besogne, quoi : que du bonheur (et des intestins qui traînent). Un des praticiens semble peiner à se ''contenir''. Il a l'air de pester en silence ; il retarde la résurgence de ses instincts. Bientôt, il ira donner vie à ses pulsions en allant s'expérimenter sur le corps d'une jeune fille décédée. Viol par arme blanche ; et puis, oh, après tout, il n'est jamais trop tard...

    Cerda ne cherche pas à rendre ''l'objet'' sensuel, il préfère le présenter sous un cachet clinique et élégant. Cette sophistication du malsain débouche sur ce qui constitue, en outre, sans doute l'une des ''boucheries'' les plus raffinées qu'il ait été offert (POAK d'Iskanov a son concurrent direct). A l'inverse de Awakening, la réalisation ici est parfaite, ultra réaliste, ample et précise.

    Le nouveau cinéaste aspirait à mettre en scène la beauté paradoxale (parce qu'éthiquement ''inacceptable'') d'un geste ; et il a réussi, de façon paroxystique. Il nous berce avec le Requiem de Mozart et n'autorise aucun dialogue (comme dans Awakening), laissant seul le spectateur devant ''l'expérience'' (c'est une option positive). Après tout, à quoi bon faire du cinéma, à quoi bon faire tout simplement, si ce n'est pas pour ré-envisager le Monde comme si soudain il était nu ?
    Sebele31
    Sebele31

    7 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 septembre 2021
    Aftermath est de ces expériences extrêmes qui vous marquent durablement. Ici pas de morale, pas d'intrigue, le spectateur est plongé sans espoir de retour et sans recul possible dans un univers fait de pulsions morbides inavouables. Sous nos yeux, les chairs sont martyrisées, violées, mises à vif. Mais paradoxalement le film aborde également sans détour la passion démente et dévorante de ce médecin légiste pour ces corps sans vie. Rarement cinéphilie n'avait à ce point rimé avec nécrophilie.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2010
    Attention : préparez-vous à vivre une expérience ultime, extrême, de celles qui vous retournent les boyaux dans tous les sens ! Car avec Aftermath Nacho Cerda nous livre un film limite et radical, qui pousse le malaise collectif dans ses derniers retranchements. Film purement sophistiqué, aux images d'une splendeur paradoxale, presque embarrassante, ce court métrage ne lésine pas sur les effets de style. Ainsi tout y passe : des corps meurtris, lacérés, déchiquetés, étripés, du sang en abondance, des coups de ciseaux un peu partout... mais aussi une mise en scène qui prend le temps de s'installer, qui appréhende avec un soin méthodique cette boucherie largement inconfortable. A partir d'une idée maigrichonne - et qui sur le papier devait davantage ressembler à du Frank Henenlotter qu'à du Michael Haneke - Nacho Cerda nous concocte une oeuvre d'Art à part entière, un défouloir jusqu'au-boutiste mais indispensable... Après un tel électrochoc vous n'écouterez plus jamais le Requiem de Mozart de la même façon ! Indescriptible.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2008
    On pensait avoir atteint un certain sommet dans le trash et le sadisme avec la saga Saw et les divers films d’horreur à tendance morbide et compagnie, mais après avoir vu ce court-métrage qui a presque quinze ans d’âge, on en revient pas !
    Nacho Cerda réalise ici un film si immonde et « dégueulasse » (le film nous entraîne au cœur d’une morgue où un médecin s’active dans ses tâches, à savoir découpage, viol, nécrophilie, …), autant vous dire que Aftermath (1994) risque d’en surprendre plus d’un !
    Si aujourd’hui on constate que les makeup effects sont un peu datés (l’utilisation de mannequins en latex paraissent peu réalistes), on saluera toute fois le travail fait sur l’ensemble des maquillages et des bruitages, tous assez convainquant dans l’ensemble !
    Chatterer
    Chatterer

    78 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mai 2008
    Le requiem de Mozart en introduction…Un générique étrange…-1 -2 -3 -4 -5 -6 …Nous sommes arrivé à destination...

    Dans une morgue, on finit d’autopsier deux cadavres : l’un des deux médecins reste, s’occupant alors du corps accidenté de la défunte, mais ce ne sera pas pour une simple autopsie…

    Ce deuxième court métrage de Nacho Cerda présent dans la « Trilogie de la mort » inquiéte…Franchit des limites jamais franchies jusque là…

    Ce volet est une « suite » à « The Awakening » où on parle d’un étudiant qui meurt… Après le passage de la vie à la mort…Direction la morgue.

    Nacho Cerda est terrorisé par la mort…et c’est pour exorciser cette peur qu’il fait naitre « Aftermath » Ce film est contre la violence, contre la manipulation du corps humain. Mais pour montrer tout ça, il a choisit de filmer la violence telle qu’elle est réellement.

    Le court métrage est découpé en deux parties. La première est une mise en place de l’ambiance avec la découpe des corps (à gerber…lol), puis l’acte tabou dans toute sa splendeur malsaine…à savoir le viol d’un cadavre.

    Musique baroque, rythme lancinant, aucune parole ; les images troublent et dérangent au plus haut point, en particulier lors du fameux dernier acte.

    Lent effeuillage du cadavre, mutilation (terrible séquence où le nécrophile passe et repasse la lame de son couteau sur la peau de la morte), tripailles caressées : rien ne nous est épargné jusqu’au passage à l’acte.

    J’en ai attrapé des suées…Je n’en pouvais plus à la fin du métrage…Une expérience inédite !!!

    Une inoubliable et choquante symphonie de mort, et la naissance d’un grand réalisateur.
    nastygobs
    nastygobs

    16 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2009
    Un court métrage qui allie parfaitement retenue dans la mise en scéne et délire de cinglé dans le scénario.La réalisation arrive avec brio à donner une sacrée atmosphère sans aucun dialogue.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 juillet 2011
    court métrage vraiment horrible mais très interressant. cette horreur montre un coté non exploité de l'atrocité de l'homme. malgré l'atrocité des images je trouve ceci très bien fait et cela mérite plus que la moyenne.
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