se film inspiré d'une histoire vrai sur la mafia est bien réussie l'actrice principal joue bien son role petit film mais efficace on passe un bon moment a voir se film
Pour les amateurs de drame, très bon film. L'atmosphère de la mafia y est bien représentée je pense. On sent Veronica D'Agostino jouant Rita très engagée dans son rôle. Cependant je n'ai pas connaissance de l'histoire véritable.
Une bonne intensité dans ce film où l'actrice principale est très convainquante, d'autant plus que de bons efforts ont été réalisées pour obtenir une oeuvre assez réaliste.
Une enfant voit son père mafieux se faire tuer, pendant des années elle prépare sa vengeance mais c'est au tour de son frère de se faire tuer, elle décide alors d'aller faire confiance à la justice... Histoire vraie donc déjà une force dramatique déjà amorcée avant le début du film. Le casting n'est pas mal, Jugnot étonne mais s'en sort plutôt bien, les seconds rôles étant plus marquants comme la mère du témoin. 1er problème la mise en scène statique et trop télévisuelle, jamais la caméra nous emporte. L'histoire est connue et le scénario n'en fait pas plus, scolaire on passe de l'action aux larmes comme du papier à musique sans mettre en avant les états d'âmes de l'adolescente où les risques qu'elle encoure (peur et angoisse trop survolées). Le grand écran n'est pas pour ce téléfilm malgré l'intérêt certain de son thème.
j'ai trouvé ce film pas mal, malgré la sensation parfois d'un téléfilm. je n'aime pas trop jugnot, mais c bien joué dans l'ensemble et le fait que ce soit une histoire vraie relève toujours la sensibilité de ce genre d'histoire
Après "Gomorra" et la mafia napolitaine, c'est la mafia sicilienne qu'on retrouve dans ... "la sicilienne". Il s'agit là du 2ème long métrage de Marco Amenta qui avait déjà abordédans le documentaire "une fille contre la mafia" cette histoire vraie de jeune sicilienne, fille d'un parrain de la mafia assassiné par un autre clan, en arrivant à témoigner contre la mafia . Face au côté très brouillon de "Gomorra", j'avoue avoir une préférence très marquée pour "la sicilienne", au scénario beaucoup plus linéaire et à la mise en scène d'une très grande efficacité. Une coproduction franco-italienne a imposé la présence de Gérard Jugnot dans le rôle du juge anti-mafia : malgré le doublage, ce n'est pas gênant ! Veronica d'Agostino, qu'on avait découverte dans "Respiro", est très convaincante. Quant à la photo, elle est l'œuvre de Luca Bigazzi, le même qui était derrière la caméra dans "Il divo".
L'histoire d'une jeune femmme qui se bat avec envergure contre la mafia de son village est le point positif du film. Veronica D'agostino qui joue cette jeune femme est plus que probant! On a une certaine vision du "secret" culturel italien dans une famille qui se répand au village. Le danger d'une personne qui ose dire la vérité. Ce sont les points positifs du film. Malheureusement, il y a quelques lourdeurs, lenteurs dans le film. J'ai eu du plaisir à voir Gérard Jugnot dans ce type de rôle dans un film italien! Un film à voir au cinéma malgrès ces défaut autrement attendre une première diffusion télé!
Le principal atout de ce film, c'est son histoire. Il raconte le combat, véridique, de cette adolescente qui décide un jour de dénoncer la pieuvre Mafia qui gangrène tout son village. Bien sûr que le spectacle est plein de poncifs, on pourra toujours le lui reprocher d'ailleurs. A commencer par la représentation de quelques amourettes de la jeune fille, dignes des romans de (petite) gare. Mais le thème est excellent, et il montre la solitude de ce juge et de cette fille qui vont démonter peu à peu l'organisation mafieuse. Ils sont les premiers à apporter leur contribution aux procès fleuves tenus en Italie contre la Mafia. Leurs positions sont devenues, on s'en doute, carrément invivable au fil des mois de procès. Ce film est un manifeste en leur mémoire. Il est utile à ce titre.
En 2008, la mafia Italienne était sur le devant de la scène grâce à d’excellents films (ou brûlot) comme Biutiful Cauntri & Gomorra. Cette année, on y a encore droit avec La Sicilienne, inspiré d’une histoire vraie, celle d’une adolescente qui quitte le domicile familial pour se rendre devant le juge afin de balancer la mafia locale qui a fait assassiner son père et son frère. Traquée et menacée de mort, elle change d’identité afin de rester en vie, son histoire avait ému l’Italie au début des années 90, voilà sur quoi repose ce film. Pour son premier long-métrage, Marco Amenta met en scène un très bon drame porté par la présence de Veronica D'Agostino au côté de Gérard Jugnot (en V.O !). Captivant de bout en bout, on n’en perd pas une miette.
La mise en scène plate et les jeux d'interprétation moyens me font conclure que ce film n'aurait aucun intèret s'il n'avait été tiré d'une magnifique histoire vraie. Cette fiction semble vouloir compléter GOMMORA en nous faisant découvrir la cruauté de la fameuse loi du silence faisant la force de la Cosa Nostra. Je reste convaincu qu’entre les mains d'un digne descendant du cinéma italien politiquement engagé des années 70, cette dénonciation de la mafia aurait été un pur chef d'œuvre.