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    Chacun son cinéma
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    3,0
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juin 2021
    Chacun son cinéma Shine a Light de Scorsese et The Gold Rush de Chaplin sont les meilleures moments et je veux les voir sur grand écran. Le reste des réalisateurs est ce qu'on peut attendre de plus mauvais d'un court métrage. De Angelopoulos a Assayas, de Jane Campion, de Joel Coen en passant par David Cronenberg et les Dardenne si c'est leurs cinéma il peuvent en être fière mais ce n'est surement pas le mien...
    Cronenberg
    Cronenberg

    210 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juillet 2018
    Oui, c’est original et sympathique, hommage à Cannes et au cinéma. David Cronenberg comme d’habitude est le meilleur. Beaucoup de réalisateurs au rendez vous. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
    Alain D.
    Alain D.

    490 abonnés 3 201 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Les cinéastes de 25 pays ont réalisé chacun un court métrage sur le thème commun de "La Salle de Cinéma" :
    Anna : format court réalisé par Alejandro Gonzalez Inarritu (4.5* - Exc) : Un film d'une sensibilité extrême sur une musique aussi dramatique que sublime et une superbe photographie de Luisa Williams, l'actrice unique de ce film.
    "En regardant le film" du réalisateur Chinois Yimou Zhang (4* TB) est un format court émouvant et bourré d'humour avec la présence dominante des enfants.
    "Le Dibbouk de Haïfa" est un film choc de l'Israélien Amos Gita.
    "Cinéma de boulevard" (3.5* B) : une évocation tendre et drôle de la vie de Claude Lelouch à travers des extraits de films bien choisis.
    First kiss (3*) est un format court original de Gus Van Sant faisant preuve d'une belle qualité technique.
    "Cinéma érotique" : un excellent format court de Roman Polanski (4.5*). Un film osé, efficace, au scénario à la fois dramatique et drôle. Avec l'excellente prestation de Michel Vuillermoz, et les participations de Jean Claude Dreffus et Denis Podalydes.
    Toujours la démesure dans le format court de David Cronenberg qui ne donne pas dans la dentelle avec "At the suicide of the last Jew in the world in the last cinema in the world".
    "Happy ending" 3* : Un format court en VO, sympathique et drole, realisé par Ken Loach : Le pitch Un père et son fils doivent choisir un film. Ils font la queue dans la file d'attenre du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    C'est un film à sketches très réussi voir un des meilleurs! on passe par toutes les émotions! je me suis régalée avec mes deux frères et soeurs!!! il faut aller le voir!!!
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    163 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Petite déception ! Je croyais que j'allais adorer regarder des courts-métrage sympas. Et, finalement, malgré quelques bons passages, j'ai trouvé ça assez ennuyeux !! La plupart des court-métrages sont inintéressants. Il y a en même où il ne se passe absolument rien (deux plans de 2 minutes et une minute de deux personnages qui se rencontrent style "bonjour ça va au revoir"!) !!!!! Quelques uns sont biens, mais dans l'ensemble, j'ai trouvé ça assez inégal ! Dommage, mais bon film quand même !
    WalkthisWay
    WalkthisWay

    17 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2015
    Le résultat était prévisible comme dans tous les films à sketches : inégal. Certains réalisateurs impriment vraiment leur univers et font de très bons courts (Kitano, Loach, Suleiman, frères Coen, Polanski, Lelouch, Yimou,...) mais d'autres au contraire semblent vraiment pas inspirés.

    On a donc des courts métrages de la part de certains cinéastes (néanmoins très bons dans leur œuvre respectif) très premier degré, sans véritable originalité (frères Dardenne, par exemple). Deux courts sont particulièrement dérangeants : l'auto célébration de Chahine et le court métrage de Gus Van Sant, qui reprend de façon très premier degré, le concept de "la Rose pourpre du Caire" qu'Allen avait beaucoup plus creusé.
    7eme critique
    7eme critique

    458 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mai 2013
    33 courts-métrages sur "la salle de cinéma". Un condensé de cinéastes où l'on découvre les différents traits artistiques des plus grands metteurs en scène, mais qui épuise tout de même sur la longue. Deux ou trois réalisations sortent du lot, mais l'overdose arrive rapidement dans ce pot-pourri de courts-métrages. Une idée originale qui peinera à captiver le spectateur pendant 2h.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 décembre 2012
    (...) Monsieur Jacob, écoutez-moi. Je ne suis pas de nature à faire des éloges à tous vents, et écrit donc ce qui suit avec la plus grande modestie et sincérité. Vous n’êtes peut-être « que » le producteur de ce film, comme vous dites, mais après tout, c’est un peu grâce à vous si le cinéma continue d’exister, et d’être ce qu’il est : un formidable moyen d’expression, un véritable art. Aussi, je ne peux finir ces quelques lignes par un mot : merci.

    (l'intégralité de l'article est visible sur http://wp.me/p2gEpo-5O)
    D'autres critiques cinéma sont disponibles sur http://lestempscritiques.wordpress.com
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 août 2012
    Un thème : la salle de cinéma. Une trentaine de courts-métrages pour autant de façons d'aborder la question. On y trouve de tout, à commencer par des hommages solennels un peu plombants : les Dardenne et Hou Hsiao-Hsien citent Bresson, Angelopoulos reprend Antonioni... là où Chahine s'auto-congratule fièrement ! Comme ce dernier, Lelouch ne peut se retenir de parler de sa propre personne, exercice dans lequel Moretti se révèle bien plus intéressant. On a aussi des hors-sujet ratés (Campion) et des hors-sujet réussis (Oliveira), des intermèdes musicaux étranges (Cimino, Salles), des femmes qui pleurent beaucoup au cinéma (Dardenne, Kiarostami, Inarittu). De beaux moments de poésie sont à signaler chez Gus van Sant et Zhang Yimou. Mais il y a également le gros ratage sioniste de Gitaï, aussi idiot que déplacé. Fort heureusement, dans cet univers cannois qui se prend un peu trop au sérieux, il y a quelques sympathiques perturbateurs qui jouent la carte de la comédie (alors que c'est loin d'être leur genre de prédilection) : le Polanski est très bon, et le Lars Von Trier est incroyable. A l'inverse, Kitano et Suleiman déçoivent un peu. Mais celui qui sort véritablement du lot, c'est indéniablement Cronenberg : « At the suicide of the last jew in the world in the last cinema in the world » est un véritable chef d'oeuvre de trois minutes, réflexion passionnante sur les médias, la judéité et la mort du cinéma.
    LUET M
    LUET M

    25 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2012
    'Chacun son cinéma', né d'une proposition de Gilles Jacob à 34 réalisateurs, à l'occasion du 60ème anniversaire du festival de Cannes, est un florilège de courts métrages de 3 minutes chacun sur le thème de la salle de cinéma. L'ensemble est plutôt bien et, comme dans la plupart des compilations de courts et des films à sketch, on constate une hétérogénéité dans la qualité des différents segments, mais aussi dans leur genre.
    Le meilleur, tout d'abord selon moi, est 'Absurda' de Lynch qui dégage une vraie sensation étrange entre l'admiration et la peur, comme dans la plupart de ses films, à travers son registre habituel - onirique, bizarre et angoissant. Suivent de près les plus drôles courts de cette compilation : 'Cinéma Erotique' de Polanski, 'Occupations' de Lars Von Trier - jouant tous deux sur une chute surprenante et très drôle - et 'One Fine Day' de Kitano. Dans le même style 'Irtebak' d'Elia Suleiman n'est pas mal non plus. Nous avons également le droit à des hommages, des déclarations d'amour explicites au septième art - 'World Cinema' des frères Cohen, 'Cinéma de Boulevard' de Claude Lelouch, 'Diario di uno spettatore' de Nanni Moretti, 'A 8944 km de Cannes de Walter Salles ou '47 ans après' de Youssef Chahine. D'autres sont plus émouvants - 'Anna' de Inarritu, 'Artaud double bill' d'Egoyan ou 'I travelled 9000 km to give it to you' de Wong Kar-Wai avec une mise en scène très poétique - ou dérangeants - celui de Cronenberg et de Gitaï. En revanche, certains n'accrochent pas, voire déçoivent. Il faut dire que les quelques meilleurs courts métrages ont mis la barre haute, réussissant avec brio à surprendre, à choquer, et à émouvoir le spectateur en très peu de temps.
    stillpop
    stillpop

    74 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    L'histoire de réalisateurs qui ont voulu rendre hommage à la salle de projection cinématographique, lieu culte de la religion cinéphilique. Ce à l'occasion des 60 ans du festival de Cannes.
    Le plus drôle, c'est de deviner les noms des cinéastes aux 3 premières minutes, sans connaître la liste avant bien sûr. Je suis vraiment fier d'en avoir trouvé 5 dès les 15 premières secondes, voilà, c'est dit ! Il faut préciser que les noms des réalisateurs ne sont révélés qu'au petit générique de fin de chaque court métrage.
    Il y a 33 films quand même, donc inutile de dire que j'en ai oublié.
    Dans l'ensemble, le niveau est quand même élevé, même si deux ou trois réalisateurs se sont inspirés des mêmes approches, il faut bien dire que la personnalité des auteurs crève l'écran, et c'est tant mieux, surtout sur des courts métrages.
    Je ne vais pas faire la critique noms par noms, ce serait un peu long, et j'en ai déjà confondus, plutôt survoler par catégorie :
    - Le meilleur, pour moi, c'est clairement Von Triers qui nous livre une parabole sur la victoire de l'exigence du cinéphile éclairé et talentueux face à l'américain beauf, fier de lui et plein de fric. C'est idiot, très marrant, rapide et parfait. Occupations.
    - Les plus marrants :
    Le Kitano bien sûr, simple, rapide, efficace. (One fine day)
    Le Nanni Moretti sur une parodie amusée de la cinéphilie militante. (Diario di uno spettatore).
    Irtebak d'Elia Suleiman, fidèle à son seul film qui a marché en France, avec cet humour discret presque entre Woody Allen et Tati.
    Cinéma érotique de Roman Polanski, on l'attendait au tournant et il ne déçoit pas avec un mini scénario tendancieux à suspense.
    - Les plus porteurs de sens :
    At the suicide of the last Jew in the world in the last cinema in the world de David Cronenberg, un OVNI indiscutable et excellent.
    The Lady bug de Jane Campion, où les aveugles ont droit de cité.
    Where is my Romeo ? d'Abbas Kiarostami pour voir des femmes en voiles qui regardent des films d'avant quand les iraniennes ne portaient pas le voile. Vive le cinéma !
    - Les plus émouvants :
    Lelouch gagne la palme, avec un hommage à Cannes, au cinéma, à sa famille pied noir sans arrière pensée, juste du cœur, et c'est très beau dans Cinéma de boulevard.
    Nanni Moretti sur le même thème que Lelouch. (Diario di uno spettatore).
    Dans l'obscurité de Jean-Pierre et Luc Dardenne, avec Duquenne dans une bien belle composition.
    Tous les films chinois, hommage à l'enfance et son émerveillement face à la magie de l'écran blanc.
    Ming-Liang (It's a dream), Yimou (En regardant le film), ou Kaige. (Zhanxiou village).
    Moins impressionnant, mais même combat et conclusion populaire en diable, Happy ending de Ken Loach.
    Cinéma d'été de Raymond Depardon, hommage au cinéma des pays du tiers monde, qui a plus besoin que les autres de rêver, et qui en a bien moins !
    - Les plus esthétiques :
    Kar-Wai évidemment (I travelled 9 000 km to give it to you).
    First kiss de Gus Van Sant, d'une maîtrise du décor étonnante, et d'un sujet bien fade quand on connaît les goûts du réalisateur. Peut-être ironique ? Ou peut-être une parabole pour montrer tout ce que le cinéma peut nous faire vivre sans que l'on en ait l'occasion ?
    - Les plus déjantés :
    Le Cimino, totalement incompréhensible, surtout de la part d'un des meilleurs réalisateur américain ? (No translation needed).
    World cinema de Joel & Ethan Coen, étonnant, avec un Nolte pseudo cowboy pseudo homosexuel, et un projectionniste pseudo arabe en plein Arizona. Sorte de parodie des films indés dernier cri.
    La Fonderie d'Aki Kaürismaki, hommage aux Leningrad Cowboys, toujours aussi incompréhensible.
    A 8944 de Cannes de Walter Salles, ironie cinglante aux bobos de tous bords qui pensent que le cinéma ne vaut que pour les pays qui peuvent le subventionner.
    - Les plus agaçants :
    Chahine, qui fait la même chose que Lelouch, mais uniquement avec son ego en oubliant tout le reste, l'humour n'étant pas suffisant. (47 ans après).
    Amos Gitaï, avec son partisanisme latent, comme si les salles de cinéma israéliennes avaient le monopole des bombardements. Et comme si la salle de cinéma, seul rempart contre les emmerdements ambiants, étaient destinés à protéger des roquettes palestiniennes. Ce n'est pas parce que le septième art existe que les israéliens meurent sous les bombes, c'est parce que 3 fois plus de palestiniens meurent chaque année sous les armes israéliennes, bref, un problème politique et même racial, (quand on voit le Chahine, seuls films polémiques de cet hommage aux salles de cinéma) dont le cinéma n'a que faire, et qui n'a aucune place dans la culture des civilisations occidentales qui ont construit leur paix depuis bien longtemps sans doute dans un esprit bien différent. (Le Dibbouk de Haïfa).
    Recrudescence d'Assayas, quand on veut donner un message sur la déliquescence des couples mixtes ou de la fraterie musulmane en France, on travaille un peu moins couvert, et on a le courage de ces opinions ou on se fait plus compréhensible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 octobre 2011
    Certains sont excellent, d'autres sont tous simplement chiant.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    185 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2011
    Difficile de se faire un avis sur ce film, étant donné qu'il s'agit d'une compilation de court-métrages très différents les uns des autres et très nombreux... Et faire une critique de chaque court et une moyenne serait presque ridicule. Alors on va faire de notre mieux... Déjà, le problème avec "Chacun Son Cinéma", malgré qu'il soit tiré d'un concept extrêmement intéréssant et original, c'est que les films son trop différents, et on peux aussi bien en adorer certain qu'en détester d'autres, c'est assez gênant... Je n'en ai détesté aucun, mais un grand nombre ne m'ont que trop peu plu. Mais ils restent dans l'ensemble tous bons... Et certains sont vraiment très bons, notamment ceux de Gus Van Sant, David Cronenberg, des frères Coen, Theo Angelopoulos, Aki Kaurismaki, Nanni Moretti, Claude Lelouch... Et les deux meilleurs sont l'excellent "Cinéma Érotique" de Roman Polanski et le magistralissime "Occupations" de Lars Von Trier, deux courts que je ne me lasse pas de revoir et de rerevoir.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 août 2010
    L'ensemble est un peu mou du bulbe niveau créativité. Les réalisateurs ne se sont pas foulés pour pondre pareils lieux communs. Même les plus grands noms, même ceux que j'affectionne particulièrement (Cronenberg, Gus Van Sant) n'ont accouché que d'un petit truc assez minable à la philosophie de comptoir. Faut dire qu'en 3 mn, l'exercice est un peu difficile, voire vain.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2010
    Les films à sketchs sont souvent décevants, désiquilibrés, sans unités ou ni de bonnes concertations et ennuyeux. Ici, l'idée de Gilles Jacob s'est révélée bonne et il a su faire appel à ce qu'il y a de mleux dans le cinéma mondial tous continents réunis. Résultat : un bon moment pour des films très brefs. Le meilleur pour Kiarostami, Egoyan, Haou Hsiao Hsien et les frères Dardenne. Assyas, Gitai ou De Oliveira sont franchement décevants.
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