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    La Planète des singes
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    BURIDAN
    BURIDAN

    19 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2013
    Grand film culte!
    L’idée de Pierre Boule qui fait de l’homme une espèce dominée, réduite à l’état d’animal de compagnie, et chassée, enfermée, par autre plus intelligente/plus adaptée n’est, en soit, pas si originale que cela…
    De nombreux auteurs de S.F. ont avancé ce postulat de départ dans leur œuvre.

    L’intérêt de « La planète des singes » me semble se situer dans un tout autre registre.
    Dans son récit, l’auteur imagine que l'évolution naturelle déchoit l'homme de sa prééminence sur les autres espèces vivantes au profit des singes…
    Trois rameaux ont donc évolués en modifiant leur hiérarchie, leurs spécificités, leurs dogmes.
    Et en conservant leurs faiblesses, leurs interrogations…
    Et c’est ce qui me semble constituer l’originalité de la fable philosophique et du film.
    Les singes devenus supérieurement intelligents, ont évolués parallèlement ... à l’Homo sapiens !
    (Dans le roman, les singes sont plus avancés technologiquement que dans le film. Ils ont des automobiles, des téléviseurs, des avions.
    La société simienne est plus primitive dans le film à cause d'un budget restreint !!!

    "Nous savons que les espèces ont probablement toutes une souche commune. [...]
    Singes et hommes sont des rameaux différents, qui ont évolué, à partir d'un certain point, dans des directions divergentes, les premiers se haussant peu à peu jusqu'à la conscience, les autres stagnant dans leur animalité" (Pierre Boulle).

    Boule nous dit que l’intelligence est, évolutivement, convergente (comme le soutient aussiTeilhard de Chardin avec sa noosphère)…
    Et que celle-ci est source de liberté.
    Donc à la fois de danger et d'espoir.

    Anecdote significative : pendant les pauses du tournage, les acteurs déguisés en singes avaient tendance à passer leur temps avec ceux déguisés avec la même espèce : les gorilles avec les gorilles, les orangs-outans avec les orangs-outans et les chimpanzés avec les chimpanzés…
    L’habit fait donc le moine et le poil la bête !

    N’oublions pas : lorsque Franklin J. Schaffner réalise ce film nous sommes en 1968, en pleine guerre froide…
    Ce qui justifie, et éclaire, la scène finale du film !

    A VOIR ET A REVOIR!!!!
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2017
    Après avoir lancé le téléthéâtre « Douze Hommes en colère », qui sera plus tard porté sur grand écran, ainsi que « Le Seigneur de la Guerre » dans les années à venir, Franklin J. Schaffner propose une adaptation du roman visionnaire de Pierre Boulle. Le contexte des grandes guerres, comme pour tout autre argument social, induit l’étude intuitive de l’humanité et sa complexité. On abord ainsi le thème de l’altérité en remaniant avec douceur ce que représente cette humanité, que ce soit sous ses traits physiques ou moraux. S’éloignant avec prudence du roman et de sa vraisemblance dans la mise en scène choisie, ce premier passage sur grand écran lance bien des débats et porte la réflexion sur des pistes que même l’auteur respecte.

    Plongés dans une science-fiction pure et dure, mêlant le voyage dans l’espace et d’autres dimensions possibles, nous sommes face à une lecture profonde sur le genre humain. Le groupe d’astronaute échoué sur une planète inconnue fait face à un premier contact déroutant sur les autochtones. Les singes intelligents occupent une place prédominante dans la civilisation locale et les humains sont des sous-espèces à titre « d’animaux » sauvages. Bien entendu, diverses races la composent, comme les chimpanzés, orangs-outangs et gorilles. On y installe alors un système notamment lié à leurs divergences de compétences à la fois physiques et mentales. Il est également possible d’extrapoler cette observation à l’opinion que chaque individu se fait, signe d’une intelligence, marquée par une intense réflexion. Tout l’intrigue nous occupe à cette gymnastique philosophique, suggérant les bien-fondés de tout argument et exemple lié à l’étude identitaire de l’Homme.

    Par ailleurs, du fait de leur nature, jugée faible et primitive, sélectivement parlant, les humains occupent un rang qui dénonce avant tout la maltraitance des animaux. Sur le second plan, nous sommes face à une étude comparative entre eux et les singes, espèce que l’on identifie proche de nos semblables sur bien des aspects. Le souci étant de savoir ce qui fait d’un individu un humain, et en quoi le primitif est n’est pas toujours condamné sous cette forme. George Taylor (Charlton Heston), l’un des naufragés, illustre le sommet de l’évolution induite, prouvant que l’Homme « est » une espèce intelligente. C’est donc par le biais de cette rencontre extraordinaire que l’on aborde le sentiment de rejet, appuyé par une ségrégation qui développe autant de sens dans l’interprétation, que de réponse dans sa rupture avec un futur proche. La lutte est permanente, laissant les discours des singes bipèdes proposer une narration éducative et universelle avant de complexifier l’affaire.

    La partition de Jerry Goldsmith joue également un rôle primordial dans l’approche de cette escapade. L’inconnu résonne dans chaque note, ainsi qu’une pointe d’ambiguïté semant le doute et le danger à tout instant. Ce qui nous intéresse dans ce récit, c’est de connaitre les vestiges qui ont fondés une telle société de présumés animaux intelligents. Comme pour le mal et le bien, tout dépend du point de vue. On se heurte ainsi à chaque camp qui défend vainement sa motivation, bien que l’on éprouve une empathie, logiquement justifiée, pour Taylor. Il parvient d’ailleurs à se montrer malin et subtile en utilisant la communication pour se démarquer. La gestuelle peut alors plus d’impact que la parole, mais dans une situation aussi critique, les deux compétences sont nécessaires afin de se défendre convenablement. Les scientifiques Cornelius (Roddy McDowall) et le Dr. Zira (Kim Hunter) soutienne Taylor, par curiosité et par doute. Tout le procès qui tourne autour de l’humain parlant est régressif dans le propos, mais questionne énormément sur les valeurs qui constitue une âme honnête et ouverte. Nova (Linda Harrison (I)) sert essentiellement comme point d’encrage, où l’on se réfère à son caractère primitif. L’aspect féminin importe peu dans le contexte, car l’on tend à généraliser l’ensemble de l’étude à l’Homme. On garde sans cesse à l’esprit la place de l’humain dans une société totalitaire où la sécurité des semblables compte plus que tout. On en vient aisément à négliger les répercussions derrière, alors que l’on part d’une bonne intention.

    Afin de rendre la narration plus intéressante, on installe alors le Dr Zaius (Maurice Evans), ministre des Sciences et gardien de la Foi. Il défend aveuglement son espèces, qui revendique son intelligence absolue, malgré l’arrivée de Taylor et de ses connaissances bluffant. Sur ce point, nous sommes capables de trouver tout le sens des idées de Platon, où l’allégorie de la Caverne devient l’objet d’étude principale, le temps d’un débat qui alarme et qui instruit. C’est la « Zone interdite » qui définit la frontière de cette caverne et la vérité, où le monde intelligible apportera les réponses voulues, sera fatale pour chacun des protagonistes. L’approche reste métaphysique et ontologique afin que l’on puisse garder le suspense jusqu’à son comble. Le fait de savoir toute la vérité sur le passé de l’Homme provoque un recul permanent sur les péripéties qui s’enchainent, injustement contre les hommes.

    Il va sans dire que « La Planète des Singes » rend hommage à Boulle, mais projette davantage sur le fond de la réalisation, jusqu’à remettre en cause sa vision. Et autant conclure sur le symbolisme, car celui des « Trois Singes de la Sagesse » est à l’œuvre ici. L’icône qui en ressort se traduit essentiellement par « Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal ». Rien ne peut être aussi juste et complet en une citation. La justice que revendique Taylor est écartée de la conscience de Zaius et des siens. Ce duel moral est une leçon de cinéma, marqué par une mise en scène très comparative. Entre la violence et l’intolérance, il existe des paliers dont on peut s’affranchir afin de justifier une unité que l’on recherche avec tant d’effort, sachant que camper sur des modèles conservatoires restera privilégier quel que soit d’époque, la situation ou les obstacles !
    Truman.
    Truman.

    203 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2013
    La Planète des singes connu et reconnu comme un classique dans son genre et qui encore aujourd'hui continue d'exister ( grâce a La Planète des singes les origines sortie en 2011 ) . N'ayant pas lu le livre de Pierre Boulle je ne ferai pas de comparatif .
    Le film date de 1968 et la première chose qui frappe c'est que le film n'a pas prit la moindre ride depuis ces 45 années qui sont passés .
    Alors oui les costumes de singes sont très simpliste mais ils font encore leurs effets et sont vraiment agréable, ils ne donnent pas un effet kitsch et ridicule comme j'aurais pu m'y attendre .
    Tout le reste n'a pas vieillit car le film n'use en aucun cas d'effets spéciaux a outrance, tout est minimaliste ce qui renforce le coté simpliste et (peut être ?) intemporel du film .

    On pourrait même dire en quelques sorte que La Planète des singes est un film d'anticipation, il y a un coté mystérieux et énigmatique qui s'en dégage, c'est captivant du début a la fin .
    On met l'homme au statut d'animal sauvage et le singe au statut d’être intelligent, l'homme humilié comme le sont les animaux et ceci remet en question notre civilisation . Qui est le plus évolué ?
    L'homme déshumanisé pour qu'il voit mieux en face ce qu'il est vraiment, c'est intelligent subtile et parfait .
    Avec La Planète des singes on a de la vraie science fiction intelligente, le genre de film que l'on voit rarement et qui en devient vraiment passionnant .

    Malheureusement le film a bien un vilain défaut . C'est prévisible d'un coté mais ce qu'il y a de plus horrible c'est l'affiche du film qui est un gros SPOILER a lui tout seul, c'est hallucinant de voir ça ...
    Vous voyez l'affiche du film et paf plus aucune surprise ... Comme je l'ai dis ça reste prévisible dans le fond mais quand même ça ruine littéralement la petite once de rebondissement !!

    J'aurais pu mettre ce film au rang de chef d’œuvre de la science fiction mais cette affiche qui enlève toute surprise est donc une déception immense a mes yeux, la qualité global du film n'en souffre pas heureusement .
    Marc H
    Marc H

    54 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un grand film! politique, malin, drôle, palpitant... bien joué, bien réalisé, bien écrit, la musique est un peu énervante de temps a autre, mais on passe un bon moment.
    Wagnar
    Wagnar

    63 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2018
    Malgré son âge, la Planète des Singes reste un long-métrage de science fiction toujours efficace. Le propos est intelligent, percutant. Le film livre une réflexion sur les dangers que l'Homme fait encourir à sa race, à son avenir et à la Terre. Ici, point de manichéisme. Personne n'a raison. Un film philosophique, créatif, absorbant, inquiétant. Les maquillages des singes sont toujours aussi convaincants et Charlton Heston trouve ici un rôle à la mesure de son talent. Toutefois, en raison de son côté pessimiste, je n'arrive pas à adhérer à ce film à 100% même si ce pessimisme sert à faire ressortir le message philosophique et sociologique du film. Un très bon classique largement supérieur à ces oeuvres de science fiction modernes bourrés de lumière clignotantes, d'effets CGI à gros budget et de cascades ridicules.
    Mr. 7ème Art
    Mr. 7ème Art

    21 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2015
    Le très bon premier film de la célèbre saga de sf (dont les bases ne reposent pas sur la technologie mais sur les valeurs humaines ou animales) qui donna naissance à une flopée de suites. Le film reste intéressant partant du principe où il pose la question du rapport entre l'humain et l'animal, mais aussi les erreurs que l'humanité a pu faire sans oublier les essais nucléaires... On retiendra surtout la performance de Charlton Heston, le travail sur les costumes, les décors et la montée dramatique qui conduira à un climax final dans l'histoire du cinéma. Culte !
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Seul face à l'infiniment grand. L'espace comme unique décor à contempler. Face à un tel panorama, l'homme ne peut qu'avoir conscience de sa totale futilité. Georges Taylor, colonel de l'engin spatial Icare, l'a parfaitement assimilé. Quand il s'écrase par mégarde sur une planète inconnue, il s'aperçoit vite que ce ne sont pas des hommes qui la gouvernent, mais des singes.

    Oubliez la version ratée et trop spectaculaire de Tim Burton pour vous plonger dans cette formidable aventure humaine, se posant comme une base solide dans le genre de la science-fiction. L'homme y est perçu comme une bête et la mise en scène de Schaffner, brillant cinéaste hollywoodien (Patton, Papillon), ne fait que le confirmer. En débarquant sur cette terre inhospitalière, les trois astronautes se retrouvent vite nu, sans statut et donc, à l'état primitif. Les mouvements de caméra brusques et hasardeux trahissent l'impression que doivent avoir ces hommes : la perte totale de repère.

    Dans la formidable première scène où l'on voit ces singes, ces derniers apparaissent sur un cheval, parfait symbole d'êtres civilisés sachant apprivoiser les animaux. Avec une musique psychédélique et proche de la folie signée Goldsmith (Rambo, Gremlins), cette chasse à l'homme nous fait froid dans le dos car elle inverse totalement les théories que nous connaissons de l'évolution. Les singes détestent la race humaine et ont installé un système répressif plaçant leur espèce comme la plus supérieure de toutes. Se servant de la religion et de livres sacrés pour prouver leurs actions, les scénaristes font de fascinants parallèles avec notre propre société pour dénoncer l'hypocrisie, le racisme ainsi que le caractère auto-destructif lié à la nature humaine.

    Avec l'une des fins les plus cultes du septième art, La Planète des Singes signe l'épilogue le plus intelligent qui soit, fondamentalement pessimiste mais pertinent. « Je vous maudis tous » prononce Charlton Heston pour ses dernières paroles. Alors qu'il espérait en rentrant chez lui voir l'humain moins orgueilleux, sa déception est sans nom. L'humanité, responsable de sa propre perte, a fait le sujet d'innombrables films brillants et inscrits dans le patrimoine du cinéma (Alien, Blade Runner, Brazil). Mais à part des exceptions nommées Neil Blomkamp (District 9) ou Abrams (Star Trek), qu'en est-il de la science-fiction aujourd'hui ?
    surfnblue
    surfnblue

    52 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2009
    Je n'ai jamais aimé ces singes qui parlent un parfait anglais.
    Désolé.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 894 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2021
    Un film absolument mythique, en grande partie grâce à son twist final qui est l'un si ce n'est le plus grand retournement de l'histoire du cinéma. La Planète des Singes est un exemple d'adaptation d'un roman réussi: il prend des libertés, l'intrigue se détache plutôt pas mal de l'histoire de Pierre Boulle, mais au final les messages sont les mêmes, les personnalités des héros et la morale de la fin revient elle aussi à celle du livre. Bref il est fidèle à l'oeuvre sans en être une copie. Le film mêle des paysages somptueux du Grand Canyon (qui font presque penser à du western) à une vrai profondeur philosophique avec comme personnage principal George Taylor, un homme détestable et qui représente les gros défauts de l'humanité. La Planète des Singes ne vaut pas selon moi les 5 étoiles car il a quand même pas mal vieilli niveau effets spéciaux, rythme et dialogues avec des personnages féminins trop stéréotypés. Malgré tout je le revois régulièrement et je ne m'en lasse pas !
    Olmo
    Olmo

    38 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2010
    Le cultissime film de Schafner se révèle aujourd'hui encore d'une efficacité rare par rapport aux oeuvre de science fictions de l'époque. Autant sur le fond que la forme, La planète des singes a tout pour plaire.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2014
    Un grand classique de la Science-fiction, adapté du roman éponyme de Pierre Boulle. Même si les premières minutes accusent les années, notamment en ce qui concerne les séquences dans l’engin spatial, «la Planète des Singes», réalisé par Franklin J. Schaffner, est toujours aussi efficace et offre à Charlton Heston, l’un de ses rôles les plus emblématiques de sa longue carrière. Les maquillages tiennent agréablement la distance, John Chambers ayant fait un impressionnant travail, à l’image de son immense talent. La fin reste l’une des plus cultes de l’Histoire du cinéma.
    ferdinand75
    ferdinand75

    452 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juillet 2009
    Un film culte de l'histoire du cinéma. Tout y est le message philosophique, l'esthétisme, la poésie, l'aventure et le spectacle. Tout d'abord une très belle adaptation d' une oeuvre pacifiste de P. Boulle , en pleine guerre froide, message de tolérance, message de fraternité , contre tout les dirigeants de la planète, qui prend à contre pied le monde terrestre. Une fiction où l'homme est esclave d'une race supérieure où le Dogme dune religion simiesque contrôle tout. On est très proche de la réalité actuelle avec la remontée en force de certaines religions intransigeantes. La beauté des images ensuite , tournées dans des lieux sauvages et superbes. La construction de la ville des singes, surréaliste , créative..C. Heston est superbe à son apogée, excellent à chaque plan..Les costumes des singes n'ont pas vieillit. Et le plan final reste complètement culte. Tourné en deux plans séquence c'est un monument unique dans l'histoire du final de film. Un 1er plan où l'on voit Heston dans le fond avec des pointes et des ferrailes en 1er plan et ensuite ce plan large fabuleux où l'on voit Heston qui s'agenouille , qui crie et l'on voit apparaitre en contre plongée une immense statue. Une scéne à étudier et réétudier dans les écoles de cinéma. Enorme , d'une beauté saisissante.
    zinjero
    zinjero

    19 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 décembre 2011
    C'est le dernier film sur "les origines" qui m'a donné envie de revoir ce premier opus. Force est de constater que le métrage a bien mal vieilli. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le scénario n'est pas malin comme un singe. Deux exemples : le tout début et la toute fin. #1# Au début en effet, un pseudo-scientifique fait une analyse rapide et découvre que l'air est respirable. Après, plus personne ne se pose de questions alors que tout semble indiquer que les conditions semblent être les mêmes que sur Terre. À un moment il est fait allusion à la durée de jour mais par la suite, Charlton (très mauvais au demeurant) n'y fait plus attention. #2# À la fin, la fameuse Statue de la Liberté. Du métal. Un environnement marin. Qui peut franchement croire que le colosse soit encore là après 2000 ans ? ## Bref, on ne tient pas encore LE film ultime sur le sujet. Mieux vaudrait laisser tomber et passer à autre chose non ? Inutile de mettre davantage Pierre en Boulle...
    Replica
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    6 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2008
    Un très bon film de science-fiction. A tous les niveaux, il n'y a rien à redire. A noter: une fin incroyable et mémorable!
    yohanaltec
    yohanaltec

    89 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    La Planète des Singes est un film culte et admirable avec des scènes mythiques et des personnages extravagants; A voir pour le culte instantanée. Dommage que le film soit un peut long à démarrer au début du film.
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