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    Une Femme est une femme
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    3,5
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    68 critiques spectateurs

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    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    15 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2024
    Après son innovant "A bout de souffle" dans le registre du cinéma policier, Godard revisite la comédie de moeurs (et musicale, à considérer l'abondance de la bande sonore). Sur le prétexte d'un couple en crise (Anna karina demande en vain un enfant à Jean-Claude Brialy), Godard explore la relation homme-femme autant que la place de la femme dans la société. A sa façon, c'est-à-dire sur un mode de fantaisie débridée, de digressions originales et de textes saugrenus. Sa mise en scène, qui se joue des codes habituels et des conventions avec ses faux raccords, son découpage et son montage approximatifs, anarchiques, ses incrustes, introduit une dialectique pour le moins déconcertante.

    Même si l'histoire d'Angéla et Emile Récamier -dont la nature et la fantaisie ne sont pas sans rappeler les jeunes couples charmants de Jacques Becker ("Edouard et Caroline", "Antoine et Antoinette")- n'a qu'un intérêt relatif, on est sensible à l'inventivité et à l'espièglerie de Godard. D'autant qu'en dépit d'intention spas toujours faciles à décrypter, "Une femme est une femme" n'est pas encore ce cinéma intellectuel et obscur que sera le cinéma de Godard après les années 60.
    Coincée entre "A bout de souffle" et "Pierrot le fou", cette coolaboration entre Belmondo, dans le rôle d'Alfred Lubitsch (!), et Godard n'est pas la plus connue, au point qu'on a tendance à l'oublier.
    Alolfer
    Alolfer

    87 abonnés 897 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2023
    Un film de Godard assez méconnu et qui est pas si mal que ça ! La mise en scène est brillante et la réalisation est le gros point fort du film ! Quand à l'histoire et son scénario, le film est assez plat malgré de très bonnes Idées.

    Un film à voir pour sa réalisation
    Alain D.
    Alain D.

    505 abonnés 3 212 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2022
    Un an après le cultissime "À bout de souffle" , Jean-Luc Godard réalise "Une Femme est une femme", une Comédie sentimentale et musicale au rythme fou, sur la lâcheté des hommes et le désir des femmes.
    Le film montre de sérieux atouts avec une bande musicale endiablée signée Michel Legrand, et un casting prestigieux. Avec son accent adorable, Anna Karina, à juste titre récompensée pour ce rôle, est effectivement magnifique dans son personnage de femme moderne et candide.
    Une réalisation de Jean-Luc Godard, par Luc Godard ; l'homme "à part", le bourgeois intellectuel, le révolutionnaire qui "change les règles". Il nous offre L'humour sarcastique du cinéaste "nouvelle vague", une mise en scène et un montage audacieux, une photographie classe.
    Mises à part les contradictions constantes (et lassantes) des personnages, leurs dialogues mêmes incohérents sont néanmoins pertinents.
    FRYCHAR
    FRYCHAR

    6 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2022
    Un film sans prétention. Des réflexions à l'emporte piece sans grand intérêt. Une forme d'humour particulière lorsque les faux aveugles avec leur canne blanche abaissent leur lunettes en disant "avec ces verres noirs on ne voit rien du tout". Lorsqu' Emile se dit très malheuteux ils abaisseront également leurs lunettes en regardant Emile d'un air dubitatif, en se disant être aveugle c'est le vrai malheur. Aucune réflexion philosophique de haut niveau donc. Pourtant le nom Lubitsch d'Alfred fait penser au film "jeux dangereux" (1942) "to be or not to be" en Anglais d'Ernst Lubitsch . Une troupe d'amateurs doit jouer Hamlet pendant la guerre. Être ou ne pas être la question d'identite se pose dans le film. Notamment lorsqu'Emile traverse le faubourg Saint Denis et que le mot EST s'affiche au milieu de l'ecran . Emile est hétérosexuel dans le film , son amitié pour son rival Alfred est sans ambiguïté. Dans la vie Jean-Claude Brialy (Emile) était homosexuel et bisexuel. Juif par sa mère. Il avait eu cette reflexion en 2001 : "l'homosexualit...c’était tabou. … D’ailleurs, je ne vois pas l’intérêt de dire : "Il EST jaune", "Il EST juif"
    Roub E.
    Roub E.

    750 abonnés 4 835 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2022
    Leger et expérimental, une femme est une femme est un film de début de carrière ou Godard plein de fougue et d’envie tente un maximum de choses. Parfois cela donne des petits moments magiques, parfois cela tombe dans le ridicule. Son trio d’acteur enthousiastes évite au film de verser dans une prétention qui aurait été mal venue. Le côté filmé sur le vif donne aussi une photo intéressante de ce Paris près 68. Dans la filmo de son auteur j’ai déjà vu mieux, mais j’ai aussi vu bien pire.
    Jean-Charles ECHARD
    Jean-Charles ECHARD

    1 abonné 177 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2021
    Un peu déçu par ce Godard des débuts. On retrouve le ton provocant mais le sujet a clairement vieilli. Les scènes sont longues et répétitives. Reste le charme d'Anna Karina
    Moscholios Andréas
    Moscholios Andréas

    15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    Pour ceux, qui aiment les comédies/façon théâtre: "Soit", je peux comprendre!!! Moi c'est pas du tout mon truc,je m'ennuis et tout dans ce film est glauque est chiant!!! Même la musique n'est pas bien placée!!!
    Thomas B
    Thomas B

    202 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2021
    Cette comédie de Jean-Luc Godard possède une histoire assez quelconque, mais l'ensemble se visionne sans ennui grâce a une belle mise en scène et aussi pour les sympathiques prestations du trio Karina-Briali-Belmondo.
    Vador Mir
    Vador Mir

    228 abonnés 714 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juillet 2021
    Ce film est clairement un gros navet. Placement de produit, placement d'Anna Karina, placement de nudité... Ce film est le film de quelqu'un qui a trop pris confiance en lui. Ridicule et inutile.
    Pierre L.
    Pierre L.

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2021
    On est extérieur au film. J'ai pas trop compris où il voulait en venir, même en recontextualisant le film.
    Mais j'ai l'impression que l'époque joue sur un ton absurde et ringard qui a très mal vieilli.
    Je cherche encore des auteurs qui ont fait la nouvelle vague, mais à part Truffaut et certains Verneuil, je suis déçu par la médiocrité des œuvres sur lesquelles ont s'est tant paluché.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 501 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mai 2021
    Anna Karina chante fait du strip-tease et veut un enfant. Son petit ami Jean-Claude Brialy n'en veut pas. Leur ami Jean-Paul Belmondo est prêt à mettre Anna enceinte Jean-Claude Brialy change d'avis et décide de le faire et c'est la fin de l'histoire. Ce n'est ni une comédie musicale, ni une comédie ni un hommage aux films hollywoodiens et ni grand-chose en fait. J'ai vu des farces avec Brigitte Bardot de la même époque qui restent plus fraîches plus audacieuses voire plus inventives que celle-ci. N'est-il pas temps d'admettre que Godard fait partie des réalisateurs les plus surestimés du monde. Que plus qu'Eric Rohmer ou Joseph L Mankiewicz ses films sont principalement des conversations de gens et que ces conversations ne sont pas brillantes ou intéressantes. Son succès n'est-il pas davantage le fruit d'une mode que d'une réussite artistique. L'expérimentation formelle est-elle une si grande vertu lorsqu'elle semble moins destinée à éclairer qu'à confondre et aliéner le public. On a le sentimental en regardant ce film que Les parapluies de Cherbourg pourrait être en réalité une expérience formelle beaucoup plus audacieuse et radicale sans parler du niveau de divertissement...
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    111 abonnés 2 333 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2021
    Un film naturellement surjoué ce qui le rend ennuyeux votre énervant à la longue, mais Belmondo quand même...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    77 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2020
    Troisième long-métrage de Jean-Luc Godard (mais le deuxième à sortir sur les écrans du fait de la censure du Petit soldat), Une femme est une femme est un plaisir de tous les instants. Beaucoup plus léger et ludique que la plupart des réalisations de JLG, le film est un prétexte pour s’amuser avec les faux-semblants du cinéma et en détourner ses codes. Décalage entre le son et l’image, personnages s’adressant aux spectateurs, montage ludique avec de nombreuses coupes dans le plan,... ce film aux décors pop et colorés multiplie les facéties et dépoussière avec panache le paysage cinématographique français. Le trio Anna Karina-Jean-Paul Belmondo-Jean-Claude Brialy est sublime et offre plusieurs séquences d’anthologie. Un film délicieux, injustement renié par son créateur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    C’est écrit au début que c’est original, ayant obtenus des prix de la mise en scène, constatant que c’est audacieux cette histoire jazzy mélange sonorité percutante, du supportable parce que fascinante, les lettres défilent de mode 1961 inhabituelles.
    En ne peut plus audacieuse réalisée dans ce hasard des rencontres citadines, dans la France population densité en noir et blanc et couleur à ravir, réagissante devant les questions osées de Jean Claude Brialy, sa partenaire Anna Karina est une femme des mots-clés basiques, leur vocabulaire est une forme théâtrale.

    Jean-Paul Belmondo à bout de souffle, vient s’insérer en triangulaire romantique, des chansons sponsorisées par la vielle presse sens critique innée en vogue vintage, de droite à gauche que les journaux magazines s’en mêlent dans cette réalisation chef-d’œuvre Franco-Suisse démagogue.
    Le Figaro, Marie-Claire, Le Monde, Libération, France Soir, ça se raconte chez le quotidien, hebdomadaire, mensuel, annuel, trimestriel, semestriel, les idées fleurissent dans les années yéyé, Charles Aznavour chante l’amour français...!
    selenie
    selenie

    5 501 abonnés 6 029 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 décembre 2019
    A sa façon car Godard bouscule une nouvelle fois les codes du genre et mêle dans un patchwork surréaliste les styles qui font qu'on a surtout l'impression que le film est un succession d'expériences cinématographique sans franchement suivre l'histoire pourtant intéressante. Le côté musical du film se résume à des passages tonitruants et casse-oreilles comme des sursauts parsemés tout le long du film. C'est agaçant (pour être poli !), c'est volontairement absurde (?!)... Le soucis, c'est que malgré le charmes du trio d'acteur, le séquences fantaisies à laquelle on ne manque pas de sourire, le fond du sujet qui reste universel, les quelques moments de grâces la mis en scène prétentieuse, l'esbroufe à toutes les sauces nous empêchent de vraiment nous immerger dans cette histoires.
    Site : Selenie
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