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    Une Femme est une femme
    Note moyenne
    3,5
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    68 critiques spectateurs

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    NicoMyers
    NicoMyers

    51 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2009
    Troisième film de Jean-Luc Godard, Une femme est une femme n’est pas un film noir (A bout de souffle) ni un film politique (Le petit soldat), mais une comédie sentimentale. La couleur, que Godard utilise pour la première fois, ajoute la bonne humeur. Seul point commun à ces trois films : une liberté de ton incroyable, une mine d’idées nouvelles.
    Le spectateur habitué aux beautés esthétiques de Pierrot le fou et Le Mépris pourrait être néanmoins déçu par la mise en scène, moins faste, d’Une femme est une femme. Et bien que tous les autres éléments godardiens soient là (jeu avec le langage, symboles, usage unique de la musique et du montage), ils se font malheureusement trop rares pour faire du tout un chef d’œuvre. Il reste néanmoins un très bon film, un petit plaisir qui ne se refuse pas, surtout pour le trio Karina – Brialy – Belmondo.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juillet 2009
    Superbe comédie signée Jean-Luc Godard, tel un bouleversement cosmique dans l'horizon cinématographique Français des années 60-70... Ici, tous les codes du cinéma sont magnifiquement transgressés pour notre plus grand plaisir cinéphilique... Drôle, envoûtant, étrange: Bienvenue dans l'univers initiatique et précurseur de Godard. A découvrir.
    ygor parizel
    ygor parizel

    209 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2013
    J'aime les choses audacieuses que Godard met dans ses films, surtout dans la mise en scène. Mais une fois de plus le scénario et l'histoire de base sont assez médiocres. La musique est énervante, Anna Karina est par contre craquante avec son accent bizarre.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 855 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2009
    Un grand film où Godard glisse de multiples références, une comédie très théâtrale, un exercice de style parfaitement réussit avec des acteurs vraiment très bon et un rôle principal génial.
    Cinephille
    Cinephille

    137 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2009
    Godard à ses débuts était clairement un visionnaire, tous ses films annonçaient quelques années à l'avance une époque à venir. Une femme est une femme parle du statut de la femme dans la société française, de son émancipation qui à l'époque n'était pas gagnée puisque les femmes n'avaient pas le droit d'avoir un chéquier ou de travailler sans l'accord de leur mari. Et ce sujet bien lourd est traité par le biais d'une comédie très drôle, légère et pétillante. Anna Karina est irrésistible, Belmondo et Brialy pas mal non plus.
    Et, comme dans tous les premiers films de Godard, des merveilles de mise en scène.
    BMWC
    BMWC

    74 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2009
    Avec un trio d'acteurs enthousiastes, Jean-Luc Godard renouvelle son art du dialogue et son sens de l'écriture cinématographique pour faire d'une situation banale l'un des films les plus rafraichissants du monde !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juillet 2008
    Insupportable. On ne se sent absolument pas concerné par ce que l'on voit. Un film prétentieux et pédant qui se veut précurseur, mais qui ne l'est d'aucune façon. Godard bouscule les codes de la comédie et de la tragédie, si on veut. Oui, il tente quelque chose, mais c'est raté. Dans un style totalement ostentatoire. Des passages de musiques interrompus, des paroles inaudibles, des personnages incongrus, tout comme leurs dialogues ( plus infantiles, tu meurs )... Cela contribue au fait que l'on passe un désagréable moment. En fait, il n'y a rien qui sauve le film. Mais oui, c'est Godard, alors... Non !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 avril 2008
    Nul
    stebbins
    stebbins

    465 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2008
    Un sacré talent de mise en scène de la part de Jean-Luc Godard qui n'a que 31 ans à l'époque. Une Femme est une Femme ( 1961 ) est une fable baroque et décalée, une bouffée de fraîcheur offerte au spectateur par un cinéaste qui sait ne pas se prendre au sérieux quand il le veut ( bien que le contraire ne soit pas toujours impertinent, loin de là...). A la fois comédie musicale et romance comique ( sans être une comédie romantique comme on l'entend aujourd'hui ), le troisième long métrage de Godard marque sa deuxième collaboration avec la talentueuse Anna Karina ( de même pour Belmondo ). C'est certainement l'un des films les plus légers et les plus divertissants du réalisateur qui, à partir d'une histoire très simple, apporte un souffle nouveau au cinéma français. D'une légèreté qui frise l'insolence, Une Femme est une Femme figure à mon sens parmi les films incontournables de la Nouvele Vague. Un petit chef d'oeuvre, à la mise en scène foisonnante et à l'interprétation remarquable. A ne pas manquer !
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    30 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2007
    Godard très charmant. A.Karina superbe, des dialogues incisifs, la fraicheur et la vitesse habituelle... et un couple masculin très sympathique.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    188 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2007
    Pour Ana Karina qui irradie de la couleur et de la sensualité pendant 1 h 30. Pour revoir le Paris gai et gris des années 60, avant que Mai 68 ne le renvoie à l'histoire : la guerre d'Algérie, l'Huma, le téléphone qu'on partage sur le palier, les premiers gros mots qui scandalisent encore, le Dubonnet sur le zinc, tout est là. Godard rend avec "Une Femme est une Femme" un hommage joyeux à Lubitsch (femmes inconstantes - mais maitresses-femmes - et portes qui claquent), mais il capture surtout de manière sublime un air du temps, une légèreté divine... malgré la tristesse lucide de l'impossibilité amoureuse. Et, cerise sur le gâteau, il y a Belmondo, ange à la moue jaggerienne, encore le plus séduisant des hommes.
    Santu2b
    Santu2b

    220 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2007
    Un Godard injustement méconnu et c'est bien dommage. En 1961 le cinéaste débordait d'idées toutes aussi abracadabrantes les unes que les autres et imposait petit à petit un art complètement nouveau et proprement incroyable. "Une femme est une femme" en est justement la parfaite illustration. En effet on peut se demander s'il s'agit d'une comédie (comme cela est indiqué au départ) ou d'une tragédie se déroulant devant nous ? Mais on n'en sait rien et on s'en fiche même car le tout n'est que pur bonheur pour les yeux et les oreilles. Il n'y a qu'un seul mot d'ordre qui définit le film : créer. C'est avec un sens du cadrage superbe que Godard va chercher les éléments les plus fous, les plus casse-gueules et arrive à les transposer à l'écran avec une justesse insensée tout en ne lachant jamais son spectateur. Belmondo et Brialy sont parfaits et Karina y est magnifique. Un régal...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2007
    que du bonheur,un regal pour les yeux
    et les oreilles,tout est splendide
    ce film vous va droit au coeur,c'est un hymne a la vie
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    139 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2009
    Pas sûr qu'"Une Femme est une Femme" soit un Godard mineur, loin de là. 1961, le cinéaste est dans le crescendo créatif qui le mènera vers les plus hautes cimes du septième art et ne s'arrête pas de tourner. Par la caméra, il s'exprime, transforme l'expérimental en oeuvre construite et mâture mais surtout cherche constamment les idées les plus folles et les met en scène. Plutôt que disserter des heures sur telle ou telle tentative, pourquoi ne pas exposer directement tout cela à l'écran et voir ensuite ce que ça donne ? C'est le pari fou qu'a tenté et réussi JLG à plusieurs reprises, notamment lors de ce long-métrage à la forme splendide, sans cesse en mouvement, imparfaite mais incluant de nouveaux éléments à une cadence folle. Dès le générique, le style étonne de par son audace et sa capacité à éclater non plus les conventions mais le cinéma tout court ! Aucune limite n'existe, pas de règles, un seul mot d'ordre : l'essai. Devenant très vite splendide, il cloue le spectateur par sa capacité à magnifier Karina, casser la continuité de l'intrigue, rendre surréaliste n'importe qu'elle situation, faire d'un huis-clos un espace immense où tout peut arriver à n'importe quel moment... L'inspiration de Godard est sans bornes, c'est à en devenir fou ! Les références affluent, la Nouvelle Vague frappe de plein fouet les films plus "datés", Belmondo et Brialy excellent, les interludes musicales s'avèrent d'une modernité ébouriffante... Un seul reproche, plus ou moins important selon les critères de chacun : le scénario à proprement parler est inexistant : l'histoire est sans intérêt, les personnages de simples corps se déplaçant sur l'écran donc pas l'ombre d'une profondeur... Personnellement, cela ne m'a pas gêné dans l'ensemble mais la légèreté virevoltante du film constitue également sa limite : dès que la caméra se pose un minimum, elle semble s'essouffler cruellement, la faute à une étude de caractères et de thèmes totalement absente.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 juin 2007
    Je n'ai pas aimé ce film et je n'en ai rien à cirer que des "pseudos intellos" viennent s'insurger contre cet avis et s'écrient au scandale, tout ça parce qu'il a reçu de nombreux prix pour son audace et sa jeunesse ( des prix qui furent sans doute justifiés de leur temps, mais certainement plus de nos jours). D'abord, l'héroïne a non seulement une petite voix, mais encore un accent qui la rend particulièrement inaudible et énervante. Des morceaux musicaux arrivant de manière impromptue tout au long des dialogues rendent la compréhension encore plus pénible. Ne parlons pas non plus des effets dignes du mouvement surréaliste comme des incursions de textes décousus sur l'écran, et autres détails volontairement absurdes. Pour montrer que l'homme est un éternel enfant on va nous montrer un type qui fait du vélo dans son appart pendant 10 minutes ! Des films qui se veulent les précurseurs d'un courant d'originalité par rapport à leur époque, et qui prétendent à une esthétique complètement hermétique, je n'en dirai qu'une chose: à force, ça gonfle !
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