Derniers Avis : New York, I Love You - Page 9

une bonne déconstruction et mise en lien entre les différentes parties du film.

Quelques longueurs mais globalement on est emporté pas toutes ces histoires

Autant je n'ai pas aimé "Paris je t'aime", autant j'ai adoré "NY I LOVE YOU"cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un film intelligent, fin, drôle, émouvant...
Dommage il le passe dans très peu de cinéma notamment à paris, j'espère que le bouche à oreille fera son travail, je le conseil vivement !
Très bon film américain
Pour ceux qui ont vue valentines day, NY I LOVE YOU est un valentine's day haut de gamme

Assez décevant au final. On sautille d'une petite histoire à l'autre sans que le lien entre elles soit particulièrement original. Le thème, c'est rencontres à New York et c'est un peu court. Un peu de gachis quand on voit de tels acteurs et réalisateurs à l'oeuvre mais sans la durée et le souffle d'un véritable film, un peu l'effet de lire dans un journal une nouvelle d'un grand écrivain. On garde le souvenir de quelques belles images, d'un beau sourire, d'une ou deux répliques, et...c'est tout? Dommage avec un tel sujet et un tel décor!

Complètement différent de Paris je t'aime...et bien fade aussi. Pas de dénouement clairement défini, seul l'amour entre deux êtres amoureux est traité, à part l'histoire entre le père et la fille. Et on voit pas grand chose de New York au final. Bref, très déçue. Une étoile pour les quelques moments comiques mais bien rares.

Film assez abstrait ! Avec certaines scenes vraiment magnifique ! Un bon casting ! Par contre il y a des moments vraiment etrange on l'ou ne comprend et certaines transition sont mauvaises !!! Mais bon vous passerez un bon moment quand meme !! En souriant simplement parce que c'est la vrai vie !

excellent film pour roupiller un lendemain de cuite, un bon gros navet qu'on a du mal à rgarder jusqu'à la fin quoi ^^

Très déçu, on le disait meilleur que Paris I love you, NY i love you ne recrée pas l'atmosphère intimiste de son prédecesseur, visuellement la ville n'est pas aussi belle et ni aussi attirante que les quartiers parisiens... de plus, les histoires sans grands interets s'enchainent et on ne les comprend pas toujours... quelques personnages restent quand meme attachants. Très très moyen malgré l'excellent casting

Deux étoiles pour New York, I love you... Ce film nous fait voyager à travers la grande ville, de cela, on en est surs... J'ai beaucoup apprécié certains courts-métrages, et deux-trois d'entre eux m'ont vraiment fait rêver... C'est là que le "mais" intervient, c'est que justement lorsque l'on s'accroche à une histoire on passe à la suivante... Certains traits du scénarios deviennent répétitifs, on arrive plus vraiment à s'attacher aux personnages, qui nous fascinent au début (on est content de les retrouver lors de certains petits passages) puis qui en deviennent trop énigmatiques pour que l'on aie l'esprit ouverts à d'autres qui suivent... Généralement, les scénarios un peu décousus ne me dérangent pas vraiment, mais ici j'ai vraiment eu du mal à entrer entièrement dans les émotions des gens représentés. Donc oui à l'idée, à certaines histoires et aux décors , mais moins pour le résultat et le décrochage que l'on a parfois...

Une petite balade dans les rues de Manhattan, qui résisterait à la tentation ? New York, je t'aime, tient ses promesses de charmante escapade, à travers 12 courts récits qui créent une certaine atmosphère euh, comment dire, amoureuse. Le portrait de la Grosse Pomme est impressionniste, romantique et rafraichissant comme une brise légère en plein été. Inutile d'en attendre davantage, la plupart des histoires ont un goût d'inachevé quand elles ne sonnent pas totalement creux (pour deux ou trois d'entre elles). Chacun aura sans doute son segment préféré au sein de ces saynètes inoffensives, les deux filmés par Yvan Attal tranchant sur le ton général par ses dialogues malins et celui de Brett Ratner par l'astuce de son écriture. Pour le reste, les images sont superbes, l'interprétation irréprochable (James Caan et Julie Christie sortent du lot) et puis c'est pratiquement tout. Après Paris et avant Shanghai, le concept peut faire des petits à l'infini. Alors, à quand le tour de Romorantin ?

Le film est décevant, autant j'ai pu aimé "Paris, je t'aime", autant "New York, i love you" est mal conçu. Les scénari sont inégaux et plutôt que de montrer le charme de la ville seul quelques images clichées sont intercalées comme transition. A noter tout de même le film d'yvan Atale, romantique à souhait.

new york i love you ... TOOOO.
Drôle, émouvant, inspiré et on sort avec la banane, que demander de mieux...

Simplement magnifique. Rares sont ces films qui vous font vibrer.

« New York I Love You", est un travail collectif de onze courts-métrages, dont chacun dure 10 minutes. Les courts–métrages ne se suivent, ne se correspondent pas, mais ils ont tous quelque chose en commun, l'amour. Chaque film consiste à trouver l’amour, au travers d’une rencontre, d’une discussion, d’une envie… soutenue par un long casting Shia LaBeouf, Natalie Portman, Hayden Christensen, Orlando Bloom, Chris Cooper, Andy Garcia, Christina Ricci, Irrfan Khan, Robin Wright Penn, Julie Christie, Ethan Hawke, Bradley Cooper, Rachel Bilson, and Anton Yelchin.
« New York I Love You", en ce qui me concerne, est une grande déception. Il n'égalise absolument pas son aînée qui était, à lui seul, un bijou remplis de petites perles de courts métrages. Les films se succèdent sans laisser de traces de ceux qui les ont réalisé, les histoires sont bien souvent sans intérêts, ... le tout offre une sensation d'inachevé. Certes, ce n'est pas un film au sens propre du terme avec une seule et même histoire, mais "Paris" avait ce quelque chose qui faisait que chaque histoire, même sans connexion, faisait partie de l'ensemble.
Je pensais réellement être confronter à la « New York’s soul » qui se constitue, du Bronx, de Harlem, de la population Gay, des transsexuels, de la diversité culturel, etc…. aucune de ces 11 histoires n’en fait références.
Personnellement, j’ai aimé deux courts-métrages, celui de Yvan Attal, où Ethan Hawk joue une magistrale technique de drague vers une Hoocker, et celui de de Shekhar Kapur, où il film une ancienne chanteuse d’opéra (Julie Christie) qui partage une coupe de champagne avec un jeune valet de chambre (Shia LaBeouf) et soudain, il se produit quelque chose qui pourrait être réel ou imaginaire.
Ce n'est pas un mauvais film pour autant, mais une vraie déception qu'ils n'aient pas repris le concept de l'aîné où chaque arrondissement faisait l'objet d'un film.

Après le très réussi "Paris je t'aime" voilà la Grosse Pomme... Et quelle déception. Dans "Paris..." les courts se suivaient pour que chaque partie soient cohérente, dans "New-York..." aucune construction pour un montage cacophonique ; les courts ne sont pas séparés mais regroupés pour un long métrage unique mais sans aucune cohérence puisqu'il n'ya pas de fil conducteur. On passe d'une histoire à l'autre dans un capharnaüm indigeste. Le pire reste qu'on reste sur notre faim à quasi toutes les histoires dont les fins semblent avoir été bâclés (comme l'histoire du musicien avec Orlando Bloom). Heureusement quelques bonnes surprises avec le courts de Yvan Attal et... Shia Le Boeuf épatant de sensibilité et de retenue dans ce qui sera à ce jour, et de loin, son meilleur rôle ; on est loin de ces blockbusters. Bref un exercice difficile que "Paris..." avait su limité les pièges alors que "New-York..." reste largement plus décevant... Au fait pourquoi avoir réduit New-York à la seule Manhattan ?!