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Caine78
6 015 abonnés
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3,0
Publiée le 29 avril 2013
Incontestable point fort de « La Cité de l'ombre » : ses superbes décors permettant une immersion totale et des effets visuels de qualité, faisant vivement regretter de ne pas l'avoir vu au cinéma. De plus, le film peut compter sur un rythme soutenu permettant de ne jamais s'ennuyer, le tout porté par une mise en scène dynamique et à plusieurs reprises inspirées. Dommage par contre que le scénario ne soit vraiment pas celui du siècle, le récit manquant quand même sérieusement d'intensité dramatique, le manque d'obstacles rencontrés par les deux héros ainsi qu'une musique efficace mais pompière et omniprésente n'aidant pas beaucoup. Heureusement, la délicieuse Saoirse Ronan (bien plus doué que son homologue masculin) permet de faire passer sans trop de dommages ces manques regrettables, sans lesquels l'œuvre aurait pu prétendre au statut de réussite totale. On se contentera à la place de ce beau divertissement familial, se concluant avec une sobriété assez exemplaire : sympathique.
En préférant miser l’accent sur une narration élégante mais très (trop) old school, Gil Kenan, s’il prouve une nouvelle fois son don pour la poésie, s’est trop éloigné des tendances actuelles pour séduire l’audience, se perdant ainsi entre son propre style et celui des productions actuelles.
Dommage, car La Cité de l’Ombre, qui s’inspire à la fois des vieux films Disney et de la vague de teen movies des années 80...
un asse rate sai dommage les acteur com tim robins et murray sont tre mal exploite je me suis beaucoup ennuye pas de surprise pourtan se film et produit par le grand tom hanks
Réalisation fantastique produite par Tom Hanks, La Cité de L'Ombre, avec Bill Murray, Tim Robbins, Martin Landau et Saoirse Ronan, fait parti de ces films au pitch fortement novateur et aux décors somptueux mais à l'appréciation finalement mitigée. A travers une ambiance bon enfant mais entraînante, le spectateur se retrouve, tel un enfant, perdu au milieu d'un conte de fée, un peu à la manière de Stardust, le Mystère de l'Etoile. On regrettera juste le rôle un peu lourd du méchant et son investigation, assez barbante. Une échappatoire de rêve et de féérie.
Le film a des allures tout droit tiré d’un roman avec ces personnages burlesques, l’histoire est pas terrible, beaucoup de récit qu’on du mal à suivre, un dénouement sans surprise, il y a mieux comme effets spéciaux.
Un film lugubre et sous-terrain dans lequel se perdent le scénario, les acteurs et les spectateurs. Seuls les décors pas très réalistes mais pas trop minables sauvent le film du désastre.
Un petit film sans prétention doté de quelques inspirations sympathiques. Fiinalement réservé aux très jeunes spectateurs, ces derniers prendront probablement beaucoup de plaisir à suivre le jeu de piste. Malheureusement, pour les adultes, le scénario reste très en surface et les enjeux dramatiques peu convainquants...
Si le début du film a énormément de mal à se mettre en route et à entrer dans le vif du sujet, une fois au cœur de l’intrigue, on ne décroche pas une seule fois ! Et ce, malgré un scénario assez simpliste et peu recherché, on restera tout de même surpris de l’ampleur que prend ce film et notamment au niveau des décors ! Grandiose au sens du détail (comme pouvait l’être La Cité des Enfants Perdus - 1995). Evoluant dans une cité souterraine, c’est toute une ville (ou plutôt, un quartier et ses égouts) qui furent reconstitués en studio et comme à l’accoutumée, Walden Media (à qui l’on doit la saga Narnia), a mis les bouchées doubles au niveau des SFX. La Cité de l'ombre est un film fantastique et d’aventure qui remplit haut la main son contrat sans grande difficulté et ce, malgré un sujet pas très élaboré. Niveau casting, on se délectera de Bill Murray avec son rôle de maire crapuleux, face à un Tim Robbins qui n’est là qu’en tant que figurant !
Encore l'adaptation d'un roman-jeunesse fantastique ? Produit par ceux qui ont fait Le Monde de Narnia et Le Secret de Terabithia ? Encore ? Oui et non, car cette adaptation du roman éponyme de Jeanne Duprau n'a pas grand chose à voir avec les habituels longs-métrages post-Harry Potter dénués d'originalité et de savoir-faire. Nous avons ici droit à une aventure science-fictionnelle plutôt intimiste où l'intrigue se situe dans une cité souterraine deux cent ans après une soit-disante fin du monde. Nous faisons donc connaissance avec deux adolescents débrouillards et curieux vivant comme tant d'autres difficilement dans ce bas-monde dirigé par un maire flegmatique où la lumière, véritable source d'énergie, se meurt peu à peu. Ceci dit, n'espérez pas vivre une péripétie mouvementée avec démons et merveilles, lieux fantastiques et action démesurée, La Cité de l'Ombre se situant en tout et pour tout dans la fameuse ville, alternant entre ses rues, ses sous-terrains et les recoins qu'elle renferme. Pourtant, avec un esthétique sobre et soigné, ne tombant jamais dans la gaudriole décérébrée et le mauvais goût, le premier long-métrage live de Gil Kenan (l'excellent Monster House) arrive à proposer une histoire haletante, intelligente et ordonnée, bien servie par de merveilleux décors, une interprétation sérieuse et une musique définitivement enivrante. Un long-métrage discret, pas vraiment époustouflant mais terriblement rafraichissant, comme on aimerait en voir plus souvent.
Après son premier film on savait que Gil Kenan avait du talent et on pouvait le voir comme un nouveau Joe Dante. Mais avant cela il fallait une confirmation et , malheureusement, La Cité de l'ombre est une demi-réussite ou un demi-échec selon le point de vue. Voulant s'inscrire dans le cinéma des 80's, le film trop des influences commerciales vampirisant chaque film destiné aux enfants. On rajoutera aussi que son budget n'était sans doute pas suffisant pour retranscrire cet univers qui fait terriblement cheap. Mais malgré ces défauts, La Cité de l'Ombre contient quelques scènes ou trouvailles qui en font un divertissement supérieur à la plupart des films dit familiaux. Le seul problème c'est qu'on espérait mieux que ça.
Deux étoiles pour ce film, tout d'abord pour sa distribution qui est franchement pas mal, deuxièmement pour son univers très particulier et qui laisse place à notre imagination et troisièmement pour les trente premières minutes qui sont prometteuses. Ce qui n'est pas le cas du reste malheureusement. On s'ennuie assez vite, surtout car le rythme n'est pas soutenu et la fin semble bâclée et est beaucoup trop prévisible. Un ensemble moyen!!
Un film atypique et méconnu qui se révèle être une réussite. Les décors et la photographie sont somptueux pour un rendu esthétique vraiment abouti. De bons acteurs et une histoire simple qui manque sans doute un peu de consistance, mais intéressante. Une jolie fable pour toute la famille.
Film visant particulièrement un public jeune, il peut être vu en famille. Les adultes n'auront qu'à faire abstraction de leur esprit critique de "grandes personnes" et le visionner en se situant quelques années en arrière. Dans ce contexte, ils pourront alors apprécier une histoire simple dégageant un message un tantinet profond.
City of Ember est passé totalement inaperçu lors de sa sortie en salles. Ce film a fait un bide retentissant au box-office. Pourtant, City of Ember n’est pas pire qu’un autre film. Ça n’est peut-être pas du grand cinéma, mais ça a le mérite d’être divertissant, comparé à certaines productions du même gabarit. Il s’agit d’un film fantastique, genre qui a pourtant la côte auprès du public. Mais celui-çi n’a pas eu le succès escompté. Je pense comprendre pourquoi. Ce film est plutôt bizarre. Ce n’est pas le genre fantastique comme chez Narnia ou Harry Potter. C’est plus lent, plus mystérieux, un peu plus sérieux. En fait, il y a des choses très sérieuses dans ce film et des choses assez enfantines. Bref, la tranche d’âge du public n’est pas vraiment précise. Le bide de City of Ember n’était pas vraiment mérité. Quand je vois que des navets comme Transformers ou Bienvenue Chez les Ch’tis (pas un navet, mais un film surestimé) font des cartons aux box-offices, et que des films plutôt bien imaginés font des bides, ça me dégoûte un peu. Et puis, rien que la performance de Bill Murray vaut son pesant de cacahuètes. Certes, ça n’est pas sa meilleure interprétation, mais il est bon, même dans les rôles de salopards. Ce film mériterait plutôt la note de deux étoiles, mais vu qu’il n’est pas très connu et qu’il est quand même intéressant, je le note trois étoiles.