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    Invisible Man
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    3,6
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    628 critiques spectateurs

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    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    4 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Sans non plus être exceptionnel, Invisible Man reprend bien les codes du genre pour rendre un bon thriller horrifique. Normalement pas un grand adepte des productions Blumhouse, je dois reconnaitre que ce dernier est cool.
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Tard dans la nuit, dans une propriété luxueuse, isolée et ultra sécurisée, aux environs de Los Angeles, Cecilia Kass laisse son mari endormi et s’enfuit avec un sac de voyage.

    Ce premier chapitre donne le ton du film : minutieusement raconté, dans un climat de suspense angoissant.

    Plus tard le film prend un tournant fantastique, dans l’esprit du « Horla » de Maupassant, avec malgré tout peu d’effets spéciaux, distillés avec précision et soin. Leigh Whannell ne développe pas l’aspect scientifique de la question, mais centre l’histoire sur son versant angoissant et parfois gore. C’est un choix scénaristique mené avec efficacité.

    Elisabeth Moss porte le film sur ses épaules et son visage exprime une riche palette d’émotions tout au long du film.

    Je ne souhaite pas trop rajouter de détails, tout l’intérêt du film résidant dans le suspense.

    Mais là attention spoiler :

    spoiler: C’est un film très réussi sur le thème du harcèlement, dans une dimension fantastique, avec une inversion réjouissante de statut pour la victime.


    Mon blog : larroseurarrose.com
    Jake S.
    Jake S.

    67 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2021
    Après des débuts mitigés avec « Insidious : Chapitre 3 » et un second long-métrage prometteur avec « Upgrade », Leigh Whannell nous propose ici un thriller d’horreur efficace qui parvient à nous surprendre de bout en bout (et c’est ce que l’on demande avant tout !). Trop souvent les productions Blumhouse ont été fades, prévisibles ou caricaturales sur ces trois dernières années. Des écritures et réalisations ambitieuses ne devraient pas pâtir d’une production à faible budget, bien au contraire.

    « Invisible Man » est une réussite car il nous fait croire certaines choses pour mieux nous prendre à revers. A l’instar d’un « Gone Girl » ou d’un « Martyrs », l’intrigue prend une sorte de virage au milieu du film pour ne plus laisser aucun doute quant à la véritable menace qui plane sur Cecilia. Ainsi démarre une lutte acharnée, une sorte de manège infernal où la fatalité s’abat sur elle ; quoi qu’elle fasse, quoi qu'elle dise, cet homme invisible aura toujours le dernier mot pour la rendre coupable ou la faire passer pour folle.

    Ce qui est épatant, c’est la capacité du personnage principal à rester lucide et vite retomber sur ses pattes après un drame pour vaincre cet ennemi juré. Avec obstination et caractère, elle réussit à déjouer les pronostics.

    D’un point de vue plus technique, la réalisation est également intéressante avec des plans fixes qui font bien ressentir les tensions liées à cette présence invisible. Leigh Whannell joue même avec quelques ombres transparentes et objets qui bougent pour nous angoisser petit à petit. Et ce qui est bien, c’est la quasi absence de jumpscares. Comme quoi il est possible de construire un scénario et une ambiance horrifique sans ces effets surfaits.

    « Upgrade » pour se faire connaître, « Invisible Man » pour confirmer, espérons que le prochain film du « pote » de James Wan lui apporte la consécration avec un succès critique comme public d'envergure. En tout cas c’est très encourageant. L’horreur existe encore au cinéma !
    Dérisb
    Dérisb

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juillet 2020
    Incroyablement nul, film totalement surcoté. Comment la note sur allociné peut elle être aussi élevée avec un film à ce niveau? Il y a aucune cohérence dans le scénario. Les réactions du personnages sont vraiment typiquement américaines...gênantes pour le spectateur !
    Le scénario ne représente aucune surprise et coté suspense... inexistant !
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2020
    Après l'échec (relatif) de « La Momie », Universal a revu intégralement sa politique quant à revisiter les « Universal Monsters », faisant ainsi passer cet « Invisible Man » d'un blockbuster estimé à 150 millions de dollars à une production Blumhouse de... 7. Cela écrit, pas sûr qu'on ait forcément perdu au change, surtout avec l'efficace Leigh Whannell aux commandes. J'ai clairement quelques réserves, notamment l'usage parfois intempestif d'une bande-originale très, très présente, mais faisant néanmoins partie intégrante de l'œuvre et du suspense, si bien que cela passe sans trop de mal. Cette idée, également, de vouloir travestir le classique d'H.G. Wells en imaginant cette combinaison latex (à l'étrange design, en passant) permettant l'invisibilité, loin des dangereuses expériences originelles, enlevant une part du mystère, du charme que pouvait avoir l'adaptation de James Whale. Maintenant, dans sa logique de série B au budget (très) bien exploité, la sauce prend plutôt pas mal. Si la dernière partie perd (logiquement) de son pouvoir de suggestion, que ce soit l'excellente scène d'introduction ou l'habile suspense instauré par le réalisateur sur ce qui est probablement la plus grande peur humaine (ignorer si quelqu'un (qui plus est très malveillant) est présent ou pas à côté de nous), jouant intelligemment de cette présence/absence (amenant à un ou deux passages saisissants), également grâce à l'intense prestation d'Elisabeth Moss. Dommage que cette fin, dans une logique très #MeToo (en gros, face aux hommes violents, faites-vous justice vous-même) vienne légèrement ternir le tableau d'ensemble, même si cela reste suffisamment bien fait pour que cela ne soit pas trop choquant, le coup de théâtre le précédant s'avérant, par contre, bien trouvé. Bref, sans retrouver le charme (ni le talent) qui caractérisait les œuvres originelles, cet « Invisible Man » sauce 2020 renoue astucieusement avec un certain cinéma fantastique classique tout en conservant la plupart des caractéristiques modernes, avec ses avantages et inconvénients. Et le genre de productions que j'aimerais, en tant qu'amateur du genre, voir plus souvent sur nos écrans.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2020
    J'ai vu un film... qui renouvelle le genre de l'Homme invisible, si connu et si apprécié. On entre dans une mise en abîme d'une femme qui semble, tout au long du film, la victime d'une machination diabolique, sous la domination d'un pervers narcissique. c'est un film où l'on palpite, on vibre, on sursaute.. Le malaise est total, et la surprise constante... On en a tellement peur qu'on le voit partout, qu'on le scrute, qu'on le devine, qu'on le ressent... La menace est là, tapie, prête à bondir... Elisabeth Moss nous fait ressentir les affres de la folie et de la force destructrice de la manipulation. La force de ce film tient au fait qu'on est toujours en état de tension, et tenu en haleine constamment, avec des rebondissements qui forcent le respect.... La qualité du scénario associée à une réalisation fine... On ressent de manière brutale la violence que subit le personnage d'Elisabeth Moss, et on perçoit l'incompréhension à laquelle elle fait face, avec ses proches, ses amis, sa famille... Et il est important de souligner le travail incroyable qui a été effectué pour rendre et "Homme Invisible" crédible avec cette technologie, qui si on ne la comprend pas complètement nous donne l'illusion que cela est possible. Et quelle musique... Un très grand film.
    2985
    2985

    227 abonnés 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Leigh Whannell continue son petit bonhomme de chemin en tant que réalisateur après le 3ième volet d'Insidious et Upgrade, et il faut reconnaître que le comparse de Jam Wan montre un certain talent pour la réalisation et surtout l'écriture. Invisible Man revisite le mythe avec intelligence, se différenciant largement d' Hollow Man de verhoeven qui n'en était pas moins excellent, cette nouvelle version se veut plus subtile dans sont approche et surtout plus psychologique, pratiquement sans aucun artifices ni effets spéciaux, tout le suspense et la tension qui va crescendo passe par une réalisation soigné. Le tous est plutôt bien interpréter et tiens en haleine tout du long sur 2h sans temps morts. Un bon film donc qui mérite vraiment le coup d'oeil.
    bladgik
    bladgik

    82 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2020
    Super film, super rythme, et l'actrice joue très bien . La première partie du film est angoissante et stressante, la deuxième partie plus en mode thriller action. Le thème de l'homme invisible très bien exploité
    garnierix
    garnierix

    197 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2020
    Le film n’a rien à voir avec le roman ––si ce n’est le titre, qui justement est une grosse erreur du film (comme du roman), car on sait dès le départ ce qui fera peur (ou qui sera censé faire peur). Les histoires et les messages sont différents : ici, en toile de fond, le compagnon harcèle la femme ––harcèlement tout azimut, qui rappelle l’actualité et qui va même au-delà ––c’est donc une bonne idée du film, car par lui-même le harcèlement fait peur, tout autant que l’invisibilité fait peur. D’où l’addition des peurs ? Mais non, on n’a pas très peur dans ce film. Peut-être que ce n’était pas le but ! L’auteur (l’australien Leigh Whannell) a donné le jour au cultissime "Saw", et il n’en est pas à ses débuts de scénariste ni de réalisateur en matière de thriller fantastique. Indéniablement, le suspense est là. La toute fin du film vaut le coup ––une certaine image deviendra anthologique. À elle seule, la belle villa du mec perchée au-dessus de l’océan vaut aussi le déplacement. Mais c’est finalement l’interprétation de la femme par Elisabeth Moss, absolument convaincante (bien qu’elle ait joué dans le navet "Us" de Jordan Peele), qui est le meilleur du film, quand harcèlement et invisibilité se conjuguent pour créer angoisse et folie. A.G.
    Geoffrey Ladave
    Geoffrey Ladave

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Zéro zéro zéro. Lent. Prévisible. Mal joué. Mal fait. Une pure perte de temps.
    Comment peut on faire des films aussi mauvais?
    Et surtout donné une bonne note à ce film ? Alors c'est quoi un mauvais film?
    redhead69
    redhead69

    28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Ce film n'a strictement aucun sens..
    spoiler: Quand on retrouve son mari dans le sous-sol (au bout de combien de jours??), elle résume le film : "si il a réussi à simuler sa mort, il peut simuler son enlèvement". WTF? Alors 1 - On le retrouve dans son sous-sol, mais on ne sais pas comment ni pourquoi. 2 - Ça ne surprend personne qu'il ne soit en fait pas mort ? 3 - Il a simuler sa mort, ok. Mais comment il a simuler ça crémation ? J'aimerais bien savoir..

    Je m'arrête là car je pense que c'est suffisant pour situer le niveau du film, mais en fait rien n'a de sens du début à la fin.
    Yann TOURE
    Yann TOURE

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juin 2020
    Extrêmement nul, encore un de ces films où on prend le spectateur en idiot. Une personne dont la vie est en danger et qui ne réfléchit même pas dans ses choix et actes. La scène avec la peinture dans le grenier a été la seule intelligente de sa part à travers le film
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2020
    Mon Dieu les mots me manquent ! Incroyable, un monument, une œuvre cinématographique dantesque ! Ce film vous tient LITTÉRALEMENT en haleine du début à la fin ! La peur et l'angoisse ne vous lâche pas une seconde. C'est pour ça qu'on aime tant le cinéma, pour avoir des émotions comme celles ci ! Elisabeth Moss : tout simplement une des meilleurs actrice de sa génération. Non que dis je, la meilleure d'entre toutes. Chef d'œuvre !!
    oooooooooo
    oooooooooo

    86 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 février 2020
    En se plaçant strictement du coté de la victime, le film sacrifie d’emblée ce qui constitue la part la plus fructueuse du dispositif déjà de nombreuses fois exploité (là où la dernière version en date, celle de Verhoeven, bien inégale, avait su concilier les deux). Celle du spectateur voyeur, celle du spectateur omnipotent par procuration. Un pari qu’on pourrait juger audacieux. Mais restait de fait raisonnablement une matière suffisamment riche pour produire un film sur le registre de l’angoisse, de l’horreur. C’est ce à quoi s’attèle ici le réalisateur-scénariste. C’est ce dans quoi pauvrement il sombre. Souvent le film de genre est jugé mineur. La seule vraie et juste raison est qu’il est bien souvent traité de façon mineure, confié à des personnes aux talents insuffisant.
    Le film ne produit rien de neuf, patchwork de matières éculées. Plus contrariant, et c’est souvent malheureusement le cas dans cette branche du divertissement, le film s’affranchit de toutes vraisemblances (à croire que le script n’a jamais été relu). L’invraisemblance n’est pas nécessairement à bannir. Hitchcock l’avait énoncé et éprouvé. Une très bonne idée dramatique ou cinématographique peut valoir qu’on sacrifie à la vraisemblance. Mais là la vraisemblance et la cohérence sont bafouées presqu’à chaque instant au profit de ... rien, de rien de significativement valable (jusqu’à s’enliser en voulant mettre de la vraisemblance là où il ne peut pas y en avoir, dans l’explication du dispositif). De ces produits bas de gamme dont le cinéma US a fait son pré-carré. Le tout mâtiné d’une esthétique à la NETFLIX (le casting, hors miss Moss, ressemble à une mauvaise blague, tout particulièrement du coté des mâles), le fléau du moment (avec son confrère Disney)
    Valentin b.z.p.
    Valentin b.z.p.

    17 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2021
    "Comment avoir peur de ce que l'on ne voit pas ?"

    Vingt ans après le divertissant "Hollow Man, l'homme sans ombre", le mythe de l'homme invisible est ramené sous le feu des projecteurs grâce (ou à cause) de l'impulsion du célèbre producteur Jason Blum, connu pour sa surprenante attirance à côtoyer le bon (Get Out, Blackkklansman,...) comme le moins bon (Ouija, American Nightmare 2 à 4, Ma et j'en passe), et du réalisateur Leigh Whannell, à qui l'on doit notamment le surprenant et encourageant "Upgrade". Là où l'on suivait les pas de "l'homme sans ombre" et de Kevin Bacon dans le film de Verhoeven, l'on suit cette fois-ci les pas de la proie, Cécilia.

    Leur projet, aussi ambitieux était-il, était de réussir à faire frissonner le spectateur sans que celui-ci ne puisse voir l'homme terrifiant et traquant la protagoniste. L'on part donc sur un postulat à l'opposé de classique de l'horreur parmi lesquels je pourrais vous citer Scream, Les Griffes de la nuit ou encore Halloween dans lesquels la terreur naît de la peur visuelle de l'antagoniste.
    Alors, pari réussi ? À vrais dires, non et ce malgré les critiques dithyrambiques.
    En réalité, nous nous retrouvons davantage face à une fresque à l’effigie des derniers divers mouvements féministes que face à un film d'épouvante ou un thriller réussi. Véritable allégorie de ces dits mouvements, Leigh Whannell se retrouve pris entre deux feux : défendre ces mouvements, aussi louables et importants soient-ils, et raconter une histoire, intéresser le spectateur. Je tiens à souligner que, par mes lignes, je ne remets en aucun cas en cause les mouvements précités.

    Le partie-pris par le réalisateur est clair et ne laisse rien transparaitre : Whannell, à travers le mythe l'homme invisible, livre un long-métrage bourré d'allusions au rôle second de la femme parfois battue, manipulée, contrôlée ou véritable proie de l'homme dans cette société "patriarcale". Cela s’interprète-t-il comme une réponse au propos hasardeux et critiqués de Jason Blum qui avait affirmé en 2017 qu'il "n'y a pas beaucoup de réalisatrices de manière générale, et encore moins qui accepteraient de faire un film d'horreur". Sans doute.

    Mais revenons à "Invisible Man".
    Loin de moi l'idée de critiquer chaque film dénonçant une part sombre de notre société ou dressant un message aux spectateurs derrière son histoire. Tautologiquement, il faut ainsi avoir une histoire à raconter (dans le genre, comment oublier l'excellent "Thelma et Louise" de Ridley Scott).

    Là où le bas blesse c'est que, derrière cette allégorie de la souffrance féminine, l'on s'ennuie devant cet insipide scénario du méchant mari qui en viendra jusqu'à mourir, pour de faux, puis se rendre invisible pour faire souffrir sa femme davantage.
    Les trois premiers quart d'heure souffrent, autant que le spectateur souffre d'ennui, d'une profonde paraisse d'écriture à tel point que je me suis endormi. J'ai dû m'y reprendre à deux fois avant de finir le film.
    Plus encore que la paresse, je peux également souligner diverses maladresse : la plus frappante étant la fausse mort du mari. Qu'à fait la police, existe-t-il des coroners dans ce film, qui a examiné le corps ?
    Enfin, le twist final ( spoiler: le frère dans le coup et meurtrier, le mari innocenté puis tué
    ) s'avère être malheureusement raté et laisse bien trop de question en suspend : quel était l'intérêt du frère (l'argent je suppose en faisant passer Cécilia pour folle) et surtout l'intérêt du mari lui-même (qui se fait passer pour mort puis réapparait comme par enchantement sans que la police ne se pose de question) à part satisfaire son côté sadique.

    En somme, malgré quelques scènes plutôt réussies, il ne passe pas grand chose, c'est long, trop long (plus de 2 heures), et, à l'inverse de la protagoniste qui ressent la peur, le spectateur n'arrivera pas à avoir peur de ce qu'il ne voit pas.
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