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    Invisible Man
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    3,6
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    moonboots
    moonboots

    46 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2020
    malheureusement ce film s'enfonce dans le ridicule très rapidement, parfois il vaut mieux avoir une bonne idée que 10 mauvaises,
    kylesauvages
    kylesauvages

    36 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2020
    Laborieux, lent, prévisible... Avec pourtant un scénario qui donne envie, ce film se transforme vite en un petit thriller oubliant le fantastique et l'épouvante... Je n'ai ressenti aucune angoisse et pourquoi ? car ce film joue toujours sur la même ligne et au bout d'un moment (très rapide) on se dit que ça commence à bien faire. Donc juste bien mais sans l'enthousiasme que je pensais avoir.
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2021
    Je cite "Ce film d’horreur joue avec les codes du genre pour dénoncer les violences faites aux femmes". Sans blague ? Où ça ? Où ça ? Moi je n'ai vu qu'un mauvais thriller de SF. Le film échoue dans plusieurs domaines. Le pitch de départ est simpliste, voire débile mais à la limite on pouvait faire avec sauf que dans son développement ça devient n'importe quoi, l'invraisemblances et l'incohérence des situations (et il y en a un paquet) et des interactions entre les personnages, ainsi que la lenteur de la mise en scène finissent par laisser pantois. Et puis il faut parler de l'actrice principale, Le réal a choisi une protagoniste au physique ingrat, c'est son choix, mais il faut bien admettre que ce n'est pas de nature à forcer l'empathie. D'autant que l'actrice a un jeu assez moyen. Au seconde degré on pourra rigoler avec la scène des couloirs de l'hôpital ou les agents de sécurité nous la joue sur l'air de "quand il n'y en a plus, il y en a encore", ou la scène du couteau tenu par l'homme invisible.
    Did
    Did

    12 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2020
    Un divertissement honnête mais sans plus.
    Le film est assez long à démarrer et se révèle au bout du compte, très prévisible.
    J'ai trouvé ça au final assez moyen, mais pas raté.
    Cette histoire d'homme invisible trouve toutefois son originalité sur la façon dont ce dernier le devient, belle trouvaille.
    A voir un samedi soir à la maison.
    Bryan V.
    Bryan V.

    66 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2020
    The Invisible Man est une adaptation du roman du même nom. (Vous connaissez sûrement déjà une version ou une autre ? C'est fort probable voire normal, je dirais, car cette adaptation est précisément la vingt-et-unième adaptation de ce roman. Certaines versions sont très méconnues contrairement à d'autres. Il y a par exemple Hollow Man des années 90 qui rejoint les plus connues pour n'en citer qu'un seul.). Le film est dirigé et écrit par Leigh Whannell, lui qui avait déjà travaillé auparavant sur des projets comme : Saw, Insidious ou encore Upgrade pour ne pas tous les citer. Du coup, de quoi accorder un minimum de confiance qui ne sera pas gâché à ce métrage.

    Le film, l'histoire démarre immédiatement. Dès la première seconde, le film s'emporte dans un certains rythme effréné au cœur de son contexte sans pour autant même prendre la peine de réellement développer l'histoire en question ou bien ses personnages. Cela donne l'occasion au casting, particulièrement à Elisabeth Moss de porter le métrage à elle seule sur ses épaules. Épaules bien large au passage, son jeu d'acteur est vraiment bon (depuis The Handmaid's Tale, cette actrice n'a plus rien à prouver !), j'ai comme la sensation qu'avec une autre actrice toutes ses scènes "solo" face à l'invisibilité n'auraient jamais été les mêmes. Actrice qui d'ailleurs à du talent et une beauté naturel, loin de toute la plastique que nous pouvons croiser aux quatre coins d'Hollywood. Yvonne Strahovski (elle a bien changé depuis Dexter !) est également plaisante dans son personnage, un petit rôle au destin plutôt surprenant dans sa manière de faire au passage.

    Le film fait une totalité de 2h05, tout en ayant conscience d'avoir vu un long film, aucunes réelles longueurs se ressentent. Le rythme enfreiné en début de film perdurera plus ou moins une bonne majeure partie du film, malgré quelques lacunes. Le métrage réserve tout de même un bon moment et malgré le sujet déjà vu mainte et mainte fois (l'homme invisible), en plus d'avoir adapté ce roman une vingtaine de fois celui-ci en ressort original. Non, pas surprenant en soi, mais plutôt tendu par son ambiance souvent oppressante et muette. De plus, le film n'a pas de nombreux gros défauts à l'exception de la scène avec les nombreux policiers qui elles ont failli tomber dans le grotesque (entre autres). Quant au final lui est juste parfait ! Ce fût même l'une des meilleures surprises du film, d'autant plus quand on connaît généralement les habitudes du studio Blumhouse.

    Enfin bref, The Invisible Man est à la fois à demi-huis clos et demi-ouvert, saupoudré de quelques jumps scares modérés par-ci, par-là pour une histoire qui dans un sens se bonifie parfaitement avec la durée de film.
    Anna_
    Anna_

    14 abonnés 701 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2021
    Début de film assez mitigé : Cécilia veut fuir son mari violent spoiler: mais prend quand même le temps de se préparer un sac de voyage
    , le réalisateur s'attarde un peu sur le chien spoiler: dont on n'aura quasiment plus de nouvelles ensuite
    .

    Une fois cette introduction passée, on entre dans le vif du sujet. Peu à peu, alors que Cécilia tente de se reconstruire, des faits étranges vont se produire, visant à l'isoler de tous ceux qui l'ont aidé. Elle seule comprend ce qu'il se passe mais personne ne veut la croire : bon pour leur défense elle est en train de leur dire que c'est son mari invisible qui fait toute ces choses....
    On n'attend qu'une seule chose : savoir si elle va réussir et pouvoir être libre !
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 034 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Leigh Whannel oscille dans sa carrière entre le bon et le médiocre, en gardant toujours une constance de réalisation empruntée à son compère, James Wan, ainsi qu'une passion dans l'écriture de ses scénarios contagieuse et réjouissante. Là où son précédent Upgrade se construisait comme un hommage décomplexé et ultraviolent aux univers dystopiques créés par Philip K. Dick ainsi qu'aux délires mécaniques et novateurs de Robocop et Terminator, Invisible Man répète plus l'essai tonitruant de Verhoeven, L'Homme sans ombre, que ce qu'il aurait pu porter comme regard aimant sur les adaptations de la Universal ou de la Hammer.

    Il n'y porte pas d'hommage particulier, donnant tout ce qu'il a comme ressources pour associer la figure du mythique homme invisible au sous-genre populaire du film d'esprit : quelle différence pourrait-on se dire, en allant voir sa nouvelle réalisation, entre un sociopathe qu'on ne voit pas et un fantôme malfaisant avec une force surhumaine, qui se manifestera crescendo jusqu'au dernier quart-d'heure où l'on pourra apercevoir les traits physiques du fameux démon, à la Conjuring ?

    Whannel aura évité le piège de la simple transposition en réinventant sa mise en scène basée sur le film d'épouvante à esprits démoniaques : là où il laisse croire, dans Insidious, à la présence de l'esprit parce qu'il joue sur des espaces intérieurs vides et de lents plans tout en appréhension, il place Elisabeth Moss de sorte à ce qu'elle n'occupe que la moitié du cadre, laissant le reste de l'écran d'une largeur équivalente à celle d'un corps d'homme (possiblement invisible, donc).

    Est-il là ou sommes-nous trop craintifs? Les questionnements presque paranoïaques sur la présence d'Adrian dans la pièce redynamisent des codes qu'il était jusqu'ici difficile de considérer sans l'apparition prévisible (et souvent risible) de jumpscares avec plus ou moins de budget, artifice parfait pour donner l'impression au spectateur qu'il a peur sans avoir à se casser la tête pour lui façonner une oeuvre avec une véritable atmosphère.

    Des jumpscares, on ne retiendra que cette introduction posant admirablement l'ambiance lente, oppressante et glauque de cette révision du personnage, avec un screamer réussit dans le sens où il amène à l'écran un détail important de l'intrigue et de la vie de couple de l'héroïne. Il n'y en aura pas d'autres, du moins pas aussi frontaux : très discrets, ils s'effacent derrière un travail sur le son saisissant, qu'il concerne sa bande-originale ou ses bruitages dérangeants (celui de l'homme invisible est un bon élément de caractérisation).

    Ce son écrasant complète parfaitement sa mise en scène moderne mais bourrée de codes de films d'épouvante d'une vingtaine d'années, construite comme une sorte de révision de ce que fait James Wan en terme de suspens. Sans pour autant copier son compère, Whannel s'en inspire avec pertinence et nous livre un cadrage fascinant qui joue les huis-clos avec une maîtrise insoupçonnée : le réalisateur nous prouvant qu'Upgrade n'était pas un coup de chance de débutant, il se fait un malin plaisir à traduire tout le malsain de son intrigue et de ses personnages, que le maquillage aliénant de Moss rend encore plus crédible.

    C'est cependant dans son écriture que le film déçoit le plus, Leigh Whannel ne brillant plus depuis longtemps pour sa rédaction (au point qu'une part de sa carrière soit considérée comme médiocre). Invisible Man nous fait ainsi sortir de maintes fois de son histoire par l'idiotie affligeante du comportement de ses personnages : récupérer un portable pour attester ce qu'on dit, raconter autre chose que 10% de ce qui vient de se passer pour convaincre son auditoire et passer autrement que pour une folle furieuse.

    C'est dans les non-dits qu'il se vautre le plus, jouant la carte énervante du personnage renfermé sur lui-même parlant peu avec les autres (ou n'ayant pas les bons réflexes et les bons mots au bon moment, ce qui peut se comprendre jusqu'à un certain point) pour que perdure son intrigue et que le monde extérieur comprenne trop rapidement que cette victime de l'emprise d'un homme vil ne dit pas que des choses improbables.

    Le choix d'Elizabeth Moss, grimée dès le départ en faciès atteint de pathologie psychiatrique latente et jouant dans le sens d'une venue crescendo de la folie, allait au départ dans un sens intéressant, qu'une partie de l'oeuvre perpétuait de façon intelligente : et si cette femme manipulée, bafouée, torturée psychologiquement cachait elle-même des troubles psychiatriques excusant son propre comportement auto-destructeur et hétéro-agressif?

    Rapidement abandonnée, cette alternative à l'habituel film à méchant aurait plus convenu à une production indépendante à plus petit public, Invisible Man se forçant presque à choisir la voie de l'action, de la violence et du spectaculaire dans une dernière partie incohérente à l'asile (les répercussions sont jetées à la marre sans aucun respect pour les capacités de logique et de réflexion du spectateur) avant de se calmer et de conclure son arc au travers d'un ultime combat plus intimiste, presque proche de la tension d'un face à face Hopkins/Foster, habile et psychologique.

    Si cette fin à échelle humaine rassure sur le déroulé global de l'oeuvre, il n'empêche qu'elle jure cruellement avec les minutes précédentes, tournées du côté du jouissif, du super-vilain intouchable agissant ainsi pour que l'héroïne épouse enfin son rôle de super-héroïne de cinéma d'action à suspens (genre auquel il n'appartenait jusqu'ici absolument pas), et que Whannel cite quelques divertissements régressifs d'antan dont il est amateur (ce qu'il faisait aussi avec Upgrade).

    Tout autant passionné qu'il est incapable de pondre un scénario vraiment cohérent, à échelle humaine et sortant des sentiers battus, Leigh Whannel marque autant dans ses réalisations/scenarii que dans ses productions parce qu'il est tout aussi passionné et sincère que son compère James Wan, artistes habitués à reprendre dans leurs oeuvres les caractéristiques des films qui auront battit leur enfance, leur cinéphilie et leur auront permis de réinventer des codes qui traceront, n'en doutons pas, la direction à suivre pour les futures générations de cinéastes d'épouvante/horreur à suspens.
    Yetcha
    Yetcha

    745 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2020
    Aaaaah voilà un film qu'il est bon! Flippant, tendu, des twists qu'on attend mais sans trop y croire non plus et qui finalement nous surprennent quand même. Elisabeth Moss est excellente (comme d'habitude quoi!). Le tout début m'a fait pensé à Les nuits avec mon ennemi, mais là, on ne sait pas avant longtemps si elle est folle, ou pas... Le soupçon de SF ajoute une vraie plus-value à l'ensemble et apporte là un très très bon thriller comme on n'en voit que trop peu et qui parvient à renouveler ce thème mille fois abordé du mari violent et pervers narcissique qui provoque la fuite de sa femme qu'il tente de récupérer en la pourchassant. Bravo!!!
    Marcologie
    Marcologie

    31 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    Scénario inintéressant, acteurs insipides, je me suis forcé à regarder jusqu'au bout mais a aucun moment on est emmené dans ce film.
    Nicothrash
    Nicothrash

    292 abonnés 2 921 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mars 2020
    Leigh Whannell serait-il comme le bon Bordeaux ? En trois long métrages seulement, son évolution est remarquable, du troisième épisode de la saga Insidious, médiocre, il nous surprend trois ans plus tard avec son excellent Upgrade pour arriver à maturation aujourd'hui avec sa version de l'Homme Invisible, originale, maîtrisée et bourrée de suspens. Il s'appuie sur une atmosphère oppressante à souhait en premier lieu puis sur des effets spéciaux sobres mais terriblement efficaces, les petits plan-séquences s'enchaînent à la manière de Paranormal Activity, appuyant le sentiment d'angoisse déjà bien présent et puis son casting est tout à fait délectable. Peu de comédiens de premier plan à l'international mais tous autant qu'ils sont concernés à 100% ! La longue et lente première partie est extrêmement prenante et met parfaitement en bouche pour la suite par ailleurs. C'est très bien foutu, bien monté, bien construit et on n'en rate pas une miette du début jusqu'à la fin, une intensité rare qui vous file le frisson et d'autant plus lorsque l'on se met à la place de notre héroïne ... Du tout bon au final, une bonne surprise dans un genre qui se renouvelle peu.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juin 2020
    Depuis la publication du roman d’H.G. Wells en 1897, la thématique de l’Homme invisible a été abordée à multiples reprises au cinéma. On pouvait donc penser qu’une nouvelle adaptation en 2020 risquait donc d'être répétitive. Et pourtant, Leigh Whannell relève le pari d’offrir une œuvre véritablement originale sur le sujet.
    En effet, le cinéaste (également auteur du scénario) adopte le point de vue de la victime de l’Homme invisible qui est l’ex-compagne de ce dernier avec qui elle a vécu une relation traumatisante. On passe donc une grande partie du long métrage sans savoir si l’invisibilité du personnage est réelle ou si tout cela provient de l’esprit d’une Cecilia qui aurait sombré dans la folie, ce qui rapproche régulièrement le film de Total recall de Paul Verhoeven (qui a également traité le sujet avec Hollow man : L’Homme sans ombre). Pendant très longtemps, on ne sait donc pas si nous assistons à un film fantastique traitant des violences conjugales ou à un drame retranscrivant les traumatismes causés par celles-ci.
    Cela est d’autant plus renforcé par l’extraordinaire jeu d’Elisabeth Moss parfaite en femme au bord de la folie suite à une relation extrêmement toxique. Son interprétation est d’ailleurs renassociée au travail de maquillage sur ses yeux qui nous confirme dans l’idée que le personnage a pu sombrer dans cette même folie et que les images sont son interprétation des événements due à ses délires.
    spoiler: On pourra toutefois reprocher au film de ne pas avoir été totalement honnête pour certaines séquences quand on sait finalement que ce qu’a vécu Cecila est tout à fait réel. Par exemple, comment cela se fait-il que Sydney accuse Cecila de l’avoir frappée alors qu’elle aurait dû se rendre compte que ce n’était pas cette dernière qui lui avait donnée le coup de poing ? Excepté ces légères incohérences,
    Invisible man est une relecture assez passionnante du personnage créé par H.G. Wells grâce à l’introduction du thème des violences conjugales et des conséquences psychologiques entraînées par celles-ci. Drame psychologique ou film fantastique ? Il faudra attendre la dernière partie pour le savoir réellement.
    HawkMan
    HawkMan

    152 abonnés 1 125 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 février 2022
    Voilà un film qui donnait envie au départ, un film sur un scientifique, violent, tyrannique, censé être mort et sa femme en fuite, qui va "ressentir" une présence invisible, des évènements inquiétants, l’interrogeant sur la disparition réelle de son mari.
    Bon, peu de frayeur, peu de suspense, peu de nouveauté, un film assez classique.
    Bref : pas un film invisible mais... presque.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2020
    L’invisibilité est une composante exaltante du cinéma et de la littérature fantastique. Cette approche post #MeToo du roman précurseur d’H.G. Wells est une torture psychologique autant pour son actrice - l’excellente Elisabeth Moss - que pour le spectateur. Nul besoin d’effets spéciaux mirobolants (comme en son temps chez Paul Verhoeven) pour créer un climax d’oppression, suffit juste d’une mise en scène en adéquation avec cette variation moderne et inédite de son sujet. A l’issue du film, j’ai bien été forcé de constater que, malgré certaines longueurs et autres soucis de cohésion, la combination orchestrée par l’australien Leigh Whannell était plutôt réussie.
    Michael R
    Michael R

    85 abonnés 1 168 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mars 2020
    Un thriller brillant de bout en bout qui fait de l'homme invisible un pervers narcissique sociopathe harcelant une Élisabeth Moss comme toujours impériale. Un film habile, intelligent et nécessaire.
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    46 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2020
    Bien plus qu'un simple film d'horreur classique, cette nouvelle version est un thriller fantastique sous haute tension qui évite la débauche des effets-spéciaux pour davantage se concentré sur son personnage principal. Un tour de force visuelle qui ne révolutionne pas le genre, mais qui propose une intrigue originale, intense, d'une noirceur efficace qui plonge petit à petit notre victime dans un plan complexe et pervers de l'homme invisible pour mieux l'atteindre. Le thriller réussi à maintenir son suspense en haleine malgré une fin qui déçoit un peu, mais dans la gestion de ses idées, il parvient à nous surprendre grâce à une mise en scène qui nous entraînes dans cette angoissant jeux de pistes traités avec rigueur. Une des meilleures œuvres horrifiques sortie cette année.
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