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DaeHanMinGuk
146 abonnés
2 214 critiques
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1,0
Publiée le 21 mai 2020
Les deux questions qu’on peut se poser après avoir vu ce film est « un livre à succès mérite-t-il toujours d’être porté à l’écran ?» et si, oui, « A-t-on pour celui-ci choisi la bonne équipe de production ? » tant le résultat déçoit ! Le pire, c’est qu’il y a 4 suites à ce best-seller de l’édition … On n’est pas sauvés !!! Les situations sont souvent forcées (peu naturel) et l’humour bien lourd. L’histoire d’amour est sans surprise et plate. De plus, on nous ressert le quiproquo, déjà maintes et maintes fois resservi par le Cinéma, de l’héroïne prise à tort, au vu de son habillement, lors d’une réception, pour une serveuse. Diable (et je ne dis pas ça uniquement pour « le Diable s’habille en Prada » auquel on pense forcément en voyant ce film), un peu d’imagination ! En conclusion, à part les toilettes (sacs et chaussures compris) de l’héroïne, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce film.
Etant une fan absolue des bouquins de Sophie Kinsella, j'attendais beaucoup de cette adaptation ciné. Même si les premières critiques m'avaient semblées laisser présager d'un film décevant, je préférais ne pas me fier à elles et je suis donc allée voir ce métrage avec un avis totalement neutre. Eh bien, le fait est que "Confessions d'une accro du shopping" est un métrage bourré de défauts avec seulement une ou deux qualités. L'interprète principale ressemble assez à l'idée que je m'en étais faite d'après les romans, finalement. Par contre, les autres personnages (que ce soient Luke, Tarquin, Suze ou même le père de Becky), point du tout. Mais ça, ça pouvait encore passer. Pareil pour le fait d'avoir déplacé l'action aux Etats-Unis. Après tout, je ne cherchais pas une transposition 100% fidèle des livres. Mais le fait est que ce film est d'un ennui profond, pour ne pas dire abyssal. Le comble pour une comédie! On ne rit jamais, on sourit (très) peu souvent. Bref, je m'attendais à mieux. A beaucoup mieux. Les dialogues sont souvent insipides, la morale à deux balles assez ridicule,... . 1 étoile pour Isla Fischer et quelques scènes relativement amusantes.
Agréablement surpris par cette comédie, mes appréhensions d'avant visionnage ont vite été mises de côté. Le film débute très bien avec pas mal de situations cocasses et un personnage très attachant. Par la suite, c'est vrai que ça tombe dans une mièvrerie légèrement agaçante et qui enlève tout suspense quant à la fin de l'histoire. Cependant, c'est amusant, réjouissant et assez dynamique !!
une très bonne comédie à l'américaine.de très bon acteurs surtout les 2 principaux la belle rousse isla fischer et le beau,charmant et galant hugh dancy.je trouves que le couple va très bien ensemble.un très bon divertissement où l'on ne s'ennuit pas.film plutôt basé pour les femmes.et plus par les femmes acrro du shopping se sentiront concernées.
Je m'attendais à une comédié un peu bête, mais détendante, et j'ai eu une bonne surprise ! " Confessions d'une accro au shopping " est bien fait, on rit beaucoup, il y a un peu de romance mais pas trop, les acteurs ont été très bien choisis. Isla Fisher est fraîche et pimpante, Hugh Dancy a ce charme britannique qu'on adore toutes, et Kristin Scott Thomas est étonnante en directrice de la mode française. Britannique vivant en en France Kristin Scott Thomas parle avec un accent français en anglais (fatigant à la longue...) et pas d'accent en français. Amusant ;) Bien sûr, le film est complètement improbable, mais quelle importance ?! A voir pour se détendre et passser une bonne soirée.
Dans la même veine que Le Diable S'habille En Prada, voilà une nouvelle adaptation d'un roman "girly" sympathique et c'est PJ. Hogan qui s’y colle, un expert en comédie romantique puisque c'est lui qui signait dans les années 90, Le Mariage de Mon Meilleur Ami et le cultissime Muriel! Il nous présente une nouvelle fois une comédie réussie, drôle, fraîche et romantique. Le duo Isla Fisher et Hugh Dancy est séduisant à souhait et tout à fait crédible. J’ai, par ailleurs, particulièrement adoré voir ces mannequins prendre vie dans les vitrines. Je n’ai pas lu le livre et ne serais dire si l’idée vient de la romancière ou de l’équipe du film, mais c’est vraiment bien pensé et très original. En conclusion, on assume notre sourire aux lèvres à la toute fin du film et surtout de s’être laissé aller le temps de deux petites heures à quelques légèretés qui ne feront de mal à personne. Feel Gold Movie!
Un film de filles énergique et à l'humour débridé. Une structure classique et ultra prévisible. Isla Fisher, pétillante, est au top de son potentiel. Une scène m'a marqué : celle où Alicia invite Luke à dîner ; une tristesse immédiate se dessine sur le visage de Fisher, belle performance ! Qui de mieux aurait pu tenir le rôle tire de Rebecca ? Mais voilà, je suis un homme et forcément je ne suis pas la cible…
Adaptation d’un best seller (comprenant 5 tomes) que seules les filles connaissent. On y fait la rencontre d’une fille pas comme les autres, accro au shopping au point d’en user ses cartes bancaires, surendettée et addict au Gucci, Prada, YSL et consort, elle décide de se trouver un nouveau job histoire de renflouer ses caisses et la voilà devenue journaliste pour un magazine financier (dont elle ne connaît rien). Délurée et hilarante, cette comédie dans la lignée de Bridget Jones (2001/2004) & Le Diable s'habille en Prada (2006) devrait trouver satisfaction auprès de la gent féminine, à la fois drôle et décomplexée, Isla Fisher (Serial noceurs - 2005) qui campe le rôle titre convient parfaitement, on regrettera cependant quelques longueurs et la salve de morales inutiles mais chères à Hollywood.
Peu crédible et hautement improbable, un film du réalisateur P.J. Hogan, l'homme qui fait du cinéma pour faire plaisir à ces dames (Le Mariage de mon meilleur ami, Amours suspectes, Muriel, ...), qui ne nous a pas ravies, mesdames, pour une fois... Un film qui ne s'adresse pas vraiment aux hommes...plutôt pour une soirée entre bonnes copines. Car, dans un autre contexte que celui de se vider la tête, le film déçoit rapidement : gags dignes de cartoons (les habits qui sont propulsés hors de l'armoire, la femme qui se jette sur le bureau en pleine réunion...), une actrice principale assez enfantine dans ses mimiques, et une niaiserie constante qui nous fait soupirer de voir autant de facilités et d'incohérences... La fin mielleuse gâte les dents de sa guimauve suintante... Autrement, le problème de l'addiction au shopping est survolé, car il s'agit d'une vraie maladie psychologique grave, et le film nous donne une idée "que ce n'est pas grave du tout", alors que tant de personnes en souffrent cruellement au quotidien... Utopique, très guimauve, avec une bande-son horripilante (James Newton Howard, pourtant habitué aux films de P.J. Hogan et que j'apprécie d'ordinaire, m'a plus que déçue... soit la musique est criarde, soit caricaturale du "girly", soit inexistante... Un bel incident de parcours pour celui qui nous a enchanté de tant de beaux morceaux...). Un film pour les adolescentes ou pour une soirée entre filles...qui ne vole pas bien haut et reste très niais.
Un homme qui regarde un girl movie en tout état de cause se doit de rester impartial, quoi qu'il arrive. A savoir qu'un accro du shopping, au féminin comme au masculin, est bien souvent une personne frustrée, désespérément insatisfaite, et pour tout dire, superficielle. Notre impulsive maladive, incarnée par la pétillante et hystérique Isla Fisher, remplie joliment le rôle de potiche incapable de résister à ses pulsions, aussi extravagantes qu'inutiles. Sauf que tout excès se paye tôt ou tard par des retombées souvent violentes de vérité. Lorsque les vitrines nous contrôlent, le moment est sans doute venu de ce remettre en question et s’interroger sur l'authentique sens de la vie: profiter de chaque instant sans jamais songer aux conséquences, ou alors suivre la voie de la raison en laissant les caprices au placard? La première règle pour pouvoir dépenser sans compter est de savoir conserver un job. Une instabilité dans la vie qui se répercute sur le milieu professionnel est fréquente. L’héroïne de ce film est donc une sorte de figure satirique de la haute consommation, compulsive à l’extrême, un emblème de l'excès et de l’opulence dérisoire. On y découvre le monde de la mode, impitoyable et indécent dans la compétition malsaine. Malheureusement, ce cocktail d'humour potache rose-bonbon pousse davantage au ridicule qu'à la rigolade. Un concentré de stéréotypes beaucoup trop lourdauds et surfaits pour être marquant. Le contexte en est d’autant plus idéalisé qu’on souhaiterait le voir plus pessimiste, c’est à dire réaliste. Du girly bébête à la sauce bien piquante signé US au fer rouge. Ce semblant de moral sur la rédemption est un véritable coup de grâce, une ode à l'abrutissement de seconde zone. Mesdames, à vous les studios… 2,5/5
On adhère au style de comédie américaine mais le fond du film reste cucu. Néanmoins on passe un bon moment. Ne pas se priver de rigoler et de se moquer... lol
Le public féminin est clairement visé par cette comédie insolitement produite par Jerry Bruckheimer (surement pour casser l'image gros bras du studio), "Confession d'une accro au Shopping" suit Rebecca Bloomwood qui doit trouver un job pour couvrir ses dépenses exorbitantes. Elle réussit à dégoter un poste de journaliste dans un magazine financier, un sujet qu'elle ne maîtrise pas... Un film sans intelligence qui souffre de la comparaison avec "Le Diable s'habille en Prada" sur de nombreux point et qui se ridiculise de minutes en minutes. Heureusement le personnage d'Hugh Dancy fait son apparition et relève le niveau. "Confession d'une accro au Shopping" n'est qu'une comédie à l'américaine au scénario sans ambition.
Moins sarcastique que le Diable habillé en Prada et gentiment niais comme une production Walt Disney, si on apprécie le talent dévergondée et causasse de Isla Fisher, on se dit que cette adaptation du Best-Seller de Sophie Kinsella n’a rien pour faire chavirer le 7ème art.