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    Two Lovers
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    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2015
    Après une trilogie dans le genre polar dont je suis fan, James Grey s'essaye en 2008 dans le mélodrame avec "Two lovers" et j'ai été agréablement séduit par ce film !! Dés le début, on suit un jeune homme tenté par se suicider en sautant dans un canal d'eau et de remonter en surface, pourquoi a t'il fait ça? Allez voir le film (rire). Le jeune homme vit chez ses parents, travaille dans l'entreprise de son père. Il rencontre une femme brune charmante dont le père est ami avec ses parents et en même temps d'une voisine blonde dont ils sympathisent avec vue de leurs appartements en commun. Les choses vont aller plus loin dans les deux rencontres et on se demande comment cela va se finir. Beaucoup de bonnes choses dans ce long métrage, la réalisation de James Grey avec une belle lumière dont on avait déjà remarqué dans ses précédents films qui se confirme ici, elle accompagne l'histoire qui nous plonge dedans, une belle distribution de comédiens tels que Joaquin Phoenix en tète qui livre une interprétation a fleur de peau de façon touchante, Gwyneth Paltrow rayonnante perdu avec une liaison avec un homme marié et le personnage principal, Vinessa Shaw, Isabella Rossellini, Elias Koteas. Une belle histoire d'amour triangulaire que j'ai adoré, je le recommande vivement.
    reymi586
    reymi586

    402 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2017
    J'ai beaucoup apprécié ce film de James Gray avec un Joaquin Phoenix jamais aussi bon qu'en amant torturé. L'histoire est prenante, fluide et réaliste. Un excellent moment !
    shmifmuf
    shmifmuf

    156 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2012
    Filmer une histoire d'amour comme un polar à suspense. Voilà l'originalité de ce film.
    Mais ce qui rend ce film si bon c'est l'interprétation des 3 principaux protagonistes (Phoenix et Paltrow sont parfaits).
    L'émotion de certaines scènes est finement soulignée par la réalisation subtile de James Gray.
    Un film touché par la grâce.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 novembre 2012
    Il y a bien longtemps que je n'ai pas fait de vrai critique, mais là j'en suis forcée. Que les personnes qui s'attendent à un film d'amour à l'eau de rose, ou un film avec de l'amour effrontée peuvent aller se rhabiller, parce que ce film ce n'est pas ça, c'est bien plus ... Tout d'abord on découvre un personne qui est plutôt ambigu, d'une part on sait qu'il est torturé, d'autre part on découvre aussi un homme plutôt dragueur et sûr de lui. Leonard est tout bonnement un personnage qui essaye de se relever de son passé. La base de l'histoire, lorsqu'on la regarde rapidement, est assez simple : un personnage A aime un autre personnage B qui aime un autre personnage C tandis que le personnage D est amoureux du personnage A. Facile, vous me direz comme idée de scénario, mais James Gray va plus loin. Ce qui l'intéresse ici, c'est l'évolution des sentiments et du comportement humain face à ces situations, et il nous montre ça d'une manière totalement réaliste. Au début, il nous présente son personnage Léonard de manière très réaliste, les plans sont filmé à l'épaule, le montage est courts et l'ambiance est simple. Cependant, au moment de la boite de nuit lorsque Michelle reçoit se fameux coup de fil on sait que tout est terminé. On bascule alors dans la tête du personnage, les plans deviennent de plus en plus long, les lumières deviennent douces et vaporeuse, tout devient d'une certaines manière très poétique. Et ceci, vient du fait que l'on voit les choses à travers le personnage de Léonard. Je ne vais pas spoiler tout le film, mais il est clair que l'idée même de nous montrer les choses sous cet angle là fait de ce film un bijoux de ces dernières années. La mise en scène de James Gray est toujours aussi parfaite, sa direction d'acteur brillante et son scénario n'a pas le moindre petit défaut. Il use comme dans tout ses films de multiple référence, il s'inspirait du Parrain dans The Yards, ici il est très inspiré Hitchcock. Cette fameuse scène sur le toit avec les surcadrage, la manière de placer les acteurs n'est pas anodine, et rappelle la scène du clocher dans Vertigo. J'avoue que je n'ai pas pu voir la référence la première fois que j'ai vu ce film, car je n'avais pas encore vu Vertigo... Enfin bref vous l'aurez compris ce film est une perle, surement l'un des meilleurs films d'amour qui m'est était donné de voir, car pour une fois tout est cruellement réaliste, et on ne tombe pas dans la pathos comme dans beaucoup de film. James Gray a su doser son film à la perfection, et lorsque celui ci se termine on ne reste pas indifférent tellement il est bouleversant ... Je n'ai qu'une chose à dire, vivement son prochain film que l'on attend déjà depuis 4 ans !
    adicte
    adicte

    53 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juin 2009
    J'ai même pas vu la fin... Une étoile pour Joaquin Phoenix mais sinon rien à voir et surtout pas à écouter: des dialogues nullissimes, des situations improbables, des personnages complètement débiles...Et les deux actrices sont vraiment très énervantes...! Two lovers ou La vie amoureuse de trois nases...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 mars 2010
    Tout simplement le plus beau film de 2008, et peut-être même l'un des plus beaux de la décennie passée ! James Gray signe ici son meilleur film (mais où s'arrêtera t-il ?), prouvant une fois encore qu'il est bien l'un des réalisateurs américains majeurs actuellement. Joaquin Phoenix, acteur fétiche du cinéaste, livre sa plus belle prestation à ce jour. Bouleversant, possédé, fragile, intriguant... Le comédien fait passer une multitude d'émotions et est juste extraordinaire, laissant penser (et espérer) que sa retraite prématurée n'est qu'une très mauvaise blague qui finira par s'arrêter. Tout arrive ici à un niveau rarement atteint sur les écrans : la richesse des personnages, la capacité à faire l'économie de dialogues pour laisser parler les images, l'audace d'une mise en scène à la fois sobre et ennivrante, la direction d'acteurs (Gray n'a jamais laissé autant de poids et de place à ses actrices et ses personnages féminins)... Bref, un chef d'oeuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 juin 2013
    je croyais que c'était une comedie sentimentale surtout Paltrow qu est vraiment l'une des plus belle femme au monde et sexy , mais non c'est une histoire d'amour sans guimauve interprétation intense de Phoenix .
    franchement quand on est face a deux femmes qu'on aime et que l'autre se barre alors que on l'aime plus que tout faut etre désespéré pour aller vers l'autre femme qui a un personnage niais tete à claque .
    le personnage de Phoenix préfère vivre avec ses regrets au lieu de rester seul et de s'assurer un avenir j’appelle ça une couille molle
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 034 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2020
    James Gray est à ce point prometteur qu'il réalisa un début de carrière sans faute : le magnifique Little Odessa ouvrant la voie à une trilogie tragique des plus émouvantes, complétée par le plus faible mais puissant The Yards et terminée par l'incroyable La nuit nous appartient, traça la route à suivre pour le reste de sa carrière. Sa trilogie crime, famille et châtiment bouclée pour de bon, il pouvait partir sur d'autres projets, scénarisé un tout autre type d'histoire qu'on pouvait largement imaginer comme tout aussi proche de la tragédie shakespearienne.

    S'il perd en cours de route l'un de ses habitués, le très juste Mark Wahlberg, il garde l'icône de sa carrière, Joaquin Phoenix, qu'il soutiendra d'un casting très solide : Gwyneth Paltrow impeccable en femme libérée, Vanessa Shaw tout en douceur et en féminité, Moni Moshonov aussi bon que dans We Own the Night, et les seconds couteaux talentueux John Ortiz et Elias Koteas en complément d'une distribution parfaite.

    Et le drame se lance sur une tentative de suicide ratée, témoin du pathétique de ce protagoniste complètement paumé qui vit encore chez ses parents après ses fiançailles avortées, condition de l'homme rappelant donnant au spectateur d'une part un avant-goût de ce qu'il verra dans Two Lovers, et d'autre part servant de peinture d'un quotidien de prison dans lequel Phoenix étouffe, ne trouve plus la force de se débattre.

    Dévoré par sa routine, complètement contrôlé par sa nostalgie et les ratés de sa vie, Leonard Kraditor s'inscrit dans la veine des précédents protagonistes de Gray : perdu dans un monde qu'il n'a jamais compris, profondément malheureux, il ne présente à son regard aucune issue heureuse possible à son histoire. De ce désespoir constant ressort un mal-être parfaitement rendu par l'acteur, avare de rôles de mecs un peu bizarres que la société refuse de reconnaître comme les siens.

    L'on croirait presque voir, rétrospectivement, un Arthur Fleck qui n'aurait pas encore pété un cable, ou le Bobby Green de We Own the Night : Phoenix, incroyable comme d'accoutumée, parcelle son jeu d'une infinie fragilité que viendront combler, tour à tour, les prestations aux antipodes mais tout aussi réussies des inoubliables Shaw et Paltrow.

    L'une, Shaw, incarne la sécurité de la communauté de Kraditor (et par extrapolation de celle de Gray) : fils d'une famille juive très influente dans leurs traditions et leurs coutumes et jouissant de cette renommée qui impose directement le respect de ses pairs, elle prend les allures d'une rencontre arrangée par la famille, d'un père et d'une mère aimants voulant seulement le bonheur de leur fils, qu'ils considèrent (à juste titre ou non) comme l'adolescent en proie à ses démons intérieurs qu'ils éduquèrent il y a longtemps.

    Sandra Cohen, personnage que Shaw interprète, pourrait représenter le mariage arrangé de certaines couches de société si elle ne lui présentait pas cet amour profondément authentique et sincère, un amour véritable duquel n'importe quel homme voudrait. Mais Phoenix, n'oublions pas, incarne un mec en pleine crise de la quarantaine (du moins, c'est ce qui s'en approche le plus), ou qui rêve simplement de s'évader et de mener la vie qu'il a choisie.

    C'est là qu'intervient Gwyneth Paltrow, elle et son jeu changeant drastiquement de celui de Shaw : porte de sortie d'une famille et de sa communauté qui l'étouffent, elle incarne surtout l'amour adolescent rock'n roll qu'il n'a jamais connu. Cette âme perturbée issue de rapports violents avec son père ne pourra que le conduire dans le meilleur des cas à une déception amoureuse terrible, dans le pire à un comportement auto-destructeur entrant parfaitement en résonance avec le geste désespéré de début de film.

    Qui choisir et que choisir? La femme aimante qui propose une vie "normale", linéaire, belle mais sans le piment d'une amante qui recherche son père chez des hommes riches, responsables, femme adorable pourtant perdue dans ses excès de drogue et de luxure, qui dissimule derrière ses apparats d'être séduisant et insensible une âme de jeune fille croyant encore au prince charmant, et qui a mal placé sa confiance, ses espoirs, son amour.

    La situation, mal engagée dès leur première rencontre, entraîne Kraditor et le spectateur dans une déchéance qu'on espère loin d'être aussi tragique que celle de ses oeuvres précédentes : et si je ne vous révèlerai aucunement sa conclusion, il ne fait aucun doute que Gray est à ce point fascinant qu'il se réinvente à chaque film, qu'il développe des personnages, des situations et des enjeux profondément humains sans jamais se répéter, et se faisant, nous propose ici comme ailleurs une fin absolument sublime, inattendue, à la portée symbolique incroyable et à la mise en scène qui épouse parfaitement les rêves avortés de ses protagonistes, et les nouveaux espoirs d'un avenir qu'on espère enfin épanouissant.

    James Gray, ou l'art d'être inimitable.
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2012
    Une histoire tellement banale qu'on se demande pourquoi de tels acteurs jouent dans le film.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2022
    Un mélo existentiel intense et bouleversant sur un homme tourmenté, partagé entre un amour raisonnable et un une passion déraisonnable, porté par une interprétation d'une justesse folle.
    halou
    halou

    100 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2012
    Dénué de fioriture, sur de magnifiques partitions, James Gray arrive à surprendre le spectateur à travers un personnage complexe très bien interprété par Joaquin Phoenix. Une véritable réussite.
    titicaca120
    titicaca120

    348 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2008
    j'ai beaucoup aimé l'atmosphére du film,la musique aussi énormément ainsi que l'histoire en elle même.
    l'amour est si compliqué que c'est toujours un sujet magnifique à raconter.les acteurs sont trés bons.à voir.
    belo28
    belo28

    62 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2008
    Qui l'eut cru? le plus grand film de James Gray n'est pas une histoire de meurtres ou de familles flics/criminels!!! Non c'est une histoire d'amour tout en somme banale mais vraiment renversante par l'implication des acteurs et une caméra virtuose comme on en voit rarement!!
    gizmo129
    gizmo129

    72 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2017
    Enfin une histoire d amour qui n est pas une comédie romantique mais un vrai drame pationnel aux faux airs de thriller ( la spécialité du réalisateur ). L histoire est belle et complexe, on est confronté à un homme partagé entre ses envies et son destin, entre ses choix et ceux qu on lui imposent, entre une femme parfaite pour lui et une autre attirante mais qui ne sera jamais stable. Il est passionnant de voir Joaquim Phénix, le héros de l histoire se débattre dans cette histoire et la fin est terrible pour tous les personnages comme si le bonheur parfait était impossible et qu il fallait l accepter. La réalisation est très lente mais soignée, les images sont belles et le casting impeccable, normal pour un film nommé au festival de Cannes.
    Loskof
    Loskof

    366 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2014
    Ah qu'est-ce que j'aime ces films sur l'amour qui, au lieu d'être des comédies débiles pleines de bons sentiments dans 90% des cas, sont de purs drames, posent des questions, montrent la réalité finalement (une certaine réalité bien sur) alors que le reste ne montre qu'une utopie.
    Two lovers part d'un synopsis très simpliste, un homme tourmenté depuis un chagrin doit choisir entre 2 femmes, une qui l'attire sans explication et n'a rien à lui donner, l'autre qui ne l'attire pas mais à tout à lui donner. Malgré ce scénario assez mince, Gray arrive à en faire un grand film, peut-être pas un chef d'oeuvre, mais au moins un film marquant, agréable à suivre, finement écrit et interprété. Et la grande force du film c'est qu'à aucun moment je ne me suis dit: ça c'est pas réaliste, c'est surjoué, je n'y crois pas. Tout le long j'y ai cru, le film garde sa part de mystères sur les personnages.
    Un peu trop basique pour mériter un 5/5, mais ça vaut largement un 4, et on est à peu près sur de passer un bon moment devant ce film.
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