Avis : Smoke - Page 2

Original, avec de très belles interprétations et des moments forts, malheureusement un scénario bien pauvre. A voir plus pour le décor (Brooklyn) que pour l'histoire.

Film choral typiquement new yorkais où l'on suit les pérégrinations d'une galerie de personnages qui se croisent au travers de différentes histoires.
C'est simple, bien écrit, bien joué et on sent bien l'ambiance de Brooklyn.

Paul Auster nous offre une belle plongée au coeur du quartier de Brooklyn, bien écrite et surtout très bien interprétée.

Auggie tient un tabac à Brooklyn, écoutant ses habitués et prenant des photos de son quartier au fil des années. Chronique nostalgique, drôle et émouvante. Un film singulier et génial.

Paul Auster est le grand écrivain du hasard et des coïncidences et sa signature est flagrante dans ce film qu'il a écrit. Un film qui rend hommage à Brooklyn, à son atmosphère, à ses habitants. Un quotidien fait d'amitiés, de rencontres, de disputes.
Rien d'extraordinaire, c'est vrai, mais c'est tellement bien écrit. Les acteurs incarnent à la perfection des personnages en osmose. Leurs histoires sont racontées avec une humanité bouleversante, jusqu'au fameux noël d'Augie. Cette nouvelle est parfaitement intégrée au récit. C'est simple, c'est beau, c'est bien joué, et il y a quelques passages bouleversants. Paul Auster et Wayne Wang ont réussi à mettre en images une chronique qu'on imagine si bien avec les mots de son auteur.

Au cœur de Brooklyn, s'entrecroisent bon nombre de personnages sortis tout droit d'un roman. Smoke est un récit passionnant, délicat et d'une tendresse envoûtante. Une distribution magnifique Harvey Keitel, William Hurt, Harold Perrineau, Ashley Judd, Forest Whitaker & Stockard Channing. Cette simplicité dans le récit, me rappelle le cinéma d'Hirokazu Kore-eda plus particulièrement "Une affaire de famille" . Après la vision impossible de ne pas faire pour moi le lien avec le film de Wayne Wang. Boulevardducinema.com

Un film choral exprimant lucide moquerie et sincère tendresse pour ses personnages interprétés par un casting de haute volée (Harold Perrineau, William Hurt, Forrest Whitaker, Harvey Keitel...). S'imprégnant de l'ambiance socio-culturelle de son époque cette comédie dramatique cerne facilement ces protagonistes du quotidien dont ambitions, désillusions et attentes nous sont contées en toute simplicité. Doux-amer.

Film choral, "Smoke" expose les portraits croisés de plusieurs personnages attachants dans leur quotidien new-yorkais. Le scénario est classique mais n'exclue pas une sensiblité et une tendresse qui se dégagent à la fois du caractère des protagonistes et de leurs histoires. L'ambiance générale est plutôt intimiste, calme avec quelques vagues ponctuelles. "Smoke" fait du bien et apporte le sourire. Un bon film.

Même si le scénario de Paul Auster n'a rien de bouleversant et s'il est classique dans sa structure, il parvient à susciter l'intérêt pour ses multiples personnages interprétés par de très bons acteurs.

Petit film méconnu de l'univers du cinema indépendant américain puisque Smoke visionne sur 360 ° la vie de ses personnages à travers le thème de la cigarette. Le point fort du film est qu'il exploite à fond le coté chorale afin de délivrer une façade différente de ses protagonistes au fil tous ça par une mise en scène au dépit d'un scénario classique. Le casting est bon dans l'ensemble et le film est agréable.

Scénariste d’un film par ailleurs adapté d’une de ses nouvelles, l’écrivain Paul Auster - crédité au générique comme co-réalisateur - livre ici sur grand écran un bout de son univers habituellement couché sur papier bouffant. Divisé en cinq chapitres, Smoke est à la fois une chronique douce-amère sur les habitants de Brooklyn, un essai sur la création artistique et littéraire, et un questionnement sur la paternité, thème commun à l’ensemble des protagonistes croisés autour de ce bureau de tabac tenu par le génial Harvey Keitel. Parfois un tantinet maladroit, ce long-métrage drôle, sensible, romanesque et profondément humain parvient à nous faire partager des bouts de vie de personnages très attachants, en distillant une atmosphère douce, empathique et totalement new-yorkaise.

Un film qui sort de l'ordinaire, "smoke" est plus qu'un simple hommage à Brooklyn, empreint d'une jolie poésie il nous embarque dans l'univers de 4 personnages tournoyant autour d'un magasin de tabac de Brooklyn. Il ne s'agit pas d'un huis-clos et pourtant cette sympathique réalisation se regarde un peu à la manière d'un tableau qui nous ferait ressentir en toute simplicité que l'homme garde une belle part d'humanité. Les acteurs se font plaisir et.. nous font plaisir.

De l’indé américain qui sait se regarder et séduire par son petit humour posé et sympathique…

L'ex-femme de Harvey Keytel quand elle le retrouve :" tu brulais de me voir à l'époque..-et toi, t'étais pas exactement tiède !" Un film qui tourne autour de Brooklyn et du quotidien de ses habitants. Les bons sentiments ne sont pas toujours facile à retranscrire à l'écran, ce film y parvient au prix d'un coté antispectaculaire, d'un gout pour les silences bienvenue qui peut rebuter mais il faut reconnaitre au film un vrai sens de l'anecdote avec des scènes vraiment géniales (l'album photo, le conte de noël)

Super film d'une belle simplicité mais terriblement efficace. Le sénarios et les acteurs y sont pour beaucoup.