Avis : Les Rivières pourpres - Page 2

À voir, simplement pour la fin avec Nadia Farese. Honnêtement la plus ridicule, la plus débile, la moins crédible des fins de l’histoire du cinéma, avec un twist en Formica qui vous fera pleurer de rire, ou de honte.
Tout ce qui se passe avant est hyper merdique, comme tout ce que fait de tas de pus de fils à papa bouffi de prétention qu’est Kassovitz la saucitz.

La matériau d'origine devait valoir son pesant d'or mais à l'écran Kassovitz offre un thriller qui ne prend jamais, dans lequel on se prête à sourire aux multiples erreurs plutôt que de s'intéresser à une intrigue sans suspense, sans tension. Laborieux... Aujourd'hui on sait que Kassovitz n'est pas le petit génie qu'on croyait malgré, quoi qu'il en dise, "L'Ordre et la Morale" (2011)...

Une coquille vide à peine sauvée par quelques fulgurences de mise en scène.....

"Les rivières pourpres" (2000) reste encore à ce jour la seule adaptation réussie de l'oeuvre de Jean-Christophe Grangé, après les échecs du "Concile de pierre", de "L'empire des loups", et à un degré moindre de "La marque des anges" (ne parlons même pas du désastreux "Vol des cigognes", massacré par Jan Kounen en mini-série sur Canal ...)
"Les rivières pourpes" est à l'origine le 1er roman écrit par Grangé, et le long-métrage éponyme de Kassovitz rend justice à ses qualités stylistiques, à son scénario retors et à ses héros borderline (en l'occurrence Jean Reno en vieux flic usé, et Vincent Cassel en jeune inspecteur fumeur de joints), opposés mais complémentaires.
La réalisation de Kasso est efficace, avec notamment de superbes vues aériennes de la région et des plans inquiétants de l'université dans la vallée, donnant aux "Rivières pourpres" des faux-airs de "Seven" français.
Hélas, l'excellent impression générale est salement ternie par le dénouement choisi par le réalisateur, aussi abrupt et fumeux qu'irrespectueux de l'oeuvre originelle... Quel dommage de ne pas s'en être tenu aux choix de l'auteur, nous tenions alors la référence du polar français contemporain.

Un excellent polar à la Française. L'histoire est excellente, le scénario est très bien ficelé et nous fait découvrir une enquête sans temps mort. L'histoire et l'ambiance sont très sombres et glauques. Concernant les acteurs, Jean Reno et Vincent Cassel, ils sont tous deux très bons. Pour la mise en scène, Matthieu Kassovitz signe là, l'un de ses meilleurs films (si ce n'est le meilleur...). Un très bon polar.

Avant d'avoir lu le livre, j'aurai mis 5étoiles, car un thriller français de cette qualité est rare. Après avoir lu le livre, je ne peux mettre plus. Tout simplement à cause du scénario qui est bien trop simplifié... L'original de Grange est tellement riche !! Cependant, la mise en scène est top, le duo d'acteurs génial et la musique envoûtante. Assurément un très bon moment de cinéma.

Vue aérienne sur des paysages magnifiques, gros plans sur un cadavre lacéré, amputé, énucléé et attaqué par la vermine : les premières scènes donnent le ton. Les deux enquêtes parallèles, menées à des kilomètres de distance par deux flics très différents, interprétés par Jean Reno et Vincent Cassel, m’ont immédiatement passionné. Ce thriller français sur fond spoiler: de crimes rituels, de profanations, de mystérieuse école isolée de tout
, n’a pas à rougir de ses homologues américains. On retrouve un peu de « Seven » et de « Da Vinci Code » dans ces « Rivières pourpres ». En installant un climat oppressant générateur de malaise à partir d’un scénario faussement complexe, non dénué de coups de théâtre, le réalisateur démontre un savoir-faire certain. Seules quelques scènes ne sont pas à la hauteur du reste ( spoiler: les deux policiers débiles qui suivent Vincent Cassel, le combat chez les skins
…). Bien qu’invraisemblable, la chute finale, techniquement parfaitement maîtrisée, surprend. Ce film « Made in France » est considéré comme un modèle du genre, à juste titre.

Kassovitz réalise un bon film sans pretention mais qui est(pour moi en tout cas)un peu chaud à comprendre.

Les connaisseurs de l’œuvre de Grangé diront que Mathieu Kassovitz a effectué le minimum car le film retranscrit légèrement l’histoire du livre. Mais d’un autre côté Kassovitz fait un travail sans faille avec une réalisation très fluide et sans temps mort. Ces deux histoires sans liens qui se rencontrent donne un thriller Français très proche de Seven avec des grands acteurs comme Jean Reno et Vincent Cassel épaulés par al sublime Nadia Farez. Le spectateur est tenu en haleine tout au long du film, un très grand film.

Le scénario est étriqué par rapport à l'excellent bouquin de Grangé, tout cela pour pouvoir être bouclé en deux heures… Ca ne m'aurait pas dérangé qu'il dure trois heures et ça aurait fait du bien au film ; de plus on aurait pu compter sur la réalisation énergique de Kassovitz pour ne pas s'ennuyer. Mais ne boudons pas notre plaisir : s'il est parfois un peu incompréhensible, l'intrigue tient en haleine jusqu'au bout, les scènes de meurtre sont parfaitement retranscrites et le choix des acteurs n'aurait pu être meilleur.

Succès littéraire de Jean-Christophe Grangé, «les Rivières Pourpres» est un thriller aussi intriguant qui aurait gagner en intensité si le scénario avait été mieux adapté. Puzzle particulièrement glauque, l’intrigue, aussi ténébreuse que mystérieuse, n’évite toutefois pas quelques clichés (la stupidité de certains policiers), les scènes inutiles (la baston, joliment chorégraphie, dans le centre de painball) et une fin un peu précipitée. La mise en scène de Matthieu Kassovitz est par contre vraiment bonne (cadrage recherché, effets de caméra et belles images montagneuses). Jean Reno, fidèle à lui-même, et Vincent Cassel, en jeune flic impulsif, sont tous deux excellents, tout comme Nadia Farès d’ailleurs. Malgré ses faiblesses, un très bon polar à la française qui lorgne de temps à autre du côté de l'indétrônable «Seven».

Très bonne enquête policière aux nombreux rebondissements avec un duo parfait Jean Reno/Vincent Cassel. Beaucoup de suspens, de très bons acteurs, des scènes violentes, du gore, quelques scènes spectaculaires (l'avalanche) sont au rendez-vous dans ce film réalisé avec brio par Mathieu Kassovitz, le réalisateur de la Haine. Un excellent film français comme il est rare d'en trouver. Bien!!!!!

Il n'y a personne pour appeler la police? Alerte au navet! Quand les bouts de glace virtuels déboulent, tout le monde rigole. Kasso confirme qu'il est une tache.

Une bouse cinématographique avec un petit drapeau français dessus. Signé Kassovitz.

Ce film est nul, incompréhensible, trop long, bourré de clichés et de clins d'oeil lourds comme des enclumes, pas inquiétant et au final juste nauséabond. Une pitoyable démonstration de ce qu'est (trop) souvent le cinéma à suspense français