Derniers Avis : Bunraku - Page 2

Film très, très spécial. Il faut vraiment s'accrocher pour pouvoir rentré dedans. L'univers recréé par le réalisateur se veut assez proche de celui du film "Dick Tracy" ou encore de la série des années 60 sur "Batman", c'est à dire un style très bande dessiné et surtout très kitch. Le soucis avec ce film n'est pas tant la forme, mais plutôt le fond. Car ce fond est assez vide, avec une histoire déjà raconté mille fois, et qui tourne en rond. C'est long, parfois même très long, le réalisateur aurait pu gagner facilement une demi-heure de bla-bla inutile. En plus, les scènes d'actions ne sont pas super attractive. Bref, une fois passé l'originalité de la mise en scène, il ne reste pas grand chose. Dommage, on aurait pu avoir un chef d'oeuvre, ce ne sera qu'un coup d'essai.

un film plutôt original qui mélange les genre comme un certain tarantino un film qui alterne entre bon et mauvais les comédien sont pas top le scénario pareil les seul qualité sai l’univers graphique vraiment bien fait et très original et la réalisation qui pas trop mal un film avoir une mai vite oubliable.

J'ai enfin pu voir ce film de 2010 sorti directement en dvd en France
fin 2011, vu que je l'ai trouvé pas cher sur Ebay....

sur les photos et papier, je m'attendais à un super film de bastons
avec Josh Hartnett cognant ça et là...
finalement, ce film très particulier et débile tellement il est déjanté sans
qu'on 'y comprenne rien au niveau de l'histoire, fait souvent penser au style
de SIN CITY, on ne voit pas tout le temps Josh alors qu'il est en grand sur
l'affiche en héros principal on partage le film en alternant sans arrêt
des scènes avec lui et des scènes sans aucun intérêt avec d'autres
personnages.
Hartnett campe bien son personnage de cow-boy et ses scènes de bastons sont assez réussies. Si seulement on avait supprimé les scènes
inutiles sans lui cela aurait fait un film de 1h40 bien meilleur.

on ne voit presque pas Demi Moore

j'aime beaucoup les cheveux longs de Hartnett dans le film, mais j'ai vu
ensuite sur l'avant première que je vous montre ci dessous en vidéo
ou l'interview de promo de sept.2010 ci dessous aussi,
qu'il avait fait une bonne coupe après le tournage même s'il y avait encore
des longueurs dessus, la nuque était coupé à ras.
Il les relaisse pousser depuis et les a vraiment longs en 2013...

en tout cas, vu que tous les films avec Hartnett sortent en dvd directement,
ça fait plaisir de le revoir enfin car c'est de plus en plus difficile de suivre
sa carrière dans ces conditions...

la comparaison avec Sincity m'a fait peur car je l'avait moyennement apprécié.... Mais là ,Bunraku , c’est une bonne surprise. C'est coloré, poétique... avec un je ne sais quoi de "Kungfu Panda"..... Tout est bien chorégraphié, et les acteurs sont autant de guest stars...... Fraîcheur,entrain, et si l’histoire est un peu attendue, ça n'enlève rien à ma note.....

Bunraku est un film singulier, et cela fait plaisir de voir ce genre de production, et des acteurs de qualité accepter de prendre des risques. C’est une vraie bonne surprise. D’abord le casting éveille l’intérêt. Josh Hartnett, Woody Harrelson, Ron Perlman, ne sont pas des inconnus, et même si certains ont joué dans des nanars ils sont plutôt bons. A l’écran ils assurent. La complicité entre Hartnett et Gackt saute aux yeux, Woody Harrelson se fait plaisir dans un rôle zen à contre emploi de ses rôles les plus fameux. Perlman est moins transcendant que d’habitude mais son physique se suffirait presque à lui-même. Une déception sur le cas Demi Moore, sous-exploitée dans un rôle presque inutile. Une mention spéciale pour Kevin Mac Kidd excellent en tueur fou. Le scénario assez basique parvient en fait à déployer une réelle originalité, et à se jouer des lieux communs. Mais là où le film donne tout ce qu’il a c’est dans son univers visuel. Coloré à outrance, totalement surréaliste, mis en valeur par une photographie impeccable et une mise en scène dynamique, doté d’excellents décors aux formes géométriques, Bunraku a vraiment du style, et s’il piquera les yeux de certains, j’ai trouvé pour ma part Guy Moshe courageux et méritant, car cette esthétique tire littéralement son film de la simple série B d’action. Il y a une réelle recherche visuelle, et qu’elle plaise ou non, un peu comme dans 300 il faut en prendre acte. Les effets spéciaux sont volontiers kitsch mais pas mauvais, et les scènes d’actions, quoique pas toujours très lisibles sont de qualité. Il y a évidemment quelques défauts. Outre le regret sur le rôle de Demi Moore, le film présente quelques lenteurs. L’ambiance musicale n’est pas non plus assez travaillée, et Perlman nous fait le coup du tueur qui discute avec sa victime plutôt que de l’achever, ce qui évidemment se retourne contre lui dans un rebondissement ultime. Comme cela il y a quelques naïvetés dans Bunraku, mais franchement il serait mal venu de bouder son plaisir de découvrir un film qui a du culot, et apparait un peu comme un mélange de Fait leur vivre l’enfer Malone et Sin City.

Difficile de décrire ce film tant il s’abreuve de références comme notamment « Sin City » pour la narration et « Kill Bill » pour les bastons. A voir pour l’originalité de la mise en scène et des décors mais pas indispensable.

sympa mélange entre BD et jeu vidéo. Histoire un peu juste mais de jolis jeux d'ombres et de lumières dans des décors simplistes mais qui m'ont bien plu.

c'est un très bon film, il nous rappelle que le cinéma est un art.

c'est un univers de bande dessiné, il manque peut être un coté organique aux personnages , j'en sait rien; la femme bifteck, par exemple.

un petit chef d'oeuvre graphique.

Le moins qu'on puisse dire de ce film, c'est qu'il est original. Peut-être un peu trop. Il est beau, certes, il peut être drôle par moments, pas mal joué, mais vraiment bizarre.

Un petit OVNI,

Avec un casting de rêve, des acteurs en forme, et une réalistation peu commune et de qualité Bunraku, à tout du grand film.

Cependant il emprunte son univers dans une pop culture americaine trop de fois aborder, avec un scenario bien trop linéaire.
Cela donne a l' ensemble une impression de déjà vu, ce qui est dommage car ce film est plein de trouvaille.

A voir, pour les fans du genre.

film original, avec de bon acteurs, un bon scenario, une bonne mise en scène et des combat bien chorégraphié, un pur moment de bonheur. a voir.

On sent l'envie de créer quelque chose d'original avec Bunraku et on peut saluer l'initiative de Guy Moshe mais pour autant Bunraku n'est pas une réussite. En lisant le résumé du film je m'attendais à du badass genre Hobo with a shotgun en fait c'est plutôt un film qui semble s'inspirer de Sin City mais au lieu d'un décor noir c'est ici très coloré et volontairement kitch. Bunraku s'ouvre sur une scène ou l'on voit Kevin McKidd affrontait mollement ses ennemis, il faut le dire ce film n'est jamais prenant. On a envie de donner sa chance à Bunraku mais force est de constater que ça marche pas.

Guy Moshe est un réalisateur méconnu et qui gagne finalement à l'être lorsqu'on a fini de visionner "Bunraku". "Bunraku" c'est l'histoire de deux hommes en quête de vengeance, pratiquants en arts martiaux et déterminés. La partie du film qui charme ses spectateurs, c'est tout le reste. Le monde sort tout droit d'un savant mélange entre comic-book et jeux vidéos, aux décors carrés, colorés et futuristes qui donnent cette aspect très traditionnel des deux univers. Les personnages sont stéréotypés à souhait avec l'asiatique plein d'honneur et le type très secret qui joue les cow-boy, des méchants qui pourraient autant sortir visuellement que mentalement d'"Orange mécanique". L'aspect visé par le réalisateur est très réussi et saisissant, le trip est poussé au maximum avec des acteurs aux rôles étonnants comme Kevin McKidd ou Woody Harelson ( on passera sur Pearlman qui nous fait du Pearlman, un personnage de comic-book à lui seul ) et on a au final un film pour geek ou fan de comics essentiellement et c'est peut-être là le problème du film, qui vise une clientèle assez réduite et ne peut donc pas susciter d'engouement général.

Un film basait tout le long sur un effet de bande dessinée en 3D. En effet le style fantastique est surtout apprécié par cet effet papier qui s'ouvre et qui donne ce style si particulier. Mais il a également la spécificité d'introduire le théâtre japonais du nom de Bunraku (d'ou le nom du film). Ce mélange nous plonge dans un monde futuriste où la société souhaite changer la nature Humaine. C'est ainsi que Bunraku critique notre monde et tout ce que l’Humain peut être. On aime également les traits de chaque personnage qui introduit un monde révolu et caricatural. Le film ne mérite pas plus de trois car outre cette mise en scène agréable et la qualité du jeu des acteurs qui est plutôt pas mal, il suit le scénario classique. C'est en quoi pour moi la fin est décevante car elle ne correspond pas à la qualité et à la morale de l'histoire. Enfin je mettrais un petit bémol sur le fais que le scénario à un grand potentiel. En effet au début on nous présente toute une épopée mais au fur et à mesure on nous présente qu'une fine partie. Pour conclure Bunraku est un film à voir mais qui aurait pu être beaucoup plus développé.

Un film fantastique qui fait se rencontrer un japonais et un cow boy. Ensemble, ils vont poursuivre une quête commune. Film d'arts martiaux assez réussi, il se distingue par la présence fréquente d'un narrateur (aux interventions réussis, et je trouve cela suffisamment rare pour être noté) et une technique de récit basée sur des images découpés. C'est assez compliqué à expliquer mais ça vaut vraiment le coup.
4/5