Derniers Avis sur Hellraiser VII: Deader

« Les miracles ne sont pas réservés à Lourdes »

Une journaliste assiste à une vidéo où se produit une résurrection. Dès lors, elle enquête.

J’ai, après sept opus, enfin compris la quintessence de la franchise Hellraiser qui est à partir d’un pitch quelconque, voir arriver le Cube et les cénobites. Cette fois-ci il conserve sa substance fantastique dès le début. Ce volet renoue avec le gore notamment avec ce qui a su faire le sel de la saga : le recours aux crochets. Néanmoins, le lien entre la secte et Pinhead est des plus capillotractés.

En décidant d'explorer cette saga sans disant culte par le nom, je ne m'attendais pas à une si grande déception autour du personnage de Pinehead et de toute son exploitation mercantile qui en a suivi. L'esprit n'est plus et Dimension s'enlise dans des productions médiocres, sans Cénobites, sans effets trépidants. Si l'univers était unique et ténébreux en ses débuts, pour autant, rien n'est vraiment plus unique que la projection que je m'en étais fait. Ce Deader, tout en faiblesse et flemmardise, est heureusement repêché pour son premier rôle, sans doute la seule à avoir fait une quelconque proposition.

On est pour l'instant cette fois au plus bas de la saga avec un huitième opus très mauvais ! Encore une fois réalisé par Rick Bota et sorti en 2005, le film nous présente l'histoire d'une reporter qui enquête sur une mystérieuse secte. Bon, nous sommes toujours, depuis le cinquième opus, dans de l'enquête policière sauf qu'ici, ce n'est plus un flic véreux mais une reporter parfois psychotique. Si le synopsis ne donne pas très envie, le scénario en est bien pire ! En même temps, avec un scénario à la base écrit pour un film qui n'a rien à voir avec la saga, comment voulez-vous obtenir quelque chose de convenable ? Le scénario a effectivement été modifié à l'arrache afin de coller à la saga, c'est à dire que l'on prête à certains personnages dans ancêtres et que l'on a réussi à caser Pinhead au moins trois fois dans le film. Si le scénario était bien écrit, cela n'aurait pas été bien grave, on aurait au moins accroché à l'histoire mais ici, on ne croit pas une seconde à l'histoire complètement absurde qui nous est présentée. De plus, les personnages sont très mal écrits et le film enchaîne les situations complètement aberrantes, notamment toute la séquence dans une voiture du métro débordante de sexe et d’obscénités en tout genre dont le film n'avait absolument pas besoin. Et c'est en cela que c'est paradoxal et qu'on voit bien que le film n'a plus rien à voir avec la saga car, à la base, le principe de la franchise, c'est allier plaisir et douleur, ce qui peut s'apparenter au sado-masochisme. On retrouve ces éléments dans ce film mais pourtant, ils n'ont pas leur place dans la trame de ce dernier car nous sommes plus devant un téléfilm bidon qu'un vrai épisode de la saga "Hellraiser". Du côté des acteurs, ce n'est pas non plus folichon, on retiendra peut-être Doug Bradley qui joue très bien mais qu'on ne voit pas assez et puis Kari Wuhrer qui enchaîne les productions foireuses. "Hellraiser : Deader" est donc jusqu'à maintenant (je n'ai pas encore vu les suites) le plus mauvais de la saga.

« La peur est le berceau de la connaissance ! » Septième volet de "Hellraiser". Et cette fois, on touche le fond du panier! La boîte de pandore est comme toujours un hèritage transmis de gènèration en gènèration (ici, une journaliste court des risques qu'elle n'imagine pas) avec en cadeau le moyen de tromper la mort! La porte vers un monde de plaisir infini [...] Le guignol de cet èpisode redonne la vie à ceux qui choisissent la mort! Plus vous avez des doutes, plus vous deviendrez un(e) « Deader » . Rèel ? Irrèel ? Le spectateur s'enlise dans une enquête confuse avec la ville de Bucarest pour enfoncer le clou! Quand un èpisode d'une saga culte de l'horreur est tournè en Roumanie, ça sent très mauvais! Le pauvre Pinhead a pris du menton et se contente de quelques apparitions comme dans le 5 et 6! Entre un coup de couteau dans le dos, un coup de feu tirè dans la tête et des crochets ècarteurs dans le visage, on reste en terrain connu! Même le mètro du coin (des fesses, des loches et autres curiositès de la nuit) n'est pas bon à prendre! Va falloir s'armer de courage cher aficionado du genre car "Hellraiser 8 : Hellworld" ne s'annonce pas vraiment sous les meilleures auspices...

Au départ je pensais mettre un 3.5 à Deader car se film a des qualités évidentes. L'ambiance est vraiment sympa, on est plongé dans les décors de Roumanie avec ses batiments délabrés, son métro rempli de junkies. Les personnages sont bons, les effets sont biens et le film est bien rythmé mais il y a un défaut majeur qui ruine tout le film : son scénario. C'est simple, je n'ai rien compris.
Je ne vois pas le rapport entre Pinhead et les Deaders, je ne comprends pas pourquoi l'héroïne change d'avis à la fin film. Les objectifs des Deaders étaient très flous, on ne comprenait pas vraiment. Les réactions de nos personnages etaient parfois difficilement compréhensible et ca ruine totalement l'immersion. C'est dommage. Le cube et Pinhead sont plus que secondaires au passage.
2.5/5

On perd plus de temps la , on est totalement dans la lignée des films de Rick botta du très moyen qui fait du mal à la série ça part dans tous les sens et là pour le coup c est une sorte de secte qui essaye d atteindre le monde des cénobites.... l idée pour quoi pas ma s c est tellement mal exploité on s ennuie et en plus on essaie de faire un scénario complexe mais sans intérêt

Le film a bien commencé, mais a mal terminé. J'ai apprécié le concept Deader, puisque cela apportait une certaine originalité que je n'ai pas sus retrouver dans les deux précédant opus. J'ai décroché du film quand spoiler: l’héroïne a commencé à halluciner, ce qui m'a assommé dans Hellseeker, et lorsque celle-ci est devenu une Deader.
Néanmoins, il y avait au cour du film quelques belles prises de vue sur la vedette. Distraie, 2/5.

Bon là je me suis particulièrement ennuyé, en fait cette suite reprend tous les défauts et gimmicks du précédent film tout en voulant perpétuer cette logique d'enquête fantasmagorique depuis Inferno, le résultat est très froid, sans réelle motivation, l'enquête est molle, on arrive clairement au bout d'un protocole, c'était je pense le moment pour la franchise de retenter quelque chose et se réinventer, ce qui n'est pas le cas. Pourtant lors d'une scène j'ai cru que le film allait jouer avec le côté found footage, ce qui aurait pu être une idée comme une autre, sans doute le passage que j'aurais tendance à vouloir sauver, où les enquêteurs regardent une vidéo de suicide et réagissent avec malaise, comme nous, assez scotchant, mais le reste repartira dans sa neurasthénie faite de flashbacks frigorifiques et de rêves martelés n'importe comment. J'ai fini par ne plus me sentir concerné par l'intrigue et lâcher l'affaire, de toute manière le dénouement est bien torché, Deux Ex Machina requested, j'en retire absolument rien, pire épisode de la saga pour l'instant, enfin il en reste deux, tout est possible.

Ce film est un véritable navet, un bide abyssal, le néant comme dirait l'histoire sans fin ! C'est très mauvais et pénible à regarder tellement rien ne se passe ! L'histoire si on peut dire est inexistante, ça n'a aucun sens et on cherche encore ce qui peut le rapprocher du chef-d'oeuvre de Clive Barker "le pacte" le 1er mais Absoluement rien ! Seuls les 4 premiers volets de la saga sont bien mais après H4: bloodline c'est juste un massacre tellement c'est nul et mauvais !

moyen vraiment moyen ce 7 éme opus ! mais c est deja mieux que le 5 et le 6 car on suis très bien l histoire , les éfet speciaux impec! , les acteur joue bien mais sans plus ,et on vois toujour pas assz pinhead et y a des longueur bref c est moyens ca aurais pus être pire quands même 2,5/5

Vu l'affiche on peut s'attendre en effet à un terrible nanar. Au final, ça a beau être loin d'être un chef d'oeuvre dans le genre, ce film reste néanmoins distrayant et correct, notamment grâce aux bons effets spéciaux et aux acteurs talentueux.

Meilleure réplique du film : "C'est pourquoi vous avez choisis de faire ce voyage, puisque vous avez montré autant de bonne volonté!" (mdr, après certains spectateurs ne mettent pas non plus beaucoup de bonne volonté pour aimer certains films)

Bota nous sert un autre Hellraiser, et franchement il faut reconnaitre que son passage dans la saga n’a pas été des plus flamboyants, ce Deader étant surement le moins bon épisode avec le tout dernier. C’est atroce !Déjà coté casting on ne peut pas dire que ce soit terrible. L’héroïne, plutôt prometteuse au début avec un personnage de caractère et assez intéressant de journaliste de l’extrême finit par devenir des plus quelconque et des plus inintéressantes, entrainée, il est vrai, dans une histoire tellement invraisemblable qu’elle devient elle-même forcément inconsistante. Elle est entourée d’acteurs aux talents variables, mais surtout dotés de personnages exécrables. Le summum étant celui de Marc Warren, mais enfin le grand méchant (je parle du chef de la secte) est un antagoniste totalement ridicule aussi. En fait il n’y a pas un rôle qui tienne vraiment la route, et l’impact s’en ressent sur le film.Le scénario est archinul. Mou du genou, répétitif, vide de sens, maniant comme un bulldozer les passages de la réalité au rêve, offrant un ensemble d’une incohérence totale, en plus de cela les éléments de la saga sont totalement absents. Pinhead fait deux ou trois apparitions quasi-subliminales, l’ambiance poisseuse est faiblement au rendez-vous, et il y a des dialogues réellement nuls. Le summum c’est la réplique débile de Warren juste après avoir constaté qu’il a un « petit problème ». Ça casse pratiquement tout le passage.La réalisation est encore acceptable. Bota ne semble pas être un mauvais metteur en scène, mais il faut avouer qu’il n’a pas de scénario solide. Il fait quelques efforts pour ménager des scènes assez bonnes (le final notamment ou l’exploration de l’appart), mais il ne peut pas sauver un désastre à lui tout seul. Décors et photographie sont moins percutants qu’attendus. L’ambiance manque en effet de glauque, et les décors n’ont rien de folichon, s’avérant même bien faible pour l’épilogue par exemple. De même les effets horrifiques, pas très nombreux, sont réussis, mais il est difficile d’accepter la faiblesse du nombre de créature, point fort d’Hellraiser.Musicalement le film ne fait pas un énorme effort, mais il faut avouer que le générique minimaliste pouvait laisser espérer quelques intentions, finalement non concrétisées.En clair Hellraiser Deader est un épisode très faible, qui tient vraiment sur quelques qualités visuelles. L’histoire n’est qu’une bouillie ridicule, et c’est là où l’on se rend compte quand même du poids d’une bonne histoire, ou même allé, d’une histoire potable, dans un film. Je lui donne 1.

Rick Bota poursuit son œuvre et sabote le mauvais pour le nullissime. Dans cet inutile 7ème volet, tout se mélange. La cohérence entre Pinhead et cette espèce de secte est invraisemblable. Le scénario tourne en rond pendant 1h30 sans rien apporter de plus à la saga, si ce n'est du délabrement sensoriel. Seule l'actrice principale sauve les meubles. Le reste n'est que pure hécatombe. Et ça ne s’arrête pas là!! 1,5/5

Bof bof...on s'éloigne des autres opus. A part Pinhead, qui se montre moins cruel que d'habitude, les autres cénobites sont quasi inexistants. L'histoire est floue et sans grand intérêt.

Une suite sans intérêt pour cette série des hellraiser.
Malheureusement mis à part le film éponyme le reste sont des films de la série sont à éviter.