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    Good Morning England
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    1 478 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mai 2009
    En 1966, j'avais 15 ans! C'est dire si le film a provoqué en moi des émotions et surtout un grand fou-rire tant les situations sont énormes, invraisemblables, bourrées d'humour et tellement proches de l'adolescence! La bande son est évidemment excellente. Je n'ai jamais eu l'impression de longueur que provoque souvent un long film. En conclusion ce film parle de musique, de jeunesse, d'amitié. Un conseil: allez le voir!
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Réalisé en 2009, cet opus est le deuxième film de Richard Curtis dont on sait le talent qu'il a à savamment manier kitsch et charme ("Love Actually"). Ici, le cinéaste revient sur un fait plutôt méconnu à savoir le rôle des radios pirates anglaises à l'orée de l'explosion du rock 'n' roll. Assez long, peut-être même trop, "Good Morning England" est un curieux mélange entre "American Pie", "Sympathy for the Devil" et "Titanic". Les acteurs eux s'en donnent à coeur joie, Nick Frost et Philip Seymour Hoffman en tête. Résolument inégal, "Good Morning England" est somme toute à l'image de l'histoire du rock : mouvementée, ennuyeuse, riche, créative, répétitive, virevoltante. Bref, un vaste pot-pourri dans lequel chacun se trouve sommé de dénicher sa part de jouissance. Pas déplaisant mais pas forcément emballant.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    94 abonnés 1 187 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 juin 2012
    Un excellent film retraçant exactement une ambiance de rock'n roll de l'époque. C'est un film magnifique tant par sa musique et ses chansons que par la représentation de son atmosphère. Royalement maitrisé de bout en bout. Les acteurs sont tous en forme. Un véritable plaisir et une bouffée d'air frais.
    Ti Nou
    Ti Nou

    417 abonnés 3 380 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2015
    Une comédie anglaise qui fait preuve d'une belle liberté de ton, rythmée par l'omniprésence de la musique rock. On s'embarque tout de suite sur ce bateau avec sa galerie de personnages et on retrouve le sourire.
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2012
    Il est des films qui, à leur vision, vous donne une envie irrépressible de courir prendre une paire de ciseaux et de tailler dans la pellicule pour extraire quelques dizaines de minutes qui puissent donner matière au bon film que le réalisateur a raté. "Good Morning England" (traduction "française" de "The Boat That Rocked", allusion au slogan de Radio Caroline : The boat rocking the world) fait partie de ces films, tant on peut distinguer quelques pépites au milieu d'une gangue de fange.

    Commençons par la fange. On sent bien que Richard Curtis est parti d'une idée simple, l'évocation nostalgique des radios pirates qui symbolisaient le vent de nouveauté sur la jeunesse de la fin des années 60, et qu'il a dû se dire qu'il faillait étoffer le propos. Il a donc développé des thèmes parallèles : l'impact de ces radios sur la population britannique, la vie sexuelle de dix barjots dans un espace confiné, les rivalités entre DJ à l'ego disproportionné, le combat du gouvernement rétrograde -mais néanmoins travailliste, même si ce n'est pas dit - contre ce foyer de sédition morale, et la recherche du père par Carl, le Fabrice de service. Résultat, à vouloir traiter tous ces sujets, le film s'étire sur 135 minutes.

    Et surtout, il s'étire dans un manque de finesse étonnant de la part du scénariste de "Quatre mariages et un enterrement". On a le droit à toutes les variations boulevardières sur le cocufiage, le dépucelage et la scatologie, et la volonté de modernité revendiquée aussi bien par les personnages que par le réalisateur ne parvient pas à dissimuler combien ces vieilles (et grosses) ficelles sont usées. Cet humour caca-prout-zizi rappelle plus Benny Hill que "Noblesse oblige", et cette balourdise se manifeste aussi dans le registre plus dramatique, avec un fin carrément ridicule tant elle est à la fois prévisible et irréaliste.

    Il n'est pas étonnant que Richard Curtis évoque l'inspiration que lui a fournie "M.A.S.H.", car on retrouve l'aspect potache de certains épisodes, comme celui de Lèvres en feu. Mais cette vulgarité revendiquée qui avait une véritable force en pleine guerre du Vietnam a perdu tout aspect subversif aujourd'hui, et ce n'est d'ailleurs pas étonnant si de tous les films d'Altman, "M.A.S.H." est certainement un de ceux qui a le plus mal vieilli.

    Pourtant, il y a des moments qui fonctionnent, et ce sont précisément ceux qui sont traités sur le mode de l'évocation, et non sur celui de la narration. Je pense notamment à la scène où le Comte annonce qu'il va violer le tabou absolu sur les ondes radiophoniques britanniques, à savoir prononcer le mot fuck, ou celui où Emma Thompson en caban pied-de-poule révèle négligemment à Carl l'identité de son géniteur, ou encore tous ces plans d'auditeurs réagissant avec délectation aux sacrilèges des pirates des ondes.

    Soulignons aussi la composition savoureuse de Kenneth Branagh en ministre ultra-répressif qui va finalement concevoir une loi bien réelle, connue sous le nom de Marine Broadcasting Offences Act, et qui en criminalisant l'aide apporté aux radios pirates entraîna la fermeture de la plupart d'entre elle le 15 août 1967. Brannagh s'est fait une tête qui remixe Harold Macmillan et l'Oncle Vernon, et on sent la jubilation de ce grand auteur shakespearien à jouer un pareil bouffon.

    Et puis, il y a la B.O.F. qui explique à elle seule l'entreprise de ces doux dingues avec pêle-mêle et entre autres les Kinks, les Turtles, les Who, les Moody Blues, Cream, Jimmy Hendrix, Procol Harum, Ottis Redding, Cat Steven et David Bowie. Et dire qu'à cette époque, la France faisait un triomphe à Soeur Sourire...

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2009
    Alors ce film est vraiment british: les acteurs incroyables, l'humour omniprésent, l'ambiance folle, et la fin magnifique... Bref, c'est un super moment à passer, même si sa dure 2 heures, on est très loin de s'ennuyer. L'histoire est super originale et géniale, les persos sont super attachants... La morale fait réfléchir... Les thèmes majeurs du film; Rock et Liberté, franchement ya pas mieux. Films contenant de nombreux messages. On sort de la salle avec le sourire, des fous rires, l'ambiance folklorique en tête et la B.O. mémorable de ce petit chef-d'oeuvre, of course !
    Louis Morel
    Louis Morel

    37 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 octobre 2012
    Un film qui transpire la bonne humeur, accompagné par une B.O. exceptionnel !!
    Hunter Arrow
    Hunter Arrow

    108 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    Ce film repose sur deux atouts non négligeables. Le premier est sans conteste la BO qui arrache les tympans mais dans le bon sens tant cette dernière est géniale tout simplement. Mais le second atout, et sans doute le plus important, c'est la troupe de comédiens qui composent la sympathique troupe de ce Good Morning England. L'évidence est là, les acteurs s'éclatent et ce même ceux qui interprètent ceux du gouvernement sensés mettre en échec les radios pirates. Oui même eux ont l'air de s'éclater à interpréter des mecs chiants, c'est pour vous dire. Dans cette joyeuse troupe on retiendra plus particulièrement Philip Seymour Hoffman, Nick Frost, le génial Bill Nighy (mais alors là vraiment génial) et Rhys Ifans.

    Après le film n'est pas dénué de défauts non plus. Certes la réalisation est particulièrement dynamique mais toutefois on regrettera que par moment le film s'attarde un peu beaucoup dans certaines longueurs. C'est encore plus le cas vers la fin. Pour tout dire j'ai même eu l'impression que par moment le film naviguait à vue sans scénario clair tels un capitaine inexpérimenté mais qui compte sur ses hôtesses que sont les acteurs pour éviter que les passagers ne s'impatientent. Mais il faut le dire les hôtesses sont tellement bonnes, ainsi que l'ambiance, que c'est un vrai plaisir d'embarquer encore et encore dans cette folle croisière où l'on s'amuse.
    NewBoorn
    NewBoorn

    54 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2011
    Quelle énergie dégagée par ce film ! Les personnages sont charismatiques et bourré d'humour, la BO plus que géniale. ( il faut dire que sinon le film n'aurait pas d'intérêt... ). A revoir avec grand plaisir. -VO sinon rien !-
    landofshit0
    landofshit0

    253 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2010
    Lamentable connerie filmique qui réunis tout les clichés du genre.Son réalisateur ne maitrise absolument rien,de ces pitoyables cadrages a sa monstrueuse et inefficace mise en scène.En plus de ça il ajoute des plans juste pour étirer son film et le faire entrer dans la casse des films de plus de 2h.Mais tout ces plans ne servent a rien si ce n'est a faire du remplissage.Et évidement ce genre de connerie se doit de terminer sur un happy end.Le gouvernement anglais aurait bien fait de faire une loi contre ce genre de connerie,ça semble être bien plus nécessaire que de s'attaquer aux radio pirate.
    Vareche
    Vareche

    35 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2009
    C fou comme les films anglais commerciaux (circonstances qui denotent d'une capacité supérieure de résistance à l'exportation) sentent la naphtaline et la vieille dentelles, on en sort pas...Curtis qui s'était révélée fort ennuyeux sur Nothing Hill, trouve un grand sujet, les radios pirates, mais surprises ou sacrées coincidences la description de la colloque maritime vire de bord. L'ambiance rétro y est pour beacoup (on s'y sent comme chez soit) malgrés la caméra alzheimer de Richard. Pas de surprises voilà un film coocooning. Pas d'abîmes, des blagues de cul, du machisme à deux balles, des vannes célestes, des personnages féminins inexistants...pas de doutes c'est du cinéma anglais potache avec ça pointe d'ironie, avec sa perfection formelle, le verni de l'emmerdement, j'en viens à douter encore qu'un cinéaste intelligent ait pu prendre le parti de crétins pareils, s'il humanise ses personnages aux forceps, le scénario reste bassement narratif, centré sur des saynètes dont la progression reste limité à un continuum répétitif (du cul, de la musique, le gouvernement), si je ris devant un Kenneth Brannagh hautement nixonnien, difficile de ne pas être attérer par le premier degrés du film qui frôle le conformisme niais, rie sur le context politique, rien sur la drogue, rien sur le public,la musique semble évider le film de l'intérieur. Elle en occupe tout l'espace, la dramaturgie (avec le sex), comme la cohésion de la communauté qui en dépend, elle solidarise le film sur sa seule précense...mais le pathétique des situations, la décontraction sexuelle surjouée, l'inflation des moyens, et le maniérisme du cinéaste, ne permettent pas de mettre en lumière ce qui est la vrai sujet du film, une collocation d'ados autistes qui sont prêt à tout pour rester dans leur chambre. Cet entre soi n'interesse pas le cinéaste, focalisé sur l'humour et le jeu, il ne fait ni de son film une fable ou une parabole, mais un empilage respectueux d'objets.
    BURIDAN
    BURIDAN

    19 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2013
    Qui de ma génération, glissé sous les draps, n’a écouté, collé sur un transistor "Sympathy for the Devil" diffusé par des radios clandestines…

    Car avant d’être libres, les radios étaient clandestines…
    Et ces « clandestines » portaient de jolis noms : Radio Caroline, Azur 102, Radio Verte, Riposte…
    Elles étaient pour certaines (Radio Caroline) installées sur des bateaux…

    C’était l’époque où tout était à inventer !
    La liberté d’expression, l’amour libre, l’expérimentation sensorielle, le dépassement des règles…

    Déjà les Rolling Stones prenaient le relais des Beatles et Iggy Pop avec ses Stooges nous filait le goût de la révolte punk !

    Richard Curtis avec Good Morning England nous parle de liberté et d’amour !

    Sur un bateau ivre qui vogue plus sur les doubles croches que l’écume de la mer du Nord !
    Il nous parle d’amour…
    ... L’amour, il le prend délicatement, avant de se l'enfiler de tous les côtés.
    SEXE, SEXE, SEXE !

    Et quelle verve rabelaisienne !
    Et bon sang/Dieu/Marx ! Que c'est bon de voir un film allant à l'encontre du bon sentiment et de la bienséance !

    Enfin, voici une oeuvre ou le politiquement incorrect atteint son paroxysme.
    Dans notre belle société où la moindre cigarette se fait méchamment pointer du doigt - alors qu’on peut sans gêner personne afficher des sentiments xénophobes et racistes, - Richard Curtis fait l'apologie de la « fumée », et ça, c'est vraiment rock'n'roll !

    Nom de Dieu/de Marx/d’un chien !
    La liberté, l’amour y’a que ça ! Nom de Dieu/de Marx/d’un chien !

    Sex, drug & Rock'n'roll pendant 2h15 non-stop.
    Musique rock à tous les étages !!!
    Hendrix, Redding, les Stone sont de la « partie » –musicalement!
    Avec des acteurs superbes qui servent des personnages déjantés, éEEEEnOORmes!

    Et des larmes de joie surgissent quand les "anti-rock" se font "mettre profondément" par cette équipe de gai-lurons épicuriens et rabelaisiens.
    Le pied! Nom de Dieu/de Marx/d’un chien !

    Oui ce film nous fait chialer, pas seulement de rire, ni de tristesse, mais surtout et juste de joie!

    A voir absolument si l’on n’a pas le cerveau trop encrassé par les conventions… Par Dieu, Marx et tous les chiens !
    Leonblum I
    Leonblum I

    8 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2013
    Un film génial et une bande-son inégalable.
    Sur un bateau des années 1960, de joyeux junkies diffusent de la musique rock, illégale sur le sol britannique.
    Les citoyens lambda jouissent en cachette de cette manne diffusée par les joyeux DJ fêtards qui leur font aussi part des détails croustillants de leur vie torride.
    L'Etat réac manoeuvre pour interdire puis saborder le navire indiscipliné - lequel coule en héros et martyre de la musique rock. Le ministre est puni par la Reine, qui ne demandait pas un tel zèle destructeur.
    Si vous voulez savoir si les naufragés survivent, achetez le DVD. Sinon, volez-le.
    Vive le rock !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Bienvenue sur Radio rock ! L'équipe de gais lurons junkie vous accueille dans leur univers : un monde musical ou règne l'amitié ; les histoires coquines ; les conneries et une formidable énergie. Les Anglais les adorent ; la musique les dévorent et le gouvernement souhaite leur mort. Tout cela dans l'environnement du grand Nord. Laissez vous entraîner par la vague du succès de cette équipe déchaînée ; vous ne pourrez que jubiler.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 mars 2013
    Avec sa galerie de personnages irrésistibles, ses situations cocasses à mourir de rire, sa bande-son à tomber par terre et son final en apothéose, Good Morning England est une véritable bouffée d'air frais en ce début de printemps. Et parce qu’une B.O., aussi parfaite soit elle, ne fait pas tout, Richard Curtis se paye le luxe d’un casting royal : Bill Nighy en maitre de cérémonie : dandy ultra tolérant il gère ses ouailles potaches avec un admirable détachement. Et du détachement il en faut pour canaliser l’énergie débordante de la clique de DJs bien barrés composée entre autres de Seymour Hoffman qui semble avoir perdu 20 ans et de Nick Frost égal à lui-même (comprendre hilarant).
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