Avis : Urban Legend - Page 9

Urban Legend est un peu le genre de film voulant surfer sur le regain de popularité du slasher (Scream et Souviens-toi l'été dernier ayant beaucoup aidé). Sauf que là où ses confrères ont réussi à apporter quelque chose d'intéressant au genre (ou même réussi à faire quelque chose de correct), "Urban Legend" se plante royalement, et ce, à tous les niveaux. Le scénario est la preuve irréfutable de ce grand n'importe quoi. D'une bêtise sidérante, le film utilise même très mal son thème principal, les légendes urbaines. On a même l'impression que ces dites "légendes" ne sont là que pour justifier le titre. Las acteurs sont tous plus mauvais les uns que les autres et filmés de façon anecdotique, sans vraiment de génie ni même de passion. De plus l'humour puéril des americain pie est présent tout au long du film. La scène de fin, celle de révélation du tueur, s'en retrouve donc s'en retrouve donc fortement diminuée, sans aucun impact, sans aucune profondeur. Au final, on à l'impression de voir une vraie comédie pour ados américaine et non un slasher comme ce qui était proposé au départ. Un vrai ratage.

Surfant sur la vague de Scream, ce petit film d'horreur pour ados à le mérite de trouver de bonne scènes de crime et de faire sursauté avec des plan bien maîtrisé. le scénario un peu banal de vengeance surtout après Souviens toi l'été dernier, on pouvait craindre le pire, mais le petite originalité du film de cette fois c'est une femme, tous les machos qui pensaient qui ils avaient qu'eux pour tuer. bon petit casting, démarrant sur Brad Dourif qui un brin déranger veut sauver la vie pour une fois avant un meurtre, Joshua Jackson petit frappe habituer au film pour ados et qui à trouver sa voie sur Fringe est pendu, Micheal Rosenbaum chevelu le plus connu du campus meurt le plus atrocement avec de l'acide pour WC futur Lex Luthor de Smallville, Robert "freddy" Englund qui sème le doute sur le vrai meurtrier. Jared leto dont c'est la révélation qui reviendra à Lord of War magnifique, petit columbo aidant Alicia Witt petite miss marple à trouver l'assassin. John Neville bon directeur de fac marrant devient achille talon et alexandre le grand en même temps, Rebecca Gayheart cinglé mais un peu pauvre côté interprétation. Bref un petit casting qui va faire pousser des ailes. Un film qui se laisse voir sans trop se prendre la tête, pas mal en effet!

Film assez bon, meilleur que "scream" mais moins bon que "mortelle saint valentin", il reste un bon slasher.

Un bon thriller

Urban legend n'est clairement pas le film du siècle mais malgré cela il s'agit d'un bon thriller pour adolescents.Le scénario tient la route et le jeu d'acteur est assez bon. Les effets speciaux sont plus ou moins bon et les décors ne sont pas mal non plus. A regarder pour tous fan de film a suspens et surtout des scream.

Une déception car le scénario avait l'air intéressant, le casting aussi... Mais on se retrouve devant de l'action déjà vue, aucun effet de surprise, on sait par avance quand on doit sursauter, les personnages ont des réactions ridicules et incohérentes. La seule question est "qui est le tueur?", mais cela ne suffit pas. Bref, un film à oublier.

Urban Legend, le genre de film qu'on connait au moins de nom quand on s'intéresse au cinéma de genre. Le film fait partie des principaux slashers ayant boosté le genre dans les années 90'. Trilogie au même titre que "Scream" ou "Souviens-toi... l'été dernier", "Urban Legend" officie dans les plus connus, surtout grâce à son casting de starlettes hollywoodiennes comme Jared Leto ou Tara Reid.

M'enfin, passé ce détail, il s'avère que les règles du slasher y sont suivies à la lettre. Ça, y a pas à dire, le scénariste les connait sur le bout des doigts. L'ennui, c'est qu'il les suit tellement que le film en devient scolaire et parfaitement prévisible. Lorsqu'on insère Urban Legend dans son lecteur DVD, on sait déjà à quoi s'attendre, même sans avoir vu le film, et on ne ressort pas surpris du visionnage. Les légendes urbaines exploitées sont plus ou moins intéressantes, la plus probable étant celle des appels de phares. Mais parfois, on tombe dans l'incongrus, et ce pour la plupart des cas, ce qui est fort dommage...

Côté rythme, le film balance entre le mouvementé et le mou du genoux, ce qui déroute assez lorsqu'une scène intense tombe dans la paraplégie...
Pas le film du siècle, avec une réalisation somme toute assez sommaire et des clichés à n'en plus finir (la gothique...) et de trop nombreux clins d'oeil à nos amis les ados (Joshua Jackson, jouant dans la série Dawson, qui réussi après plusieurs reprises à démarrer sa voiture, et que trouve-t-on dans l'autoradio ? La musique du générique de Dawson ! Waoh !).
M'enfin, le concept reste intéressant et le film est accrocheur, et ce malgré quelques longueurs. Bref, pas le slasher ultime, ça c'est clair, mais on se laisse aller, on réfléchie à l'intrigue, on se trifouille la tête pour reconnaître le tueur, et au final, le contrat du slasher est rempli.

un slasher post-scream peut convaicant part sa fin .Faire des meurtres selon des legendes urbaine le tueur est courageux le concept est une idée original mais trop dure a exploiter

ATTENTION NANARD CULTE !!!

4 étoiles bien méritées pour ce nanard sorti de nul part, juste là pour se laisser déguster par les connaisseurs de vieux films d'horreur tout pourris, où les situations sont si minables et si prévisibles qu'on ne peut qu'en rire. Le fameux "second degré à la scream2" est à son apogée, les acteurs sont d'une platitude désespérante, les scenaristes complétement camés se lachent carrément, nous donnant situations incrédibles et rebondissements foireux comme des bonbons.

Allez, à la volée : le tueur "à la parka" (rien que ça déjà, ça fait peur, fallait l'oser), les vieilles légendes urbaines toutes pourries (si si, c'est bien la trame scénaristique), le balayeur à la sale gueule qui est juste là pour faire peur à nos petites heroines et nous faire marrer deux secondes, le coup du tueur "à la parka" (toujours) qu'on croit qu'il va tuer une pauvre nageuse dans une piscine, mais non les gars en fait, c'était une blague, c'est une nageuse qui a froid et ne peut atteindre le bord de l'eau sans sa grosse parka ! (quand je vous disais que des situations comme ça on n'en voit pas tous les jours)

Donc en résumé, à voir, voir et revoir comme tout bon nanard qui se respecte et n'en demande pas plus. (et dire que c'est un film franco-canado-américain... mais qu'est-ce qu'on est venu faire dans cette galère???)

Passé la première demi-heure, assez inventive, c'est la routine.

Copie de copie de Scream (mais sans le second degré), Urban Legend appartient à la vague de néo-slashers ayant déferlé sur le paysage hollywoodien à partir de la fin des années 90. Ils se font aujourd’hui de plus en plus rares grâce à la popularisation des survivals gores, catégorie de films d’horreur dont les néo-slashers ne font clairement pas partie. Urban Legend, quant à lui, semble clairement s’y opposer. L’introduction donne le ton du long-métrage tout entier: une jeune femme tombe en panne au milieu de nulle part mais comme elle a du bol elle atteint une station-essence juste avant l’arrêt de sa voiture. Elle tombe sur un pompiste bègue (apparition sympa de Brad Dourif, inoubliable Chucky) qui semble avoir quelque chose à lui dire mais la bougresse effrayée s’enfuit sans l’écouter. Bon, jusque là c’est filmé platement mais il y a une certaine tension: on se dit qu’on a peut-être affaire à un petit film d’horreur sympatoche. Il s’avère en fait que la donzelle n’était pas seule dans sa voiture et elle se prend un méchant coup de hache. Et c’est là qu’on comprend avec désappointement que l’on a affaire à un teen-movie. Car en effet, au lieu d’assister à une décapitation en bonne et due forme, on ne voit rien de plus qu’une hache traversant la vitre conducteur (avec un peu de sang tout de même pour nous rappeler que c’est un film d’horreur et pas un documentaire sur un bucheron qui a mal tourné…). Vient ensuite la présentation des blair…des personnages avec comme dans tout bon slasher cliché qui se respecte une jolie innocente (non on ne devine pas immédiatement qu’elle va s’en sortir quoi arrêtez les mecs!), sa meilleure amie qui est trop pas coincée pour qu’on fasse tout de suite la différence, le beau gosse un peu ténébreux (non on ne devine pas que l’héroïne va en tomber amoureuse arrêtez quoi!), le mec populaire déjanté qui organise des supers teufs (joué par un Michael Rosenbaum avec des cheveux!), la blonde à forte poitrine (Tara Reid, entre ça, American Pie et Alone in the dark, elle aura enchaîné les grands films) sans oublier le gros blaireau qui veut se faire l’héroïne (Joshua Jackson, qui jouait déjà un blaireau dans Dawson mais cette fois c’est plus marrant parce qu’il meurt gniark gniark!). On citera Danielle Harris, habituée du genre qui fait une apparition sympa en gothique dévergondée, ainsi que le légendaire Robert Englund, que je ne vous ferai pas l’affront de présenter. La première partie du métrage réserve évidemment son lot de blagues potaches: profitez-en, parce que le reste du film se prend bien trop au sérieux. En dehors de sa platitude absolue, de son absence d’imagination navrante, de ses agressions sonores censées nous faire sursauter à la moindre apparition surprise du concierge, d’une mouche qui pète ou de la chatte à la voisine et de sa violence bien trop soft pour être honnête (le pire étant probablement le meurtre à coups de hache où on ne voit ni le sang ni la victime), Urban Legend semble se moquer de nous de par son refus total de la cohérence la plus élémentaire. Ainsi, la force physique de ce tueur qui semble infaillible (ou particulièrement chanceux, c'est selon) prête à sourire lorsqu’on découvre de qui il s’agit (dans un final assez ridicule soit dit en passant). Tout comme le fait qu’un homme pousse à peine un « ouille » en se faisant trancher les tendons d’Achille (film vu en Vo) et s’enfuit à 4 pattes aussi rapidement que possible (il devrait ramper mais bon apparemment il a pas vraiment mal) mais sans avoir le bon sens d’éviter la voiture qui lui arrive dessus (pourtant elle ne va pas très vite, contrairement à lui qui court à 4 pattes, il faut le voir pour le croire…). Enfin, on ne pouvait pas attendre grand-chose d’une copie de copie, et Urban Legend a au moins le mérite d’avoir une héroïne charmante (comment ça c’est pas un argument?), de nous montrer la mort de Joshua Jackson (ça c’était drôle!), et d’être plutôt distrayant, voire même assez poilant (pas forcément volontairement). On retiendra surtout la révélation finale, qui défit toute cohérence scénaristique, et la lamentable tentative de sursaut ultime (bouh!Je suis derrière toi et c’est pas deux balles et une énorme chute qui vont me tuer!). A mi-chemin entre le navet et le nanar, tant la nullité et le risible y cohabitent harmonieusement. Et là, voyez-vous, je réalise que j’ai rédigé ma plus longue critique à ce jour pour un film qui n’en méritait pas tant.

Un slasher movie qui ressemble à beaucoup d' autre ! Un scénario bidon avec des acteurs médiocre ! L' idée des légendes urbaines est forte intéressante mais mal exploitée. Avec des répliques tout droit sorties du premier volet de "Scream" qui lui par contre est un vrai chef d' oeuvre ! Sincèrement, j' ai pas aimer !

Film d'horreur dans les campus, personnellement j'adore ça je trouve que ça donne au film une pêche pas possible. Sinon le suspense, la frayeur et l'horreur, tu peux toujours les chercher...

C'est clair c'est pas le meilleur film au monde même loin de là, mais je met 3 étoiles pour l'originalité du scénario et surtout pour la dernière demi heure du film qui nous montre toute l'étendu du talent de Rebecca Gayheart qui joue là une vrai malade.

encore un slasher pour ado... BOF