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    GoldenEye
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    436 critiques spectateurs

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    Denis L
    Denis L

    3 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    Vu hier sur France 3 ! ce film me laisse sur ma faim, certainement pas le meilleur james bond !! Des scène hallucinantes, beaucoup d'étincelle mais des personnages qui perdent leur crédibilité en meme temps que le scénario !! On rirait presque de l'absurdité de certaines scènes, après ca reste un bon james bond quand meme mais pas plus de 3 étoiles !
    Zeugax Ouvier
    Zeugax Ouvier

    16 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    C'est quand même incroyable de cramer un paquet de dollars pour faire ce film en étant incapable de faire un scénar sérieux. Bourré d'invraisemblances... Ceci dit quelque scènes mémorables (deux en fait) entre deux bouffées macho et trois explosions.
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2021
    Je continue mon introspection de la saga James Bond en me replongeant dans ce qui est peut-être l'un de ses « épisodes » les plus cultes (chanson comprise) : j'ai nommé « GoldenEye ». Pourtant, je ne vous cache pas avoir de sérieuses réserves sur ce dernier. D'un côté, je lui reconnais la capacité d'aller au bout de toutes ses audaces, proposant quelques scènes parmi les plus « WTF » de l'univers (voire du cinéma), de cette mythique scène d'introduction (« pour l'Angleterre, John!! ») montrant Pierce « presque jamais une égratignure » Brosnan redressant un avion en plein vol après avoir sauté dans le vide ou cette destruction massive en bonne et due forme de Saint-Pétersbourg en char d'assaut : franchement, il fallait oser.

    De l'autre, aussi assumé soit-elle, ressusciter cette bonne vieille Guerre froide, pas toujours de manière très subtile (euphémisme), je ne suis pas sûr que c'était l'idée du siècle, donnant, à mon sens, un côté presque « hors d'âge », à l'image d'un méchant, certes, plutôt efficace dans son registre, mais sans grandes nuances. Cela a pour conséquence de me soûler un peu, parfois, les nombreuses scènes d'action, l'humour pas toujours au meilleur et une « James Bond girl » très anecdotique ne plaidant qu'assez peu en sa faveur. Maintenant, c'est vrai que ce n'est pas n'importe quel titre. Même si je ne l'aime pas tant que ça, que ce soit à travers le futur jeu vidéo ou ses scènes pour le moins spectaculaires, la première du beau Pierce (pas le meilleur interprète, certes, mais très supérieur à ce qu'on a parfois pu en dire), « GoldenEye » reste un « must see », excessif et grandiloquent, fun et totalement hors limite : Martin Campbell fera toutefois bien mieux onze ans plus tard avec le remarquable « Casino Royale ».
    maxime ...
    maxime ...

    196 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2021
    GoldenEye signé de la main de Martin Campbell ne fait pas dans la demi-mesure. On change de visage, de contexte, on garde néanmoins la même ossature. James Bond fonce tout droit. Il y'a néanmoins, il est vrai, une réelle tentative de modernisé la Franchise, M en est l'exemple parfais.

    Question scènes d'actions le film mise sur du clinquant et ça marche. Les fusillades sont impressionnantes, la course poursuite avec le Tank génial, touts est impeccable. Un petit bémol sur les évasions, le bouton bien flagrant pour s'exfiltrer de l'hélico et des missiles qui les visait n'est pas franchement super super ... Le coup du stylo non plus !

    Du coté des protagonistes, Pierce Brosnan est un Bond qui est là ou l'attend. Ni fausses notes, ni prises de risques ... Timothy Dalton me manque un peu, je l'avoue. Les femmes sont quand à elle un peu plus étoffés, Famke Janssen à des situations qui nous sortes de notre train-train habituel ! Izabella Scorupco est elle un cantonné à des carcans mais à toutefois un peu de relief de par ses compétences. Judi Dench est quand à elle bien mieux servit. La conversation entre cette dernière et 007 est remarquablement incisive, à mes yeux la meilleure scène du film. Oui, rien que ça. Sean Bean que j'aime beaucoup s'en sort lui aussi assez bien, dans la nuance malgré des répliques pas franchement très évidente ... J'ajouterais que la cicatrice sur le visage n'était pas forcement nécessaire pour bien marqué le personnage, le scénario suffisait amplement.

    Un film bien calibré. Réussit.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2021
    En 1995, après 6 années d’imbroglios juridiques, James Bond semble être une saga achevée. Pourtant, ne voulant pas lâcher la poule aux œufs d’or, la EON Production décide qu’il en est autrement. Le célèbre agent va donc revenir avec un nouveau visage : celui de Pierce Brosnan. Michael G. Wilson et Barbara Broccoli (respectivement le beau-fils et la fille d’Albert Broccoli qui avait produit les précédents épisodes et qui mourra un an plus tard) doivent également faire face à la chute du bloc soviétique alors que la Guerre froide avait marqué bon nombre d’aventures de 007.
    Au lieu d’éluder cet aspect, ils décident de l’affronter en plaçant ce changement géopolitique au centre du nouveau Bond : Goldeneye. spoiler: La séquence pré-générique se situe ainsi dans les dernières années de la Guerre froide, le générique joue avec toute l’imagerie communiste (la fossile, le marteau…), l’intrigue situe une partie de son action en Russie, le méchant emploie des anciens agents soviétiques pour arriver à ses fins…

    Dans ce nouveau monde, James Bond semble un peu anachronique et le film joue intelligemment avec cela dans l’habituelle séquence avec M. Ce poste est désormais tenu par une femme (incarnée par Judi Dench qui marqua totalement de son empreinte ce rôle jusqu’ici si traditionaliste) et celle-ci possède un mépris visible envers un 007 qui ne la porte guère dans son cœur également : elle le considère comme "un dinosaure sexiste, misogyne… une relique de la Guerre froide". Même la non moins célèbre Miss Moneypenny n’est plus aussi sensible à ses charmes et évoque même une attitude proche du harcèlement sexuel !
    Toutefois, Bond reste Bond ! Et si certaines allusions cherchent à humaniser le personnage (M qui demande à Bond de revenir vivant ; Alec qui évoque la mort des parents de Bond dans un accident d’escalade, élément biographique qui sera réutilisé avec une plus grande importance dans l’ère Daniel Craig…), celui-ci possède toujours une capacité exceptionnelle à se retrouver au milieu de scènes d’action toujours plus gigantesques spoiler: (la course-poursuite avec le tank)
    quitte à frôler le ridicule spoiler: (le saut en moto et la montée dans l’avion à la fin de la séquence pré-générique alors que celle-ci débutait de façon très sérieuse ; la course-poursuite entre Bond et Xenia Onatopp suivant le générique, qui semble avoir inspiré celle entre Tom Cruise et Thandie Newton dans Mission : Impossible II, est proche du grotesque…)
    .
    Certains aspects scénaristiques sont donc peu crédibles. spoiler: On ne comprend ainsi pas pourquoi Xenia cherche à défier Bond dès le début de l’histoire alors que celui-ci ne la connaît pas et ne soupçonne aucunement les projets de cette bande terroriste.
    Ce personnage de Xenia est d’ailleurs assez caricatural dans son aspect sado-masochiste. spoiler: On se demande également pourquoi Alec cherche un moyen aussi compliqué pour se débarrasser de Bond et Natalya que de les mettre dans l’hélicoptère Tigre qu’il a volé et les tuer avec des missiles tirés par cet engin si précieux lui-même alors que Bond a été endormi et Natalya arrêtée : il aurait été beaucoup plus simple de les exécuter d'une balle dans la tête !!!
    Enfin, la visite chez Q pousse un peu trop dans le comique grotesque (même si cette dimension a toujours été un peu présente dans cette séquence traditionnelle) alors que l’ensemble reste globalement assez sérieux.
    Heureusement, cela est compensé par une intrigue assez prenante bourrée de scènes d’action, multipliant les références (que ce soit à des précédentes aventures de 007 comme Goldfinger et surtout Au service secret de sa Majesté ou à des films extérieurs à cet univers comme L’Empire contre-attaque ou Apocalypse now) et faisant voyager notre héros aux quatre coins de la planère (France, Monaco, Russie, Cuba…).
    Pierce Brosnan réussit également à un incarner un Bond convaincant en associant la classe de Sean Connery, l’humour de Roger Moore et le talent pour l’action de Timothy Dalton.
    Pour ce qui est des aspects techniques, Martin Campbell signe une réalisation très efficace, même si on peut lui préférer de loin sa seconde incursion dans l’univers (le magnifique Casino royale), et est aussi à l’aise dans les scènes d’action que dans les séquences de discussions (une fois de plus, l’excellente confrontation entre M et 007) et la photographie de Phil Meheux est superbe.
    Pour ce qui est de la bande originale, la situation est plus complexe. En effet, la chanson illustrant le splendide générique est tout bonnement une des meilleures de la saga. Signée par Bono et The Edge de U2, elle est interprétée par ce monstre sacré qu’est Tina Turner et nous fait regretter que cette dernière n’ait pas, à l’image de Shirley Bassey, contribué à plusieurs reprises à la saga. Pour ce qui est de la musique, celle-ci est signée par Éric Serra et est beaucoup plus contestable. Si la majorité du temps, elle respecte plutôt bien l’ambiance du film, il lui arrive parfois de correspondre plus au style de son compositeur et cela pose problème car celui-ci fonctionne avec l’univers de Luc Besson mais est assez inapproprié pour un James Bond au point de nous faire demander si nous sommes réellement dans une aventure de 007. Il suffit de comparer le titre The Experience of love qui conclut le film avec le Goldeneye de Tina Turner : si le premier est tombé dans l’oubli, le second reste gravé dans toutes les mémoires !
    Au final, si le film souffre d’un choix de compositeur contestable et de certains aspects trop exagérés, Goldeneye reste un retour assez réussi de la franchise James Bond dans un monde totalement changé alors qu’on pouvait la croire terminée et d’un bon point de départ pour la période Pierce Brosnan. Hélas, si ce dernier possédait tous les atouts pour incarner James Bond, les films qui le mettront en tête d’affiche auront tendance à être un peu décevants, faisant peut-être de Goldeneye le meilleur volet de son ère.
    Arsenik67
    Arsenik67

    15 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2021
    Alors heureusement que cet un film qui fait partie du patrimoine de mon enfance, sinon je dirais qu'il n'a pas tres bien vieillis. Surtout avec les doublage Francais. Mais Pierce Brosnan c'est quand meme pas mal en James Bond. Quelques scenes d'action cultes. Donc pour moi, bien.
    Borociné
    Borociné

    8 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2021
    Goldeneye est le premier film James Bond de l'ère Brosnan, nous suivons pour ce 17ème volet de la saga de l'agent 007 pour sa nouvelle mission où il doit retrouver le "Goldeneye", un satellite capable de créer une impulsion électromagnétique qui peut réduire à néant toutes les choses électriques se trouvant à proximité. Que vaut ce James Bond ? Ben franchement, il est excellent, Pierce Brosnan parvient à incarner à merveille le célèbre agent du MI6 James Bond. Bien accompagné par Sean Bean et Judi Dench au casting dans leurs roles respectifs de M pour Judi Dench et d'Alec Trevalyan aka 006 pour Sean Bean. Les scènes d'actions sont très spectaculaires, le générique avec Tina Turner est juste un des meilleurs génériques de la saga. Pour un premier film, Pierce Brosnan s'en tire extremement bien, je dirais même que sans Goldeneye, l'ère Brosnan est assez oubliable dans l'ensemble. Bref un très bon film.
    Tony Perin
    Tony Perin

    1 abonné 467 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2021
    C'est le premier James Bond avec Pierce Brosnan, est j' ai découvert l'actrice Famke Janssen et il y a l'excellent Sean Bean qui joue le méchant et il y a beaucoup d'action, surtout la scène avec le char d'assaut conduit par James Bond.
    alex1287
    alex1287

    1 abonné 383 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2020
    Bon James Bond, le premier de l'ère Pierce Brosnan...
    Un scénario qui tient la route mais qui n'est pas non plus trop complexe, des acteurs qui jouent plutôt bien leurs rôles (Pierce Brosnan est assez charismatique), pas mal d'action avec quelques scènes impressionnantes (celle du char est quand même pas mal !), et l'humour typique des James Bond qui y est très bien dosé.
    On peut regretter par contre quelques longueurs. D'ailleurs je trouve que le film met un peu de temps à se lancer complètement.
    Mais comme je le disais au début, l'ensemble est bon et laisse une bonne impression à la fin du visionnage.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    75 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2020
    Après une pause de six ans l'agent 007 est de retour dans une aventure explosive. Parmi les reliques de la Guerre Froide, James Bond parvient à renaître et a reprendre les armes contre un ennemi d'un genre nouveau : un agent renégat. Le ton, sec et violent, fait encore penser à l'ère Timothy Dalton mais c'est bel et bien Pierce Brosnan qui récupère de Whalter PPK avec une aisance naturelle. Grande première, on en apprend un tout petit peu sur le passé de James Bond et ce qui le fait tenir dans ce boulot hors du commun.
    Shawn777
    Shawn777

    459 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2024
    Après six ans d'absence, James Bond revient à l'écran pour une dix-septième mission et est cette fois interprété par Pierce Brosnan qui est mon interprète préféré de l'agent britannique. Mais pourtant, ce film est loin d'être mon préféré de la franchise ! Enfin, je ne peux pas dire que je n'apprécie pas ce film, surtout qu'il représente un renouveau pour la franchise en la modernisant énormément. Même si le scénario est toujours à peu près le même que les autres (à quelques très bonnes exceptions faites, il y est toujours question de conflit géo-politique), la manière de le traiter est différente. L'ère Dalton avait déjà commencée à insuffler plus d'action et un rapport avec l'humour beaucoup plus subtil, ce que l'ère Brosnan va continuer de faire, même si l'action met quand même ici un peu de temps à venir. Après une excellente scène d'introduction, nous avons en effet un film quelques fois assez mou, notamment à cause de scènes de dialogues ou autre relativement longues qui viennent casser le rythme du film. Néanmoins, les scènes d'action sont là, plus modernes, plus ambitieuses et surtout plus explosives que celles des précédents opus. Mais la modernité n'est pas présente que dans l'action, par exemple, c'est cette fois une fois une femme qui interprète M ! Ça n'a l'air de rien mais c'est pourtant assez intéressant puisque c'est la première fois que James Bond va devoir répondre aux ordres d'une femme. D'ailleurs, ses côtés sexistes et séducteur sont mis en avant par M qui s'impose tout de suite. Ces éléments sont très intéressants car jusqu'à présent, ce genre de détails et le comportement de l'agent du MI6 n'avaient jamais vraiment été questionnés par la franchise. D'ailleurs, en parlant de femme, nous avons ici une James Bond Girl avec beaucoup de charisme et qui sert surtout l'intrigue, ce qui est assez rare dans les films de la franchise pour être souligné (même si la saga tendait de plus en plus vers des James Bond Girl "utiles"). En ce qui concerne le casting, en dehors de Pierce Brosnan (rejoignant un peu l'interprétation qu'en avait donné Roger Moore, c'est-à-dire avec charisme, flegme et humour noir), nous avons, entres autres, Izabella Scorupco, Sean Bean, Femke Janssen etc. qui jouent très bien ! N'oublions pas non plus la B.O., cette fois signée Éric Serra dont on reconnait immédiatement la patte qui aide également à moderniser la saga et le thème musical que l'on connait tous avec d’excellentes partitions. Malgré ses quelques longueurs, "GoldenEye" reste donc un film James Bond très appréciable !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2020
    Exit Timothy Dalton, bienvenue à Pierce Brosnan qui avec « Goldeneye » commence en fanfare son parcours « bondien ». Déjà pressenti pour le rôle alors que Roger Moore avait annoncé sa retraite, l’acteur anglais n’avait pu faire son entrée dans la franchise à cause de sa retenue sur la série « Les enquêtes de Remington Steele ». Huit ans plus tard, il entre donc de plain-pied dans un rôle taillé à sa mesure. Ses premiers sourires éclatants sont là pour rassurer les fans inquiets : James bond est de retour. Des conflits de production induisirent un délai de près de six ans entre « Permis de tuer » (1989) et « Goldeneye » (1995). Ce sera l’occasion de quelques rafraîchissements salutaires, Michael G. Wilson et Barbara Broccoli ayant bien compris que par-delà le remplacement de Timothy Dalton inadapté pour le rôle, certaines choses devaient évoluer pour s’adapter aux goûts nouveaux du public. C’est tout d’abord Martin Campbell, un jeune réalisateur néo-zélandais ayant fait ses preuves dans le thriller qui remplace John Glen, le réalisateur un peu mécanique des cinq derniers épisodes. Idem pour le célèbre générique suivant la séquence pré-générique sur la routine mouvementée de l’agent 007 qui voit Daniel Kleinman remplacer le jusqu’alors inamovible Maurice Binder. Toujours dans la même idée de mettre la saga au goût du jour , « M » sera désormais une femme en la personne de Judi Dench, actrice de théâtre shakespearienne. Après quelques chansons-titre un peu ternes (Rita Coolidge, Duran Duran, A-Ha, Gladys Knight) c’est Bono et The Edge de U2 qui écrivent « Goldeneye » pour Tina Turner. Enfin, pour redonner son aspect classieux à l’agent secret au service de sa Majesté, celui-ci ne se départira jamais de son costume noir y compris pour les cascades les plus insensées. spoiler: L’intrigue se déroule alors que le mur de Berlin est tombé. James Bond est chargé de retrouver un satellite russe volé par des mercenaires qui entendent s’en servir pour pouvoir atteindre avec un missile nucléaire les plus grandes métropoles occidentales. Durant sa mission, il devra faire face à un agent du MI6 (Sean Bean) déclaré mort en opération qui est en réalité à la tête du commando de mercenaires précité
    . Pour sa première prestation, Pierce Brosnan doit mettre les bouchées doubles. Ce d’autant plus qu’il aura affaire avec Xenia Onatopp, interprétée par la sublime Famke Janssen à l’une des plus redoutables James Bond girl. Avec en sus la mise en scène nerveuse de Martin Campbell, tout semble donc remis sur de bons rails juste avant d’attaquer le XXIème siècle. Les spectateurs l’ont bien compris qui réserveront un triomphe à « Goldeneye », pulvérisant le record de recettes mondiales jusqu’alors détenu par « Moonraker ».
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2020
    Un James Bond en roue libre, ce film surfe sur ses valeurs traditionnelles qui en fait un opus sans grand charme ni surprise. La franchise peine à se moderniser à l’image d’un James Bond moqué par M entre autres pour son côté passéiste. Il est clair que ce film et son personnage principal font datés. A l’image d’un Bond faisant la course avec sa DB5 contre une Ferrari flambant neuve. Le scénario est aussi très alambiqué, compliqué à outrance, les invraisemblances s’enchainent un peu trop facilement. Reste les incontournables toujours alléchants d’un 007, les courses poursuites dont un pré générique de très bonne tenue, les bagarres très chorégraphiées, une méchante intéressante mais une James Bond girl sans guère d’envergure.
    Un Bond anecdotique
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Vrakar
    Vrakar

    34 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2020
    Après 2 épisodes où le réalisme et la 'human touch' version Dalton ont pas mal divisé les fans, le 1er James Bond de l'irlandais Pierce Brosnan est une sorte de mix entre plusieurs JB époque Connery-Moore. Flegme et humour british sont réhabilités, tout autant que les méchants très cons voulant détruire des grandes métropoles via le satellite 'goldeneye'. Bref, le scénario n'apporte rien de nouveau, si ce n'est les balbutiements d'internet. Pour le piratage informatique, "War Games" (entre autres) avait déjà pris les devants. Une autre nouveauté vient de Judi Dench, qui prend le poste de M. Il y a une volonté manifeste de changer la vision machiste-misogyne qui a tant imprégné la plupart des JB. Bon point, même si loin d'être suivi à la lettre en voyant Xenia Onatopp et Natalya. On passera outre les nombreuses invraisemblances/incohérences dont la scène d'intro avec l'avion, le char qui prend de vitesse le train ou encore le lac qui se vide de son eau. Comme on dit, au plus c'est gros... . C'est aussi un peu le problème de ce JB. Tout est balisé, sans surprise. La réalisation de Campbell est propre. Il y a de l'action et du suspense, mais les mises en scènes sont grandiloquentes et... finalement gonflantes. Pour l'originalité, on repassera. La franchise ayant besoin de se relancer, il fallait bien refaire du neuf avec du vieux. Les clichés ont la vie dure.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    96 abonnés 2 926 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2020
    Un James Bond qui a bien vieilli à vouloir faire de l'informatique un des thèmes principaux en 1995. D'une facture très classique, toujours un peu la même histoire. Brosnan est peu original correspondant au choix de l'époque, ce n'est pas un personnage populaire mais un produit de luxe pour des inconditionnels. Une sorte de consumérisme très convenu et peu original.
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