Avis : Broken City - Page 9

Bon film , très bon acteurs , mais scénario màl fichu , on devine trop vite le pourquoi du comment dommage . Cela n'empêche que sa reste un bon divertissement

Le petit film qui fait plaisir à voir un soir d'été, bien calé devant la télé du mobile-home au camping, un verre de sangria à la main, et le portable dans l'autre en train de sextoter avec le coup de foudre de la piscine municipale, le voilà. Un petit film discret au casting pas dégueulasse, arrivé sans faire de bruit, et oublié sitôt que vous aurez vu le suivant. Voilà qu'on nous dépeint encore les politiques comme des manipulateurs malhonnêtes, avec pour nuance d'avoir ici un gentil tout propre sur lui et un méchant qui collectionne les infractions. Mark Wahlberg, jamais vraiment inquiété, est là pour mettre tout le monde d'accord en démêlant la grosse ficelle sans trop se précipiter. Que du très banal, ni particulièrement bon, ni excessivement mauvais. On regrette un manque de prise de risque scénaristique. Encore un film qui va très rapidement rejoindre les oubliettes.

Un excellent duo d'acteurs (Mark Wahlberg/Russell Crowe) une mise en scène propre, malheureusement il manque une chose essentielle à "Broken City" : une histoire qui tienne véritablement le spectateur en haleine. Dommage, il y beaucoup de bonnes choses dans cette réalisation mais au final on a juste l'impression d'avoir assisté à un polar à l'ancienne transposé dans un univers contemporain. Pas mal mais sans plus !

A mon sens, nous sommes en présence du film qui ne sert typiquement à rien. Aucune originalité scénaristique, personnages caricaturaux joués grossièrement malgré un casting plutôt alléchant, mise en scène fade... Je suis resté totalement stoïque devant mon écran pendant 1h50, juste du temps perdu..

Pas mal mais rien d'exceptionnel .

Il y a peu de fratries qui réalisent des films ensemble. Les Taviani, les Coen, les Raimi à la rigueur. Les Hughes font partie de ces gars-là. Encore plus rare, les frères qui se séparent le temps d’un film.

Broken City est l’enfant d’Allen Hughes, séparé de son frère Albert pour le coup. En 2005, il avait déjà réalisé un film pour la télévision, tout seul. Mais là, après Le Livre d’Eli, il a fait le grand pas et réalise donc tout seul ce thriller politico-parano écrit par le rookie Brian Tucker, avec un casting de stars mondiales et de seconds rôles ultra talentueux. Porté par un scénario vraiment bien écrit à défaut d’être particulièrement original, Broken City marche grâce au talent indéniable des acteurs qui y participent. Le duel Mark Wahlberg - Russell Crowe marche du tonnerre, Barry Pepper et Jeffrey Wright sont excellents tandis qu’Alona Tal, James Ransone et Justin Chambers prouvent qu’ils ont eux aussi du talent à revendre. La bande-son est particulièrement réussie, par le très à la mode Atticus Ross et sa bande et plonge parfaitement le spectateur dans l’intrigue très tortueuse et passionnante orchestrée de main de maître par Allen Hughes qu’on avait pourtant connu moins bon (les très moyens Livre d’Eli & Menace 2 Society).

Broken City est un excellent thriller de série, un film qui ne restera probablement dans les annales du genre, mais qui se reverra sans déplaisir tant il est divertissant et passionnant.

Il est des films qui pour une raison obscure ne rencontrent pas leur public et finissent comme des échecs commerciaux. C’est le cas de « Broken city » qui malgré un casting assez relevé (Russell Crowe, Mark Wahlberg, Catherine Zeta-Jones) et un scénario assez réussi (même s’il n’est pas complètement abouti) n’a réussi ni sur ces terres (à peine plus de 19 million de $ aux USA), ni à l’étranger (dépassant à peine les 92000 entrées en France) à remplir les salles. Pour ma part sans avoir été ébloui par le film j’ai passé un bon moment devant ce polar noir. L’histoire ne révolutionne rien, mais elle fait efficacement l’affaire pour une soirée détente. L’interprétation est solide et Russell Crowe sans être génial fait encore montre de son talent. La première partie peut paraître peut-être un peu laborieuse et la vie personnelle du policier peu intéressante, ou en tout cas apportant peut de choses à l’intrigue générale, mais hormis ces petites imperfections cette dernière tient plutôt en haleine le spectateur. À l’exception toutefois de la raison pour laquelle Billy Taggart est engagé par Hostetler, qui est tellement mensongère que l’on s’étonne que notre ex-flic ne voie pas le piège à des kilomètres. Un polar un peu inégal parfois, mais avec une intrigue suffisamment intéressante et un casting solide pour mériter un visionnage. À découvrir.

Un film moyen dans son ensemble. Trop de longueurs ce qui nuit à la qualité... Le seul casting intéressant ne masque pas l'absence de suspens . C'est trop prévisible...

Passée la première vingtaine, plus rien ne se passe, le scénario ne nous transporte pas une seule seconde, la narration est molle, conventionnelle même et les dialogues s’enlisent dans la banalité la plus totale.

Sur un grand air de déjà vu ce film est plaisant et ce laisse regarder sans être un chef-d'oeuvre ,
Mark Whalberg est toujours aussi bon acteur tous les rôles lui vont il peu tout jouer contrairement à d'autres

Un thriller normal, sans surprise ou walhberg mène plutôt bien sa barque, il rappelle les thrillers des années 80 à l'époque des gere et consort

J’ai bien aimé ce scénario classique, la bande annonce n’etait qu’une partie de l’intrigue, le jugement complément chamboulé du fait, de la corruption, des manigances de vie privée aux révélations surprises.

Pas mal mais ce genre d'histoire, c'est du déjà vu. Rien d'extraordinaire mais le jeu des acteurs fait qu'on passe un moment agréable...

Un bon petit film ou politique rime avec magouilles et coup bas jusqu'a la mort même, avec de bons acteurs et un scénar bien ficelé,pas de longueur ni trop de suspense mais ça se suit tranquille et russell spartacus devrait arrêter la pizza.

Série B avec casting de luxe dont le scénario et la réalisation part en sucette après une heure. Fin de la crédibilité et début du grand n'importe quoi. On décroche et on attend la fin en baillant. Et on oublie ce gros ratage.