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    Howl
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    3,1
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 novembre 2020
    Howl est un film basé sur la vie et les œuvres d'Allen Ginsberg et plus particulièrement sur son poème controversé Howl il contient la reconstitution de divers aspects y compris la première lecture du poème par Ginsberg. Ainsi que le procès d'obscénité relatif à son contenu explicite. Le film utilise un certain nombre de techniques principalement des animations de sorte que si vous n'êtes pas habitué à voir dans un sens surréaliste elles ne vous plairont peut-être pas. Bien que pour être juste avec le film il n'y a probablement pas beaucoup d'autres techniques qui pourraient être utilisées pour illustrer cela mais à mon avis et cela a été assez bien fait. Comme mentionné le film saute et glisse entre les éléments de sa vie et le procès. Il ne dissèque pas vraiment le poème comme il aurait pu le faire. En ce sens c'est peut-être son temps d'exécution qui l'a laissé tomber. James Franco a joué avec brio et a vraiment porté le film mais cela échoue à avoir un impact car il s'est interverti rapidement nous n'avons pas vu les influences extérieures sous la forme des personnes dans sa vie autant que nous aurions pu le faire. Franco fait bien sont boulot il ne gêne pas avec sa performance la manière dont ce film peut devenir une menace. En résumé le film arrive au public et essaie d'impressionner tout de suite mais il ne constituent qu'une introduction à moitié décente au travail de Ginsberg...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    595 abonnés 2 782 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2019
    Pour donner vie à la révolution poétique et politique menée en 1957 par Allen Ginsberg, qui deviendra par la suite la figure de proue de la Beat Generation, Howl, du nom du fameux poème pamphlétaire, souffre d’un paradoxe regrettable : tuer la puissance figurative et imagogène de l’œuvre de Ginsberg en asphyxiant le film de sauts temporels, de séquences animées, d’entretiens avec l’auteur. Si l’œuvre commence par surprendre le temps que ces trois segments se mettent en place, c’est leur alternance sur un mode automatique qui peu à peu ennuie et donne envie de quitter la salle pour se replonger dans les mots ici saturés de Ginsberg. Le paradoxe demeure pourtant intéressant : à vouloir trop incarner, on désincarne. Non que James Franco ne parvienne à saisir l’essence du protagoniste principal ; le souci réside vraiment dans cet empilement de scènes qui paraît refuser ce hasard vaincu mot par mot qu’est la lecture de poème.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    273 abonnés 2 820 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Entre bio documentaire et illustrations animées, Howl est une réussite visuelle incontestable. Mais la lecture des poèmes ne rend pas aisée l'accessibilité au film, en plus d'un sentiment d'une vie survolée. Reste la marque d'une époque, d'une société et de son mouvement de pensée où, ici, le liberté artistique a pu enfin s'exprimer!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 janvier 2017
    Captivant au premier abord. Beaucoup de suspense pour peu de réussite. Scénario intéressant, on reste sur notre fin. Effet speciaux peu efficace. C'est un très bon mauvais film, qu'in aura l'occasion de regarder une fois, puis de l'oublier aussi rapidement.
    Captain fantastic
    Captain fantastic

    24 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 avril 2015
    Première chose pour apprécier ce film : aimer la poésie de Ginsberg, ce qui n'est pas mon cas donc déjà c'était mal barré. Deuxième chose : ne pas s'attendre à un film banal parce que là aussi c'est raté !! Les bouts d'interview mis bout à bout sont ennuyeux à souhait et on s'en lasse vite !! Troisième chose : ne pas s'attendre à assister à une belle romance parce que vous resterez sur votre faim !! Bref un fiasco total et la fâcheuse impression qu'on a pas vu le film qu'on voulait voir !! Nul de chez nul !!
    Béatrice G.
    Béatrice G.

    65 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2014
    Film atypique pour un sujet assez atypique et surtout difficile à saisir et retranscrire. Le film ose varier les styles et tente des choses ce qui est tout à son honneur, mais il faut quand même avouer que tout n'est pas à la hauteur. Je pense que ce qui frappe le plus, évidemment, c'est la partie animée sensée mettre en illustration les mots de Ginsberg récités par Franco; et si je salue l'audace je suis moins satisfaite du résultat. Bien sûr le but n'était pas la prouesse technique à faire palir Pixar de jalousie, et je ne m'attarderai pas trop sur l'esthétisme du dessin mais sur la symbolique utilisée qui reflète une certaine lourdeur (et quand je dis lourdeur je veux dire qu'on a l'impression qu'elle a été laissée à l'appréciation d'une bande de collégiens frustrés). De plus, je trouve que cette animation détourne du poème au lieu de le mettre en valeur; en effet face à un tel déluge de formes et de couleurs, il est difficile de se concentrer pleinement sur sa signification et de s'y immerser complètement. C'est d'autant plus dommageable que je trouve que Franco s'acquitte très bien de sa récitation, son ton et sa voix parviennent sans difficulté à nous fasciner et bercer -et pourtant je dois avouer que je n'ai jamais trouvé qu'il ait une voix particulièrement agréable à l'oreille. Sinon le film comprend aussi des extraits de fausses interviews mettant en scène Ginsberg/Franco face à un interlocuteur inconnu et qui offre un apperçu de la vision de l'auteur sur son poème, le procès, sa vie... Enfin le troisième mouvement: le procès, qui est sûrement la partie la plus classique -cinématographiquement parlant j'entends- a son intérêt car sous couvert de refléter la rigidité et le puritanisme de l'époque, elle aborde des questions qui demeurent d'actualité; les thèmes abordés: l'art, sa signification, son interprétation, ses limites, sa censure, etc sont atemporels et universels, et cela qu'on soit sensible ou non à l'univers de Ginsberg et de la Beat Generation. Au final, Howl est assez limité en terme de biopic c'est certain; en revanche, en tant qu'adaptation d'un poème (tâche ô combien ardue), je dirais que si on parvient à passer outre cette animation maladroite, le film a des qualités fascinantes voire presque hypnotiques qui en font une expérience des plus intéressantes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 février 2014
    Un peu trop éparpillé, superficiel, mais le film a le mérite de nous donner le gout de découvrir cet auteur, et ça, c'est déjà un bon point.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Bon eh ben c'est un bon petit film moyen qu'on a là ! Il a beaucoup de qualités, mais malheureusement pas mal de défauts aussi, ou du moins un gros défaut qui gâche tout. Bon, premier point fort : l'histoire est intéressante. Allen Ginsberg a eu une vie intéressante, donc le film est intéressant. La façon dont les réalisateurs traitent l'homosexualité du poète, ses ressentis là-dessus, ce qu'il a du surmonter etc.. Tout ça est pas mal du tout ! Le débat sur la valeur littéraire du livre "Howl" est pas mal aussi, avec parfois des véritables images du passage en justice de celui-ci, ce qui rend ce film et ce scénario encore plus intéressant. L'alternance des 3 types de scènes (à savoir l'interview de Ginsberg (alias James Franco) qui parle de son passé et ses ressentis, les scènes de débat sur le poème et les phases animées illustrant les vers du poète) n'est ici pas un handicap quand dans d'autres films. Cette sorte d'interview est très intéressante car, même si ce n'est pas le vrai poète, on a presque l'impression de voir un documentaire et ça rend le tout presque réel, on a l'impression d'avoir les vraies déclarations de Ginsberg, sa vie, etc.. Quand il parle de son passé, c'est aussi très intéressant, car on voit d'où vient son inspiration et ce qu'il a vécu. Les phases de débat son bien écrites et très bien jouées. Enfin, les phases animées illustrent bien les vers que l'on entend simultanément, c'est une bonne idée des réalisateurs. Cependant, venons-en à ces vers. C'est l'un des points faibles de ce film (un pont pourtant nécessaire ?) : cette poésie n'est pas accessible et compréhensible pour tout le monde. On a parfois beaucoup de mal à comprendre et interpréter ces poèmes (c'est ce dont il est justement un peu question dans le débat), ce qui fait que lors des phases animées on décroche assez rapidement, on ne suit plus trop, et c'est bien dommage, il ne faut pas qu'un film perde notre attention, sinon il n'est pas bon. Cependant, ce n'est pas une catastrophe puisque l'alternance des différents types de scènes fait que le film retrouve notre attention à la fin des scènes animées, mais ça reste bien dommage. Autre bon point concernant le film (et le scénario) : il contient d'excellentes répliques et de très bons massages, de bonnes moralités ! Par exemple : "A part quand on tue quelqu'un, personne n'est jamais réellement choqué par l'expression d'un sentiment", phrase qui se réfère ici à l'homosexualité du protagoniste. Ou encore : "Une prophétie, ce n'est pas de savoir si la bombe tombera en 1942, c'est de connaître et ressentir quelque chose que quelqu'un ressentira dans 100 ans". C'est ce genre de phrase qui rendent le scénario et la valeurs défendues par ce films encore plus beaux ! James Franco est absolument génial dans ce rôle qui lui va à merveille, on y croit à fond, il a vraiment la tête pour jouer ce type de rôle, c'est parfait. Le type de poésie, même si celle-ci est difficile à comprendre et analyser, est poétique et vulgaire en même temps, mais c'est ça qui est fort. Cependant il y a deux points qui m'ont fait clairement baisser ma note : l'ennui profond créé à plusieurs reprises par les phases animées, et la fin du film qui fait un peu trop "documentaire sur la fin de la vie de l'artiste", ça ne fait pas très cinéma, et comme le film est très court il aurait clairement pu être rallongé pour que l'on voit tout ce qui est dit explicitement, même si c'est rapide. Si il n'y avait pas eu ces deux mauvais côtés, ma note aurait certainement été de 4,5/5 ou même 5/5... Ce n'est pas un mauvais film, il est tout à fait bon et on peut le voir sans problème, mais c'est dommage car on passe à côté d'un chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2013
    Mon Dieu, ce film m'a réellement boulversée. Je peux comprendre qu'il puisse paraître ennuyeux mais j'aime tellement quand on lit la poésie. Et James Franco est tellement doué pour ça ! Je savais qu'il avait du talent mais à ce point là, j'en avais aucune idée ! Et la façon dont le film est monté... Pfou j'en ai pris plein les yeux, je n'ai pas vu le temps passer. Grosse claque à partager ! Enjoy
    Zoumir
    Zoumir

    62 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2013
    Sur le plan purement cinématographique, Howl est très moyen. Dans sa forme trop lisse, le film ne réussit pas à nous plonger pleinement dans la poésie de Ginsberg malgré une belle performance de James Franco. Les réalisateurs jonglent entre un procès qui n'arrivent pas à retranscrire tout l'enjeu de cette accusation si ce n'est au sein du tribunal, des mises en images maladroites car trop concrètes de certains passages du poème et, une interview de l'auteur de cet essai sous les traits de James Franco. Au final, on regrette que le film n'arrive pas à retranscrire la force du poème ni même celle des événements qu'ils retracent. On reste assez impassible devant cette œuvre pourtant singulière qui à pour seul avantage de nous donner envie de lire les poèmes de l'auteur et d'en apprendre plus sur lui. Une espèce de mise en route qui aurait gagnée à nous laisser libre d'interpréter nous même les passages du poème (même si hors contextes, l'animation est réussie). Un film que l'on retient pour son sujet, non pour son traitement.
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    C'est peut-être en partie parce que la poésie (quelle qu'elle soit... n'est-ce pas !) ne me parle pas du tout que je n'ai pas apprécié "Howl"... Mais faut dire que la narration et la mise en scène sont spéciales !
    Hastur64
    Hastur64

    197 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2013
    « Howl » est typiquement le genre de film qui ne fera pas se déplacer les foules au cinéma ; moitié biopic, moitié évocation d’une des œuvres majeurs de la poésie américaine du XXème siècle, le film nécessite beaucoup de curiosité et le parti d’accepter un film qui dans la forme également se démarque de la production cinématographique mondiale. Le budget de deux millions de dollars, ridicule même pour un film du cinéma indépendant américain, témoigne à lui seul du peu de crédit commercial que les producteurs lui ont accordé. Le film se base sur des interviews d’Allen Ginsberg, poète et co-fondateur du mouvement de la « Beat Generation », sur les minutes du procès contre son éditeur après la publication de son poème « Howl » jugé obscène, et sur des passages du poème lui-même. Le film donne une vision de l’Amérique des années cinquante encore profondément conservatrice et à laquelle est en bute une partie de la jeunesse, révolte dont Ginsberg et Kerouac se font l’écho à travers leurs écrits. Il permet de dresser également le portrait d’un homme dont l’œuvre créatrice est un appel à l’épanouissement personnel et à l’acceptation de sa différence, pour Ginsberg son homosexualité. Le film adopte une forme éclatée où chaque époque correspond à type visuel particulier : l’année 57 en couleur, les années d’écriture du poème en noir et blanc et les passages du poème lui-même en animation. Le spectateur n’est donc jamais perdu dans la narration et profite de longs passages du poème en écho aux propos du poète et au débat du procès. James Franco incarne avec talent le poète tout en s’effaçant devant cette figure mythique et pourtant peu connue en Europe de la littérature américaine. Une œuvre qui demande un peu d’ouverture d’esprit et d’audace pour le regarder, mais qui offre un beau moment où cinéma et poésie se conjuguent. Il permet de rendre hommage également à celui qui inspira la contre-culture dans les années 60 et les mouvements hippies qui s’en dégagèrent. À voir pour profiter d’un poème et découvrir son créateur trop peu connus
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 septembre 2012
    Même si je n'apprécie qu'assez peu les auteurs de cette Beat Generation, et que le côté manichéen du film devient rapidement lassant (Ginsberg le pauvre homosexuel juif opprimé par les affreux censeurs blancs coincés), il faut avouer que ce film est une réussite. Ce n'est certes pas la meilleure performance de James Franco, et on regrette de voir assez peu les personnages de Kerouac & Neal Cassady, mais le schéma narratif est très audacieux. Le poème qui donne son titre au film se déroule jusqu'à la fin, entremêlé de scènes d'animations, de scènes de procès (Où Jon Hamm éclipse tous les autres acteurs), de monologues et de souvenirs de Ginsberg. Au final, qu'on aime ou pas ce Ginsberg, comme c'est mon cas, on a envie de redonner une chance à cet auteur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 juillet 2012
    Ce film se focalise sur 3 axes assez distincts ( un poil fourre tout donc) :

    -le procès qu' a eu l' éditeur (pour obscénités) et qui permet d' aborder succintement des sujets comme la portée temporelle d' une oeuvre littéraire, la définition de cette dernière (une grande oeuvre doit elle forcémment innover ?)
    - les déclarations qu' a donné Ginsberg dans divers itw et réunies ici en un seul entretien fictif : cela permet d' évoquer son parcours (rencontre avec Kerouac et Cassidy,séjour en hopital psy,) son écriture (y a t' il un sens à tout ce qu' il écrit ?), son homosexualité, la beat generation .
    -Le poème en lui mème (Franco qui lit des passages dans une salle , ou bien animations pour illustrer les vers)

    Je n' ai pas lu "Howl" . J' ai eu un peu de mal au début à rentrer dans le style de Ginsberg. Après,comme c' est un poème et non un roman,la lecture avant le film est moins nécessaire (selon moi) .
    Si il est difficile à chaud de saisir le sens du poème, en écoutant uniquement la lecture qui en faite , j' ai été saisi par le style assez particulier au niveau de la diction (liée à sa structure) que l' on peut mettre en lien avec une forme musicale de jazz (be bop,) et les prémisses du "spoken word"

    Franco s' en tire assez bien d' ailleurs dans cette exercice "casse gueule" de lecture du poème.

    Il y a un vrai parti pris artistique : des animations pour illustrer l' oeuvre (lue en voix off) et des images en noir et blanc de Ginsberg/franco dans sa vie pré "Howl".
    Le premier choix ne m' a pas convaincu ( pas sur que c' était le plus adapté) .
    Pour le noir et blanc, niveau "temporalité",cela donne pour moi l' impression d' avoir une cassure très nette entre les deux périodes ,le Ginsberg qui parle en 57 n' aurait rien à voir avec celui qu' il était avant . Cela m' a donné l' impression d' avoir à faire à deux périodes distinctes, comme si l' écrivain poète faisait le bilan de sa vie alors que ce n' est pas vraiment cela dans l' itw.


    Ah et sinon, à signaler :
    - une chanson de Dylan au générique (This Wheel's On Fire)
    -GVS est crédité à la prod' du film
    DarioFulci
    DarioFulci

    87 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2012
    Le mouvement Beat Generation d'Allen Ginsberg, auteur d'un recueil de poésie jugée indécente et immorale. Où comment les mots, la rhétorique, le discours ont une importance décisive dans la défense d'un point de vue. Un film sur la liberté d'être et de penser, les moyens d'exprimer ses opinions et parallèlement de créer un œuvre littéraire fondamentale. Le film n'est pas facile d'accès, c'est très littéraire, bavard, sans réel enjeux dramatiques. L'essentiel n'est pas là. Ce qui fonde le film est à trouver dans les mots que James Franco défend avec une talentueuse conviction. A voir l'esprit clair pour ne pas trouver le temps long et ennuyeux.
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