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    Bronson
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    3,4
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    739 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 août 2011
    Super réalisation : couleurs, cadrage, musique, et surtout, un jeu d'acteur magistral (Tom Hardy). Pour ma part, j'aurais préféré Francis Huster, mais bon... Si c'en est un, le seul vrai reproche que l'on pourrait faire à ce film, voire même à l'ensemble de ses films, c'est qu'au bout d'une heure de visionnage on en a raz la coupe, on tourne en rond, car pour Nicolas Winding Refn l'idée prime sur un scénario où le spectateur toujours avide de rebondissements pourrait vibrer 1h30 durant! Mais pourquoi pas! Autre chose : il va tout de même falloir qu'à un moment donné il sorte un peu de ce registre le Nicolas Winding Refn, non?
    1008cent99
    1008cent99

    40 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Belle prestation de Tom Hardy, très dévoué pour ce rôle. Maintenant le film est sans intérêt. Photographie nul, montage bâclée, biopic inintéressant, bande son horrible. Le film traîne en longueur pour au final pas grand chose. Une perte de temps.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 décembre 2020
    Je ne sais pas exactement ce que ce film veut nous apprendre sur Charles Bronson. Tout ce que j'ai appris sur lui c'est qu'il est un sociopathe extrêmement violent et égocentrique qui vit dans un monde tragique et fantasque. Rien d'autre n'a été proposé aucune profondeur cachée n'a été révélée. En fin de compte il n'était qu'un idiot sadique et violent. La quantité de scènes extrêmement violentes devient douloureusement fastidieuse. Bronson a été montré comme un idiot maladroit qui méritait tout ce qu'il a reçu. Je n'adhère pas à la propagande des partisans de Bronson. Bronson est un artiste nous disent-ils. En fait j'ai regardé son soi-disant art en ligne et c'est de la foutaise enfantine sans talent. Même si ce n'était pas le cas je ne vois pas pourquoi cela signifie qu'il devrait être libéré. Peut-être que ses partisans devraient essayer d'être pris en otage par lui pendant 40 heures. Bronson est chaleureux et drôle nous disent-ils. Bronson et comme les autres psychopathes chaleureux jusqu'à ce qu'ils vous détestent et utilisent cela comme justification pour vous taper sur la tête. Je ne vois pas pourquoi Nicolas Winding Refn aurait dû faire faire un film sur lui surtout un film qui n'a pas de sens. Après avoir vu le film j'espère qu'il restera là où il est enfermé sain et sauf...
    elriad
    elriad

    381 abonnés 1 784 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2021
    Si beaucoup comparent ce biopic sur l'un des criminels les plus violents en Angleterre au chef d’œuvre de Stanley Kubrick , "Orange mécanique", il n'en est rien. tout juste un hommage dans la stylistique Ultra Violence/ Ralentis Image/ Musique Classique. Mais le roman merveilleusement adapté du roman de Anthony Burgess est d'une autre envergure. Il nous parle d'une société en crise, d'une génération déboussolée, la violence est une parabole malgré son paroxysme, et le langage du romancier est tout simplement une Novlange dont on trouve le glossaire à la fin du roman. Même si Tom Hardy, charismatique, livre une performance époustouflante, même si le parti-pris du danois Nicolas Winding Refn dune image esthétisante ajoute une plus-value au métrage, il manque une évolution scénaristique due tout simplement au sujet lui-même qui s'enferme entre ses barreaux. "Bronson" marque les esprits et ne peut laisser indifférent, mais ne fera pas date dans les annales du cinéma comme le film de l'immense réalisateur qu'était Stanley Kubrick.
    pierrre s.
    pierrre s.

    350 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2023
    Tom Hardy est très impressionnant de puissance, de violence et de folie. Mis à part ça le film est assez creux si bien que le portrait du "détenu le plus violent d'Angleterre " manque rapidement d'intérêt.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 décembre 2012
    Après s’être fait un nom avec sa trilogie "Pusher", le réalisateur danois Nicolas Winding Refn s’aventure hors de son pays d’origine et nous livre un véritable OVNI avec ce "Bronson" qui retrace le parcours du prisonnier le plus dangereux d’Angleterre. OVNI car le traitement qu’a réservé le réalisateur à son sujet est pour le moins atypique… et n’est pas sans rappeler le style de feu Stanley Kubrick. Un style qui sera sa marque de fabrique mais qui cristallise, pour moi, les limites de la réalisation de Winding Refn qui s’approprie bon nombre des tics de mise en scène du maître sans pour autant y apporter une véritable plus-value. On retrouve donc de multiples plans séquences (que ce soient par le biais de travellings interminables ou de plans fixes qui n’en finissent jamais), ces numéros d’acteurs décalés armés de dialogues improbables, ce souci apporté à la photographie (stylisant le film à l’extrême) sans pour autant apporter le même soin au fond ou encore cette narration déstructurée qui aime prendre le spectateur à revers sans véritable justification (le stand-up de Bronson !). On pourra toujours louer les efforts du réalisateur de sortir des sentiers battus pour proposer un autre cinéma… à condition que cet effort ne s’accompagne pas d’un pillage en règle du travail d’un autre. Et j’avoue que je n’ai jamais réussi à oublier la filmographie de l’illustre Kubrick tout au long du film qui, comme par hasard, se veut le "Orange Mécanique" du 21e siècle ! Ce pillage m’a d’autant plus gêné que le style semble avoir pour unique but de combler les carences d’un scénario qui s’avère particulièrement minimaliste… ce qu’il ne parvient d’ailleurs pas à faire ! Car l’intrigue tient sur un timbre poste et la personnalité de l’anti-héros n’est pas des plus complexe. Cependant, tout n’est pas à jeter dans "Bronson". Car le film restera, malgré tout, dans les mémoires pour avoir révélé un immense acteur. Il faut voir la transformation sidérante (et crédible) du propret Tom Hardy (vu en voyou gay dans "Rock’n’rolla") en véritable machine à tuer. L’acteur est quasiment de tous les plans et tient entièrement le film sur ses épaules. Il étouffe d’ailleurs un peu ses partenaires puisqu’on retiendra, tout au plus, la prestation de Matt King en mentor efféminé. On pourra également se laisser surprendre par les choix plutôt audacieux du réalisateur concernant la BO, très orientée 80’s. C’est bien peu pour sauver "Bronson" qui restera pour moi un film beaucoup trop prétentieux et contemplatif.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2015
    À sa sortie, un journal américain l'avait qualifié de "Orange Mécanique du XXIe siècle". Sans toutefois donner de l'eau au moulin de cette infâme comparaison, cette œuvre sur la vie du plus dangereux prisonnier d'Angleterre permet de mesurer toute la fougue de Nicolas Winding Refn, d'autant plus épatante qu'il s'agit d'un film de commande. Certains seront sans doute repoussés par l'aspect clip vidéo qui submerge l'œuvre. Nous pensons au contraire que ce parti pris assure la marque de fabrique stylistique du cinéaste, dont il atteindra la quintessence parfaite avec "Drive". En 2009, il proposait déjà cette tonalité esthétique où se conjuguent l'électro et Verdi. Non seulement Refn évite le piège de la biographie, mais inaugure des dizaines de voies destinées à appréhender un personnage. Celui-ci est joué par un très bon Tom Hardy, évitant à son tour le piège du cabotinage. Sous ses traits, Bronson ne constitue pas un strict prisonnier. Il est à l'image du projet sous-jacent, tour à tour acteur, clown, humoriste, acteur ou homme politique. sera peut-être celle d'entre vous. Plus qu'une descente aux enfers carcérale, un one man show flamboyant, un ovni opératique à savourer.
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2009
    Avec Bronson, Refn s'installe avec assiduité et perfectionnisme dans une vague nordique de cinéma esthétique qui offre un sens aux images et un discours au travers sa réalisation. Le réalisateur manie avec soin sa mise en scène toujours réactive et originale sans pour autant tomber dans un esthétisme clipé lassant. Après la trilogie Pusher, Refn confirme son réel talent de metteur en scène comme Kubrick avait pu l'être à son époque avec Orange Mécanique. Autre époque autre évolution, on ne pourra donc comparer les deux réalisateurs (impossible, Kubrick tout de même...) mais l'axe de réalisation pris par Refn pour Bronson rappelle, remis dans le contexte de son époque, celui que Kubrick avait pris (la bande annonce et ses taglines ne mentent donc pas). Tom Hardy emporte réellement tout sur son passage tant il semble habité par son rôle, impressionnant de démesure psychologique et physique, un comédien a rarement été aussi proche de son rôle, ainsi une résonance "Daniel Day-Lewis" peu être citée. En conjuguant aspect radical de la mise en scène, toujours innovante et non gratuite, direction d'acteur et performance de haut vol du comédien, Bronson est donc le film qui secoue un peu la toile et le cinéma ces dernières semaines. Certes dans un genre précis, mais le genre indé peut aussi offrir de délicieuse pépite provocante et brillante.
    groscastor
    groscastor

    155 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2009
    Ah bah ça c'est un bon film ! 20/20 ! (enfin 4/4/ quoi) ! Un acteur que je connaissais pas, Tom Hardy, très bon dans la peau de ce prisonnier qui ne peut pas s'empêcher de chercher - et de trouver - les embrouilles (et encore le mot est faible)! Belle mise en scène, plans sympathiques, narration originale, ...
    A voir et a à revoir et à ... avoir en DVD en fait ;-))
    Stargate
    Stargate

    254 abonnés 2 870 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Tom Hardy interprète fort bien Charles Bronson. Le jeu d'acteur est ici plus intéressant que le scénario, forcément limité lorsqu'il est en partie biographique.
    Un film particulier, pas pour les âmes sensibles, mais globalement réussit, pour ce qu'il voulait montrer.
    dejihem
    dejihem

    117 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2009
    Enfin la première bonne baffe de l'année !
    Mise en scène, montage, interprétation, musique : tout est parfait. Dans ce film, la violence, stylisée, sert parfaitement l'idée originale de narration mentale. Les scènes les plus démentes on lieu... sur une scène de théâtre. Un oscar pour Tom Hardy !
    De plus, ce film critique de l’époque des années 70 où il n'y avait pas beaucoup d'opportunités d'ascension sociale, et la violence policière était à son comble.
    Nicolas V
    Nicolas V

    64 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Merci à Tom Hardy pour son talent. L'acteur donne vraiment tout ce qu'il a. Prise de poids, nu frontal pendant de longs moments, Ce dernier incarne la folie, l'ambition, la rage brute de Bronson avec une intensité incroyable.
    Merci à Nicolas Winding Refn pour sa mise en scène. Avec ces lenteurs, silences calculés, ces moments suspendus dans des dialogues judicieusement écrits.
    La folie du personnage est traduite par une bande son bien pensée, des monologues hilarants, un acteur fou furieux : pour un résultat , une ambiance psychologiquement suffocante et instable.

    Bronson est jouissif, drole et extrême. Une histoire vraie incroyable, même après l'avoir vue.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2012
    Bronson est un film concept, brut de décoffrage, qui n'hésite pas à montrer la violence de la façon la plus crue possible. Inspirée d'une histoire vraie qu'on a du mal à imaginer, Nicolas Winding Refn s'impose déjà comme un grand cinéaste au style personnel. Il ose tout y compris l'utilisation d'une bande musicale assez improbable (Verdi !), de longs travellings, de montrer un personnage tout de chair violente sans fard, de ne pas renier ses références... Refn s'inspire manifestement de Stanley Kubrick. En premier à Orange mécanique avec sa violence affrontée au premier degré, portée en concept. Le même personnage irrécupérable, bloc d'aggressivité non tourné contre une société dont le but ici n'est en acune façon d'en dénoncer les excès et maux. De plus, comme Orange mécanique, l'action est sise en Angleterre, la scène de retrouvaille avec ses parents et la chambre réorganisée (comme dans Orange Mécanique où le serpent avait disparu) est presque du copié/collé. Le film est baigné du même style de muisique, la narration est pour le moins aussi lyrique. Bronson, joué ici par un extraordinaire Tom Hardy, tout à la fois Jack Torrance de Shining ou le sergent instructeur de Full metal Jacket, donne un profond sentiment de malaise, plus que de la peur, un objet incontrôlable. Les partis pris de mise en scène (belle photographie) et les flash back sont bien assumés. Malgré les défauts d'une certaine complaisance vis à vis de la violence et les allusions kubrockiennes en outrance, le film est réussi et reste à ce jour, selon moi, le meilleur de Refn. Le cinéaste ne donne aucune explication réelle au comportement de Bronson et les personnages existent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2020
    Un biopic sur un boxeur quelconque rencontré dans la rue, en plein banlieue peripherique, par l’équipe du film, à découvrir et en faire toute une vie ? Non, c’est sur le détenu qui a purgé sa peine aussi longtemps dans l’histoire anglaise.
    L’enfermer afin de le corriger et contraindre de toutes ses restrictions aux yeux de la loi possible si nécessaire, c’est un vol au dessus d’un nid de coucou dans la cours des grands chef-d’œuvre, le fou du roi, de la Reine d'Angleterre, majesté.....

    Attire votre attention, je vous en pris de vouloir prendre en compte les conspirateurs comploteurs, déjouant-les, leurs plans machiavéliques pour la sécurité de l’état, en sûreté autoritaire policier représentant force de l’ordre, sauvez-vous...... préservée votre intégrité......!
    Et bien sûr l’homme qui rit à la folie, rend son spectacle sur scène encore meilleur à destination d’un public hypnotisé, charmé, électrisé, immobilisé, fixant la date de ce regard maquillé en clown pour le prisonnier numéro matricule au marge de la société.

    Enfance heureuse, élève modèle, modeste, reservé, taciturne, gavé par parents effacés absents, aux réunions de professeurs pour rectifier la règle formatée de ce gosse mal aimé de toute la classe, pauvre gamin bizuté boxé.
    Une cocotte minute bouillante joué par le balèze Tom Hardy, magistral Joker rôle parallèle univers, l’impression fascinante de quelque chose en lui soit génial, la machine à voyager dans le temps s’arrête un instant en 2009, chez Nicolas le danois metteur en scène.

    Une vision claire s’affirme illuminée !.... Il se prend pour une star du cinéma américain, le bad boy hot show Englishman, cet homme statue dieu du stade calendrier pompier éteint incendie, est une œuvre d’art de ouf, un style studio d’enregistrement Manchester Liverpool zik au passage piéton.
    Hey dude darling don’t worry about that all money....... what’s in real life ? Le film énoncé social pas l’homme en question, les règles réglementaires règlements réglementées règlent tout, une victime du système arbitrage match sportif douteux.

    Payer sera pour les oiseaux-mouches pigeonniers dans la boutique bling-bling, les anti-systèmes marginaux insoumis concitoyens à l’écart du reste commun mortel, immenses sourires super-vilaines comiques absurdes.
    Cineseba
    Cineseba

    37 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2010
    Le film "Bronson"relate la vie d'un jeune homme qui tente de braquer un bureau de poste pour devenir célèbre dans les unes des journaux et qui deviendra, au fil du temps, prisonnier le plus violent du Royaume-Uni.Ce qui est interessant dans le film, c'est de voir ce qui l'a poussé à avoir l'idée de célébrité et à devenir violent ! Un souffe-douleur des camarades, délaissé par les parents devenu un criminel très violent...La réalisation du film est soignée dans le but de nous mettre dans une atmosphère étrange et étouffante par l'univers carcéral, la violence et la folie inouie. L'idée de depart est bonne mais j'ai l'impression que le film est trop centré sur la folie du prisonnier. On voit souvent ses pétages des plombs, des traitements pour le calmer...De même, j'ai l'impression que le jeu de l'acteur tombe dans la caricature... On dirait presque l'ambiance du catch...Mmhhh...Ce qui est dommage, c'est que l'idée du film et la réalisation sont superbes...
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