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    Brazil
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    4,1
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    605 critiques spectateurs

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    Fab
    Fab

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2021
    Quel film extraordinaire. A la fois film d'aventure, critique sociale et politique, bourré d'idées visuelles... Un grand film...
    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2021
    Très dur de noter un film comme Brazil tellement ce dernier est perché. Tout ce qui fait la force et la faiblesse de ce film provient de son univers dystopique. C'est une force car le film a une esthétique très originale et réussie et il y a plein de petites idées visuelles ou de gags qui rendent le film super intéressant à suivre. La richesse de l'univers nous oblige aussi à rester concentré de bout en bout sur le film pour bien capter le scénario, mais le film ne manque pas d'action ou de rebondissements, donc Brazil n'est jamais ennuyeux à suivre. Cependant, cet univers constitue aussi un gros frein à l'appréciation de ce film pour la simple et bonne raison qu'il est tellement perché qu'on a vite tendance à ne plus rien comprendre de ce qui se passe (je serai par exemple incapable de vous résumer le scénario du film tellement ça part dans tous les sens par moment.) Bref, un bon film même si je le trouve très perturbant à suivre.
    FrenchTarantino
    FrenchTarantino

    1 abonné 86 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2021
    « Brazil » est une monde où la raison déraille complètement, un monde qui n’inclut plus l’Homme comme une fin mais comme un moyen, un rouage administratif d’une machine infernale alimentée par la décrépitude croissante de l’Humanité. L’absurde provoque l’effroi, la règle remplace la réflexion, la norme remplace l’intelligence et l’écran d’ordinateur remplace le ciel. Face au cauchemar, demeure le rêve, qui, même apparaissant comme un moyen d’évasion, finira par être maté comme le reste. « Brazil » est une véritable dystopie désespérée, mettant profondément notre système en question, car ce qui le différencie de l’univers de Gilliam, n’est pas une question de nature, mais de degré.
    Spider cineman
    Spider cineman

    112 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2021
    Si kafka était porté à l écran il donnerait ce film de Terry Gillian... ce dernier y ajoute une touche de poésie, enfin surtout sur la fin. Une référence ce film, ne dit on pas comme dans Brazil ? Comme on dit c est kafkaïen en fait ... Bravo et merci Terry pour ce film.
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    31 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2021
    Chef d'œuvre de science-fiction dystopique. Les individus sont broyés par un Etat totalitaire dirigé par une administration impersonnelle, procédurière et folle. De grandes quantités esthétiques aussi, avec l'oscillation entre le cauchemar du réel et les échappées oniriques.
    Loïc LAFFITE Studio's
    Loïc LAFFITE Studio's

    15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2021
    Le meilleur de Terry Gilliam, un univers de dystopie complètement incroyable avec une direction artistique fascinante, des musiques devenues légendaires et bien sûr, des effets spéciaux remarquables pour l'époque !
    Alain D.
    Alain D.

    492 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2021
    Un film intemporel et peu commun, coécrit et dirigé par Terry Gilliam. Son scénario débute par une ambiance onirique dans un contexte de société totalitaire, jusqu'à l'arrivée de Jill Layton dans l'histoire ; l'aventure devient alors un joli conte romantique. La mise en scène de cette fiction nous montre des décors dantesques et des accessoires très recherchés, le scénariste Américain enchainant les scènes de folie et les séquences fantastiques d'une grande beauté.
    Le film possède d'autres atouts comme la musique entrainante de Michael Kamen avec la chanson Brazil, et son casting efficace. Il nous procure une prestation très honorable de Jonathan Pryce pour le rôle principal ; il nous offre également celle de Kim Greist (la charmante Jill), et la participation de Robert De Niro, méconnaissable dans le rôle de Tuttle, l'agent subversif.
    Michael R
    Michael R

    85 abonnés 1 168 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2021
    Terry Gilliam invoque Kafka et 1984 pour livrer une grande œuvre folle et foutraque qui si elle éblouit par sa mise en scène, sa densité, ses idées, peut aussi laisser dubitative car trop souvent nébuleuse ou absconse.
    Benj'Top F
    Benj'Top F

    18 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2021
    Un monument complètement barré arrivant à nous surprendre sans cesse, regorgeant d'idée à chaque plan; une ambiance pesante, cohérente, un humour noir, un message terriblement en avance sur son époque.
    Bref: immanquable !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 avril 2021
    Le film Brazil raconte l'histoire d'un jeune homme Sam Lowry qui occupe un emploi de bureau dans une bureaucratie gouvernementale. Il vit et respire dans une société qui est presque littéralement un océan bureaucratique. Il vit dans un monde oppressant fait de cubes de travail sans fin et d'appartements banals dans des immeubles banals. Dans ce monde il y a beaucoup de terroristes qui posent des bombes partout. Les gens sont tellement habitués aux explosions que dans une scène la moitié d'un restaurant explose et les convives continuent simplement à parler et à manger leur repas. Un jour un insecte est écrasé sur le plafond d'un bureau et son cadavre tombe dans une machine qui imprime des ordres d'arrestation de terroristes. L'insecte provoque le changement d'une seule lettre sur un seul nom ce qui fait qu'un homme innocent est arrêté et torturé. Sam est celui qui doit aider à résoudre cette erreur mais il s'y mêle lui-même par inadvertance. Ce film est censé être une satire mais il ne s'agit en fait que de quelques blagues saupoudrées dans le premier quart du temps d'écran. Sam fait des rêves où il a des ailes et s'envole vers une belle femme. Le fait qu'il vole à travers les nuages et qu'il descende en piqué des paysages massifs était absurde tous comme l'histoire. Je n'ai rien trouvé d'intéressant dans ce film. J'ai eu l'impression que c'était un massacre de 1984 de George Orwell. Il y a de nombreuses scènes qui sont hideusement laides et grotesquement dérangeantes et elles s'ajoutent toutes à une fin qui est si insatisfaisante et vous détestez d'avoir passé 131 minutes à l'attendre...
    Mathiassdu31
    Mathiassdu31

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2021
    J'ai pour mission avec mon point de vue de baisser la note indescente qu'a pris ce film. oui la realisation est ahurissante. mais l'absence d'histoire et la linearité cette fuit en avant m'ont fait perdre 2h20 de ma vie precieuse. avis a ceux qui savent bien ce qui se cache derriere certaines oeuvres abastraite. le foutage de gueule du gicleur sur toile qui fait parler les je sais tout et vend sa daube plusieurs milliers d'euros. c vide et plein de rien. les decors son splendides mais gachés par des tuyeaux degueulasses. la musique stridente creve le tympan tout du long. bref. j'aurais bien mis 2, mais plus de 4 sur 5 faut temperer ca.
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2021
    Côté décors et effets spéciaux, avec utilisations vertigineuses de plongées et contre-plongées, c’est grandiose… et transcrit une ambiance orwello-stalino-madmaxo futuriste totalitaire réussie. Mais pour faire un bon film, il faut un scénario. Et cette mauvaise BD à rebondissements innombrables ne présente aucun intérêt.
    Aoris
    Aoris

    16 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2021
    C'est donc ça le fameux "Brazil", le fameux "1984 mais en mieux"? Passons sur le fait que le film a extrêmement mal vieilli (Rappelons qu'il est sorti la même année que Retour vers le futur et un an après Terminator, tout en ayant l'air d'avoir 10ans de plus), le problème n'est même pas là. Le film commence par nous présenter une société dystopique où une administration totalitaire écrase les citoyens, nous montre quelques rebelles organisant des actes terroristes contre le pouvoir en place, puis un bureaucrate (incarné par le gouverneur Swan de Pirates des caraibes) travaillant pour cette administration. Là où on s'attendrait à ce que le scénario nous entraine dans la lutte contre ce pouvoir totalitaire, suivant ce bureaucrate qui réaliserait le mal que représente cette dictature et qui déciderait de prendre part à la lutte, les scénaristes choisissent de nous faire suivre le quotidien de ce bureaucrate guignolesque à la recherche de la femme qu'il voit dans ses rêves qui ressemblent plus à trips sous substances hallucinogènes. Et là le film se transforme en cirque, enchainant gags pitoyables et situations rocambolesques et incompréhensibles, c'est bouffonnerie sur bouffonnerie jusqu'au final qui, du coup, est totalement hors de propos vis à vis de la voie sur laquelle s'était engagée le film depuis le début. Au final cet univers à la sauce 1984 ne sert à rien, ce n'est qu'un décor derrière les pitreries des acteurs qui semblent complètement en roue libre
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2021
    « Brazil », une ville imaginaire à une époque indéterminée dans laquelle les êtres humains sont condamnés à faire fonctionner une machine bureaucratique inhumaine. Un fonctionnaire supérieur et zélé de cette administration va constater un beau jour une erreur aux conséquences insoupçonnables de cette organisation et va se mettre en tête de la réparer. Cette quête n’est pas guidée par un esprit de justice mais par la réparation d’une erreur d’un système qu’il pensait infaillible. Cette expérience et l’amour vont lui faire ouvrir les yeux sur la réalité du monde qui l’entoure sans pouvoir le changer et pire en finissant par se faire broyer par ce système malade. Terry Gilliam se battra contre les studios pour imposer sa fin bien loin des désirs de happy end de ses producteurs… comme un écho à son sujet, excepté que lui gagnera.
    Terry Gilliam égratigne sérieusement nos sociétés à travers cette peinture d’une société dictatoriale, kafkaïenne, bureaucratique et absurde. Même son Robin des Bois prenant les traits d’Harry Tuttle (Robert De Niro à contre emploi) sur lequel on fonde un espoir sera réduit à néant par le système ; sa fin imaginée comme une parabole autour de la paperasserie destructive est tout aussi sidérante que maline. Donc on est bien ici dans un monde déshumanisé où le système vaut pour lui-même et n’inclut pas l’Homme comme une fin mais comme un simple moyen ; un rouage dans une machine infernale ne pouvant être bousculée et conduisant à la décrépitude de l’Humanité. Ça ne vous rappelle rien ; peut-être alors Chaplin dans les engrenages d’une machine dans « Les temps modernes » ; on y dénonçait alors une autre forme de déshumanisation : l’aliénation de l’Homme par la machine, l’industrie et la production taylorienne. On peut aussi faire un parallèle encore plus ancien avec « Metropolis » de Fritz Lang ; ce thème est donc un marronnier du cinéma ; maintes fois traités, il l’est ici sur l’angle absurde grandiloquent comme chez Lang. Chez ce dernier, Gilliam emprunte aussi l’esthétique citadin mais aussi la rupture entre les univers fréquentés par les riches et ceux fréquentés par les pauvres ; pour mieux décrire ici aussi une société très inégalitaire. Cette esthétisme fera des petits dans la génération des Jeunet/Caro, Tim Burton, les frères Coen.
    Dans ce film aux intrigues à tiroir parfois nombreuses et confuses se dessinent aussi une autre condamnation de ces systèmes hyper administrés. Il dénonce l’écrasement de l’individu par un Etat policier. Et les messages du film à ce propos fusent sans cesse : « La suspicion engendre la confiance », « La confiance n’exclut pas le contrôle ». Dans un monde où le grotesque, l’outrancier et l’absurde devient la norme ; une personne censée est perçue comme folle. Ici, nous sommes loin du siècle des Lumières puisque la règle remplace la réflexion et que la norme remplace l’intelligence.
    A voir comme une référence des combats à mener.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Victor Gartner
    Victor Gartner

    9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2020
    Un scénario simple et efficace qui nous emmène dans une merveilleuse dystopie digne d'un cauchemar britannique du début des années 1980; une dystopie non pas chaotique et ultralibérale, mais au contraire hyper-étatisée et bureaucratique, alimentée par la situation intérieure pré-Thatcher, avec un pays pris dans la chienlit des syndicats et d'une administration bordélique, et subissant le voisinage d'un URSS qui montrait ses crocs.
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