Des longueurs et de faux rebondissement à répétition nuisent à l'intéret de ce film. Les acteurs y sont heureusement pas trop mal et l'histoire n'est pas sans intéret.
"Copycat" se déroule à un rythme vif, sans temps mort, et son suspense maintient une forte tension chez le spectateur du début à la fin. Il s'adresse bien sûr aux amateurs du genre et n'est pas à conseiller aux plus jeunes à cause de plusieurs scènes franchement traumatisantes. Un peu éclipsé lors de sa sortie par "Se7en", qui s'adressait au même public et dont la forme présentait plus de modernisme, il apparaît, quelques années plus tard, d'une qualité pas très éloignée, que ce soit au niveau du scénario ou de la noirceur de l'atmosphère, et probablement plus réaliste en ce qui concerne les personnalités des tueurs en série.
Comme toujours, on retrouve Sigourney Weaver dans un rôle qui lui colle à la peau. Le rythme du film est bien mené et le suspens est excellent ! On ne s'ennuie vraiment pas. Seul petit bémole : une fin un peu prévisible.
Copycat est l'un des grands chefs-d'oeuvres de son genre, un thriller terrifiant et fascinant qui n'est pas estimé à sa juste valeur et devrait figurer aux côtés de Seven. Tout est absolument brillant dans ce film, certaines scènes sont inoubliables, et on s'en détache difficilement.
Un bon polar avec deux actrices très douées. Le scénario est bien écrit c'est la réalisation qui est un peu moins réussie, on se sent plus devant un téléfilm qu'un film.
Retranchée dans son appartement de luxe et devenue agoraphobe et alcoolique après une agression traumatisante par l’un de ses sujets d’études, une célèbre psychologue criminologue, ex-auteur de best-sellers à propos des tueurs en série, accepte de coopérer avec deux inspecteurs de police pour identifier un serial killer qui terrorise la société par une succession de meurtres abominables. Habituellement ils réalisent leurs forfaits selon un mode opératoire fidèle et répétitif, constitutif de leur propre jouissance, mais ici il a la particularité, pour réaliser ses « œuvres » jusque dans leurs détails, de copier les différents types de crimes commis par toute une collection de serial killers passés, dans le but de finir comme un champion dans les livres d’histoire. Quoi de plus logique et motivant de choisir alors ses victimes parmi l’entourage de la célèbre écrivaine ? Thriller sympathique et cruel, qui nous attache jusqu’au bout, plus par ses actions, ses enjeux et ses relations humaines que par sa vraisemblance et sa cohérence.
Décevant, bizarrement je n'avais pas vu le film mais il était synonyme de bon film dans mon esprit. En fait il se place dans la moyenne des films de serial killers ni plus ni moins. Dans cette catégorie je n'aime que le haut du panier le reste étant généralement d'un ennui profond avec toujours le même scénario à quelques détails près. C'est encore le cas ici, alors il y aurait bien Sigourney Weaver pour rehausser le niveau mais son personnage est trop exagéré. Je garde une préférence pour Holly Hunter, sans elle j'aurai déclassé encore plus le film, dommage en revanche que son personnage ne soit pas plus travaillé.
Sigourney Weaver est dynamique mais souffre d'agoraphobie avec le talent qu'on lui connait , Holly Hunter est un bon flic et Harry Connick Jr fait ses premiers pas de tueur en série, tendance caricatural. Le reste du casting est bon pour une série TV mais, aujourd'hui, ils s'obstinent à nous mettre des flics "TopModel".
Un serial killer particulièrement sadique sème la terreur à San Francisco. Eh bien, vous savez quoi ? A la fin la flic modèle-réduit et la psychiatre spécialisée finissent par le trouver et l’abattre !
Vu le 17/05/2021. Ce film, je l'avais vu au cinéma à sa sortie en 1995, j'avais 18 ans à peine, je le revisionne hier soir 26 ans après, ça nous rajeunit pas! Le scénario est intéressant mais assez répétitif, on a encore droit à un film de tueurs en série et cette fois les protagonistes ne sont pas très glorieux. La palme à Holly Hunter qui campe une inspectrice (MJ Monahan) qui me semble très molle et pas fait pour le métier, ça minaude, ça finasse, bref ça manque d’énergie. Sigourney Weaver (Helen Hudson) s'en sort mieux mais sa phobie est assez absurde quand même, rester enfermée des années chez soi parce qu'on s’est fait agresser, le monde ne va pas s’arrêter de tourner... et en plus, on ne comprend pas pourquoi son agresseur Darryll (joué par Harry Connick Jr) lui en veut à ce point. Reste le bon point de ce film en la personne Dermot Mulroney (Reuben Goetz) qui disparait malheureusement dans un accident de commissariat complètement stupide... Bref, ce que je tire de ce film c’est que la peine de mort devrait être rétabli pour les malades mentaux comme Darryl ou Peter (le Copycat du film), je vois pas pourquoi le contribuable doit payer des impôts pour nourrir et blanchir ces malades qui sont irrécupérables. La dernière scène de ce film reste sans équivoque sur le sujet. Le film reste assez tendu et stressant, certaines scènes sont un peu difficiles mais les forces de police me semblent complètement à la ramasse dans ce film, vraiment, comme par ex le policier qui quitte son poste pour aller arrêter une alarme.
Bon film sur un tueur en série. Sigourney Weaver est très crédible dans ce rôle de psychiâtre agoraphobe. Bonne interprétation de Dermot Mulroney et Holly Hunter dans leurs rôles de policiers. Harry Connick Jr et William McNamarra sont inquiétants. La scène où Holly Hunter est très touchée par la mort de Dermot Mulroney est très touchante.
un des meilleurs thrillers dans le registre serial-killer.Vu au cinéma en 1996, Copycat a eu un bon succès mais pas comparable à ses grands frères Seven et Le silence des agneaux.Et pourtant, il tient la dragée haute à ses aînés car très bien réalisé, un casting solide(S.weaver en tête),une très bonne intrigue et, surtout, un méchant, un vrai très convaincant.Deux heures ou l'on ne s'ennui pas.A voir,revoir et revoir...