Derniers Avis : Predators - Page 12

Nimrod Antal, via Robert Rodriguez, rend hommage au film culte de John McTiernan, 1987, soit Predator, là ou un Schwarzenegger en forme olympique était confronté à son plus gros challenge, le chasseur extraterrestre. Ce nouvelle opus, s'inscrivant clairement comme un film respectueux de son grand frère, jusque dans les moindres sonorités de la bande son, prend parfois des allures de remake, d'hommage strict, alors qu'en tentant de se démarquer, il tourne rapidement à la roulade. Oui, Antal, travaillant sur un scénario de Robert Rodriguez, producteur impliqué dans l'ouvrage, manque parfois d'audace, d'ingéniosité.

L'on sera toutefois amuser d'un contexte tout bonnement fun, ni plus ni moins. L'on parachute, sans que l'on nous en dise d'avantages, la racaille de notre terre et quelques militaires d’exception dans un jungle inhospitalière, que l'on découvrira bientôt sise sur une planète inconnue, afin d'agrémenter une partie de chasse toute particulière. L'idée est sympathique, le mélange de personnages intéressant, du mercenaire au tueur d'un cartel mexicain, en passant par le militaire russe, le sniper israélien, le soldat africain ou encore le criminel sadique condamné. Tout ce beau monde sera dès lors confronté à un cauchemar, une créature qui les chassera jusqu'au dernier.

L'on n'est dès lors captiver, la jungle, les flingues, les répliques parachutées tout droit de l'opus premier, des personnages charismatiques, une bande-son que l'on connaît sur le bout des doigts. L'on ira même jusqu'à nous faire un petit résumé des affres du film de McTiernan, histoire de bien ancrer le film dans le mythologie du précédent. Passer la-dessus, le film joue parfois trop de mauvais goût. Il fallait certes inventer autre chose, mais la fuite en vaisseau spatiale, donner une âme charitable à l'une des créatures ou encore offrir un retournement de situation de dernière minute, tout ça n'était pas franchement de bon goût.

Sous la tutelle de formidable créateur qu'est Robert Rodriguez, le franchise Predator reprend vie, fidèle à son modèle, mais en innovant maladroitement, dans un sens. Un film qui ne se cache pas, qui s'amuse par ailleurs d'acteurs tel que Danny Trejo ou Alice Braga, en offrant par ailleurs un rôle sacrément à contre emploi pour Adrien Brody, qui prend en quelque sorte le place de Schwarzy, mais qui s'en sort haut la main. Amusant bien d'avantage qu'effrayant. 10/20

Une daube indigeste à vomir qui doit finir dans les égouts. Nul de chez nul!

Dans ce nouvel opus de la saga culte "PREDATOR", Robert Rodriguez met brillamment en scène l'affrontement ultime entre des Predators plus terrifiant que jamais et une véritable équipe de tueurs menée par le saisissant Adrian Brody.

Après l'avoir apprécié au cinéma, je viens de me refaire ce "Predators" et mon avis est toujours le même, il est vraiment pas mal, ça manque certes d'originalité mais c'est spectaculaire et efficace. Inutile de le comparer au chef d'oeuvre de McTiernan puisque c'en est la suite et non le remake, reste quelques aspects où ils se ressemblent tels l'ambiance sonore ou encore l'affrontement entre le Yakuza et un Predator mais c'est plus sous forme de clins d'oeil. Le choix du casting est assez étonnant mais fonctionne pas mal, Adrien Brody en brute épaisse est plutôt amusant, par contre côté dialogues c'est pauvre et l'intrigue n'a ni début ni fin, frustrant. Le résultat finalement n'est pas désastreux comme le laissent entendre les nombreuses critiques négatives, c'est simplement distrayant, bien réalisé et on aperçoit même une légère critique sur la nature humaine, sympathique.

Déçus par les spin-off Aliens vs Predators, les fans pourront se contenter de cette nouvelle mouture qui leur est nettement destinée. Ils s'amuseront à remarquer les nombreuses comparaisons avec le premier volet... ce qui est un avantage et un tort. On le regarde une fois avec plaisir, mais on reviendra vite sur l'inoubliable film de 1987.

PREDATORS: de bonne idée oui et NON, enfaîte ils ont pris le premier film, on changer de planète et on rajouter 3 prédators et des chiens predators, voilas le gros défaut du film ses un copier coller du premier,les personne qui on vu les deux film me comprendrons.
La musique: pas original du tout. ses la même que le premier, enfaîte predators ses quoi,
ben ses predator 1 version 2010.

Une agréable surprise, le genre est renouvelé en gardant ce qu'il faut de l'histoire, quelques éléments de l'histoire sont vraiment originaux.

Bof !!!
C'est long un film et ça coute cher. Si c'est pour faire ça il aurait mieux valut ne rien faire et ressortir la version avec Scharzy

Predators est un retour au source, après un predator 2 en pleine ville nous revoilà en pleine jungle avec une bande de gros bras. A premier abord, tous ça semble sentir bon et pourtant c'est la déception. Les protagoniste en question on aucun charisme, au final on attend qu'il se fassent charcuter un par un, a commencer par Adrian Brody qui je trouve n'a vraiment rien a faire dans un rôle de ce genre seul Danny Trejo sort du lot, malheureusement on ne le verra pas très longtemps. Le scenario quand a lui est plat, les clins d’œil au premier opus sont la mais bof bof quoi. spoiler: Et puis la révélation genre "je suis méchant en fet ahahhaha" est d'un ridicule tout en étant prévisible.
Défaut a part, ça fait plaisir de retrouver nos bon vieux predator en pleine jungle, on passe quand même un bon moment ce n'est pas un gros nanar non plus

Predator 2 (1990) sans être le total contre pied à l'image d'Aliens reste un projet bien plus excitant qui renouvelait, déjà en son temps, le mythe en l'exposant à une ville des plus gangrenées par la violence, véritable terrain de jeux. Ce nouvel opus, Predators, se contente de reprendre les fondements de l'original, ce qui nous incite à la comparaison immédiate. Loin de pouvoir apparenter ce troisième opus à la filmographie de Rodriguez, on notera ici qu'il n'y est que superviseur des effets visuels et attaché à la production. Dès sa sortie, ce film était d'évidence l'occasion d'une belle supercherie qui se devait d'être vu entre potes nanarlandesques. Aucune surprise dans la jungle si ce n'est qu'elle n'est plus de notre monde, et impose des éléments... sans intérêt. La suite on la connait. Le gros porte la sulfateuse, le condamné est abâtardit, la tête d'affiche est immanquablement perçue comme la figure intelligente de la bande. Le comique viendra plus tard, d'une autre grosse tête qu'on n'attendait plus. On s’ennuiera à coup sûr, mais on ne fuira pas pour autant, car il faut savoir rire devant une telle farce.

Un film pop-corn, regardable, loin d'égaler son "grand frère" avec Schwartzy. L'ambiance est là, on attends de savoir qui va se faire zigouiller et à quelle sauce, on sait comment ça va se finir mais de quelle manière ? Voilà les seuls intérets de ce film. Par contre, un razzie award pour Laurence Fishburne SVP car ça sent le cacheton pour lui et rien de plus.

Après avoir vu le premier film de Predator avec Arnold Schwarzenegger qui est un chef d'oeuvre, ce reboot ou remake, est bien, mais un peu décevant. Au moins il y a Adrien Brody (Le Pianiste, King Kong), Topher Grace (Spider-Man 3, Valentine's Day), Laurence Fishburne (Apocalypse Now, Matrix 1,2 et 3, Mission Impossible 3, Contagion), Alice Braga (Je suis une Légende, Repo Men) et Danny Trejo (Desperado, Une Nuit en Enfer, Heat, Machette) qui jouent bien leurs rôles. Les effets spéciaux sont réussit, mais le film est trop court. Un film plutôt bien mais sans plus, 3/5.

Dernier film de la saga Predator, et je le trouve parfaitement réussi. Predators est bien ancré dans la saga et la développe même. Royce alias Adrien Brody se réveille pour se retrouver parachuté dans une jungle inconnue. Une fois atterri, il fait la connaissance de plusieurs autres qui sont arrivés de la même manière : un mexicain de cartel de la drogue, un exécuteur, un soldat, un sniper des Forces Armée de défense d'Israël, un agent du Front révolutionnaire, un détenu condamné à mort... Tous sont des tueurs armés et meurtriers, et personne ne sait où ils sont et comment ils sont arrivés là. Dans la jungle, ils trouvent des cages vides, des cadavres, de nombreux pièges évités de justesse. En arrivant sur un terrain plus élevé, ils peuvent voir un ciel complètement étranger et se rendent compte qu'ils ne sont pas sur Terre. Royce en déduit que la planète est une réserve de chasse et que les humains y sont chassés comme gibier par une entité inconnue. Ils y rencontrent Laurence Fishburne, un soldat d'assaut aérien qui a survécu sur la planète depuis des années. Il explique que les Predators perfectionnent leurs compétences en tuant des guerriers et bêtes dangereuses provenant d'autres mondes, en les mettant sur la planète pour les chasser. Le scénario est original, et complet. Les décors sont tous simplement magnifique, la réalisation de Nimrod Antal est propre et soignée. Les costumes sont les plus réussi de la saga. Les dialogues sont ici mieux exploitée à des fin plus prédatrices. On voit quelques rappels, ou hommages selon votre mode de pensée, à Predator (le yakuza qui se sacrifie pour sauver son équipe, le combat final, et toujours une armée de gros bras). La technologie y est bien exploitée tout en restant dans l'univers des anciens films. On sent donc un véritable travail sur les Yautja, les monstres de Predator, on voit leur organisation, la loyauté des Yautja reste, car ce sont peut-être des monstres qui arrachent des colonnes vertébrales mais ils restent des combattants honnêtes, si dans Predator le Yautja se débarrasse de sa technologie pour combattre Schwarzenegger, dans Predators il rend service à Adrien Brody contre sa liberté. De plus le casting est très bon, Adrian Brody est charismatique dans le rôle de Royce, sinon la reste du casting est bon, Alice Braga ou encore Topher Grace. En résulte donc que ce Predators est un très bon film de science-fiction.

Un groupe de mercenaires hétéroclite se réveille sur une planète inconnue et comprend bien vite qu’il va servir de gibier à une bande de Predators assoiffés de sang. L’idée de départ m’avait emballé, le film beaucoup moins. En effet, le réalisateur n’ose jamais jouer la carte de l’originalité et se contente de suivre les sentiers battus (et rebattus) du genre. Cela reste malgré tout un bon divertissement.

"Mais qu'est allé faire Adrian Brody dans ce navet?" Voilà la question que je me pose depuis que j'ai vu Predators ! Le film contient certes de l'action et un peu de suspens, ce qui est divertissant, mais le scénario est plat, les personnages inintéressants, les scènes d'action parfois ridicules. Rien ne va !