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    The Assassin
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    179 critiques spectateurs

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    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2016
    Je mets une étoile pour les décors, les images, les costumes, les coiffures somptueux et soignés jusqu’au moindre détail, pour la beauté des visages et des gestes.

    J’ai à peu près compris l’histoire, mais pas les subtilités du scénario, et j’ai trouvé l’ensemble décousu et peu fluide, ce qui a rendu la concentration difficile.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 août 2019
    Nous pourrions regarder The Assassin sans les sous-titres, tant la mise en scène donne à ses splendides images suffisamment de précision et de souffle pour porter le récit de cette vengeance qui unit par la douleur d’anciens amants. Véritable acte de foi dans le cinéma, le film ne construit pas ses images à partir du verbe ; ce dernier ne vient que les relever, formant de petits tableaux où le mouvement, parfois infime, inscrit ses personnages dans une époque aux lourds cérémonials. Rarement le geste cinématographique aura été aussi conscient et minutieux, rarement les combats se seront montrés aussi passionnels et brutaux. La musique crée une suspension de l’action, une attente du coup fatal qui doit être porté et qui pourtant ne vient pas. Car les attaquent tombent sans avertir et tranchent le rythme jusqu’alors figé, traduction parfaite des tourments intérieurs auxquels se livrent les protagonistes. Épopée du silence où le huis clos n’est pas loin, The Assassin déplace les conventions de représentation du film de sabre dans l’intériorité troublée d’une demeure et de ses habitants, capte la poésie de chacune de ses pièces pour mieux y rejouer une tragédie amoureuse, la plus belle qui soit. Le long-métrage de Hsiao-Hsien Hou, par bien des aspects, adapte au pays des passions humaines ce récit de l’oiseau qui, parce qu’il a perdu sa bien-aimée, chante et danse jusqu’à mourir d’épuisement. Sublime.
    Patjob
    Patjob

    20 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2019
    Un film très particulier, voire étrange, tant le soin apporté à la forme l’emporte sur le « fond ». Hou Hsiao-Hsien, le « maître » Taïwanais, livre en effet ici une œuvre visuellement somptueuse, dans les scènes d’intérieurs, avec d’omniprésentes bougies, comme dans celles d’extérieur, avec une représentation magnifique de la nature. Bon nombre de plans imprimeront durablement la rétine, et une sorte de fascination se dégage du film. Si l’on retient que la « mise en scène » se limite à « l'organisation matérielle de la représentation » d’une œuvre, et non sa conception, le prix qui lui a été décerné est parfaitement justifié. Mais il manque à mon goût ce qui fait les grands films : des idées, novatrices ou passionnantes, ou des émotions naissant des situations, des motivations, des sentiments des personnages : il n’y a là aucune empathie avec eux, qui défilent sous nos yeux comme des marionnettes déshumanisées. Sans doute faut-il rompre avec nos habitudes de spectateurs de cinéma, pour regarder ce film comme nous déambulerions dans une galerie ou lirions de la poésie….
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 405 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 février 2021
    Je me considère comme une personne qui n'a généralement pas de mal à comprendre ce qui se passe dans les films même ceux qui exigent une certaine réflexion de la part du spectateur. Mais pendant cette histoire je n'ai presque jamais su ce qui se passait. Cela semble absurde quand je le dis mais dans beaucoup de scènes du film je ne savais vraiment pas qui étaient les personnages ou ce qu'ils essayaient d'accomplir. Le rythme du film est extrêmement lent ce qui aurait pu être acceptable s'il avait été réalisé de manière correcte ce qui n'est malheureusement pas le cas. Les séquences d'action sont bien faites et je ne peux pas blâmer le jeu des acteurs mais ils ne peuvent pas sauver ce film terrible...
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2018
    Quand j'ai eu l'occasion de voir "The assassin", j'ai immédiatement sauté sur l'occasion mais ma déception fut à la hauteur de mes grandes espérances. Ce n'est même pas que je trouve le film mauvais, c'est que je n'ai absolument pas compris ce qu'a tenté de faire Hou Hsiao-Hsien avec ce long-métrage. Le réalisateur taïwanais nous propose aux premiers abords un wuxia qui se révèle finalement ne pas en être un tant Hou Hsiao-Hsien s'amuse à constamment reprendre puis abandonner les codes du genre. Si je devais mettre en avant ce qu'il m'a le plus convaincu dans ce film, ce serait sans aucun doute la mise en scène, très justement récompensée au festival de Cannes. Un grand soin est accordé à la composition de chaque plan dont beaucoup rappellent des tableaux tant ils sont parfaitement agencés. Les combats, bien qu'un peu rares, sont très bien mis en scène et chorégraphiés avec beaucoup de maîtrise. Mais je dois tout de même avouer que je m'attendais à quelque chose d'encore plus fort sur le plan visuel. Le film est élégant et agréable à l’œil, cela ne fait aucun doute, mais je n'ai pas ressenti la claque visuelle que beaucoup revendiquent. Mais le gros problème que m'a posé "The assassin" reste la composition de son scénario. Je l'avoue volontiers, je n'ai pas compris toutes les subtilités du récit qui s'emmêlent dans des intrigues secondaires politique et familiales très complexes. Paradoxalement,le film est assez verbeux dans son premier tiers mais cela ne m'a pas vraiment aidé à dégager clairement l'ensemble des enjeux dramatiques que posent le long-métrage. Résultat, j'ai eu beaucoup de mal à m'investir dans ce film qui m'a laissé la plus part du temps perplexe, à l'image de ce final dont je n'ai toujours pas compris la signification. "The assassin" est donc globalement une déception pour moi qui en espérait beaucoup même si je comprends que certaines personnes aient pu être charmé par ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 juin 2016
    J'ai décidé d'aller voir ce film attiré par son esthétisme. Il s'agit d'une plongée renversante dans l'histoire médiévale de Chine. Les décors et les costumes sont somptueux. Je n'ai pas très bien suivi l'intrigue car j'étais fatigué mais elle est développée comme un conte avec sa part de légende, de fantastique... Shu Qi est absolument incroyable, à la fois glaciale et délicate, son personnage est à la fois humain et hors du monde, comme un fantôme hésitant entre le royaume de l'ombre et celui de la vie.

    Cette oeuvre se distingue par sa narration, sa beauté naturelle, rappelant le style de Terrence Malick. C'est un film qui prend son temps, apaise sans perdre son frisson. Vous ne regretterez pas de l'avoir vu même s'il ne vous plaira peut-être pas. Ne vous attendez pas à assister à un déferlement d'action et de castagne, le cinéma de Hou Hsiao-Hsien propose une vision différente. De bon augure !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mars 2016
    Belles images mais a ce compte je préfère voir des photos :P
    Presque pas de paroles, ni de musiques ....
    Didier L
    Didier L

    27 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2017
    Séance de rattrapage : prix de la mise en scène à Cannes en 2016, "The assassin" pourrait donner lieu à un bon sujet de bac philo : "Est ce que faire prédominer la forme sur le fond fait la qualité d'une oeuvre d'art ?". Car, sans conteste, le film est une splendeur que ce soit au niveau de la mise en scène, de la photo, des costumes et des décors. Mais le scénario est si faible et convenu, les dialogues si inexistants que l'on s'ennuie très vite en constatant que le réalisateur se complaît vainement dans sa seule recherche esthétique.
    Cinemaniakmontreal
    Cinemaniakmontreal

    16 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2016
    The Assassin – L'(in)action contemplative – ♥♥♥

    Chine, IX siècle. Nie Yinniang revient dans sa famille après de longues années d’exil. Son éducation a été confiée à une nonne qui l’a initiée aux arts martiaux et lui a donné comme mission d’éliminer les tyrans. A son retour, elle apprend son mariage avorté avec son cousin Tian Ji’an. Fragilisé par les rebellions, l’Empereur a tenté de reprendre le contrôle en s’organisant en régions militaires, mais les gouverneurs essayent désormais de les soustraire à son autorité. Devenu gouverneur de la province de Weibo, Tian Ji’an décide de le défier ouvertement. Alors que Nie Yinniang a pour mission de tuer son cousin, elle lui révèle son identité. Elle va devoir choisir : sacrifier l’homme qu’elle aime ou rompre pour toujours avec « l’ordre des Assassins ».

    On était habitué à un style hypnotique, à un goût pour le souvenir et pour les sensations (Les fleurs de Shanghaï, Millenium mambo, Three times…). Mais The Assassin nous est présenté comme un film d’arts martiaux, genre dans lequel on n’attend pas le réalisateur et avec lequel son style semble a priori peu s’accommoder.

    Et c’est là l’essentiel des reproches que l’on pourrait lui porter: ne vous attendez surtout pas à assister à un film d’art martiaux ou de sabre « classique ». Ici, c’est la longueur et la langueur qui dominent et s’imposent, brièvement interrompues par des saillies d’action. Le réalisateur inaugure le film d’action contemplatif, préférant la mise en scène, le choix du cadrage, des paysages ou de la lumière, plutôt que de faire avancer ou de dynamiser son intrigue. En cela, le prix cannois est amplement mérité et le travail du directeur de la photographie (Ping Bin Lee) est à mettre en valeur, nous transportant littéralement dans les paysages à l’écran.

    Participant totalement à cette superbe mise en scène, c’est aussi l’actrice principale, magnétique, placide et sauvage, qui retient toute l’attention. On se souvient déjà de Shu Qi dans Millenium Mambo qui l’avait ouvert à un cinéma plus occidental, elle illumine littéralement ici le film, tout en intériorité, en froideur et en bouillonnement intérieur.

    En résumé, tout est visuellement superbe, mais tenez vous le pour dit: ce sera un surtout film d’ambiance et très peu un film d’arts martiaux.
    Matthias T.
    Matthias T.

    39 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mars 2016
    Encensé par une critique unanime et auréolé du prix de la mise en scène au festival de Cannes 2015, "The Assassin" est somptueux sur le plan formel mais aussi un peu prisonnier de sa forme, un peu ennuyeux, longuet, soporifique et glacé. Dommage.
    PiastFidra
    PiastFidra

    4 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 août 2019
    Un film qui assassine mon sens de la compréhension

    C’est un film qui me tentait énormément, je voulais le voir depuis plus d’un an, et Arte l’a diffusé. Je me suis pressé d’aller le voir. Mais quelle déception

    Le film commence par une séquence de 7 minutes en noir et blanc avec des plans très fixe, aucun mouvement de camera et un cadre en carré qui ne prend pas l’intégralité de l’écran. Ça fait très rustique, je me suis dit que c’était voulu par le réalisateur, après tout pourquoi pas, il fallait sans doute séparer, distinguer l’intro du reste du film je sais pas. Mais même avec la couleur qui vient ensuite, le cadrage et les plans restent les mêmes donc j’avoue n’avoir pas bien saisi l’intérêt du noir et blanc.

    La mise en scène est très prononcée sur les bruits de la nature, on entend le bruit des arbres, le vent, les criquets, les portes qui claquent. On remarque des plans camera qui filme juste un décor et non une histoire. On peut y remarquer qu’avec les plans qui sont fixe, avec des personnages qui bougent peu une brise qui s’engouffre sur les scènes, le vent fait bouger les rideaux, vêtements. C’est le seul véritable mouvement qu’on trouve, et j’avoue ne pas savoir pourquoi un tel détail sur le vent, le courant d’air.

    Des actions peu nombreuses, peu naturelles, au début du film, la scène spoiler: où Nie Yinniang entre sous la tente et que le père pose son bébé tranquillement et prend son sabre et le lance par exemple
    . Ça donne un ensemble très théâtral

    Il y a peu de dialogues, et c’est très centré sur des plans fixe qui finalement nous rend extérieur à l’histoire comme si on observait l’Histoire se déroulant devant nos yeux alors qu’elle fait déjà partie du passé, c’est un peu comme si on était devant un documentaire. Alors certes il est vrai que la composition du cadre, la photographie et de nombreux plans sont époustouflants. Cependant, c’est décrit comme un film d’art martiaux dans la catégorie « action » mais raté, il ne se passe rien en action.

    On y réfléchissant, je pense qu’il faut accepter la lenteur voulu par le film pour y entrer vraiment, et malheureusement je n’ai pas su m’immerger dedans et je suis resté extérieur au film tout le long, c’est dommage et vraiment terrible parce que je n’ai du coup pas bien compris l’intérêt réel de cette œuvre.

    On ne s’attache pas non plus aux personnages, même à Nie Yinniang, on reste trop extérieur à eux, ils ne dégagent rien, ils restent fades sans aucunes émotions. Les seuls dialogues ce sont des questions un peu politiques bien ennuyeuse qu’on ne comprend rien, la parabole sur l’oiseau bleu et une pierre de Jade, franchement bon courage pour s’identifier à eux. Mieux encore, spoiler: on passe 10 minutes à nous raconter l’histoire du personnage principal, Nie Yianniang sur un plan fixe ne la voyant pas, et une fois terminé la camera se tourne doucement vers elle, et on la voit fondre en larme cachée derrière son manteau.
    Sérieusement c’était censé apporter quoi ça ? Ce n’est même pas cohérent avec le caractère du perso.

    Par moment, on a quelques espoirs que ça bouge un peu quand spoiler: on voit la garnison armée courir la nuit avec enfin une soudtrack ou l’escarmouche dans les bois
    mais raté là aussi, on revient très vite avec une scène sans son, une scène fixe.

    Niveau scénario je pourrais parler spoiler: de la femme qui débarque après le combat dans la forêt et qui échange 3 coups de sabre et repart comme ça de son coté, du vieux sorcier qui sort de nulle part ou de la scène où on voit des chèvres mâcher pendant 15 secondes…
    mais franchement, je n’ai tellement rien compris au sens de ces scènes que je n’en parlerai pas davantage

    La technique est très bien foutue mais il manque une chose que je n’ai pas réussi à trouver, son âme. Le film n’a aucune âme. Je m’attendais à un film d’art martiaux historique avec une histoire, des émotions mais rien de tel. Je me suis senti victime d’une arnaque cinématographique.

    En vrai, quand je vois le nombre incalculable de critique positive, je me demande si c’est vraiment ça du cinéma pour vous, parce que bon, je vais dans une galerie d’art avec des photos et tableaux et j’ai autant que ce qui est présentée ici. Oui, je pense que ce film est telle une galerie d’art où on vient pour voir de belles photos et non pas un film. Ça reste mon avis.

    Il est important de souligner néanmoins que c’est la pâte du réalisateur Hou Hsiao-Hsien de raconter des histoires où l’intrigue est réduit au strict minimum, de privilégié la suspension du temps avec notamment de très long plan-séquence avec peu de mouvement de caméra et principalement en n’effectuant qu’une seule prise des séquences qu’il tourne.

    Bref, c’est un film très abstrait, une façon d’extraire ces moments du monde. En une phrase, on pourrait dire de ce film qu’il entre dans la catégorie des films « C’est beau, très beau mais c’est long, très long mais ça reste beau mais c’est long ». C’était mon tout premier Hou Hsiao-Hsien, je pense regarder « Café lumière » de 2004 en espérant mieux comprendre la touche personnelle de ce réalisateur taiwanais.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 avril 2016
    Tha Assassin est un très beau film, Shu Qi , l'actrice, est splendide. Le Film est très lent, parfois un peu trop lent. Le scénario est complexe: certains personnages, pourtant importants, n'apparaissent presque jamais. Pour profiter de ce film, ou, on a l'impression que le réalisateur n'a gardé que l'essentiel, il faut être attentif a chaque détail, allusion pour garder le fil.... L'effort mérite d'être fait.
    Boby53
    Boby53

    11 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2016
    Beau, très beau, trop beau? Un rien hiératique, une histoire pas toujours compréhensible... Belle mise en scène, un peu vaine. On s'ennuie un peu...
    madrius
    madrius

    35 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mars 2016
    Je ne m'endors jamais devant un film et pourtant j'en vois beaucoup (carte illimitée oblige !), mais là, je me suis endormi.
    Le film possède, il est vrai, une très belle esthétique en termes d'images, ce n'est pas réellement un film, mais un très beau diaporama de photos. En ce sens, c'est vraiment très beau. Mais je ne vais pas au cinéma - quelque soit la catégorie de films - pour cela ; sinon je vais voir une expo photos. On vient voir une histoire par exemple. Et là la seule histoire du film que j'aurais bien compris, c'est le contexte historique du film, expliqué lors du générique de début. Passé cela, on ne suit rien, quasiment aucun dialogue et qui sont de plus est, à peu près inutile. Le film est d'une lenteur à en rendre une tortue apathique... Bref, un film d'un ennui total et complet.
    A moins que vous ne vouliez voir une jolie expo photos sous forme de film ou que vous soyez un intellectuel pompeux (et très patient), je vous déconseille grandement ce film.
    Maxence!
    Maxence!

    13 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2016
    Les images sont mémorables, la bande son minimale fait la part belle aux bruitages lancinants, aux cigales et au bruit du vent, la lenteur et les symboles sont omniprésents, les arts martiaux élégamment chorégraphiés. Malheureusement, le néophyte ne comprend pas grand chose à l'histoire, du coup, c'est long!
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