Avis : Les petits mouchoirs - Page 6

Moyen : je ne me suis pas vraiment reconnu dans cette bande de pote ( mon ami est a lhopital suite a un accident je ne part pas en vacances!!!) m'enfin cela reste personnel... Sinn qqlqes passage plutot drole, bonne interpretation de f cluzet et b magimel. Malgré cela pas emballé..

Ok, je suis fan de cinéma, au sens large du terme. J'aime le cinéma, je lis les critiques, je regarde les ba, je me fais un avis, je regarde, j'aime ou j'aime pas mais en général, je me laisse rarement surprendre, dans le mauvais sens du terme j'entends.............
En fait, même pour des films pour lesquels je n'ai pas accroché, j'ai fait l'effort de regarder jusqu'au bout...là c'est la première fois, honnetement, que je zappe un film avant la fin.
Franchement, il est vraiment nul ce film !!!
Une bande de potes, soi disant amis....ils sont tous pathétiques, faux, immatures, irrationnels et surtout...énervants au plus haut point. On a juste envie de leur mettre de grosses baffes à tous pour les faire réagir.
J'ai un top 10, un top 5, des mes meilleurs films....je n'avais encore jamais eu de top 5 ou 10 de mes pires films mais si je devais en faire un, je commencerai par "les petits mouchoirs" en disant: film vraiment pourr et inutile.

C'est long, mauvais, ennuyeux et très souvent mal joué et je préfère ne pas nommer l'actrice qui croit que Hollywood lui a donné du talent. J'ai trouvé ce film affligeant...

Les Petits Mouchoirs, troisième film de Guillaume Canet, aussi vide qu'est ap­paremment grande sa prétention à faire date : durée hors normes, casting all stars (Cluzet, Cotillard, Magimel en tête), bande-son soul dont le coût seul doit excéder le budget d'un premier film d'auteur. Un groupe de potes, vieux trentenaires, jeunes quadras, part en vacances au Cap-Ferret tandis que l'un des leurs gît sur un lit d'hôpital (et de douleur). Ont-ils le droit de s'amuser ou, plutôt, de se pourrir la vie à coups de petites névroses quand l'autre est entre la vie et la mort ? On ne sait pas.

L'histoire d'un mec qui va laisser beaucoup de place à ses copains. Mais sont-ce des amis ?
Je me suis fait prendre au suspense pendant une bonne demi-heure, était ce un accident ? Etait-ce un complot, est-ce une malédiction ? Je ne me suis posé toutes ces questions que pour la première partie et parce que je croyais aller voir un polar.
Après, j'ai enfin accepté de ne regarder qu'un film sur l'amitié des humains. Enfin surtout les bobos avec tellement de moyens (hélicoptère pour suivre une voiture qui va chercher du pain, travelling ultra léché de voitures sur autoroutes, vues aériennes magnifiques de bateaux au coucher de soleil sur le Cap Ferret, etc,) que l'on se pose quand même la question du piège de la fin.
Le niveau de crètinerie du réalisateur transparaît comme dans « Mon idole », même si la réalisation est hyper pro. Le casting également. On arrive à rire, avec les blagues de potache des bobos presque quadra aussi matures que des étudiants de fac. Si le déroulement et les dialogues n'étaient aussi creux et parfois lourds et attendus, on passerait presque un bon moment.
Comme on a un mauvais pressentiment avec le petit Guillaume, on oublie de voir un portrait au vitriol d'une certaine tranche de population effectivement aussi peu humaniste, pour eux comme pour les autres. On pourrait même voir une leçon de morale extrêmement dure, mais alors certains choix scénaristiques fonctionnent mal, notamment la confrontation finale un peu indigeste.
Il faut dire qu'au lieu de forcer le trait, on reste dans le gris des comportements pendant trop longtemps, et l'hypothèse d'un bon Woody tombe complètement à l'eau. Ce n'est pas dommageable, on n'attendait pas grand chose du Canet.

Un film beaucoup trop long pour nous raconter cette histoire dans laquelle on ne rentre jamais , seul
François Cluzet ( toujours parfait ) parvient à nous transmettre quelques trop rares moments d'émotions.

Cette comédie dramatique se voulait être un film de potes, à la fois drôle et touchant. Dotée de cette ribambelle d’acteurs français qui constituent une partie de la fine fleur du cinéma français, j’ai constaté amèrement que je n’ai pas trouvé de moments drôles, mis à part peut-être les crises de nerfs juvéniles de François Cluzet. Alors touchant ? Touché par la mièvrerie oui ! Et c’est là que je vais rejoindre l’avis de l’internaute Brian de A. : comment une bande de copains peuvent-ils partir en vacances alors qu’un membre de la bande est entre la vie et la mort ? Certes la vie ne s’arrête pas pour autant mais bon… Alors nous voilà embarqués dans une chronique de vie réelle, avec toute une philosophie dénonciatrice qui nous assomme tant elle est sans intérêt. Bien des sujets, graves et moins graves (comme la mort, l’amour sous toutes ses formes, le mensonge, l’individualisme…), y sont abordés, et il y en a tellement que le film dure 2h30. Beaucoup trop long, si long qu’on s’y ennuie à mourir. Même le personnage joué par Jean Dujardin n’y a pas survécu, c’est dire !! Certains y trouveront une grande émotion dans ce (trop) long métrage, peut-être ont-ils raison… Certaines scènes sont trop longues, pour susciter de l’émotion en nous sans doute. Pour ma part, je n’y ai pas été réceptif et je me plais à penser que j’ai eu raison de ne pas être allé voir ce film au cinéma, car j’ai passé mon temps à regarder combien il restait de temps avant la fin, laissant courageusement mon petit mouchoir au fond de la poche, mais en remodelant très régulièrement mon gros coussin pour ne pas m’y endormir dessus. La prestation de Benoît Magimel est pourtant excellente, François Cluzet tire son épingle du jeu, et sauvent à eux deux un peu les meubles, en attendant une fin honorable qui révèle une moralité qui devrait exister partout et par tous les instants, ce qui me pousse à donner 1 étoile à ce film alors que j’étais parti pour en mettre 0,5 à défaut de n’en mettre aucune. Quant au reste… ça me confirme bien qu’un casting 5 étoiles ne fait pas la qualité d’un film…

Un film raté, bourgeois au possible et caricatural. On rit pourtant parfois grâce à la présence d'acteurs de talent: François Cluzet, Valérie Bonneton en avant. D'autres montrent leurs faiblesses comme Marion Cotillard. Mais le plus gros soucis du film est son scénario et comment il est traité. L'amitié, ses non-dits etc... Beaucoup traité au cinéma, Guillaume Canet n'arrive pas à innover dans ce genre. La fin est atrocement mauvaise, on ne vois pas où le réalisateur a voulu en venir à part faire pleurer dans les chaumières. Sans cette fin horrible, mal filmée et hasardeuse, le film aurait pu être bon. Mais avec des si...

Absolument nul, vide de sens et en plus parfois carrément
obscène. On a l'impression que ce film a été tourné pour que les acteurs passent de bonnes vacances entre eux, payées par la production ! Une grosse déception !!!!!

Un film lourdaud et beauf, qui verse (trop) facilement dans le pathos. Une étoile pour la prestation de Magimel.

Pour moi c'est le film français de l'année 2010 ! On passe dans toutes les émotions (du rire aux larmes) en quelques secondes et de très bons acteurs ! Un grand film !

Très bon film français qui fait grandement plaisir. Entre humour et émotion, notre cœur balance. Guillaume Canet a parfaitement réussi son objectif, en envoyant sur grand écran ce qui s'apparente à un simple film de vacances. En effet, une bande de potes aux profils bien particuliers et uniques, du dragueur invétéré, à l'homosexuel refoulé, en passant par le coach sportif qu'on aimerait frapper suite à son attitude positive perpétuelle ou encore la femme désespérée de ne plus avoir de relations sexuelles avec son mari, nous sont présentés dans cette histoire simple mais tellement bien jouée et bien réalisée qu'on éprouvera un agréable moment de détente. "Les petits mouchoirs" porte parfaitement son nom pour son final assez émouvant (qui pourra vous faire verser une larme). Un casting de choc où chacun donnera une belle prestation. Mention spéciale à François Cluzet qui m'a provoqué un sacré nombre de fous-rires grâce à sa pelouse et ses fouines, sans oublier certaines répliques crûes qui ne manqueront pas d'égayer notre visage. C'est extrêmement rare dans mes critiques, mais ça me fait plaisir, pour une fois, de donner une telle note à une comédie dramatique française. On sait désormais que nous, français, nous sommes capables de faire du bon cinéma divertissant.

Le degré zéro du cinéma: un scénario inexistant, des personnages en carton pâte aux motivations insignifiantes et auxquels il est impossible de s'identifier, un film qui traîne en longueur. Mon décodeur, terrassé d'ennui, s'est éteint spontanément au bout d'une heure de film. Comme il a un goût très sûr en matière de cinéma, je ne l'ai pas rallumé.

Les Petits Mouchoirs, c'est un film de potes, faits par une bande de potes (Canet les connaît tous depuis plusieurs années, certains même depuis un sacré long bail : Dujardin et lui étaient en CE1 ensemble !), et parlant d'une bande de potes. Un film que Canet estime comme son plus important à ce jour (et il a raison), comme le film qui, même s'il fera par la suite plusieurs films, restera son plus important. En gros, le réalisateur, qui nous avait déjà bluffés en 2006 avec le multi-césarisé Ne Le Dis A Personne (le meilleur thriller français, probablement), est on ne peut plus fier de son film, et croyez-moi, il a de très bonnes raisons de l'être ! Le film est à la fois drôle et triste. Une vraie comédie dramatique, donc. Quand il est drôle, il est hilarant ; quand il est triste, il est vraiment au point de vous faire piquer les yeux (ou de vous faire chialer, tout dépend de votre sensibilité). En tout cas, il ne force jamais le trait, ni dans un sens, ni dans l'autre.
Ce film est franchement grandiose. Hilarant, avec des dialogues souvent bien foutus (Si tu vas dire bonsoir aux enfants, prends un Lexomil avant d'y aller), ses gags tordants (l'allusion à Shining quand Cluzet fracasse la salle de bains à la recherche de fouines ; Cluzet et Magimel coincés sur le bateau pris dans la vase), le film sait aussi être grave, voire même déchirant : le monologue de Dubuch, qui dit ses quatre vérités au groupe, est remarquable, et la fin est totalement à vous retourner les tripes. Sans parler de ce passage où Lellouche, assez bravache et dingo dans le reste du film, se déchire à hurler son amour pour Louise Monot et sa détresse affective, de nuit, devant son appartement au-dessus d'un café, comme un homme blessé, en larmes.

Voici un film destiné à devenir culte, un film qui, malgré sa longueur étonnante pour un film de ce genre (2h30), n'est jamais ennuyeux. Mieux, on n'a pas envie que le film s'arrête ! Les Petits Mouchoirs est sobrement réalisé, rempli de grands moments, et interprété à la perfection. Quatre acteurs, surtout, portent vraiment le film : Cluzet, Lellouche, Magimel et Cotillard. Le premier est hilarant, le deuxième et le troisième sont touchants, la dernière, fragile et forte en même temps. Les autres acteurs assurent, mais ces quatre-là sont vraiment les porteurs du film. Quant à Dujardin, il est peu présent à l'écran, mais sa présence est dans tout le film (Canet a d'ailleurs choisi cet acteur devenu très populaire pour rendre le personnage de Ludo attachant, qu'on ait envie de s'intéresser encore plus à lui, qu'on n'oublie pas l'existence de l'ami hospitalisé en regardant les autres à Arcachon). Drôle et tragique en même temps, ce film est un triomphe, tout simplement !

J'ai essayé de me convaincre que ce n'était pas si mal puis en faite non. J'ai voulu arrêter le film au moins 10 fois mais j'ai tenu le coup et j'aurais pas dû. En plus 2h30!! 2h30 d'histoires de fesses de personnages inintéressants, vulgaires et antipathiques à souhait! C'est juste tellement facile d'essayer de rattraper le film avec une fin comme ça, comme ci ce genre de fin pouvait justifier de longues heures de "rien". Non vraiment ne perdez pas votre temps, il aurait durer 1h pourquoi pas tenter mais là vous allez perdre du temps et le temps c'est précieux!