dans ce film il faut surtout retenir les scènes de tortures qui sont vraiment atroces ! le scénario est plus que crédible et bien mis en place (notamment grâce aux bons acteurs) mais la fin est un peu rapide et aurait méritée meilleur sort je pense. un mélange entre "saw" et "hostel", mais dans un train ^^
Plutôt sympathique, 2-3 détailles tout de même qui me chagrine un peu, tel que:
- une fin vraiment pas assez détaillée.
SPOILER:
La fille qui se fait enlever par les militaires, elle devient quoi ? ils lui font quoi ? La fille qui s'échappe, par quel moyen a t-elle réussi a rentrer en Amérique ?
film qui commence plutot bien on se dit ca va saigner, mais bon on s'endort vite finalement a part une scene ou deux un peut gore rien de fameux je déconseille limite télé film quoi
Encore un film d'horreur formaté, mais cette fois ci l'idée est malsaine, les scènes de violence valent le détour et le petit rebondissement final est plutôt bien placé.
Ce petit film... Russe... non même pas ? Ce petit film tout-court alors, reprend tous les codes de ses prédécesseurs à savoir un démarrage trop lent, du gore dans l'obscurité total, des stéréotypes même pas drôles, un scénario bien caché, tout ce qu'on aime, quoi.
Divertissant sans plus, dans le style d'hostel avec plus de torture mais celle-ci sont bien moins visible(ex: la castration où l'on ne voit pratiquement rien)
Si l'on doit trouver une qualité à ce nanar d'horreur c'est celle de ne pas livrer une nana en pâture en petite chemise fuyant et criant dans la forêt. Quoique... Pour le reste Train s'apparente à un festival d'insoupçonnables invraisemblances qui vous laissent pantois. On pourrait penser que seuls les amateurs de Saw y trouveraient de l'intérêt mais la présence appuyée de gore est à relativiser: on ne voit jamais rien! On ne voit jamais l'action en temps réel! seul le résultat du carnage nous est montré! Pratique pour le maquillage et les effets spéciaux. Les acteurs jouent très mal, le scénario est éminemment ridicule et déjà fait mais en mieux, le cgi se remarque... Tout est donc gros comme une maison, en dépit d'un habillage à première vu maîtrisé.