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    Le jour et la nuit
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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 mai 2008
    cette parodie est arrivé à me tirer quelques sourires et on profite bien de la plastique d'arielle, miam miam.
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    15 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Le Jour et la Nuit... C'est exactement en ces termes que l'on peut comparer ce que l'on pouvait attendre du film et ce que l'on peut voir! Etrange, très étrange film que voilà. Prétentieux, mégalomane, évidemment comme on pouvait s'y attendre de la part de son (co-)scénariste/réalisateur Bernard-Henri Lévy et de l'acteur principal Alain "il vous en prie" Delon... Mais confus, stupide, naïf dans le sens péjoratif du terme, ça c'est déjà plus étonnant !

    Que l'on apprécie ou non Bernard-Henri Lévy, on ne peut pas nier son intelligence, qu'elle soit mise à la disposition d'opinions auxquelles on adhère aveuglément, peu ou prou. Aussi, le voir nous offrir un spectacle aussi inabouti, superficiel et parfois ridicule et stupide, surprend beaucoup... Beaucoup !

    Certes ce film ne méritait pas la mémorable volée de bois vert à laquelle il a eu droit, de manière presque surréaliste tant cela ressemblait plus à des règlements de compte et de l'acharnement gratuit, que du journalisme impartial et argumenté. Rien ne méritait de le qualifier de "plus mauvais film de l'histoire du cinéma", même les films d'Ed Wood, bien plus mauvais encore, trouvent aisément leur maître en terme de médiocrité... chez nos amis les Turcs par exemple...

    Mais force est d'avouer que cette "oeuvre" qui se voulait novatrice et viscérale, laisse pensif quant à ce qui a bien pu parcourir l'esprit d'un homme habitué à pousser sa réflexion plus loin que ses contemporains. L'histoire pourrait être intéressante, mais se dilue et se perd souvent en séquences d'un mélange au goût amer de fausse humilité prétentieuse et de totale vacuité. Certaines sont très réussies, mais perdues dans un fatras de n'importe quoi à la psychologie improbable de lycéen à la recherche d'une identité.

    La direction d'acteur est d'ailleurs à l'image de l'écriture: totalement décalée, parfois en totale roue libre. Au sein du même film, des acteurs confirmés (Alain Delon, Jean-Pierre Kalfon, etc...) parviennent d'une scène à l'autre à être convaincants, ou incroyablement ridicules, surjouant comme des débutants compensant l'absence de profondeur par une gestuelle et des mimiques douteuses. Arielle Dombasle, qui est je n'en doute pas une femme délicieuse, sur-multiplie ici son défaut principal d'actrice: des minauderies à tout va et un faux naturel crispant. Karl Zéro est un choix étonnant ! Il est parfois juste, drôle même, mais trop souvent complètement à côté de la plaque...

    La musique (Maurice Jarre) est magnifique, les images superbes... BHL s'est entouré que de personnes chevronnées, mais la sauce prend mal, très mal, tant de bon ingrédients mélangés à un truc dégueu (ici le scénar) ne donnent au final que quelque chose de difficile à avaler...

    Je ne doute pas un instant que notre philosophe BHL a voulu y mettre beaucoup de lui-même, mais il n'y a mis en grande partie que la part détestable de sa personne qui le rend imbuvable pour certains: sa condescendance, sa déconnection du tout venant, et sa volonté de sacraliser l'extraordinaire en méprisant implicitement la vie courante. Le meilleur de lui-même, son esprit vif et complexe se faisant souvent terrasser par la partie honteuse de son hôte.

    Il y a une grande volonté de lyrisme, on n'a que de la musique et des images de cartes postales pour soutenir des sentiments de romans de gare. Il y a une grande volonté d'émotions exacerbées, on n'obtient que des gesticulations dans le vide et du brassement d'air. Il y a une grande volonté d'aventure humaine, on assiste simplement à des personnages qui se débattent dans des psychologies "clichées" par un voyeur prébubert.

    Quant à Arielle Dombasle, si ici elle ne vous en mettra pas plein la vue avec ses talents d'actrice, elle le fera en montrant son cul plus que nécessaire, comme les autres d'ailleurs, pour des scènes qui flattent les rétines mais malheureusement pas l'intellect tant elles sont longues et vaines...

    On peut comprendre la méchanceté de l'accueil du film, quand on se souvient de la pub hallucinante à laquelle il a eu droit, de l'attente incroyable suscitée, et de ce qu'on était en droit d'attendre de quelqu'un qui se veut un grand penseur... Mais il n'y a pas que le film qui est con finalement ! Les gens qui se sont acharnés dessus comme des vautours à l'époque, l'étaient tout autant. Aucune réelle analyse, aucune nuance, un film parfois descendu avant d'avoir été vu, le bouche à oreille et la mesquinerie ayant remplacé tout jugement professionnel et cohérent. Ce film certes raté, contient tout de même de bons moments, parmi d'autres "nanars" qui amusent ou consternent selon l'humeur, et il fallait quand même le souligner avant de se défouler plus sur l'homme que sur son oeuvre. Surtout sachant que beaucoup de ces "journalistes planqués" n'auraient certainement pas fait mieux, certains exemples déjà oubliés l'ayant déjà prouvé...

    Mon '4 étoiles' reflète évidemment ma note "nanarde", l'ensemble contenant des moments où l'on s'amuse bien aux dépends du film. Le reste étant quand même assez chiant... Artistiquement, cela vaut entre une ou deux, pas plus !

    Alors BHL, on ne se décourage pas! Un autre essai ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    Un film incompris car au-delà de son époque. Un film vérité sur le mysticisme de la création, inaudible chez certains, mais tellement vrai pour d'autres. BHL a réalisé avec ce film une ouvre majeure du cinéma moderne et soyez en sûrs, Le Jour et La nuit sera redécouvert dans quelques années.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juin 2008
    J'ai rarement autant ri. Merci Bernard et toute l'équipe pour ces moments inoubliables...
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mars 2019
    Eh ben, la médiocrité de ce film n'a pas été survendue. C'est vraiment très très très très mauvais. Et le déni complet du réalisateur vis-à-vis de la nullité indéniable du film rend ce dernier assez culte. C'est d'ailleurs drôle de constater que les critiques ayant mis 5 étoiles à ce film l'ont fait car le film était incroyablement mauvais. Et au final, c'est difficile d'émettre une critique de ce film sans tirer sur une ambulance.
    Mais il faut être franc, c'est complètement raté.
    Le film est d'un ennui mortel du début à la fin ; dès les 10 premières minutes, mes paupières sont devenus très lourdes (la mini-introduction de l'arrivée en voiture de Laure et Filippi est tout simplement grotesque et pas drôle du tout).
    L'intrigue est vide. Les quelques éléments de réflexion sont mal servi et n'amènent à rien pour la simple raison que le film n'a rien à dire (à sa décharge, ce n'est pas le seul film pseudo-intellectuel qui en fait est complètement vide de sens ; c'est le cas pour bien d'autres films et certains même ont eu un succès critique et commercial). Le contexte révolutionnaire mexicain, non seulement paraît crédible mais ne sert absolument à rien.
    Les acteurs sont vraiment catastrophiques. Karl Zéro en fait des caisses, même si à sa décharge, je vois mal comment bien interpréter un personnage aussi mal écrit que le sien avec des lignes de dialogues particulièrement lourdes. Arielle Dombasle est catastrophique. BHL voulait mettre en avant les formes de son épouse mais n'avait clairement aucune personnalité à offrir à son personnage. Le film réussit même l'exploit de faire mal jouer Alain Delon (pas tout le temps, fort heureusement, il y a tout de même quelques scènes où il joue bien).
    Seule la bande-originale de Maurice Jarre tient la route.
    Bref, le seul moyen d'apprécier ce film est de le regarder comme un nanar (et encore, ce serait un nanar particulièrement ennuyeux).
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2024
    Avant de découvrir ce fabuleux film, je n'avais jamais lu la moindre ligne écrite par Bernard-Henri Lévy, ni vu ses interventions. Je ne connaissais en fait que ses célèbre entartages (!), et sa réputation. Celle d'un philosophe prétentieux et imbu de lui-même, disposant d'une certaine puissance financière, et d'un excellent réseau dans les médias et la politique.
    Le visionnage du "Jour et la Nuit" a totalement conforté cette image. Je craignais d'y voir un navet insipide, mais non, c'est un beau nanar juteux que BHL nous a diligemment fourni !
    "Le Jour et la Nuit", c'est avant tout un gros budget. 53 millions de francs, somme plus que confortable pour l'époque, a fortiori pour quelqu'un qui n'a jamais réalisé le moindre long-métrage de fiction. Mais pas de panique, papa Lévy a justement créé une société de production qui chapeautera le film. Tandis que la commission d'avances sur recettes du CNC est à ce moment présidée par... BHL.
    "Le Jour et la Nuit", c'est aussi un massacre. Un film crucifié à sa présentation au festival de Berlin, suivi d'un méga flop et d'un déluge de critiques assassines. A tel point qu'un documentaire sur le sujet a été tourné !
    Qu'en est-il exactement de l'objet filmique ?
    J'avoue que je serai incapable de vous dire exactement ce qui s'y passe... Je ne suis même pas sûr que les acteurs le savaient... Il est question d'un producteur qui débarque chez un auteur célèbre en déliquescence, pour lui proposer d'adapter son célèbre roman au cinéma. Sauf que cet auteur est entouré d'une cour de personnages excentriques, et a la manie de s'envoler en montgolfière pour mater les nénettes avec sa long-vue. Voilà voilà...
    Tout est confus en permanence. L'intrigue (ou plutôt le collage de sous-intrigues) qui ne sait pas où elle va, préférant laisser les personnages débiter des dialogues prétentieux sans queue ni tête. Les plans sont sans logiques, ceci étant aggravé par un montage qui fait du grand n'importe quoi.
    Les interprètes sont à l'ouest, en particulier Alain Delon et sa ridicule visière greffée sur le crâne. Sérieux, même dans un photo officielle dans l'univers du film, elle apparait ! L'un des meilleurs gags involontaires... Arielle Dombasle par crédible du tout en actrice de grand talent (hum hum). Notons que BHL tente de l'érotiser en permanence, en même temps c'est sa femme...
    Et bien sûr, impossible de ne pas mentionner Karl Zéro, qui joue visiblement dans un dessin animé. Toujours faux et en décalage avec le reste, s'agitant avec une énergie risible.
    Une photographie digne d'un téléfilm. Et la BO de Maurice Jarre, beaucoup trop sérieuse par rapport à la platitude de ce que l'on voit à l'écran. Peut-être était-il inspiré par les décors naturels ? (au moins un partie de budget se voit !)
    Toujours est-il que "Le Jour et la Nuit" reste très drôle à regarder. Les acteurs aux fraises, la BO en décalage total, la médiocrité technique, le scénario prétentieux et non-sensique... jusqu'à un final dont mes zygomatiques vont avoir du mal à se remettre !
    L'un des mètre-étalon du nanar made in France ?
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 octobre 2010
    Vu cette nuit... J'aurais aimé faire preuve d'originalité, me démarquer des critiques de Panurge par souci de distinction ou de bon goût. J'aurais aimé rire, au moins face au ridicule, histoire de me taper la poilade ultime. J'aurais presque eu envie de défendre cette chose, de tenter d'être objectif et de ne pas la réduire à la qualification de " pire film de l'Histoire du Cinéma " ( et encore, ça serait flatteur ! ). Mais c'est tout bêtement impossible : rien, mais strictement RIEN n'est à sauver dans ce truc déguisé en film ! BHL a voulu faire du cinéma... Pourquoi pas ? Mais qu'il assume les retombées, bon sang ! Que les critiques soient désastreuses n'a rien du " ressentiment organisé " qu'il prétend ( je cite ). Car avant d'être juges les journalistes sont des spectateurs comme les autres, capables d'analyser le cinéma. Parlons donc du métrage en lui-même, puisque taper sur BHL ne sert visiblement pas à grand-chose ( il y aura toujours quelques faux-culs prédisposés à retourner leur veste, même 13 ans après le massacre ) : introduction muette - mais musicale ! - cadrée par un Max Pécas qui se prendrait pour Godard ( ruptures de tons, échanges de regards, et patati et patata ). Et puis le Mexique, lourdingue, à mi-chemin entre l'imagerie Club-Med et le National Geographic : le chef op' a dû se faire soudoyer par BHL pour alimenter cette daube ( RIP Orson Welles... ). Montage catastrophique, indigne d'un étudiant en FEMIS... Après BHL parle de caméra subjective ininterrompue, dispositif qu'il ne maîtrise absolument pas ( aucune science de l'angle, du raccord et du rythme en général ). Succession - ou plutôt tas de plans - censée raconter les déboires sentimentaux d'un écrivain taciturne, épris des montgolfières et de la bibine : plus cliché, tu meurs ! Dialogues verbeux, vulgaires, étalant des banalités suffisantes... BHL n'a également aucune maîtrise du symbole, son allégorie transpire la maladresse, en plus d'être réductrice ( un ballon dirigeable évoquant l'utérus de maman, c'est gonflant ! ). Musique de Jarre, insupportable, vaguement repiquée au Mépris ( encore Godard, merci )... Dombasle ridicule, Delon itou - pas même arrogant, c'est un comble ! Zéro grotesque, bien qu'il soit le seul à nous inspirer de la sympathie, surtout quand il tente de défendre humblement le bidule qu'il trouve plutôt chouette... Bref je pensais qu'il était plus difficile de faire un bon film qu'un mauvais film, mais là j'en doute. BHL se targue d'avoir réalisé un chef d'oeuvre incompris, jugeant coupables les critiques haineuses de l'époque - qui bien entendu n'ont rien capté au cinoche ( forcément, la cinéphagie abruti...). Pour ma part je m'en vais rejoindre le vide-ordures, chose qui ne m'est encore jamais arrivé. Oui : le cinéma et Lévy, c'est le Jour et la Nuit.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 juin 2012
    Une véritable merde. A voir pour comprendre la médiocrité de son auteur.
    Frédéric L
    Frédéric L

    16 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2013
    Ce n'est pas qu'un beau film de propagande sur les moustiquaires, le Jour et la Nuit surpasse aussi l'entendement cinématographique. L'histoire n'a absolument ni queue, ni tête. Alain Delon, Arielle Dombasle et Karl Zero nous font des numéros de cirque et la romance est gâtée comme un fruit flétri et visqueux qui serait resté trop longtemps au soleil.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mars 2021
    La posture machiste de monsieur Alain Delon au début des années soixante et de monsieur Francisco Rabal à soixante-dix ans est ici extrêmement absurde. Lauren Bacall parvient à conserver un semblant de dignité. Le reste de la distribution est uniformément médiocre y compris un acteur dont le nom de famille assez justement est Zéro. Quelques corps sont exposés mais les actrices auxquelles ils appartiennent sont beaucoup moins intéressantes lorsqu'elles sont entièrement vêtues. Il existe de nombreux films tout aussi mauvais voire pire dont certains ont atteint le statut de film culte. Il faut être reconnaissant pour les petites attentions car Monsieur Levy n'a plus jamais été lâché sur un plateau de tournage. Son infiniment petit possède un orgueil infiniment grand et pour cela il mérite pleinement d'être recouvert de tartes...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2008
    tout bonnement incroyable! ce film est à voir absolument tellement il est mauvais sur tout les plans : montage, scenario, dialogue, prise de son, décors, mise en scene etc
    pour la partie "sauce BHL" bien écœurante ou bien hilarante, c'est selon: ce film a reçu plus de 1 200 000 euros (un millions deux cents mille euros) d'avance sur recette du CCF, c'est EXCEPTIONNEL et bien plus qu'aucun autres films de réalisateurs talentueux et RECONNUS comme tel, de plus, il a bénéficié d'un campagne marketing impressionnante et complaisante bref la sempiternelle tambouille du vaporeux philosophe
    Vladimir.Potsch
    Vladimir.Potsch

    19 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un générique prometteur, un titre très « profond », un philosophe qui se prend pour un cinéaste : tels sont les ingrédients d'un film qui, Dieu merci, est un cas isolé dans l'univers cinématographique contemporain. Quand l'intellectel est synonyme de vacuité, voir de prétention, quand des acteurs venus de tous horizons débitent des aphorismes spécialement concoctés à leur intention, quand la mise en scène se résume à des scènes de roman feuilleton où évoluent des personnages plus ou moins énigmatiques, mais totalement inconsistants, entrecoupées de plans de paysages exotiques, on se demande quel est le fond de la pensée de B.H.L. A t'il considéré qu'il devait profiter coûte que coûte d'une distribution aussi éclectique ? En tout cas, ce film n'apportera rien à la filmographie de la plupart de ces acteurs de prestige et on se demande d'ailleurs comment ils sont tombés dans un piège aussi grossier.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 décembre 2015
    "Il vaut mieux se taire et risquer de passer pour un con plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute sur le sujet." Pierre Desproges

    Ce pauvre et pathétique M. Levy n'a fait que démontrer par ce film qu'il n'a rien d'un sage. Maintenant le doute n'est plus permis... Le formidable réseau d'influence qu'il a su se forger, qui lui a permis de produire cette immondice, d'en faire la propagande afin d'essayer de tromper les gens sur la qualité de la marchandise, ne l'aura pas aidé à convaincre les spectateurs. Le masque est tombé de nouveau. Si la richesse monétaire, issue de la captation du fruit du travail des autres rendait talentueux, ça se saurait!

    Du point du vue technique, nous sommes au niveau zéro. En ce qui concerne le scénario, nous sommes en-dessous du niveau zéro. Quant aux dialogues et au jeu des acteurs on atteint le paroxysme du ridicule. Un véritable néant, voila ce que m'inspire ce que j'ai vu. Le mot pitoyable n'a jamais eu autant de sens que durant ces 1h et 52 minutes.

    Dans la définition d'un nanar intervient une notion de plaisir lors du visionnage, dû au charme que le film opère malgré sa nullité. Là, il s'agit d'une véritable torture, on ne souhaite qu'une seule chose, que ça s'arrête! La mégalomanie d'une personne aura donné naissance à une chose qui n'a sa place qu'au fond de la cuvette des toilettes. Tirez la chasse...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2008
    Un chef d'oeuvre de nullité. Une oeuvre majeure de l'histoire du nanar. Ca mérite quand même bien 4 etoiles non ? Je me souviens encore de l'hilarité générale dans la salle (je l'ai vu à sa sortie). J'espère que le film sera rediffusé un jour à la télé, que je puisse l'enregistrer et le revoir quand j'ai le cafard. Un des films les plus (involontairement) droles que j'ai vu...
    Harmonigratte
    Harmonigratte

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2019
    Un très grand film qui marquera à jamais l'histoire du cinéma mondial. Il révèle les talents d'acteur remarquable de Karl Zéro. La mise en scène signée du plus grand réalisateur-philosophe que la Terre ait jamais porté en son sein est époustouflante. On ne s’ennuie pas une seconde, sauf dans les derniers trois-quarts de ce chef d'oeuvre immortel.
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