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    Que le spectacle commence !
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    rayonvert
    rayonvert

    16 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2010
    Malgré quelques longueurs sur la fin, cette comédie musicale est une vraie réussite. De plus, elle est une des plus originale qu'il nous est permis de voir puisque à la candeur et la joie habituelle des comédies musicales, nous avons ici affaire à un univers sombre avec comme personnage principal un artiste autodestructeur.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2007
    Que le spectacle commence (1980) est en réalité l’autobiographie du réalisateur. Sans le préciser, sans nous le faire comprendre, pour ceux qui ne le savent pas, Bob Fosse (Cabaret - 1972), qui a cumulé les fonctions de scénariste, réalisateur et chorégraphe sur son film, nous raconte sa vie, celle d’un véritable artiste qui, entre les auditions et les répétitions de son prochain ballet à Broadway, le tournage et le montage de son prochain film, sans oublier ses nombreuses conquêtes qui sont loin d’être simple à gérer, doit faire face à de nombreuses complications, tant au niveau professionnel qu’au niveau personnel. En faisant le bilan de sa vie, il comprend qu’il a mené une vie tumultueuse, entre son travail qu’il a prit trop à cœur et qui l’a poussé à l’épuisement et la drogue qu’il a infligé à son corps affaiblit. Au final, il s’éteindra au summum de sa carrière, suite à une crise cardiaque.
    Remarquablement interprété par Roy Scheider (French Connection - 1972), ce que l’on peut retenir de All That Jazz (titre original), c’est qu’il s’agit aussi d’une satire du show-biz, le réalisateur nous dresse un portrait peu flatteur d’un chorégraphe / metteur en scène narcissique, mais tellement réaliste !
    Une réalisation qui aura d’ailleurs valut au réalisateur la Palme d'Or au 33ème Festival de Cannes en 1980, ainsi que quatre Oscars en tant que Meilleure Musique pour Ralph Burns, Meilleur Montage pour Alan Heim, Meilleurs Décors et Meilleurs Costumes.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 avril 2013
    On a beau être chorégraphe, on peut difficilement s’improviser scénariste ou réalisateur. Pourquoi ? Parce que c’est un métier tout simplement. Et moi, tel que vous me voyez, j’aurais du mal à m’improviser cosmonaute, par exemple. Bob Fosse tente le grand écart, et comme il ne sait pas qu’elle direction donner au ballet, il mélange tout et fait un patchwork où tous les éléments sont éparpillés à sa fantaisie. Scénario abscond pour ne pas dire inexistant, ça donne une suite de plans qui s’enchaînent sans trame logique. Par contre on sent beaucoup l’autobio-je-me-regarde-le-nombril-il-est-beau, derrière tout ce fourre-tout. Un personnage intéressant sur le papier, et plat à l’écran ; un chorégraphe qui prend de la drogue et qui trompe sa femme ? Comme c’est original !?! Roy Scheider dans un rôle de chorégraphe alors que ça se voit qu’il ne sait pas danser ?! Il est tout raide dès qu’il s’agit de faire le moindre pas. Jessica Lange dans un rôle invisible où elle ne fait que sourire, chorégraphies mal filmées, les danseurs ne sont pas mis en valeur, car le cadreur a comme le tournis et change tout le temps les angles de ses plans. Il filme ça comme une comédie musicale, avec pleins de cut hasardeux alors que c’est un film qu’on est censé avoir sous les yeux. Et puis surtout ennuyeux dû au manque d’histoire, justement. Long et ennuyeux. Montage décousu qui a du faire de l’effet en 1980, mais le temps à passé depuis. Palme d’or vous dites ? C’est loin d’être un gage de qualité la preuve. On les a presque toutes oubliées, et celle-là ne vaut même pas la peine d’insister.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    249 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2008
    Décidément 1 beau film : et comment rater tous ces danseurs doués doués d'improvisation & la musique agréable qui change de l'autre malgré les matins, et il est vrai tous ces gens qui feraient croire que B.Francklin s'éclairait à la bougie ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 février 2010
    Brillant et original, très bien réalisé et interprété, ce film est un chef-d'oeuvre.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2017
    J’avais 20 ans quand je l’ai vu dès sa sortie. Le seul souvenir qui me reste après plus de 30 ans, c’est la bande originale que j’écoutais en boucle dans ma voiture, une cassette usée jusqu’à la corde dans mon auto-radio. Puis plus rien. L’oubli hormis un souvenir diffus et deux noms : « All That Jazz » et Roy Scheider. Sur TMC, je me décide à le revoir. J’avais bien quelques séquences dans la tête mais c'était vraiment diffus ; par contre, ma mémoire ne me fit aucun défaut pour les morceaux musicaux même si je n’arrivais pas toujours à les anticiper. Bref, je redécouvre le film avec ma cinquantaine bien sonnée ! Et là, le choc : excellent ! A commencer par le montage, par sa structure narrative judicieuse, subtile, énergique mais en aucun cas labyrinthique. Je peux comprendre que cela peut dérouter. Et pourtant, en achetant de suite après le DVD et le revoyant un mois après, le montage me paraît des plus fluides. L’interprétation de Roy Scheider, ambassadeur spirituel de Bob Fosse le temps du film, est dans la peau de Joe Gideon ; tout énergie, une énergie sans limite, une énergie vouée à son art, à ses arts puisqu’il n’est pas que chorégraphe, une énergie sacerdotale ! Une énergie aussi tronquée, artificielle car dopée aux amphétamines, au tabac, à l’alcool ; carburants apparemment essentiels pour rester debout et mener une vie à plus de cent à l’heure ; pour jongler entre l’art et les femmes ; pour alimenter son imagination ; pour se relancer en cas de doute ; pour pousser le moteur au-delà des limites qu’il refuse de s’imposer. Roy Scheider est terriblement crédible dans ce rôle de « Bob Fosse », une ressemblance physique au plus près, loin de sa double interprétation « Des dents de la mer »et autres thrillers de bonnes factures. On le sent épuisé, laminé, l’énergie en lambeaux mais debout et optimiste. Et dans le déni surtout ! Le film que Joe Gideon visionne en salle de montage parle d’un artiste du stand-up. Celui-ci évoque la mort en cinq étapes : " la colère, le refus, le marchandage, la dépression et l’acceptation". Gideon sera confronté à ces cinq étapes. C’est l’objet de son entretien avec l’Ange interprétée par Jessica Lange, vaporeuse, aérienne, légère mais sans concession. Gideon finira par céder. L’Ange l’écoute « narrer défiler » sa vie et ses derniers instants. On suit Gideon grâce à un montage subtil, tantôt avec l’Ange, tantôt dans son présent-passé, tantôt dans son comas. Enfin, la chorégraphie avec cette bande son jazz emportée. Survoltée et audacieusement érotisante présentée à des producteurs gênés, en sueur, un brin conquis. Et il y a ces tableaux qui illustrent les vices de sa vie, si tant est ce sont des vices ; son opération à coeur ouvert avec des danseuses en combinaison chair imprimée de veines et d’artères. Mini ballets souvent interprétées par sa femme, sa fille et sa maîtresse et les femmes qu’il a aimé. Tableaux qui se succèdent comme un reproche, comme un constat.  Bob Fosse met en scène, en musique, en danse, la transcription de ses visions suite à son infarctus après son film « Lenny » cinq ans auparavant. Il va jusqu’à y placer son ex-femme, Leland Palmer (Audrey) et sa maîtresse du moment, Ann Reinking (Kate) dans les bras de Roy Scheider ! Une comédie musicale métaphysique, onirique, où la mort, sa propre mort est mise en scène, celle en laquelle il a cru, celle qui l’espérera voir... malheureusement sept ans après ! Une comédie musicale qui par son sujet, est à sa manière originale voire audacieuse. Un sujet qui n’a rien de morbide, rien de joyeux pour autant. C’est une comédie musicale qui permet d’apprivoiser, d’accepter sa mort par palier : "la colère, le refus, le marchandage, la dépression et l’acceptation". Et l’acceptation sera traduit par un ballet final où Gideon chantera, dansera un « bye bye » émouvant ; un bye bye à ses vices, à sa femme, à sa fille Michelle, (merveilleuse Erzsebet Foldi), à sa maîtresse et aux femmes qui l’ont aimé. Un final qui égratignera au passage l’hypocrisie du show business. « All That Jazz » est à voir en V.O évidemment. Allez-y franchement : « Que le spectacle commence » pour vous si vous ne l’avez pas encore découvert…
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    “All that jazz”, à défaut d’être un film parfait, constitue certainement un évènement unique dans l’histoire du cinéma. Bob Fosse chorégraphe idolâtré de la scène new yorkaise, dans un film prémonitoire se livre quelques huit ans avant sa mort à son propre testament artistique et personnel. La courte filmographie de Bob Fosse qui s’étale de l969 (« Sweet Charity ») à 1983 (« Star 80 ») n’aura eu comme seul thème que le monde du spectacle qu’il connaissait si bien et pour lequel il se consumait. Le choix de Roy Scheider pour tenir le rôle de Joe Gideon alter ego de Fosse dans le film n’était pas évident au regard du passé de Scheider plus habitué à jouer les durs implacables que les danseurs tourmentés. Ce choix de casting s’avère payant même s’il est dommage que le numéro final où Fosse demande à Scheider de chanter et de danser soit à la limite du ridicule alors que tout avait été jusqu'alors parfaitement orchestré pour préserver la crédibilité du personnage. Le dialogue avec la mort représentée par une Jessica Lange qui vous fait tout d’un coup envisager l’issue fatale plus sereinement est un joli parti pris scénaristique qui permet à Fosse de faire son introspection de manière poétique et pas trop pesante. Les différentes alertes lancées par la belle Jessica ne calment en rien la passion dévorante de Gideon pour son métier et l’on peut voir dans les prises successives de « dexedrine » sous la douche, rythmées par le premier mouvement du concerto « alla rustica » de Vivaldi (concerto grosso in G Minor RV578), l’aveu d’une tentation suicidaire plus ou moins assumée. A ce sujet, ce n’est sans doute pas pour rien que Fosse a prêté la figure de la diaphane Jessica Lange à l’archange de la mort. Gideon comme Fosse aura utilisé son métier comme prétexte à l’assouvissement de toutes ses pulsions qu’il fait passer avant ses relations avec celles qui l’aiment. C’est un égoïsme effréné décrit comme le prix à payer à la création que met en scène Bob Fosse et c’est comme pour s’excuser de cet hédonisme débordant qu’il s’octroie dans un dernier souffle à travers le baiser à la vieille femme mourante, un don de soi qu’il n’aura pas su offrir sur terre. Esthétiquement les numéros de danse sont parfaitement exécutés notamment le duo dans l’appartement de Gideon entre sa fille et sa maîtresse. Enfin on peut remarquer un hommage de Fosse à son film précédant « Lenny » dont il place allégoriquement la mise en scène en train de se faire en insert dans plusieurs scènes. Un très beau film, foisonnant qui mérite certainement sa Palme d’or à Cannes en 1979 à côté du « Kagemusha » d'Akira Kurosawa. Fosse ne pouvait certainement pas rêver plus belle reconnaissance que de se trouver récompensé à côté du maitre japonais.
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2016
    Il y a des très bonnes choses là-dedans, notamment quand Bob Fosse se moque de la censure, quand Schneider assure franchement sa paillardise ou quand l'auteur pose un regard désabusé sur le show-biz... Et puis la direction d'acteurs est exceptionnelle (les chorégraphes sont toujours d'excellents directeurs d'acteurs), Schneider étant fabuleux dans le rôle de Gedeon. Malheureusement il y a aussi tout ce qui ne va pas, une chorégraphie assez moyenne, une bande son qui n'a rien de géniale, quelques scènes lassantes et surtout un final interminable… et comme il n'y a aucune tension on est parfois à la limite de l'ennui. On est bien loin de "Cabaret".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2007
    Voici un film extraordinaire, la mort y est omniprésente sans être voulue pesante ni ennuyeuse. Les comédiens sont justes et le film est tout simplement excellent.

    Ce film mérite entierement sa palme d'or (1980), ésperont que la mort ressemble à ça, ce serait si joyeux !

    Bravo Mr. Fosse pour votre talent !
    Tiger V.
    Tiger V.

    76 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    Un film de danse pas terrible sur le plan social de la danse mais montre une réalité d'un homme qui doit gérer sa vie entre ses nombreuses répétitions et sa famille. Un scénario très simplet et facile à comprendre. L'acteur principal est pas mal du tout dans son rôle avec ses manières d'agir, le reste des acteurs est assez satisfaisant. Personnellement, je trouve que la chorégraphie des danses n'est pas très recherché par rapport à ce que j'ai déjà vu. On sent bien l'impression d'une vie très occupée et difficile du personnage principal. Quelques dialogues sont pas mal comme du genre "tu ne seras pas une bonne danseuse, mais je peux te faire devenir une meilleure danseuse". Des décors et des costumes simples. Un film de spectacle assez moyen dans l'ensemble.
    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2020
    Palme d'or à Cannes en 1980 (et 4 Oscars techniques), voilà l'avant dernier film de Bob Fosse. Une nouvelle fois réalisateur, scénariste et chorégraphe, c'est de sa propre vie dont il nous parle, librement, ici. Épuisé par une vie de travail acharné, d'abus de drogues et d'alcool et de conquêtes féminines, il avait déjà eu une attaque cardiaque sur le tournage de Lenny. Même si les numéros musicaux sont superbes, All that jazz (Que le spectacle commence en VF) est surtout un film qui parle de cela et de la mort. Celle-ci est d'ailleurs incarnée par une Jessica Lange au début de sa carrière (son deuxième film après King Kong). Je n'ai pas accroché aux premières scènes mais très vite le tout devient fascinant. La mise en scène est brillante et l'interprétation convaincante (Roy Scheider époustouflant). Techniquement cela peut paraitre daté et kitsch mais ça passe parfaitement. Au final, une belle réflexion sur la vie d'artiste (qu'on soit méga star ou qu'on galère) et sur la mort.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2022
    Un chorégraphe talentueux de Broadway s'offre un baisser de rideaux à l'image de sa vie, qui ne fut qu'un show flamboyant et exaltant mais aussi mortel, porté par l'interprétation exaltante de Roy Scheider.
    It's showtime folks ! 3,25
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 731 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2019
    Malgré quelques redites le tourbillon baroque de ce film nous entraîne si on accepte de se faire emporter par un double tempo, d'abord multicolore et enlevé pour illustrer la créativité du protagoniste - interprété avec force émotions par Roy Scheider - puis pudiquement tragique pour manifester la route inéluctablement létale de cet homme incapable de modérer ses désirs. Douloureusement virevoltant.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2017
    Film testament et autobiographique de Bob Fosse, ALL THAT JAZZ se présente sous la forme d’une comédie ( ?) musicale érotique, brillante, passionnée et douloureuse, que réalise un directeur fou de son art, de ses addictions (drogue, alcool, tabac, travail) et des femmes qu’il aime et maltraite à la folie. Cette œuvre unique, comparable à nulle autre, dépeint dans ses excès la mort d’un art qui se consume dans les dérives de la consommation à outrance. « Showtime » répète le cinéaste à chaque matin d’un nouveau jour de création, entrainé jusqu’à la fois de trop.
    Inspiré du 8 ½ de Fellini, Fosse livre une réflexion plus désabusée que le maître italien qui se contentait de photographier et analyser un état de fait. Ici, notre monde en décomposition est le résultat de notre volonté de tout faire mieux tout le temps (prémonitoire pour Hollywood qui, à l’image de la civilisation occidentale, à force de surenchère, s’est perdu dans la superficialité, l’argent devenant à la fois le seul moteur et l’unique objectif). Dans cet enfer de Dante, pavé de bonnes intentions, Dieu que les femmes y sont sublimes, Fosse s’excusant sans doute une dernière fois de les avoirs si mal traitées au cours de sa vie.
    Cette œuvre extrêmement ambitieuse, illustrée par des chorégraphies aussi performantes qu’innovantes (Fosse fut sans doute le plus grand), est portée par un Roy Scheider habité (le rôle de sa vie) et une pellicule magnifique du grand Giuseppe Rotunno (photographe de Fellini et Visconti, entre autres). Ce renouveau de la comédie musicale s’arrêtera hélas à ce seul opus, la voie ouverte par Fosse n’ayant donné lieu à aucune continuité au cinéma.
    S’il remporta la palme d’or à cannes ex-eco avec KAGEMUSHA d’Akira Kurosawa, il perdit l’oscar du meilleur film et meilleur réalisateur (comme APOCALYPSE NOW et Francis Ford Coppola) face à KRAMER VS KRAMER, bon petit film propret et sans grand intérêt de Robert Benton qui, comparé aux deux autres, paraît plus proche du fast food que des chef étoilés!
    Fosse réalisera 4 ans plus tard STAR 80. Dommage.
    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    Je n'ai pas du tout aimé. Le chorégraphe qui ne pense qu'au sexe, c'est vite lourd. Il doit valider des projets pourris qu'il trouve -lui aussi- pourri. Il s'adresse souvent en flash back à sa conscience / thérapeute. Le film est décousu et part dans tous les sens avec un montage chaotique. On assiste à quelques uns de ses délires lorsqu'il est dans une sorte de coma... Je n'ai rien aimé, trop de bazard et de singeries dans les chorégraphies avec des costumes pas terribles. Nul !
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