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    Restless
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    3,8
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    238 critiques spectateurs

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    lorenzo fly
    lorenzo fly

    17 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2012
    Restless est un film plat, sans charisme, particulièrement ennuyeux et "nian-nian". Une mise en scène pauvre pour un film peu attractif.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 novembre 2011
    Ma critique de Restless :
    http://tedsifflera3fois.com/2011/09/29/restless-critique/
    ArnoRuoms
    ArnoRuoms

    9 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2013
    La romance morbide entre deux adolescents fascinés par la mort. Le film se révèle simplet mais très touchant et sensible grâce à Henry Hopper et Mia Wasikowska, tous deux, magnifiques (...) Néanmoins, c’est le film le plus faible de Gus Van Sant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 avril 2012
    Gus Van Sant évoque ici des thèmes intemporels tels que l'amour et la mort , je trouve qu' il filme et raconte cette histoire avec une poésie discrète . Le duo est en parfaite alchimie .
    reymi586
    reymi586

    402 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2011
    Je n'ai pas vraiment accroché à cette histoire. C'est très triste mais ça ne m'a pas touché plus que ça. J'ai trouvé que Denis Hooper dégageait quelque chose de spécial, il peut faire une grande carrière. Mais Mia Wasikowska ne m'a pas convaincu. Donc un peu déçu par Gus Van Sant qui est un de mes réalisateurs préférés. Par contre une super BO!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 septembre 2011
    Très bon film de Gus Van Sant, qui pose ici sa caméra sur la relation intime, naissante et déjà évanescente, d'Annabel (Mia Wasikowska, splendide) et d'Enoch (Henry Hopper). L'une est malade, en phase terminale d'un cancer, l'autre dépressif-suicidaire, depuis que ses parents sont morts dans un accident de voiture, qui lui a lui-même coûté quelques minutes de "mort". C'est donc bien sur la mort et la manière dont ils l'appréhendent qu'Annabel et Enoch se trouvent, se rejoignent et se lient ; mais sur le vide de ce creux noir, Restless, aérien, ne s'appesantit pas en sonneries larmoyantes, misérabilistes ou simplement empathiques. Le point fort de Restless, c'est qu'il prend le parti de ne jamais pleurer : le choix de la vie, le choix de quelque chose plutôt que rien.



    La perspective est même radicale (pour un film qui ne livre aucune radicalité dans l'image, aucune emphase, aucune démesure, ni aucune âpreté d'ailleurs) : la mort, que les deux amants ne connaissent que trop bien, n'est prétexte à aucune commisération, mais, tout au contraire, sujette au détournement et au rire (cf. la scène fantastique où les deux personnages principaux miment, théâtralisent et ironisent la mort d'Annabel). La mort, omniprésente - sous la forme d'une menace imminente ou d'un dédoublement psychique (le fantôme Hiroshi, Ryo Kase) - n'est plus un objet de crainte depuis longtemps, mais un compagnon de vie, et un tremplin vers l'amour. La mort n'est pas moquée (ce qui signifierait encore qu'elle est crainte) dans Restless, elle n'est pas rendue futile, incrédible ou inconsistante ; elle est trop présente pour cela. En revanche, elle est supplantée, transfigurée, métamorphosée dans quelque chose qui doit définitivement la dépasser. Restless n'oublie pas la mort par excès d'insouciance, mais intensifie la vie pour la vaincre.



    Van Sant filme l'automne de Portland à la perfection, laisse onduler sa caméra avec le vent et entre les feuilles de paysages d'un autre temps, passé, et à venir. Aurifère et nuageuse, l'image de Restless est portée par une grâce simple et lumineuse, qu'on voit bien rarement au cinéma. Dans cet autre temps et sous ces teintes merveilleuses, la maladie et la disparition s'estompent pour laisser place aux regards d'une tristesse et d'une joie infinie (précisément, le film joue, par sa radicalité, sur un fil tendu, tel un funambule : est-on capable de supporter une telle relation amoureuse, vouée à une disparition presque immédiate ? La "crise" du film tient là-dedans : Enoch, qui paraissait distant, cynique par rapport à la mort, ne peut pas "sup-porter" un tel poids).



    On peut légitimement tomber in love with Mia Wasikowska (malgré son nom, donc) tant son personnage, sublime au sens fort, mêle beauté éphémère, désir de vivre et fragilité suprême. L'actrice, moyenne dans Alice (qui relevait certes de la purge), livre ici une partition parfaite, dans un film qui l'est presque autant. Zou, 16/20.

    Toutes les critiques sur le Tching's Ciné bien sûr :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    MC feely
    MC feely

    73 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 septembre 2014
    Une production anti dramaturgie,anti pathos c'est vrai!Gus van sant à choisi la positive attitude malgré le cancer qui ronge cette adolescente.En faite je suis extrêmement partagé car je respecte le réalisateur d'avoir exploré cette originalité surtout sur le sujet de la maladie, mais quand même ça manque trop de cohérence et de crédibilité par moment,l'adolescente n'a aucune crainte de la mort ni même de moment de souffrance qui est quand même légion lors d'un cancer!tout ça a été survolé c'est un choix,mais pour le coup ça manque quand même d'émotion,un peu trop fleur bleue…2,5/5
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 novembre 2016
    Ça aurait pu être bouleversant, le film racontant les dernières semaines de vie d’une jeune fille atteinte d’un cancer au cerveau, partagées avec un jeune homme orphelin (ayant survécu à l’accident de voiture qui a tué ses parents). spoiler: Elle est passionnée par l’œuvre de Charles Darwin et la zoologie tandis que lui, fréquente les enterrements et parle au fantôme d’un aviateur japonais kamikaze mort en 1941
    . Malheureusement, des scènes inutiles ou incompréhensibles nuisent à l’histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 avril 2016
    Comment dire quand on est extrêmement déçu d'un film ? Il n'y a rien d'original, que du déjà-vu... Une histoire d'amour et une histoire de cancer, les deux ne "veulent" pas tomber amoureux mais le sont quand même... Et la maladie passe par là. Voila. Je pensais que ces acteurs là allaient apportés un vent de fraicheur, mais c'en plus au final. Déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 janvier 2013
    Absolument bouleversant et magnifique à la fois. Ce film, son sujet, m'ont captivé et touché !!
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    592 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2011
    De "Restless", la dernière réalisation de Gus Van Sant, s'émane une grande poésie, à la fois calme et douce, cumulant une acceptation de la mort dans un amour naissant. L'histoire, sous un fond quelque peu macabre et triste, est celle d'un jeune homme déscolarisé (Henry Hopper, fils du grand acteur!) qui s'amuse à se rendre à des funérailles d'inconnus, où il rencontre ainsi Annabel (Mia Wasikowska, la Alice de Tim Burton) avec qui il va nouer une complicité singulière car cette dernière apprend qu'il ne lui reste plus que trois mois à vivre... Avec une bonne dose de douceur simple dans la réalisation (pas de montée d'adrénaline exagéré, ni de musique à faire à chialer) et des acteurs de talents (les deux forment un couple exquis et touchant), on apprend à accepter le sort funeste qui attend ce couple peu banal comme le font les personnages autour d'Annabel. Le personnage de Hopper, très décalé dans son allure vestimentaire mais aussi dans son vécu, est très bien approfondi et présenté au cours du film ; on y découvre un être sensible et renfermé qui ne peut que s'attacher à cette fille si proche de la mort, mais tellement optimiste et vive face au temps qui lui reste. Seule la partie avec le fantôme laisse un peu plus dubitatif, complexifiant le personnage et sa relation au monde, mais sa présence est aussi très bien traduite. L'hymne à la vie que dresse Van Sant ne manque pas d'humour, parsemé en délicatesse, allant même jusqu'à se moquer des scènes "tristes" où l'on fond en larmes d'habitude. Ici, c'est beau, simple et nette sans sombrer dans le pathos. Les sentiments sont évidents, les acteurs sont simples (les seconds rôles, d'une discrétion volontaire, partagent des moments forts), le regard sur la vie et ce qui s'en suit est ouvert et lumineux. Et bien que la guitare acoustique soit un peu trop présente à mon gout, l'histoire est touchante, belle et légère.
    selenie
    selenie

    5 443 abonnés 6 017 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2011
    Pourquoi tant de critiques dythirambiques ?! Gus Van Sant réussit à installer son histoire avec intelligence et subtilité. Les deux interprètes restent avant tout le bonus premier du film tant ils sont charmants et forment un couple en osmose ; la similarité physique donne un miroir étonnant entre les deux. Cependant on reste déçu surtout parce qu'au final le réalisateur ne va pas au fond des choses et notamment dans le morbide (à la base du personnage quand même) surtout du point de vue de Enoch (joué par le fils de Dennis Hopper). Ce film reste un magnifique poème filmé avec un couple angélique comme symbole de l'amour éphémère. Beau et triste mais trop en surface.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 810 abonnés 3 957 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2011
    Je n'attendais pas spécialement ce Restless, même si j'adore le cinéma de GVS, et ceci même si la bande annonce fait diablement envie, toujours est il que j'y suis allé, et que j'ai adoré, alors le film n'est pas parfait, j'y reviendrai, mais il possède une grande force : le film est comme une caresse mortelle, quelque de chose de doux, morbide, drôle, poétique… Ce que je n'aime pas, c'est une ou deux scènes qui viennent briser cette douceur très surprenante, c'est lorsque le mec se met à crier, pour moi ça ne colle pas avec le ton du film, c'est je pense une maladresse.
    Alors il faut saluer la prestation de Mia Wasikowska, délicieuse, avec ses airs de Jean Seberg, son air toujours enjoué malgré sa maladie est l'une des forces du film, ça change vraiment, ça donne une grande légèreté à ce film qui pourrait être lourdingue traité autrement. Là c'est comme se laisser porter sur un nuage juste avant de mourir.;
    Toutes les scènes ne sont pas égales malheureusement, mais il y a des vrais idées, je pense à la scène détournant le cliché du couple trouvant des formes dans les nuages, ici ils s'imaginent qui se trouve dans les caissons à la morgue, c'est drôle, mignon, beau, mais aussi très glauque et morbide. Et le film est comme ça tout le long durant.
    Et contrairement à la guerre est déclarée (autre très bon film mêlant comédie et drame récent), il n'y a pas une scène où on rit et une autre après où on pleure, GVS arrive à mettre les deux dans la même scène, on pleure, parce que oui quelque part c'est triste, mais en même temps c'est tellement fin et drôle, ce mélange des émotions est vraiment intéressante.
    Un bon film.
    ffred
    ffred

    1 501 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2011
    Avec Paranoid Park et Milk j’avais cru perdre à jamais Gus Van sant. Comme on perd des metteurs en scène en route parfois. Mais non, il est de retour. Et avec tellement de bonheur (ou de malheur devrais-je dire !). Restless est tout simplement un petit bijou, chef d’œuvre de tendresse, d’amour et de mort. Pourtant cela partait mal, je n’aimais pas les premières minutes et m’attendais au pire comme pour ses deux précédents films. Et tout d’un coup (à la présentation des parents au cimetière exactement) : ding ! La magie est arrivée, les vannes se sont ouvertes, et ne se sont pas refermées...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/
    Sylvain P
    Sylvain P

    301 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2011
    Un petit Gus Van Sant est toujours au dessus de la moyenne. Là où la Love Story de Arthur Hiller était uniquement larmoyante, Restless fait toujours des contrastes avec l'humour et la réflexion sur la mort. Les 2 jeunes amoureux sont tout mignons et Portland est encore une fois une ville inspirante. On ne peut pas comparer Restless aux chefs d'oeuvre du maître (Paranoïd Park, Elephant...) mais pourquoi bouder une bonne comédie romantique.
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