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    Restless
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    238 critiques spectateurs

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    Alasky
    Alasky

    286 abonnés 3 082 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2013
    Rien d'incontournable, le scénario est inconsistant; disons que ça se regarde seulement s'il n'y a rien d'autre. Le jeu des jeunes acteurs est juste mais j'ai une scoliose rien qu'en regardant Mia Wasikowska trop longtemps.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    186 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mai 2012
    On a aimé le Gus Van Sant intello et conceptuel qui exigeait de son spectateur attention et ouverture d'esprit, on a aimé le Gus Van Sant efficace au service de fictions hollywoodiennes qu'il enrichissait de sa mise en scène légère et généreuse, on a aimé le Gus Van Sant qui filme les adolescents avec une justesse que peu de cinéastes ont jamais atteinte, mais peut-être qu'on aime encore plus le Gus Van Sant de "Restless", film enchanteur sur le sujet le plus casse-gueule qui soit, une sorte de "Love Story" chez les ados dépressifs ! 1h30 de pur plaisir, chaque scène nous apportant de manière toujours surprenante de nouveaux délices de sensibilité, tout en conférant une élégance pop un peu décavée aux moindres gestes de ses deux héros : Henry Hopper, formidable version jeune de son père Dennis, et Mia Wasikowska troublante. Doux mais finalement implacable, "Restless" se conclut de manière déchirante grâce au personnage du kamikaze fantôme, qui apporte un éclairage différent à ce petit jeu avec la mort que l'on pensait complètement circonscrit par les poncifs habituels du ciné US. Et si ce film discret - comme on dit - s'avérait à la longue l'un des tous meilleurs Van Sant ?
    cristal
    cristal

    165 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2011
    C'est comme un film de notre jeunesse qu'apparaît Restless et son temps indécis, entre un fantôme japonais de Nagasaki, quelques plans modernes de la banlieue de Portland, des archives de la bombe atomique et des extérieurs automnals évoquant un romantisme en dehors de l'époque initialement résumée, celle de nos propres jours. Design vintage pour les costumes, comédiens perdus dans un rêve d'amour, absence d'outils contemporains (ni télé ni portable, ni ordinateur), Restless refuse toute modernité dans son esprit tout en étant techniquement très conscient de son état et de son éclat loin d'être rétro. Van Sant évite toute superficialité de la modernité mais montre les enjeux actuels de la romance dans ses symboles cruciaux ou, tout du moins, justifiables (une IRM en guise de repère médical remplace l'ordinateur et son indice sociologique).



    Ce que cherche Gus Van Sant ici, c'est atteindre l'essentiel avec simplicité, sans aucune surenchère, et il y parvient magnifiquement ; à rien ne sert d'insister sur la position sociale de ces deux jeunes paumés ivres d'amour et de fascination morbide. A rien ne sert d'éviter la naïveté là où elle s'impose, tout autant qu'il ne sert à rien de psychologiser, d'expliquer le passé, ou de justifier l'irrationnel. Les symboles du film, aussi stupides en apparence qu'un fantôme en guise de meilleur ami, deviennent pourtant le meilleur moyen de créer un univers sincère où un simple changement d'angle dans une même séquence nous indique qu'il s'agit de l'imagination du protagoniste. Jamais n'avait-on vu chez Van Sant un tel dépouillement des moyens, une telle simplicité du point de vue et une telle théorie de l'astuce ; ellipse, équilibre de tons, atmosphères uniquement créées par le choix des décors et la direction des comédiens, sourires en coin, tendresse des couleurs.



    Restless est un petit film de rien du tout qui montre de quelle profondeur peut être forgé un film malgré sa légèreté et sa discrétion technique. Cela en est d'autant plus sain et rassurant que la pensée formelle est aujourd'hui devenue au cinéma, plutôt que d'être discrète ou au contraire de prendre l'apparence véritable d'une obsession, un véritable palliatif à la substance de fond. Chez Van Sant, grand essayiste de la forme s'il en est, celle-ci devient la substance, et le fond est donc elle-même la forme. Plus simple, moins cérébral et donc plus touchant, Restless oublie les grandes ambitions cinématographiques de son auteur, perd aussi la puissance qu'on lui a souvent connu, mais il y gagne en revanche à être plus humain, plus accessible et direct. Van Sant ne s'embarrasse pas d'obsessions, on dirait que le film vient à l'écran comme il est venu à son auteur, Jason Lew. On voit aussi qu'en refusant d'intellectualiser le propos par la mise en scène ou l'excès de background, celui-ci a su rester limpide, serein et si évident.



    La sensation d'assister à une étrange parenthèse renforce la perception d'être toutefois bel et bien chez Gus Van Sant ; le temps n'existe pas et, qu'il s'agisse des couloirs répétés d'Elephant à la lente chronologie inversée de Paranoïd Park, jusqu'à admettre ici que Restless commence comme si l'histoire et le film avaient déjà existé quelquepart auparavant, ce temps-là berce son cinéma d'illusions, de sensations, d'émotions. Curieusement joyeux, évitant toute cruauté ou mauvais goût, Restless se regarde comme un mélodrame lumineux et non comme une tragédie morbide ; la mort est auscultée et poétisée au-delà de ses tabous (comment filmer un cadavre dans son cercueil? En le filmant, pardi!), le plus souvent dans des tonalités chaudes ou reflétant la lumière, et c'est dans ce refus du cliché visuel macabre ou de l'émotion malsaine que cette dernière s'épanouit, débarrassée de son dangereux apparat funeste et mélodramatique. Van Sant ne pousse rien, ne cherche rien, il filme un matériau génial, celui d'une histoire d'amour entre deux personnes et en fait une oeuvre mûre et singulière, faite dans la plus pure simplicité et la plus grande pudeur ; cette approche à priori si légère est fondamentalement douée pour révéler les profondeurs de l'existence et de la beauté.
    Aulanius
    Aulanius

    175 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2012
    "Elephant" était un chef d'œuvre. "Paranoïd Park" était surprenant. "Will Hunting" était quant à lui émouvant mais de la plus belle des manière. "Restless" représente, à mes yeux", une baise de régime de la part de Gus Van Sant, qui faisait partie des meilleurs réalisateurs au monde. Même s'il n'est pas mauvais, j'ai senti que ce n'était plus vraiment ça. Une histoire de romance, on a connu plu original comme sujet même si la façon dont elle est amenée est sympathique. Les plans et la musique sont réussis (normal c'est du Elliott Smith, les connaisseurs comprendront). Mais pour les acteurs, je suis mitigé car Mia Wasikowska est vraiment superbe mais Henry Hopper laisse carrément à désirer. On la plus choisi pour sa "gueule" qu'autre chose car il n'a pas de talent (c'est un avis personnel). Autre chose qui m'a dérangé, cet esprit enfantin qui revient sans cesse. Alors, je veux bien 5 minutes, c'est mignon et bla bla bla mais bon quand c'est pendant plus d'une heure et demie, on se lasse vite. Après, il est vrai que niveau photographie, paysage, l'ami imaginaire et tout ça, c'est au top, comme d'habitude mais ça ne fait pas tout hélas. Je veux dire par là que ce drame aurait pu être magnifique et au final, je reste sur ma faim. Il manque ce petit quelque chose qui fait la différence. 13/20.
    Parkko
    Parkko

    135 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 septembre 2011
    Le film est presque horripilant. Tant de maniérisme dans les dialogues et la mise en scène finissent par agacer plus qu'autre chose. Ce fragile écrin cache, qui plus est, un film où le scénario se révèle être très pauvre et où la mise en scène déçoit de la part d'un Gus Van Sant.
    Qui plus est, je n'ai pas été ému. Non, je ne suis pas insensible, mais je pense que le côté très minutieux a pu y jouer, comme je disais en début de ma critique, c'est franchement pénible à la fin. Bref, j'ai pas franchement aimé.
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2011
    Très bizarre élément dans la filmographie de Gus van Sant. Est-il tombé amoureux pour faire ainsi une régression dans l'adolescence ? son film n'est pas le premier à évoquer les amours condamnées, et vu ce dont il est capable, c'est étonnant qu'il ait commis cette jolie petite chose assez insignifiante. Ok on peut vivre mille fois plus intensément en vingt ans qu'en cent. Ok, les morts continuent à nous accompagner tout au long de notre vie. Ok, si on est en vie alors qu'on a croisé la grande faucheuse, c'est qu'il y a une bonne raison. Mais il y avait des tas d'autres façon de dire ça, avec plus de profondeur, et même avec plus d'émotion. Quant à la mise en scène elle est totalement plate. Il nous reste des moments de poésie et la contemplation d'Henry Hopper déjà beau comme un dieu.
    Fabien D
    Fabien D

    167 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2011
    Le dernier film de Gus Van Sant, loin des expérimentations d'Elephant ou de Paranoid park, continue de sonder l'adolescence et ses contradictions à travers deux personnages dont la mort fait partie intégrante de leur vie. Sur un sujet casse gueule, prétexte au pire débordement lacrymale, le réalisateur de Will Hunting livre une oeuvre subtile et pudique, pleine d'humour et de poésie (le personnage réjouissant du fantôme japonais y est pour beaucoup). Les deux acteurs principaux sont très talentueux et loin d'être un simple mélo à la Love Story, Restless devient une parabole intelligente et original sur l'acception de la mort. Un beau film, simple et apaisant, drôle et triste à la fois mis en scène avec délicatesse. On est pas loin de la bluette mais tout est transcendé par l'intelligence d'un traitement plutôt novateur. Un bon cru signé Gus Van Sant.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    94 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2012
    Un regard tout en tendresse de GVS pour filmer cette histoire d'amour à la fin inéluctable et bien que ce sujet est été maintes fois traité, il tire son originalité avec Henry Hopper qui a su jouer cet enfant perturbé avec beaucoup de finesse (son papa aurait été fier) mais aussi l'irrésistible personnage secondaire du kamikaze et une mise en scène impeccable. Un joli film sans être exceptionnel où il faut tout de même noter cette nouvelle collaboration avec Danny Elfman et ses doigts magiques pour nous montrer une fois de plus la belle paire qu'ils forment à eux deux...
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    82 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2013
    Il a la vie devant lui pourtant Enoch est un jeune homme davantage intéressé par les morts que par les vivants depuis que ses parents se sont tués dans un accident de la route, c’est tout le contraire pour Annabel qui, malgré son cancer en phase terminal, a su garder un regard innocent et curieux sur le monde. Gus Van Sant reprenant l’une de ses deux thématiques fétiches il n’y a rien de surprenant là-dedans et malgré cela il s’arrange encore une fois pour ne pas refaire le même film. Ici il réunit les deux, la mort et l’adolescence pour cette touchante histoire d’amour entre deux âmes brisées par des évènements tragiques. La véritable force de ce long-métrage reste indubitablement ses interprètes principaux, en effet Mia Wasikowska (la Alice de Tim Burton) et Henry Hopper nous entrainent à travers cette jeunesse mélancolique et quelque peu morbide avec beaucoup de tendresse et de naïveté. La bande-originale, la photographie et la mise en scène sont très travaillées, on pourra néanmoins regretter que le scénario privilégie d’avantage les métaphores poétiques aux véritables émotions humaines. "Restless" ne restera pas comme l’une des œuvres majeures de la filmographie de Gus Van Sant mais c’est un film qu’il est bon de découvrir.
    belo28
    belo28

    62 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2011
    Un film archi classique loin de la patte de Van Sant, un scénario original et décalé loin du pathos habituel de Van Sant! En bref, un film de Van Sant sans Van Sant! Un film subtil à la fois drole et tragique, une ode à la vie par la mort.
    badgone88
    badgone88

    45 abonnés 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2012
    Ce que je craignais est arrivé. Une semaine après son visionnage, il ne me reste pas grand chose en tête : Restless ne m'a pas marqué comme je l'aurais espéré (c'était pourtant un de mes films prioritaires).

    Généralement bon client de ces films indépendants, encore plus quand il s'agit de Gus Van Sant, j'ai été déçu par l'ensemble du film. Au final, ce qui m'a plu, c'est tout ce qui se passe autour de nos deux personnages, et non pas ces personnages eux-mêmes. Et c'est bien ce qui pose problème.

    L'ambiance légère qui se dégage est très agréable, la lenteur du récit est également bien menée et nous plonge dans un état de béatitude. La photographie est magnifique et la BO qui rythme le film est juste impeccable. Les dialogues sont également bien sentis et les touches d'ironie, omniprésentes, sont croustillantes.

    Seulement voilà, la distance entre le couple et le spectateur est bien trop grande : j'ai eu beaucoup de mal à m'identifier à ces deux êtres, qui vivent dans leur bulle, coupés du monde. Même si leur histoire est un sujet grave, indissociable de la Mort, elle ne nous inspire que trop peu d'empathie et nous laisse un peu froid (c'est surtout le cas pour Annabel). Le plus intéressant reste la présence de cette tierce personne, le fantôme d'Enoch qui nous rapproche le plus de la Mort.

    Pourtant, je n'enlève en rien la performance des deux acteurs qui restent très bons. Et la capacité de GVS à manier sa caméra rend le film pas franchement désagréable à voir. L'esthétique a donc primé sur le scénario. D'où ma déception. En résumé : je ne suis pas rentré dans le trip.

    Cela dit, je ne m'inquiète pas du tout pour la suite de la carrière de GVS. Il a voulu réaliser un film personnel, c'est tout à son honneur. Mais je préfère de loin le Gus Van Sant engagé, dénonciateur, provocateur.
    WardStradlater
    WardStradlater

    46 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2012
    Difficile de juger un film comme ça en quelques mots. Restless parle de la mort, de la vie, de l'amour et de la haine, le tout savamment dosé et parfaitement maitrisé. Magnifiquement interprété, le film est une réflexion poussée sur notre société. Intelligemment écrit, il mélange mise en abime, et métalangage qui font vraiment plaisir à voir. Et pour ceux qui ne peuvent pas apercevoir cet aspect du film, il y a toujours la photographie et la beauté d'une histoire d'amour entre deux lycéens face à l'étendu de leurs sentiments.
    Klem_Bauer
    Klem_Bauer

    39 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2011
    A l'instar de La Guerre est déclarée qui traite de la maladie sans que ses personnages n'en parlent vraiment entre eux, Restless est un film sur la mort qui pourtant ne parle que de la vie. L'histoire est simple : une fille mourante rencontre un garçon fasciné par la mort. Le film joue beaucoup sur les oppositions et les paradoxes, qui embelissent cette rencontre : lui s'habille en noir, est fasciné par la mort, mais en a peur au fond, et n'ose pas vraiment en parler. Elle a goût pour la vie, les couleurs, mais pourtant elle est condamnée a mort et n'a aucun problème vis a vis de cette finalité. Lui est un mort vivant, elle est une vivante morte (dans 3 mois). Et c'est la qu'ils se retrouveront, dans des scènes lyriques sympathiques, et jamais trop exagérées. Il y a beaucoup de douceur et de poésie dans ce film, mais l'aspect atypique des personnages ne fait pas non plus de ce film une oeuvre irréaliste. Il y a du sexe, il y a une explication cohérente de la non-scolarité d'Enoch, et cela permet de ramener un peu le spectateur a la réalité afin de ne pas faire une overdose de lyrisme. La partie finale un peu plus conventionnelle marche cependant un peu moins bien, et l'émotion que suscite le film est souvent plutôt pudique que vive, ce qui est dommage. Mais a l'instar encore de La Guerre est Déclarée, le pathos est évité, et faire un film sur la mort parlant de la vie est une jolie expérience, surtout avec un duo d'acteurs pareil.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 septembre 2011
    En allant voir ce film, je jubilais déjà à l'idée que j'allais complètement DÉMONTER Gus Van Sant, réalisateur insupportable que je déteste. Déjà parce que ses films sont chiants à mourir, mais sutout parce qu'il passe pour faire du cinéma "indépendant" (oui, oui, bien sûr ! C'est super indépendant Gus Van Sant, d'ailleurs Dany Elfman qui compose ses musiques de films est un musicien complètement underground, vous saviez pas ?) DE PLUS, les gens croient qu'il fait des films avant-gardistes, qui feraient soi disant évoluer le cinéma, c'est ce qu'on a dit d'Elephant par exemple. Parce que suivre des ados attardés et les filmer de dos pendant vingt minutes, c'est vraiment novateur pour vous ? Bon, j'en reviens à Restless, qui, côté innovations, est plutôt timide. Le pitch de début, c'est exactement le même qu'Arnold et Maud ! Et puis l'ami imaginaire, tout ça c'est du vu et revu, les ados fascinés par la mort... Mais la façon dont ils l'appréhendent est assez judicieuse, je dois dire, parce qu'elle n'est pas triste (sauf par moments où il y a beaucoup - peut-être trop - d'émotion.) Et y a beaucoup de passages très drôles, plus on avance et plus il y a de trouvailles. Bref, ce film m'a plu. Donc, oui, Gus Van Sant ne fait pas que de la daube, mais c'est plutôt l'image qui l'entoure qui m'agace. C'est un des rares films de lui qui m'a plu, avec Mala Noche et Drugstore Cowboy.
    pandani
    pandani

    29 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2011
    Gus Van Sant filme avec un troublant équilibre entre maîtrise et naïveté cette touchante histoire magnifiquement incarnée Mia Wasikowska et Henry Hopper. Le film se conclut par l'une des plus belles scènes de fin que l'on ait vu au cinéma depuis longtemps.
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