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    L'Empire des Ombres
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    1,8
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    190 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 décembre 2013
    Le manque d'originalité dans la mise en scène handicape cet honnête film fantastique qui partait d'une bonne idée,mais il ne parvient pas à être aussi oppressant qu'il le voudrait, la faute donc à une réalisation déjà vu cent fois et des personnages aux réactions parfois é quelques acteurs chevronnés, ça ne décolle jamais vraiment, on suit l'histoire en se disant que l'on va bien finir par être enthousiasmé ou surpris par une idée, mais l'ensemble reste plat et linéaire, jusque son dénouement banalement prévisible.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 mai 2011
    Pas de début, pas d'histoire, pas de fin, aucun rebondissement, pas d'action ou autre joyeusetés du genre, des personnages creux et inintéressants, des trous dans le "scénario" de la taille d'un cratère d'obus ...
    On se demande vraiment qu'est ce qu'on fout ici, à regarder ce film ... enfin plutôt ce truc.
    C'est une bonne grosse daube ... rien d'intéressant, pas d'histoire, 1h30 de néant absolu.
    Kawaii Circus
    Kawaii Circus

    28 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2015
    C' est bon ça !
    C'est clair... (attention ! y'a une blague là) le film est très bon.
    Passons le refrain: "les décors, les costumes et les FX, ils sont supers"... Tous les films, aujourd'hui, n'ont plus à rougir de ces trois créneaux. De nos jours, les deux seuls points valant la peine de s'attarder sur un film sont le scénario et l'interprétation. Pour celui-ci, et afin de contrer certains avis, j' ajouterai qu'un film qui donne l'apparence de nous laisser sans réponse n'est pas nécessairement un navet... Pour info et sans dévoiler le déroulé du film, si vous aimez le genre "Oouuuh, qui qu'est dans le noir !?" avec un peu de réflexion derrière, admirez ce très beau film et visionnez également (entre autres): "la secte sans nom", "les autres" ou le superbe "l'orphelinat"...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 avril 2012
    Vraiment rien de formidable dans ce film, des acteurs à la réalisation en passant par l'intrigue ou le suspens. Que dire de la fin...
    ObiMat
    ObiMat

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juin 2011
    L'empire des ombres propose un pitch de départ intéressant qui est de suivre un groupe de survivants dans une ville de Détroit plongée dans le noir et dont l'ensemble des habitants semblent avoir disparus.
    Aprés une entame bien réussie où l'ambiance "fin du monde" est perceptible (voitures à l'abandon, rues désertes, etc...), le film s'enlise dans un huit clos interminable dans lequel les personnages tournent un peu en rond en trouvant refuge dans un bar qui dispose d'une source de lumière et de fait, l'histoire manque de rythme.Les rescapés ne cherchant pas vraiment à comprendre ce qui leur arrivent et c'est pourtant là qu'il y avait un réel potentiel.
    Le métrage a pourtant des points positifs comme le ton résolument sombre et le soin apporté aux ombres qui s'avère intriguante ainsi qu'un casting pas mauvais avec Hayden Christensen (Star Wars II et III), John Leguizamo (remake d'Assault sur le central 13) et Thandie Newton (Les chroniques de Riddick, Collision) qui essaye mais ne brille pas.
    Un film qu apparaît plus comme une réflexion psychologique sur le thème du "J'existe" à travers cette obscurité que réellement divertissant.
    L'ensemble aurait mérité un traitement plus approfondi et une fin plus aboutie.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Je ne sais pas vraiment quoi penser de ce film... Plusieurs réflexions y sont abordées, l'existence par exemple mais sans vraiment de justifications... Le déroulement est assez basique. Pour ma part je n'ai pas trouvé de suspense. C'est un peu longuet et sans fond.
    Perrine B.
    Perrine B.

    2 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juillet 2014
    Fear lives in the dark.
    Detroit, un matin comme les autres, Luke se lève et se prépare à aller travailler. Une fois dans la rue, il réalise que la ville est déserte : des véhicules sont abandonnés un peu partout, et des vêtements gisent comme si leurs occupants s’étaient volatilisés. En recherchant des survivants, il trouve un bar perdu alimenté par un groupe électrogène. Cet endroit sera le point de ralliement d’autres gens dans le même cas que lui. La menace vient de l’obscurité, qui est de plus en plus présente. Comment maintenir la lumière quand les ressources pour l’électricité diminuent à vue d’œil ?
    Sortie en DVD sans passer par la case cinéma dans notre pays pour cette série b américaine. On est clairement face à un film à petit budget, qui mise tout sur le huis-clos enfermant les quelques survivants au milieu des ombres rampantes prêtes à les engloutir. Le début est flippant comme il faut, le milieu un peu moins crédible ( spoiler: qu’est-ce que c’est que cette histoire de CROATAN jamais vraiment expliquée, et pourquoi ne pas mettre le feu aux bâtiments jusqu’à arriver où ils veulent ?
    ), et la fin heu… plutôt tirée par les cheveux. Le jeu d’acteur n’est pas vraiment au top non plus, on dirait qu’ils étaient pressés et n’avaient pas le temps de rejouer certaines scènes (Thandie Newton sonne spécialement faux). Bon, on ne s’attend pas à du grand cinéma, donc on reste indulgent et on peut quand même passer une petite soirée stressante devant sa télé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 mars 2013
    Ce film commence très bien, instaure un suspense quasi insoutenable, et se termine en eau de boudin... À noter que les Croatoan sont ( étaient plutôt ) une tribu amérindienne.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 juin 2011
    J'ai vraiment bien aimé ce film qui pourtant ne m'avait pas convaincu au début. Bien sûr ce n'est pas un chef d’œuvre, mais l'intrigue est relativement angoissante quand on apprécie le genre. Malheureusement une fin très décevante je trouve, c'est dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 mars 2013
    on a l'habitude de voir ce genre de film avec des morts-vivants;là ce sont des ombres:"brrrr"ça fait plus peur peut-être?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 juillet 2011
    Aïe aïe aïe... Je l'ai loué à l'aveuglette totale, trompé par les noms (Gerardmer, the Machinist, Hayden Christiensen, etc...), résultat des courses, une soirée de perdue.
    Super cheap, scénar nanar, bondieuseries en série, direction d'acteurs catastrophique, montage ni fait ni à faire, pas de rythme, pas de suspense, pas de tension... dommage pour un film d'apocalypse.
    Et dommage car le pitch était intéressant, on imagine ce que d'autres auraient pu en faire, avec il est vrai peut être un peu plus de moyens (et quand même, de talent, faut le dire).
    Je reverrai The Machinist pour vérifier s'il ne s'agit que d'un accident de parcours, mais avec le recul, je me demande...
    Ils ont tous l'air si sérieux dans le Making Of, ça fait peur...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 avril 2013
    Par son pitch et son suspense haletant, sa mise en scène prodigieuse, ces effets spéciaux à couper le film, ainsi que la réflexion judéo-chrétienne qu'amène ce film sur l'importance de l'innocence des enfants aux cœurs pures, Brad anderson réalise une œuvre magistrale qui marquera à coup sûr les amateurs les plus endurcies d'épouvante.

    Un futur classique pour les générations futurs!
    Jesuisla Aussi
    Jesuisla Aussi

    1 abonné 44 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Tout disparaît peu à peu dans "Vanishing on 7th Street" : le jeu, le scénario, l'intrigue, l'intérêt, l'envie... Seule chose à retenir : "J'existe" alors autant en profiter pour aller prendre l'air dans un lieu clair ou obscur d'ailleurs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 mai 2012
    L'Empire des Ombres est un film présenté hors-compétition au festival de Gerardmer de 2011. Il s'agit du nouveau long-métrage de Brad Anderson après l'excellent The Machinist ou des séries telles que BoardWalk Empire, Fringe ou Alcatraz. Film sortie en direct to dvd en France, il est quand même porté par Hayden Christensen et Thandie Newton. Mais que vaut ce thriller horrifique sans grande prétention malgré tout ?
    La suite de ma critique sur mon blog : http://critiquescineentreamis.blogspot.fr/2012/05/lempire-des-ombres.html
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Fort d'un parcours professionnel chaotique, jalonné de péloches tantôt excellentes (Session 9, The Machinist) tantôt médiocres, Brad Anderson n'a rien d'un dilettante. S'étant attiré le mépris de sa profession suite à certaines déclarations ouvertement critiques envers le système Hollywoodien, il se trouva contraint de diluer son talent dans la réalisation de produits télévisés de plus ou moins bonnes factures, emballant quelques épisodes de séries prestigieuses comme The Shield, Sur écoute et Masters of horror.

    Il revint finalement au cinéma par la petite porte avec un inégal Transsiberian (2008) avant de s'atteler à cet Empire des ombres (Vanishing on 7th street) dont la production chaotique et une promotion inexistante relégua le film, sitôt après sa sortie en 2010, sur les rangées des rayons promos des grandes surfaces. Les difficultés de production se ressentent d'ailleurs quelquefois à son visionnage, notamment dans son dernier acte bâclé que bon nombre des rares spectateurs ayant vu la péloche se sont accordés à critiquer. C'est indéniable, la fin est nulle et personne ne s'est privé pour le dire.

    Oui mais, et ce qui précède alors ? Tout y est-il à jeter ? Certainement pas.
    Jugez plutôt sur le pitch. A la faveur de l'obscurité totale, suite à un black-out, la population quasi-entière de Détroit s'est évaporée, sans explication plausible. Ne subsiste d'eux que leurs vêtements jonchant les trottoirs et leurs voitures vides. Seuls quelques personnes sont encore de ce monde, épargnés grâce aux sources de lumière qu'ils ne quittent plus, seule arme pour les protéger de la voracité d'ombres rampantes et de nuits de plus en plus longues. Quatre d'entre eux trouvent bientôt refuges dans un petit bar aux lumières vacillantes tirant sur les derniers ressources d'un générateur électrique. Alors qu'il est 11 heures du matin et qu'il fait nuit noire dehors, les survivants spéculent sur ce qu'abritent les ténèbres et sur leurs chances de leur échapper.

    Une idée alléchante (quoique déjà abordée en littérature) mais traitée de manière trop classique.
    La trame reste simpliste, faussement originale et maintes fois déclinée : la rencontre d'une poignée de survivants terrés dans un refuge de fortune se serrant les coudes face à l'urgence de la situation (les ombres gourmandes n'attendent que ça pour fondre sur eux) et à un phénomène inexplicable et d'ampleur probablement mondiale.
    Cela commence par une scène d'ouverture assez convenue, se poursuit sur le réveil du "héros" et sa découverte d'une ville désertée à la manière d'un 28 jours plus tard (le punch en moins), s'autorise une ellipse de quelques heures pour embrayer sur un huis-clos dans un bar encerclé par l'obscurité affamée, avant de se terminer par la fuite désespérée des survivants et les sacrifices de rigueur qui en découlent.
    Certes l'originalité n'est pas de mise, les péripéties prévisibles et les personnages un rien stéréotypés (sauf qu'il y manque le bon gros connard insidieux dont le rôle est d'emmerder le monde), mais l'intrigue et la réalisation nous réservent tout de même quelques bons moments de tension. Les ombres se dotent d'une vie propre, murmurent et restent toujours à l'affût des vivants. L'apocalypse silencieuse est représentée par ces vêtements qui jonchent le sol, dernières preuves de l'existence des êtres et de leur disparition. Les armes à feux inefficaces sont rapidement laissées de côté pour privilégier toute source de lumière capable de repousser les ombres. Les personnages se retrouvent désemparés et hantés par le deuil impossible de leurs proches disparus sans qu'ils puissent savoir ce qu'il leur est advenu. Et puis il y a cette scène intrigante où un des protagonistes ne cessent de se répéter "J'existe" pour mieux s'en convaincre alors que les ténèbres se referment doucement sur lui, le condamnant à disparaître.

    Non, tout n'est pas à jeter dans L'Empire des ombres, loin s'en faut. Qui plus est l'histoire se passe à Détroit, défunte capitale de l'industrie automobile, aujourd'hui lourdement frappée par la crise économique, la pauvreté et le dépeuplement. Le choix de prendre cette ville pour cadre de l'intrigue n'a donc rien d'anodin et apporte même un sous-texte intéressant à l'ensemble.
    Le film bénéficie en outre des prestations de trois acteurs talentueux et trop rares, ainsi que par la réalisation efficace d'Anderson qui, comme à son habitude, refuse la facilité du trop plein d'effets spéciaux. Ses ombres rampent et gémissent, se coulent vers les vivants et les dévorent sans effets tape à l'oeil.

    Reste alors le point fâcheux, cette fin décevante et bien trop allusive. Pourquoi bâcler le film de cette façon ? Parce qu'il fallait bien le finir d'une manière ou d'une autre et que ne pouvant trouver d'explication valable aux ombres voraces et à cette fin du monde silencieuse, les auteurs se prennent les pieds dans le tapis et tombent dans le traditionnel piège narratif du développement impossible à résoudre. En résulte, cette conclusion inoffensive et frustrante qui renvoie un peu à celle, plus frustrante encore, de l'apocalyptique Prédictions d'Alex Proyas.
    A l'aune d'un tel dénouement, il sera tentant de reléguer l'intégralité du film au rang de simple navet. Ce qui serait injuste tant tout ce qui a précédé a su nous intriguer, titiller notre curiosité et nous faire croire à un véritable dénouement. Qui plus est, Anderson n'a rien d'un débutant et il sait traduire l'urgence et l'angoisse des personnages à l'image.

    Un film non exempt de défauts certes, tous imputables au scénario qui plus est, et qui ne suffisent pas à condamner le jeu des acteurs, la qualité de la réalisation et le film dans son intégralité.
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